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Ma première fois - Sauna GAy

Chapitre 3

Gay
Le soir même de mon expédition au sauna, je ne peux pas m’empêcher de me masturber en pensant à mes ébats de la journée. Dans mon lit, je me glisse des doigts dans mon anus, encore animé par le passage du chibre de mon amant. Je jouis une bonne fois avec la résolution d’y retourner un autre fois.

Deux jours passent et lorsque je me balade en ville, en passant dans un parc, je suis abordé par un grand black. Mon cœur manque de s’arrêter lorsque je reconnais l’homme du sauna (Voir chapitre 1).
Il m’interpelle avec un sourire chaleureux.
— Je te reconnais toi, on s’est frottés nos bites ensemble à la douche.— …
Je ne sais quoi répondre face à cette phrase qui sort de l’ordinaire pour moi.
— Mais si tu sais, dans les douches du sauna.— Ah oui en effet, je vous reconnais. Réponds-je timidement.— Ne t’en fais pas, si tu es mal à l’aise de parler ici, on peut toujours se revoir au sauna. J’y vais demain vers 18h00, tu seras là ?— Oui bien sûr, je dis automatiquement.— Super allez à plus beau gosse.

Et il s’en va tranquillement avec sa démarche de géant. C’est étonnant comment on pourrait difficilement se douter que ce grand gaillard musclé viril puisse arranger de tels rendez-vous. Enfin l’habit ne fait pas le moine. Je suis donc tout excité par ce rendez-vous fixé à l’arrache.
Chez moi, je me connecte sur le site du sauna et découvre qu’il y a un évènement spécial demain au sauna. C’est une journée mixte et naturiste. L’entrée est plutôt chère ce jour là mais vu mon expérience d’avant (Voir chapitre 1&2), je me dis que ça vaut le coup.
Le lendemain, je suis si impatient que je ne passe même pas chez moi après le taff pour aller au sauna. J’arrive donc vers 17h ce qui me laisse le temps de me détendre avant que mon nouvel amant se pointe. Je repasse donc devant l’accueil et paye mon ticket.
— Aujourd’hui, c’est un thème naturiste dans le sauna, ta serviette reste donc aux vestiaires pour te sécher. T’inquiète pas pour l’hygiène, on nettoie spécialement plus le sauna et le hammam.— Très bien.

Je pousse la porte avec plus de confiance que la dernière fois mais toujours cette excitation dans le bas ventre et cette adrénaline. Dans le vestiaire, c’est plutôt calme, je vois une cinquantenaire, nue en train de verrouiller son casier. J’ai donc un plan direct sur son sexe et son cul. Elle est plutôt banale et m’adresse un sourire poli quand elle se redresse. Plus loin, deux mecs en train de se rhabiller, discutent tranquillement. Je commence à ouvrir un casier à côté d’une jeune femme bien en chair avec des gros seins lourds en train de retirer son bas. Le naturel qui se dégage de son corps hors des normes de beauté de notre société attire toutefois mon œil coquin. Mais elle m’ignore totalement et continue de se déshabiller. Je commence à retirer mes vêtements et m’aperçois que la chaleur et l’ambiance des vestiaires a commencé à me faire bander. Gêné, je m’assois et fais exprès de me déshabiller très lentement.
La jeune fille a côté de moi me dit soudainement :
— T’inquiète, on a remarqué que t’as la trique, assume-le maintenant.— Ah, euh désolé, c’est juste que je ne suis pas habitu酗 Ne t’en fais pas, ça se voit que t’es pas un lourdaud. Ici, de toute façon, c’est un lieu pour avoir la trique, surtout aujourd’hui. Mais fais gaffe, si t’es ici pour attirer des mecs, ils vont venir t’aborder par centaine, surtout avec ta mignonne petite bouille.

Ses gros seins pendants avec leurs larges auréoles claires n’aident pas vraiment à me calmer. Mais son visage rond était plutôt amical et son ton se faisait rassurant.
— Pourquoi t’es ici, t’as un rendez-vous ?— Oui en soi mais c’est censé rester discret, je réponds, plus à l’aise.— Ah je comprends t’inquiète. T’es pas le premier jeunot à venir se faire péter le cul en toute discrétion ici.

Gêné par sa phrase, je réplique avec une question.
— Et toi ? Tu cherches quoi ici ?— Moi ? La baise facile. Y’a plein de mecs hétéros qui se jettent sur la première fille ici. Disons que c’est un des rare endroits ou je me peux me faire désirer quoi. Bon allez je te laisse.

Elle s’éloigne, laissant valser son gros fessier de gauche à droite. Je regarde ma montre, j’ai 30 minutes avant que mon grand amant puisse débarquer. Il faut que je me mette à l’aise avant son arrivée. Je claque mon casier et me dirige totalement nu vers les douches. Des mecs se savonnent tranquillement. Je pénètre dans la grande salle et confirme ce que me disait la jeune fille auparavant. Il y a environ 1 femme pour 8 mecs et je vois la fille des vestiaires dans le jacuzzi entouré d’hommes en train de lui parler en rigolant. Je stresse car dans les personnes de la salle, impossible d’identifier un hétéro, d’un gay ou d’un bi. J’ai l’impression que tout le monde tape sur tout. Je décide d’aller dans le hammam, cette pièce chaude et humide plongée dans l’obscurité. J’entends des corps se frotter, des lèvres se toucher mais je ne vois quasi rien. Je monte sur l’espèce de gradin et me hisse sur l’étage du milieu. Je m’assieds et sens deux choses dures contre mes deux épaules et bras.
Ce ne sont pas deux bites en érection mais deux jambes très poilues qui ont l’air d’appartenir à la même personne. Je m’aperçois que je me suis assis entre les jambes d’un mec, posé sur la marche au dessus de la mienne. Encore timide, je n’ose plus bouger et sens des doigts sur mes épaules et mon cou. L’homme me touche la nuque et passe sur mes pectoraux. Il pince un peu mes tétons puis s’avance légèrement. Je sens soudain son gland qui se pose sur mon épaule droite et il commence à le frotter sur mon cou. Je me surprends à adorer cette sensation de plaisir anonyme qui transgresse mon orientation sexuelle. Son pénis devient dure comme la pierre et commence à le frotter sur ma joue. Il resserre des jambes sur mon corps pour m’enserrer et me faire comprendre que je suis à lui. Pour toute réponse, je recule mon dos et m’appuie sur la marche ou il est assis. Son gland est accessible à ma langue que je peine à sortir timidement.
D’un coup, je sens le bout de sa bite sur ma langue et commence à le titiller. C’est le signal qu’il attend car je sens une de ses mains qui appuie ma tête vers la droite et son autre main qui enfourne sa bite dans ma bouche. Je le suce doucement et maintient une cadence plutôt calme. Au bout de cinq minutes, je sens son sexe qui tressaute et qui crache sa semence dans ma bouche. J’astique son membre qui se rapetisse petit à petit. Puis il me remercie gentiment et s’en va. Quand il passe la porte, je dévisage un homme avec la cinquantaine, très poilu sur son corps et plutôt fort. Il a une grande barbe et a l’air d’un grand bourru. Pas du tout ce que je recherche physiquement mais dans le noir, c’était génial.
Je ressors du hammam et pars sous la douche pour me rafraichir. Je suis très excité et attend avec impatience l’arrivée de mon amant ébène. Je vais dans le jacuzzi en l’attendant. La jeune fille de tout à l’heure est toujours entouré de mecs qui ont l’air de lui mettre des doigts tous ensemble tout en discutant. Je reste à l’écart et guette l’entrée depuis les douches. Soudain, je les vois, lui et son corps massif dénudé de poils comme j’adore. Il me voit et en me faisant signe, il s’enfonce dans un couloir. Je sors du jacuzzi et le suis. On traverse un couloir plutôt sombre et on atteint des cabines. Il m’attend dans l’une d’elle, allongé sur le côté, sur son coude. Son gros membre noir pend sur sa cuisse et il me regarde, l’œil plein de bienveillance.
— Vient-on va faire connaissance tranquillement. Mets-toi sur moi, comme ça je peux apprécier ton corps et tu pourras apprécier le mien.

Son intonation calme et autoritaire à l’africaine a pour effet de me faire obéir sans que je me pose de question. Il se met donc sur le dos et je viens me poser sur ses grosses cuisses musclées. Mon sexe, au repos sur le coup de la pression repose sur mes couilles qui elles sont au contact de sa peau.
— Avance-toi un peu plus mon mignon, je veux que nos zizis soient proches l’un de l’autre. C’est comme ça qu’on pourra mieux se comprendre et mieux se connaître, tu comprends ?

Je fais oui de la tête. Sa manière de me parler m’excite beaucoup si bien que j’oublie l’étrangeté de la situation. Je suis nu sur le corps nu d’un inconnu qui réclame que nos sexes se touchent. Il me tire encore et me voilà assis, ses couilles contre mon anus et sa bite, contre les miennes.
— Prenons quelques instants pour nous dévisager et nous découvrir l’un et l’autre.

Un long silence se passe et je le vois parcourir mon corps en long et en large. Je commence à faire de même. Il est vraiment grand et complètement imberbe. Ses épaules sont larges et son ventre est tout lisse. Son visage est neutre et continue de reluquer chaque partie de mon corps.
— Maintenant et je vais te dire ce que j’aime de ton corps pour te mettre en confiance et tu feras pareil. J’aime beaucoup ton corps fin et tes cheveux blonds. J’ai l’impression que tu es un ange envoyé du ciel. J’aime aussi beaucoup tes tous petits tétons clairs, dit-il en les touchant. T’as aussi de jolies couilles bien lisses, j’ai envie de les manger. Tes fesses aussi me donne envie de les remplir, finit-il en les saisissant à pleine main ce qui me soulève un peu. Allez à toi, sois honnête et hésite pas à caresser mon corps quand tu parles. Ça t’aidera à être sincère avec moi.— Alors j’aime beaucoup ton grand corps sans poils, commence-je en passant mes mains sur son torse. Mais ce qui me rend fou, c’est ta bite énorme et tes grosses couilles. — Mon zizi ne te fait pas peur ?

Naturellement, grâce à sa manière de nous présenter, je suis rapidement à l’aise et commence à avoir très envie qu’il me baise.
— J’aimerais bien la sentir dans mon cul, je lui dis droit dans les yeux. Sous le coup de l’adrénaline, je me saisis de son membre et le frotte contre ma bite.— J’aime quand tu prends des initiatives comme ça et que tu ne fais pas la petite pucelle. Tu as déjà été enculé ?— Oui, une fois mais sa bite était moins grosse. — Je vais te préparer ton petit cul, retourne-toi et présente moi tes fesses.

Je m’exécute et toujours sur lui, je le chevauche en lui mettant mon anus à portée de ses mains. Je suis donc sur le ventre sur lui et ais sa bite devant ma bouche.
— Occupe-toi de mon zizi mon grand.

Sa manière de me parler comme si je suis sa petite chose me soumet d’une rare efficacité. Il n’a qu’à me demander quelque chose sur ce ton là que je ne peux que m’exécuter sans me poser de questions. Je pose donc mes lèvres sur son énorme gland que je commence à lécher comme une glace. Je l’entendais souffler bruyamment contre mon cul qu’il commence à lécher. Pendant que je lui astique le gland de ma langue, il commence à me doigter en étant très doux et en étant très progressif. Étant très excité, mon cul se dilate très vite. Le voilà qui passe trois doigts tout en gobant mes couilles toutes lisses. Je l’imite et puis tente d’insérer son chibre dans ma gorge. Elle est tellement grosse que c’est sans grand succès.
— Bon allez, tu es assez préparé, je vais te baiser le cul mon chou.

Je me mets à quatre pattes et sens ses puissants bras surma croupe. Il enfile un gros préservatif et fait coulisser son gland dans mon sillon. Je l’entends cracher entre mes fesses et je sens ses doigts qui lubrifie mon trou. Puis je sens son large gland qui commence à se frayer un chemin. Il crée une plus grande ouverture que ses doigts et son gland fait maintenant irruption dans mon cul. Une douleur me prend les fesses et le voilà vissé en moi juste par le gland.
— Ça va ? Tu n’as pas trop mal ? Il faut que ton cul s’habitue et après ça va glisser. — Oui ça va, continue à t’enfoncer, je réponds tant bien que mal.

Il continue à appuyer et d’un coup, le voilà qui me remplit littéralement le cul. Je sens de la douleur tout le long de sa bite alors qu’il commence des vas et vient. Petit à petit, mon anus s’y habitue et je commence à prendre un pied phénoménal. Il accélère le rythme et se cramponne à mes hanches comme un animal. Les coups de butoirs font trembler tout mon corps et je sens toute sa puissance qui se fracasse dans mon cul. Son gland vient frotter ma prostate et mon plaisir commence à s’envoler. Je commence même à lâcher des petits cris.
— Ne retiens pas tes cris, sinon tu vas diminuer ton plaisir, me dit-il en me fessant gentiment.

Pour toute réponse, je commence à geindre de manière plus bruyante, quitte à un peu exagérer et je note que mon plaisir augmente aussi un peu. D’un coup, il sort de mon cul et se remet sur le dos. Il m’invite à le chevaucher en me mettant à quatre pattes vers lui, comme une araignée. Sa longue bite permet cette position à merveille et voilà que je m’empale sur son gourdin à un rythme toujours aussi soutenu. Ma bite en demi-molle rebondit comme un vulgaire fétu de paille tellement je saute au-dessus de mon amant.
— Je vais jouir, je vais jouir, le préviens-je.— Vas-y, jouis sur moi, m’encourage-t-il.

Je sens la pression monter et monter puis je ne maitrise plus rien et c’est un jet de sperme qui jaillit en continue de ma bite alors qu’un immense plaisir sort de ma prostate.
— OH OUIIIII OH OUII PLUS FORT DANS MON CUL, je crie, sous l’émotion de l’intense orgasme que je viens de vivre.

Mon amant s’est retiré de mon cul et de la capote et se branle à grande vitesse, assit devant moi. Étant dans la même position que lui en face, il éjacule en grand jet sur mes parties génitales que je branle à mon tour, encore sous le feu de mon orgasme. Je recommence à lécher son sexe souillé de nos deux semences pour le nettoyer.— Merci mon chou pour cette partie de baise. Maintenant je dois filer.
Et il me laisse comme au premier jour. Je reste quelques instants en plus dans la cabine puis je repars vers les douches...
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