Arrivée à la réception de l’hôtel, point de Sandrine ! Soit elle s’est impatientée et ne m’a pas attendu (Il est vrai que ma petite séance d’exhibition et de doigtage a duré une bonne demi-heure), soit son « rendez-vous » s’est prolongé comme le mien si jamais l’autre gars a également voulu la mater à poil me dis-je.Je décide de l’attendre un peu.Au bout de dix minutes, je la vois sortir de l’ascenseur toute souriante. — Ah Chloé, tu m’as attendu ! C’est cool. Tu m’attends depuis longtemps ? — Non, cela fait dix minutes que je suis ici ! — Bon alors comment ça s’est passé ? Si ça fait dix minutes, tu as dû lui faire une sacrée pipe ! — Un peu plus qu’une pipe ! Il a voulu me voir à poil ! Il voulait me mater le cul ! — Et tu l’as fait ? — Oui ! Il a ajouté du blé pour ça ! — Ouah ! Tu m’impressionnes ! Je n’aurais jamais cru ça de toi ! Et combien t’a-t-il donné en plus ? — 100€ — Quoi, 100€ juste pour mater ton cul ? Dis donc, tu t’es sacrément bien démerdée ma vieille ! — Pas tant que ça ! Il a léché mon anus et m’a rentré un doigt dedans !
— Quoi ? Tu fais fait doigtée ! J’aurais bien voulue être une petite souris, ou plutôt le petit doigt du mec ! J’espère au moins que ça t’a plu ! Moi, je suis tombé sur un gros vicelard ! J’ai dérouillé même si c’était une vraie bête du sexe ! Je suis épuisée et j’ai besoin d’aller prendre une douche. Tu me raccompagnes chez moi ? — OK mais je ne reste pas longtemps, il faut que je rentre à la maison surveiller Jeremy (Jeremy, c’est mon petit frère) mais raconte-moi comment ça s’est passé pour toi pendant que nous retournons chez toi. Et sur la route, Sandrine m’a relaté son « rendez-vous ». D’abord, tout comme moi, elle a commencé par lui tailler une pipe et le mec a rapidement joui (je vous l’avais dit que c’était une pro, ma Sandrine, expérimentée et plutôt canon). Elle m’a d’ailleurs précisé qu’il en avait une grosse et qu’elle n’en avait jamais vu de cette taille, ce qui l’a fortement excité. Le mec lui a alors proposé de doubler la mise pour lui faire un cunnilingus et elle a dit OK. Elle s’est allongée sur le lit, le mec lui a dégrafé son short et l’a abaissé en même temps que sa culotte. Il lui a écarté les cuisses en même temps que fait plier les genoux puis il s’est mis à lui lécher son minou. A priori, il savait y faire car rapidement, elle a joui également. De là, comme il ne s’était pas rhabillé suite à la pipe, il lui a mis sa bite à l’entrée de sa chatte et a forcé son entrée en se mettant ensuite à la labourer comme un fou. Elle a été prise par surprise mais s’est laissée faire car elle était tellement excitée par le cunnilingus et la taille de sa queue que c’était pour elle une suite logique. Ensuite, il l’a retournée et prise en levrette. Et là encore, il n’y a pas été de main morte a priori. Elle m’a dit qu’elle n’avait jamais eu une telle sensation, sa bite tapant contre sa paroi d’utérus. — En tout cas, c’est cool, on s’est fait 250 € à nous deux pendant cette petite aventure, c’est plutôt pas mal, tu ne trouves pas Chloé ? — Oui c’est vrai que c’est facile finalement de se faire un peu de blé ! Tu sais que le vieux m’a dit qu’ils étaient là jusqu’à la fin de la semaine et que nous pouvions revenir les voir ! — Ah Ah ! Je vois que tu y prends goût ma chère Chloé ! Tu te dévergondes dis-moi ! Tu serais prête à y retourner ? me demande-t-elle en me donnant une petite tape sur les fesses. C’est la première fois qu’elle me donne ainsi une tape sur les fesses, et qui plus est, dans la rue ! — Je ne sais pas. Et toi ? — Joindre l’utile à l’agréable, c’est plutôt tentant ! Et comme j’aime baiser ! — Oui mais toi, tu as de l’expérience, c’est pas comme moi ! Arrivées toutes les deux chez Sandrine, nous montons dans sa chambre. Là, je m’allonge sur son lit pendant qu’elle se déshabille complètement (je l’ai déjà vu nue mais c’est vrai qu’elle est bien foutue) avant d’aller prendre sa douche. Au bout de cinq minutes, elle revient dans la chambre vêtue d’une seule serviette qu’elle a noué autour de son corps, monte sur le lit et se met à califourchon sur moi. C’est la première fois qu’elle fait ça, je n’ai pas le temps de lui faire part de mon étonnement qu’elle plonge son visage vers le mien et pose ses lèvres sur les miennes tout en caressant mes joues ! Ouah ! Je suis super étonnée ! C’est la première fois qu’elle me fait ça. Sa langue rentre dans ma bouche et la fouille avant de rentrer en contact avec la mienne pour un baiser super langoureux ! C’est vrai que ce n’est pas désagréable du tout ! Je ressens une petite excitation qui est en train de monter dans tout mon corps ! En plus, elle embrasse divinement bien, en tout cas bien mieux que mon dernier petit copain ! Qu’est-ce qui nous arrive ? — J’en avais envie depuis longtemps Chloé ! Tu es tellement bandante ! Par moment, je me dis que j’aurais préféré être un mec rien que pour pouvoir faire ça ! Et puis il est temps que tu découvres les plaisirs de la vie ! Laisse-toi faire ! Je ne sais que dire. C’est la première fois qu’une fille m’embrasse, c’est ma meilleure copine et j’ai bien aimé. Je lui souris. Elle me remonte le bas du T-shirt avant de me le retirer complètement puis me dégrafe mon soutien-gorge. Elle se saisit de l’un de mes seins qu’elle commence à caresser puis y approche sa bouche et se met à le baiser avant de le lécher. Mes têtons sont tout durs ! Je lui caresse les cheveux qui sont encore humides de la douche et je sens l’excitation qui continue à monter. Je mouille comme tout à l’heure quand le vieux avait commencé à me lécher le minou. Sauf que là, elle n’y a pas encore touché ! ça promet !Sandrine doit sentir cette excitation monter car sa main descend le long de mon corps pour s’immiscer dans mon short au-dessus de ma culotte et commence à caresser ma chatte au travers du tissu. Inutile de vous préciser que le tissu est tout mouillé ! — Dis-moi petite cachottière, mais c’est que ça a l’air de te plaire ! me dit-elle en remontant la tête et en croisant mon regard. Toujours à califourchon sur moi, elle descend légèrement le long de mon corps à hauteur de mes jambes puis déboutonne mon short et l’abaisse. Elle se penche sur mon ventre et pose un baiser sur ma chatte au travers de la culotte puis retire celle-ci. Elle me fait un clin d’œil puis commence à lécher mon sexe, les lèvres extérieures et intérieures avant d’arriver à mon petit bouton. Etant déjà bien excitée, celui-ci est tout gonflé et elle se fait un malin plaisir à le titiller avec ses doigts avant de le prendre goulument dans sa bouche et jouer avec grâce à sa langue. Je suis au septième ciel, je n’ai jamais ressenti de telles sensations, j’en tremble de tout mon corps. C’est si bon ! Je n’avais jamais ressenti un tel plaisir quand je me masturbais dans mon lit en cachette. C’est la deuxième fois de ma vie que quelqu’un touche ainsi à mon intimité, la première fois ayant eu lieu quelques heures avant avec le vieux et je dois dire que Sandrine est très douée. En même temps qu’elle joue de sa langue avec mon clitoris, elle introduit un doigt en moi et commence des petits mouvements de va-et-vient. Je crie de bonheur et de jouissance et rapidement, ma mouille devient bien plus abondante, Sandrine la récupérant avec sa langue. Tout mon corps se contracte, je deviens haletante, mon ventre devient brûlant puis d’un seul coup, je sens tout le liquide qui coule de mon corps, Sandrine l’absorbant avec sa langue au fur et à mesure qu’il s’échappe. — Et bien dis-moi, ma vieille, tu viens d’avoir un sacré orgasme ! Et j’imagine que c’est une première pour toi ! — Ah Sandrine, je n’avais jamais connu une telle sensation. Oui, c’était la première fois, mais qu’est-ce que c’était bon ! — Retourne-toi maintenant, j’ai envie de voir ton joli petit cul ! Je m’exécute et me mets donc sur le ventre, toujours avec Sandrine à califourchon sur moi. — Ah oui, quand-même ! C’est vrai qu’elles sont encore bien rouges tes fesses ! Il t’a pas loupé, le vioc ! Il s’en est donné à cœur joie dis-moi ! — Te moque pas de moi ! — Au contraire, je vais bien prendre soin de tes jolies petites fesses ! Le plus beau cul de l’école sous mes mains ! Je vais en faire des envieux et envieuses ! Puis elle se met à caresser chacune de mes fesses délicatement, ce qui provoque un frisson tout le long de mon corps. Enfin, elle approche sa bouche et me fait des smacks sur chacune de mes fesses. C’est très agréable. Je sens ensuite ses doigts qui parcourent mes fesses, les écartent et se rapprochent de mon œillet. — Ouah ! Mais c’est que tu es encore bien dilatée dis-moi ! Il avait des sacrés doigts ton vioc ! Je pourrais encore entrer un de mes doigts sans aucun problème ! Tu aimerais ? Parce que moi, j’en meurs d’envie ! — Bon d’accord si ça te fait plaisir ! Sandrine ne se fait pas prier et je sens son petit doigt qui commence à s’introduire en moi. Je pousse un soupir d’extase au fur et à mesure qu’il entre, je ne sais si c’est parce que c’est elle, qu’elle vient de me donner beaucoup de plaisir et que je suis encore excitée mais je prends encore beaucoup de plaisir en sentant son doigt s’introduire en moi. Elle se met à faire des petits va-et-vient comme l’avait fait le vieux et je ressens le plaisir monter en moi. Enfin, elle retire son doigt puis vient me poser un baiser entre mes fesses avant de les caresser toutes les deux. Allongée ainsi sur le lit, je savoure ce moment jusqu’à ce que mon regard se porte sur le radio-réveil de sa chambre. — Zut ! Il est plus de 7h ! J’avais promis à ma mère d’être là avant 6h et demi. Désolée Sandrine mais je dois filer ! Je remonte ma culotte et mon short, remets mon T-shirt et saute du lit. — OK. File ma vieille. En tout cas, je trouve qu’on a passé un super après-midi toutes les deux. Si tu veux, on remet ça demain. On se fait plaisir avec l’argent qu’on a gagné aujourd’hui en faisant du shopping en début d’après-midi, on va revoir les deux viocs en fin d’après-midi et on prend du bon temps ensuite toutes les deux, ça te dit ? — D’accord, on se donne rendez-vous demain après-midi devant la boutique de lingerie. J’en ai marre d’avoir des culottes de petite fille. Avant de partir, Sandrine me roule une pelle comme rarement un de mes petits copains l‘avait fait et je fonce chez moi.
