Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 111 J'aime
  • 5 Commentaires

La première fois: à la plage

Chapitre 4

Inceste
Tout en continuant de l’embrasser, je descendais le long de son corps. Je déposais de nombreux baisés sur sa poitrine et titillais du bout de la langue ses tétons gonflés par l’excitation.
Nous primes notre douche ensemble. Je la frottais partout, y compris entre ses cuisses et elle faisait de même avec moi. Nous nous caressions, nous enlacions, nous embrassions.
Après notre douche, mon père rentra à la maison et la vie reprit son cours. Ma mère tenait son activité de bonne épouse et moi celle de bon fils.
Un soir, la cousine de mon père, Anne-Lise, appela pour savoir si nous voulions venir à la maison samedi, histoire d’essayer leur nouvelle piscine.
Ma mère répondit par l’affirmative. « On viendra tous les 3, disons à partir de 14 heures ? » « ok à samedi » répondit la cousine.
Cette cousine d’environ 45 ans, cela faisait longtemps que je ne l’avais pas vu. De mémoire, elle était malheureuse en ménage et son mari rarement à la maison.
Le mercredi, mon père fit une chute et se bloqua le dos. Ma mère insista pour qu’il vienne quand même chez Anne-Lise.« On sait jamais, d’ici samedi tu seras peut-être guérit. Et puis ta cousine ça remonte à combien de temps que tu ne la pas vu ? »« Tant pis, je la verrai dans l’été quand je serai guéris. Allez vous baigner chez elle, ne vous privez pas pour moi »
J’enfilais mon maillot, tandis que ma mère s’habillait dans la chambre de mes parents. Elle portait son paréo et je ne pus pas voir quel maillot elle avait.
Nous grimpâmes dans la voiture et elle roula jusqu’à destination. Le trajet fut calme et rapide, à peine ½ heure de route.
Arrivé à destination notre cousine Anne-Lise nous accueillit avec un large sourire.
Les souvenirs que j’avais d’elle étaient bien les bons. Grande, maigre avec une poitrine qui semble assez grosse pour un corps si menu.
Nous avons à peine eu le temps de se dire bonjour que ma mère enleva son paréo et se dirigea vers la piscine avec Anne-Lise. Ma mère avait cette fois un maillot 2 pièces, rouge dont le haut semblait comprimer sa poitrine. Ma cousine avait elle aussi un 2 pièces mais noir. Leurs maillots étaient du type à ficelle.En voyant leurs courbes, je ne pus me retenir d’avoir un début d’érection. Pour faire redescendre mon ardeur je me jetais à l’eau.
L’eau était bonne, j’étais seul avec 2 femmes sublimes et Anne-Lise avait même préparé des cocktails : le paradis !
Au bout d’un quart d’heure, Anne-Lise voulu sortir pour récupérer d’autres cocktails. Lorsqu’elle se hissa, son haut de maillot se détendit et son sein gauche se retrouva à l’air libre. Il était rond, ferme avec une petite aréole. A vu de nez, on aurait dit du E.
Elle me regarda ainsi que ma mère et se mit à rougir. « Désolé, j’espère que tu t’en remettras ! » me dit-elle tout en le rentrant.« Oh tu sais, c’est pas la première fois que je vois un sein » tout en jetant un rapide coup d’œil à ma mère qui me rendit un sourire.
« C’est ce haut de maillot qui ne tient pas aussi !» maugréa-t-elle.
« Tu n’as qu’à faire comme moi » lança ma mère de l’autre bout de la piscine. Sur ses paroles, elle tira sur la ficelle dans son dos et sa poitrine explosa à l’air libre. « Ah ça va mieux, j’étais comprimé la dedans »
« Mais enfin, tu te mets nue devant ton fils, comme ça » s’étonna notre cousine.
« Bien sur, pas toi ? » rétorqua ma mère tout en se rapprochant de moi. Elle se colla à moi. En voyant ses seins balloter dans l’eau puis luire à la lumière du soleil, je ne pus m’empêcher de les prendre à pleines mains et de les titiller. Ma mère ne parut pas s’étonner, au contraire, elle semblait encore une fois prendre du plaisir.
« Et tu le laisses faire ? » hurla Anne-Lise.
« Oui, et tu n’as pas tout vu ». « Faisons le, ici » tout en me regardant. Il ne me fallut pas 2 secondes pour comprendre. Elle passa ses bras autour de mon cou tandis que je m’appuyais contre la paroi de la piscine. A cette profondeur j’avais pieds facilement, j’étais parfaitement calé.
« Tu es sûre, maman ? » « Absolument, tu n’as rien à craindre, je ne suis pas malade » ses yeux plongés dans les miens. « Moi non plus »
Je baissais alors mon short de bain pour sortir mon sexe durcit puis je tirais sur les ficelles de son bas de maillot. Nous étions à nouveau totalement nus face à face. J’embrassais ma mère sur la bouche et elle me rendit mon baisé. Je me mis à saisir ses fesses à pleine mains et l’installa sur ma verge. Elle soupira lorsque mon sexe entra dans son vagin. Je pénétrais la femme qui m’avait mis au monde 20 ans auparavant. Notre cousine nous regarda les yeux exorbitaient : « Mais vous êtes fou, c’est de l’inceste !»
Entre 2 gémissements de plaisir, ma mère lui répondit « tu ne peux pas comprendre, c’est de l’amour rien d’autre »
Ma mère ondulait lentement du bassin tandis que je la caressais et l’embrassais sur les aréoles. Elle regarda Anne-Lise qui se tenait à distance et lui fit signe de venir. Moi, pour ma part, je n’en revenais pas de la situation dans laquelle j’étais, je me concentrais pour ne pas éjaculer et ce malgré l’excitation du moment de plus en plus grandissante.
Finalement notre hôte s’approcha. Ma mère l’embrassa sur la bouche, me lâcha et caressa son maillot. Sa poitrine était moulée par son maillot noir et je pouvais distinguer aisément les pointes de ses seins. J’agrippais ma mère et je continuais à la pénétrer. Elle tira sur le nœud au milieu du maillot d’Anne-Lise et ce dernier tomba dans l’eau. Ses gros seins étaient pâles, dus aux marques de son maillot. Elle me regarda, esquissa un sourire, avança sa tête avec hésitation et se mit à mordiller les seins de ma mère.
Elle les lécha, les caressa, son plaisir était flagrant. Ma mère, quant à elle, se laissa basculer en arrière, son buste bien rebondit et se mit à jouir de plus en plus fort. Ma mère poussa un long gémissement. Elle venait d’avoir un orgasme.
Je continuais les vas et viens dans le vagin de ma mère quand elle me demanda de la prendre en levrette. Je m’exécutais tandis qu’elle prenait appui sur le rebord de la piscine.
J’entamais de manière lente mes coups de reins, quand Anne-Lise se rapprocha de ma mère.
Elles s’embrassèrent tendrement. Anne-Lise monta sur le bord de la piscine et s’installa face à ma mère.
Cette dernière lécha lentement les cuisses de notre cousine et agita sa langue au niveau de son entre jambe. Elle soupira. Ma mère tira sur une ficelle puis sur l’autre. Nous découvrîmes son sexe rasé et lisse.« Je, je n’ai jamais fais ça avec une femme » dit-elle. Et ma mère de lui répondre « moi non plus, mais on est là pour s’amuser »
Elle passa sa langue sur les lèvres. Un gémissement se fit entendre. Ma mère continua de la lécher tandis que je continuais mes vas et viens. Distinguant mal le clitoris de notre cousine, je me concentrais sur sa généreuse poitrine et son visage. Elle souriait et se mordait les lèvres. Ma mère semblait être très douée pour les cunnilingus au regard de l’expression d’Anne-Lise.
J’attrapais la lourde poitrine de ma mère et j’accélérais la cadence. Je malaxais ses seins. Les soupirs d’excitation étaient de plus en plus nombreux. Je ne savais pas laquelle des 2 jouissait le plus.
Soudain la cousine poussa une longue complainte. Lorsque ma mère releva la tête, je pus voir de la cyprine luire sur sa bouche ainsi qu’une grande quantité coulant du vagin d’Anne-Lise.
Ma mère, dont mon pénis se trouvait toujours en elle se tourna légèrement vers moi.« Mon fils, sodomise moi ! » « Je n’ai jamais fais ça, maman » « Dans ce cas, se sera une première pour toi comme pour moi »
Ma mère se tint après le rebord, tandis que notre cousine redescendit dans l’eau.
Elle agrippa à pleines mains les fesses de ma mère et les lui écarta. Je mis en place mon gland devant son anus et d’un geste lent je commençais à l’introduire.
Ma mère inspirait de façon forte, on pouvait ressentir son appréhension.
Mon gland avait maintenant complètement disparut, je continuais à entrer mon pénis tandis qu’elle gémissait. Mon sexe était entièrement dans son anus. Je commençais à bouger du bassin, tout en m’agrippant à ses sublimes hanches. Anne-Lise écartait toujours les fesses et me regardait avec un air malicieux. Elle adorait cette situation, pas de doute la dessus.
La sensation était complètement différente. Je sentais ma mère se contracter à chaque passage. Au bout de 2/3 minutes de douleur elle me demanda d’arrêter.
Nous sortîmes tous les 3 hors de l’eau. Ma mère m’allongea par terre et s’installa sur mon sexe toujours en érection. Elle remua du bassin comme jamais. Son corps encore humide ondulait littéralement. Notre cousine caressait encore ma mère et l’embrassait. Les seins de ma mère rebondissaient à chaque mouvement qu’elle effectuait sur mon sexe. Elle me regarda, je pouvais voir dans son regard une passion dévorante.
J’allais éjaculer, ma mère ne tint pas compte de mon avertissement et continua. Dans un râle, j’éjaculais 4 fois par grande quantité. Ma mère se mit à jouir à son tour. Je pouvais sentir le sperme couler dans son vagin et autour de mon sexe. Ma mère me demanda de me retirer. Anne-Lise s’approcha de mon sexe et timidement entreprit de le nettoyer. Sa façon de passer sa langue me donna un frisson. Elle était tout aussi douée que ma mère. Mon sexe fut nettoyé en moins d’une minute.
Ma mère la regarda, s’allongea sur le dos et lui demanda d’en faire autant avec elle.
Anne-Lise se pencha en avant et commença par lécher l’entre jambe de ma mère et entra sa langue dans son sexe. Je pouvais apercevoir mon sperme couler et se coller sur la bouche d’Anne-Lise. Ses fesses bombées en arrière me redonnèrent une érection. Je m’approchais d’elle, positionna ma hampe sur ses fesses et je commençais à me frotter contre elles.
Ma mère jouissait à gorge déployait. La tête d’Anne-Lise bougeait frénétiquement entre les cuisses de ma mère.
La peau d’Anne-Lise était douce et chaude. J’éjaculais de nouveau. Ma semence s’étala en un long filet blanc dans le creux de ses reins.
Ma mère dont le sexe était humide et couvert d’un mélange sperme/salive/cyprine se redressa et lécha mon liquide sur le dos d’Anne-Lise d’une seule traite.
Le temps semblait se couvrir. Nous avons pris nos affaires et sommes entré dans la maison. Après avoir pris une douche commune, Anne-Lise nous remercia en nous embrassant langoureusement, ma mère et moi, puis nous sommes retournés chez nous.
En arrivant, mon père nous demanda comment la journée s’était passée. Ma mère lui sourit et répondit tout simplement par « une très bonne journée, il faudra que l’on retourne chez ta cousine plus souvent ».
Diffuse en direct !
Regarder son live