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Ma première partouze.

Chapitre 1

Orgie / Partouze
La rencontre.
Cette fois-ci nous avons changé de plage naturiste car sur l’autre nous y avons rencontré des personnes que nous connaissons et pour ce que nous envisageons de faire nul besoin de se faire remarquer car les nouvelles vont vite dans notre village. Cette plage est surnommée « La plage des désirs » et c’est pour ça aussi que nous l’avons choisie. Nous sommes donc, Jacques et moi, entièrement nus sur cette plage et surtout très loin de chez nous ce qui est un gage de tranquillité. Nos corps nus et bronzés se détachaient sur le blanc du sable et nous attendons la rencontre.
Sur cette plage il y a de tout, des femmes superbes comme des moins jolies et pareil pour les hommes mais Jacques n’est pas là pour les femmes mais pour les hommes, enfin un homme, celui qui saura me plaire. En effet j’ai promis de passer à la gamelle avant la fin de l’été avec un autre homme que mon mari pour lui faire plaisir. Mon véritable désir est de trouver un noir extrêmement membré, c’est vrai que je fais une fixation là dessus mais on a tellement vu d’images et de films de ces mecs hyper bien montés que j’en veux un aussi, il n’y a pas de raison que ça soit réservé aux putes des films pornos. On a beau regarder partout, pas un seul noir sur cette maudite plage pourtant ça fait une dizaine de jours que nous y venons mais en vain. J’ai juré de tout essayer, je veux qu’une énorme bite me défonce le trou du cul, je veux être une vraie putain et avaler des litres de foutre et me vautrer dedans pour son plaisir. Oui je serai la trainée qu’il veut que je sois sinon je sais qu’il ne sera pas tendre avec moi car je connais trop bien son goût pour la fessée et j’y ai déjà goûté non sans y trouver un certain plaisir mais parfois il est excessif.
Il fume une cigarette en m’écoutant parler de mes fantasmes et en désespérant de trouver celui que je veux quand il apparait. Il marche d’un pas lent et contrairement à tout le monde il a gardé son maillot mais à la bosse qu’il a entre les jambes on devine qu’il est bien monté. Il est bronzé et athlétique, j’en suis certaine, c’est celui-là qu’il me faut. Je dis à Jacques:
-Celui là est pas mal et à défaut de noir il peut bien faire l’affaire, allez la chasse à la bite est ouverte.
Je m’accoude sur ma serviette, soulève mes lunettes de soleil pour voir l’homme que je lui désigne, il me regarde en faisant la moue mais accepte de le faire venir. Il n’a même pas jeté un regard vers nous et continue son chemin vers la dune qui conduit vers la sortie de la plage. Sans même enfiler son maillot mon mari se précipite vers lui avant qu’il ne soit trop loin, sa queue gigote entre ses cuisses quand il court et ses couilles se balance aussi ce qui donne un bien joli spectacle que des voyeurs ne perdent pas de vue. Arrivé à sa hauteur il l’interpelle. Le gars se retourne et parait très surpris par sa demande mais il l’écoute jusqu’au bout en souriant, il baisse les yeux et regarde la queue de Jacques qui pend entre ses jambes avec beaucoup d’attention, la soupèse, lui triture les bourses devant tout le monde mais personne ne s’étonne bien au contraire ils semblent tous ravis de la scène et imaginent déjà la suite avec une pointe de jalousie. Jacques lui désigne l’endroit où j’attends, l’autre regarde dans ma direction. Je suis impatiente de savoir si le mec vient ou pas. Enfin, je vois que l’histoire que mon mari lui raconte l’intéresse, sa bite grossit à vue d’œil dans son slip de bain et il se décide enfin à le suivre pour voir la petite salope qui veut se faire troncher par lui.
Arrivé près de moi, il se met à genoux juste en face et me dévisage. Il sourit de toutes ses dents blanches qui me subjuguent aussitôt, je braque mon regard sur la bosse qui lui déforme le maillot et lui demande tout simplement de me montrer sa bite avant de prendre une décision. Il parait surpris d’une telle démarche mais après tout elle est bien légitime, je veux voir avant d’acheter. Il abaisse son maillot de bain qui libère un braquemart énorme, long et gros, très épais à la base qui ne cesse d’enfler et de grandir et qui relègue celui de Jacques à une bite de jeunot. Mon mari sort deux canettes de bière fraîches de la glacière et lui en tend une pendant que je me passe la langue sur les lèvres en n’arrivant pas à détacher mon regard de l’engin. Il prend la canette fraiche et se la frotte sur la pine en me souriant en prenant bien soin de ne pas oublier les deux énormes couilles qui pendent au dessous. Enfin il ouvre la bouche pour me demander si je suis satisfaite de mon choix. Pour le lui prouver j’avance la main, touche l’énormité, la caresse un instant puis je le regarde et d’un sourire entendu je déclare tout de go:
-Wahou! Bien sûr que je suis d’accord après tout je me fous que tu ne sois pas noir, comment refuser un pareil dard que tu vas me fourrer bien profond dans la gueule, dans la chatte et dans le fion. Mon petit cul va sans doute avoir très mal mais j’ai tellement envie de baiser qu’il faut bien souffrir un peu pour bien jouir, pas vrai? Alors on y va ou on reste là à discuter et à enfiler des perles? Je sens que je vais passer une très agréable soirée grâce à vous deux mes salops.
A mon grand regret il rentre ses bijoux de famille dans son slip de bain, il aurait pu rester à poil quand même, et se lève impatient de nous emmener chez lui et nous invite à le suivre jusqu’au parking. Nous remballons nos affaires et nous voilà partis. Sur le parking nous rejoignons notre voiture et attendons qu’il arrive pour le suivre, enfin le voilà et c’est parti, l’aventure peut commencer.
En chemin nous discutons Jacques et moi. Il me demande si je n’ai pas peur et si je ne vais pas me défiler au dernier moment?
-Ô que non, je suis trop heureuse d’avoir trouvé ce type monté comme l’âne que nous allons souvent voir dans le pré juste pour admirer son énorme bite qui pend jusqu’à terre. Un jour, tu verras je me ferai sauter par lui, sa bite ne trainera plus car elle sera bien au chaud dans mon con ou dans mon cul. Là je vais enfin pouvoir tester mes capacités et me faire enfin enculer par cet énorme chibre.
Pour l’heure Adrien est en train d’ouvrir le garage et nous fait entrer notre voiture puis il rentre la sienne et ferme la porte pour que nos véhicules n’incitent personne à venir nous déranger. Sage initiative. Il nous invite à monter à l’étage le temps pour lui de choisir une bonne bouteille car il tient à nous garder à dîner. Arrivés en haut, nous découvrons un magnifique salon où des livres et des DVD pornos trainent sur la table basse. Ainsi notre hôte a aussi besoin de ça lui aussi mais pas le temps de s’interroger, voilà son athlétique stature qui apparaît dans le rectangle de la porte. Il entre, me regarde encore, pose la bouteille de Bourgogne sur la table de la cuisine puis revient vers nous. Il m’attrape par les épaules, me détaille de haut en bas puis m’attire à lui et me roule une pelle de tous les diables en me pelotant fermement les fesses. Je le laisse faire mais je suffoque sous le baiser d’Adrien et tente de me dégager mais il me retient encore plus fermement et me claque sa grosse main sur les fesses à plusieurs reprises. Je remue et je sais que Jacques commence à apprécier sa manière de faire, il montre qu’il est le patron et qu’il fait ce qu’il veut de moi. D’ailleurs ça m’est égal qu’il me frappe car je sais que Jacques apprécie beaucoup ce genre de traitement et qu’il va sans aucun doute s’en mêler. Enfin Adrien se décide, il défait ma petite jupette blanche de tennis qui tombe à terre puis c’est au tour de ma culotte, vient enfin le moment de me libérer aussi de mon petit haut et c’est Jacques qui s’en charge trop pressé de commencer les hostilités. Comme je ne porte jamais de soutien-gorge l’été, mes deux magnifiques nichons jaillissent aussitôt devant les yeux de notre nouvel ami. Il les regarde un instant puis les saisit fermement entre le pouce et l’index et leur imprime une pression qui me fait mal. Il les tord, tire dessus et les claque violemment à plusieurs reprises. Un rictus méchant change le visage d’Adrien qui à ce moment là dévoile sa vraie personnalité. Fini le sourire charmeur qui m’avait tant plu, maintenant c’est l’homme dominateur qui va prendre possession du jouet qui s’offre à lui et ça, ça me plait beaucoup au point que je sens poindre en moi une forte excitation malgré la douleur de mes nibards. Je vais connaître ce que j’apprécie le plus dans les films de SM, la souffrance des petites putes que l’on fouette ou qui subissent des supplices.
Adrien s’assoie sur la table les jambes écartées et la bite monstrueusement dressé. Il ordonne:
— Amène-toi ici connasse, taille-moi une bonne pipe et fais ça bien que je n’ai pas à regretter de t’avoir invitée. Tu veux du foutre et bien tu vas être servie pompe à jute. Je vais te les rincer moi tes amygdales, tu vas en bouffer des litres et des litres crois-moi.
Aussitôt je m’exécute, je plie la tête au dessus de l’engin de mes désirs et Jacques se place derrière. Je penche la tête et engloutit la bite dans ma bouche distendue par la largeur impressionnante du sexe en commençant à enrouler la langue autour, je m’applique mais Adrien en veut plus et tout de suite. Il me saisit par les cheveux et me force à avaler son engin au plus profond de la gorge et me bloque ainsi. Je suffoque et hoquette, j’étouffe alors il me relâche un peu le temps que je respire puis recommence en m’obligeant à avaler de plus en plus profond. Je me débats mais il n’en a cure, seul son plaisir compte et il m’ordonne de descendre toujours de plus en plus bas et enfin j’arrive a tout avaler, mon menton bute sur les couilles et je respire fortement. Sa bite cogne sur ma glotte et je la sens qui tressaute sur ma langue. Je bave des litres de salive qui lui toment sur les cuisses. C’est le moment que Jacques choisit pour abattre sa main sur mes fesses, j’ondule pour me dégager mais ces mouvements déclenchent en lui le besoin de me fesser encore plus fort puis il se baisse et enfourne sa langue dans ma chatounette, je me trémousse de plaisir mais le fumier m’introduit brusquement son index dans le troufignon, je suis surprise et je fais un mouvement de recul alors sa main s’abat à nouveau sur mon fessier à plusieurs reprises aussi je décide de ne plus bouger et de me laisser faire. Il abandonne son index et aussitôt, et tout aussi brutalement, il enfonce cette fois son énorme pouce qu’il fait aller et venir en tous sens dans ma pastille. Il y prend un plaisir fou, visiblement il veut me faire mal mais ça va, je tiens encore le choc. Il me prend méchamment par les cheveux en m’obligeant à abandonner Adrien puis il me fourre ses doigts merdiques dans la bouche pour que je les suce et les débarrasse des taches brunâtres qui les souillent. J’ai un mouvement de recul alors il grogne et sa main s’abat à nouveau sur mes fesses et il s’acharne jusqu’à ce que je lui obéisse. Je fais vite pour ne pas sentir l’odeur de merde et je reprends là où j’en étais, une bite est plus agréable à sucer que ses doigts sortis de mon fondement. Plus tard j’y prendrai goût sans même m’en douter.
Notre ami approuve son initiative et continue son petit manège avec moi. Il recommence lui aussi où nous en étions et mon calvaire recommence. Enfin il me relâche et me dit:
— Continue de me sucer, je n’ai pas encore commencé à prendre du plaisir. Encore quelques gorges profondes et tu vas pouvoir te régaler de mon jus crémeux qui va asperger ta glotte.
Je connais ce supplice pour l’avoir vu infligé à des soumises dans des films de domination et j’avoue que j’y prends vraiment du plaisir. Les petites salopes dérouillent grave et j’admire ces spectacles barbares avec jouissance en demandant encore plus de cruauté envers ces filles trop belles. Oui c’est un spectacle dont je ne me lasse pas. Cette expérience me prouve que c’est pas toujours facile, facile de satisfaire un homme exigeant mais quand on veut, on peut. On s’habitue à tout et je le veux plus que tout. Tout apprendre et tout faire en un minimum de temps, c’est pour ça que je suis venue jusqu’ici. Je reprends mon souffle et la bite dans la main je commence à la lécher, la titiller du bout de la langue, je lèche de la base au gland en essayant d’entrer le bout de ma langue dans le petit trou qui lui permet de pisser si bien que n’y tenant plus, Adrien m’attrape la tête à deux mains, ses monstrueuses bourses frappent mon menton à un rythme effréné puis soudain il décharge un premier jet dans ma bouche et me maintient ainsi jusqu’à ce que j’ai tout avalé puis sans sortir son dard de ma bouche j’agite ma petite langue pour recommencer quelques minutes à l’exciter quand un second jet me remplit à nouveau la gorge. Une nouvelle fois j’avale en prenant bien soin de ne pas en perdre une goutte puis je me relève, de la jute perle aux commissures des lèvres. Il se redresse et dit à mon mari:
-Je te remercie de m’avoir amené cette trainée pour me vider les couilles. Elle suce divinement et je me suis retenu pour ne pas lui pisser dans la gueule mais ça viendra, elle sera ma chiotte personnelle aussi j’aurai un plaisir jouissif de lui faire boire mon urine.
-Mais Adrien ce n’est pas moi qu’il faut remercier mais elle. Tu sais depuis le temps qu’elle me réclamait une bonne grosse queue, ce n’aurait pas été humain de ma part de la lui refuser. Pisser dans sa gueule ah ça c’est une bonne idée, faudra qu’on essaye ça tout à l’heure, il faut qu’elle subisse notre loi, elle est là pour ça.
-C’est vrai mais tu as accepté quand même de me la prêter donc comme c’est ta femme c’est toi que je dois remercier, cette salope n’a pas droit à la parole, oui tu as raison elle doit obéir et lui pisser dans sa gueule de pute ça sera bien plus excitant que dans les chiottes et puis ça lui fera passer le goût du sperme.
Et là dessus mes deux mecs éclatent de rire. Je suis contente il sont exactement comme j’ai envie qu’ils soient, deux hommes qui ne ménagent pas la bête, qui considèrent que je ne suis qu’un objet sexuel, leur esclave soumise et rien de plus. D’ailleurs j’aime ça car nous aimons beaucoup les insultes salaces quand nous baisons avec Jacques et nous nous plaisons à inventer des supplices les plus raffinés pour des filles imaginaires. Le divin marquis de Sade aurait été fier de nous, d’ailleurs se sont ses écrits qui nous débauchent ainsi. Tous les mots orduriers y passent et ça nous excite au plus haut point. Quant à me pisser dans la gueule ma foi pourquoi pas, je suis leur objet, la garce du quartier, la bonne salope qui veut tout essayer et tout apprendre alors pour une bonne rasade d’urine je suis partante.
Maintenant il me faut celle de mon mari.
-Jacques, vient là mon salaud que je te vide les couilles aussi, je veux de la jute plein le gosier. Tu vois j’ai enfin la bonne grosse queue dont j’ai toujours rêvé, tout à l’heure elle va me traverser le trou du cul, je vais jouir comme une chienne, allez donne-moi ta pine vite.
A suivre...
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