Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 102 J'aime
  • 6 Commentaires

Première Pipe d’une jeune vierge contre rétribution

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
Vous vous rappelez de moi ? Chloé ! Vous savez, la fille qui a vécu une histoire dingue pendant les vacances de Pâques avec un vieux puis avec sa meilleure copine !
Je savais que vous ne m’auriez pas oublié ! J’imagine que vous voulez que je vous raconte la suite de mes aventures ! Mais bien sûr, tout cela doit rester entre nous car je ne suis pas si fière que ça !
Bon, déjà, autant vous dire que quand je suis rentrée chez moi en revenant de chez Sandrine, je me suis sacrément fait engueuler par ma mère ! Bah oui, j’étais sensée rentrer à la maison à 6h et demi pour garder mon petit frère pendant que ma mère partait bosser à l’hôpital. Mais avec ces aventures, j’ai complétement zappé. Donc ma mère n’a pas pu aller au boulot ! Et comme je n’avais aucune explication à lui donner (je ne pouvais ni lui avouer que je m’étais fait payer par un vieux pour lui faire une pipe, ni que j’avais découvert les plaisirs saphiques avec ma meilleure copine), ma mère s’est énervée et m’a puni en m’interdisant de sortir le lendemain pendant toute la journée. Et merde ! Le plan qu’on avait Sandrine et moi de shopping puis d’aller retrouver nos deux « clients » tombait à l’eau ! Cela me mettait hors de moi car :
1. Nous perdions là une fabuleuse occasion de faire grossir notre cagnotte en allant revoir nos viocs comme ils nous l’avaient proposé, sachant qu’ils nous avaient dit qu’ils seraient là jusqu’à la fin de la semaine (donc à l’hôtel jusqu’au jeudi soir)2. Sandrine ne serait vraiment pas contente que je la laisse tomber, d’autant qu’elle devait partir le lendemain, soit le jeudi, avec toute sa famille jusqu’au dimanche suivant !
Je passais donc la journée du mercredi bien sagement à la maison avec Jeremy (mon petit frère je vous rappelle) en ayant réussi à prévenir Sandrine que je ne pourrais être avec elle. Et comme je l’avais prévu, elle n’était pas contente !Le lendemain jeudi, et après moult hésitations, je décidais donc de me rendre seule au bar de l’hôtel où nous avions rencontré nos clients en me disant qu’avec l’argent que je gagnerais en plus, je ferais un cadeau à Sandrine pour me faire pardonner. Après tout, je n’aurais qu’à refaire une pipe au vieux et me dessaper devant lui pour qu’il me matte le cul et il me filerait 150€ comme mardi. Je l’avais fait une fois, je pouvais bien le refaire une deuxième fois me dis-je.
Comme le temps est toujours aussi agréable, j’enfile une jupe et un chemisier au-dessus de mes sous-vêtements toujours aussi nazes car je n’ai pas eu le temps d’aller m’acheter de la lingerie. Je remets également mes boots montantes que j’adore, avec leur talon assez haut, cela me donne l’impression d’être plus femme !J’arrive peu après 17h au bar de l’hôtel, assez intimidée et stressée je dois l’avouer. C’était quand-même mieux quand Sandrine était avec moi. Je regarde autour de moi, il n’y a quasi personne au bar, et j’aperçois les deux mêmes que mardi installés à une table à l’écart buvant des coupes de champagne. Le plus vieux, mon client de mardi, me fait un grand sourire et m’invite à les rejoindre.
— Tiens ! Qui voilà ! Ma jolie petite pute en herbe ! Je me doutais bien que tu allais revenir mais je pensais que tu serais revenue hier avec ta copine.
— On voulait mais j’ai eu un empêchement.
— Et ta copine, elle est où ?
— Elle ne pouvait pas venir aujourd’hui, elle est partie en week-end prolongé avec sa famille !
— Et pourquoi vous avez eu un empêchement hier ?
— J’ai été punie par ma mère parce que j’étais rentrée trop tard mardi ! (Qu’est-ce qui me prend de raconter ça ? Ils vont me prendre pour une gamine !)
— Et qu’est-ce qu’elle t’a donné comme punition ta mère ?
— Je devais garder mon petit frère hier toute la journée avec interdiction de sortir, c’est pour ça que nous n’avons pas pu venir !
— C’est une punition bien gentille ! ça aurait été moi, tu aurais eu le droit à une bonne fessée !
Je suis toute penaude, plutôt mal à l’aise et ne sais que répondre ! En même temps qu’il me dit ça, il hèle le serveur et lui fait signe de remettre trois coupes de champagne.
— Tu aimes la fessée ? Ta mère t’en donne parfois ?
— Elle m’en donnait quand j’étais petite mais ça fait longtemps qu’elle ne m’en a plus donné.
— Et ton père ?
— Mon père n’habite plus chez moi, je ne le vois plus !
— C’est ça qui vous manque à vous les filles, l’autorité paternelle ! Tu filerais beaucoup plus droit, crois-moi !
Ouf ! Le serveur amène les coupes de champagne, ça va mettre un terme à cette discussion que je ne sentais pas. Une fois le serveur parti, nous trinquons puis commençons à boire.
— Bon Chloé, c’est comme ça que tu t’appelles je crois.
— Oui, c’est ça
— Alors Chloé, si tu es revenue aujourd’hui, c’est pourquoi ?
— Bah, pour faire la même chose que mardi ! Je vous fais une pipe et ensuite je me déshabille devant vous !
— Et je te donne 150€, c’est bien ça ?
— Oui ! répondis-je timidement
— Tu sais, Chloé, ton cul, je l’ai déjà vu et bien vu ! Je l’ai même doigté ! Donc si tu veux gagner cet argent, il va falloir que tu nous en donne un peu plus ! Tu dois le mériter !
Ah ! Je n’imaginais pas ce rendez-vous évoluer de la sorte ! Qu’est-ce que ça veut dire donner plus ? Il n’est pas question que je perde ma virginité ! Je ne sais que répondre.
— Tu m’as dit que tu étais vierge, c’est bien ça ?
— Oui !
— Et a priori, tu veux le rester ?
— Oui !
— Mais ton petit trou, il n’est plus vierge lui puisque j’y ai mis un doigt !
— Oui ! (Où il veut en venir ? Je suis perdue là ! Je le regarde avec des yeux qui sortent de mes orbites)
— Alors je peux peut-être y fourrer ma queue ! Qu’en dis-tu ? Tu verras, tu y prendras beaucoup de plaisir, encore plus qu’avec mon doigt ! T’as un cul qui est fait pour se faire enculer ! Et ça te permettra de découvrir de nouvelles sensations.
C’est bien ce que j’avais compris ! Il veut m’enculer ! Je commence à paniquer !
— Si tu ne veux pas, c’est pas grave ! On en reste là et tu retournes chez ta mère ! Bien sagement comme la petite gamine que tu es ! Et si tu veux arrondir tes fins de mois, tu prendras un job de serveuse ou de caissière à 10€ de l’heure ! Moi, je te propose 250 € !
Ah ! Quand-même ! 250€ ! Plus les 150€ que j’ai déjà gagné mardi, ça ferait 400€ ! J’ai jamais eu autant d’argent ! Bon, en plus, il m’a déjà vu toute nue ! Il m’a déjà maté le cul et même doigté ! En plus, le souvenir du doigt de Sandrine dans mon fondement n’est pas des plus désagréables. Par contre, là, on parle de quelque chose d’un peu plus gros qu’un doigt ! Et je ne sais pas si je prendrai autant de plaisir avec sa bite en moi. Mais c’est aussi l’occasion d’essayer ! Sandrine serait là qu’elle me dirait qu’il faut que je me dévergonde. Elle me reproche tellement d’être coincée. En plus, je suis un peu venue pour ça ! Ce serait bête de faire demi-tour maintenant sachant qu’une telle occasion ne se représentera pas de sitôt ! Non, vous n’êtes pas d’accord avec moi ?
— Mais je ne l’ai jamais fait !
— Je me doute que tu ne l’a jamais fait ! Ne t’inquiète pas ! Je te mettrai du gel pour que ça ne te fasse pas mal ! Et je te promets que tu y prendras du plaisir et que tu en redemanderas !
— Mais je ne sais pas si elle va rentrer. J’ai un petit trou quand-même !
Les deux éclatent de rire.
— Ne t’inquiète pas Chloé ! ça rentrera, tu verras ! On va bien te préparer.
On ? Qu’est-ce qu’il veut dire par On ? L’autre n’a pas dit un mot ! Moi, je le fais qu’une fois, pas deux ! En plus, je ne vais pas me mettre à poil devant deux hommes en même temps !
— Mais je le fais qu’avec vous ?
— Ecoute Chloé ! Je ne peux pas laisser mon collègue tout seul pendant que je m’amuse ! Si ta copine avait été avec toi, il se serait occupé d’elle ! Mais là ! Mets-toi à notre place ! Ecoute, ce qu’on te propose, tu nous tailles une pipe à tous les deux et il n’y aura que moi qui te sodomiserai. Par contre, mon collègue te fera un cunni aussi et te léchera ton petit trou ! C’est à prendre ou à laisser !
Bon ! Qu’est-ce que je fais ? J’y vais ou j’y vais pas ? Si je fais machine arrière maintenant, je le regretterai ! 250€, c’est pas rien ! Après tout, c’est que deux vieux que je ne verrai plus ensuite ! Deux pipes, un mec qui va me doigter mon petit trou et l’autre qui va y rentrer sa bite ! Je devrais m’en sortir !
— Bon d’accord !
— Tu as fini ta coupe ? Bon, on peut y aller alors ! Suis-nous !
Comme mardi dernier, nous prenons l’ascenseur sauf que cette fois, je me retrouve seule avec ces deux vieux et le plus âgé, celui qui s’était déjà occupé de moi, remonte sa main le long de ma cuisse sous ma jupe pendant que l’ascenseur monte et commence à me caresser les fesses au travers de ma culotte ! L’autre me caresse les seins au travers de mon chemisier et m’embrasse sur la bouche en essayant de fouiller à l’intérieur avec sa langue. Je n’ose rien dire et me laisse faire.
Ouf ! Arrivés à l’étage ! Nous nous dirigeons tous les trois vers la chambre de l’homme le plus âgé, celle dans laquelle j’avais été mardi.
Une fois la porte refermée, celui-ci me dit :
— Fous-toi à poil !
Je m’exécute en commençant à déboutonner mon chemisier que je retire puis le bouton de ma jupe qui tombe ensuite à mes pieds. Ils ont tous les deux les yeux rivés sur moi. Le plus âgé s’est assis sur une chaise tandis que le « plus jeune » est assis sur le coin du lit. Je dégrafe ensuite mon soutien-gorge et le laisse tomber. Ils sont tous les deux en train de me mater et cela me met mal à l’aise !
— Plus vite Chloé ! Abaisse ta culotte !
Je n’ai pas le choix et je commence à la baisser, ce qui fait apparaître ma petite chatte puis je la retire complètement. Je me retrouve nue, avec mes seules boots aux pieds !
— Pas mal du tout ! dit le plus jeune (au moins 55 ans !)
— Je te l’avais dit ! Et encore, tu n’as pas tout vu ! Tourne-toi Chloé ! (Je m’exécute)
— Putain ! Quel cul ! (j’ai l’impression d’être du bétail qu’on expose à une foire !)
— Je t’ai pas menti ! Elle a le plus beau cul que j’ai jamais vu !
— Ah oui ! Je confirme ! Très joli cul ! T’es un sacré veinard de pouvoir l’enculer !
— Chloé, tu vois la table en fasse de toi ! Tu vas aller t’y appuyer en te penchant bien en avant qu’on puisse voir ton petit trou ! (Une nouvelle fois, je fais ce qu’ils me demandent et vais m’appuyer à la table pour bien faire ressortir mon cul. Le plus jeune s’approche et commence à me caresser les fesses en partant de l’intérieur des cuisses. Il passe ensuite son pouce tout le long de ma raie en « grattant » au niveau de mon petit trou ! Je me contracte, je ne suis pas très fière d’être exposée et traitée ainsi par deux vieux !)
— Approche Chloé ! me dit le plus vieux. (Je me redresse et viens vers lui. Il m’attrape le bras) Avant que tu nous suces la bite, je vais te donner une bonne fessée que tu as bien mérité pour avoir désobéi à ta mère !
Qu’est-ce qu’il me fait là ? C’est pas prévu au programme ça ! Je panique et essaie de retirer mon bras. J’ai les yeux grand ouverts tellement je suis surprise par sa demande ! Je ne veux pas être fessée moi !
— Bon, écoute Chloé ! Soit je te donne la fessée ! Soit tu te rhabilles et tu te casses maintenant ! A toi de décider !
Merde ! Je n’ai pas le choix ! En plus, j’ai oublié de leur demander l’argent avant de commencer ! Je perdrais tout ! Je le regarde ! Il doit prendre ça pour un consentement car il m’attire vers lui et me bascule sur ses genoux ! Il m’immobilise les bras derrière le dos en me tenant fermement les poignets avec sa main droite et commence à me caresser les cuisses et les fesses avec sa main gauche. Il me caresse également l’entre-fesses. Jusque-là, tout va bien, c’est même plutôt agréable ces mains chaudes qui parcourent mes fesses ! Ah ! ça s’arrête !
PAN !
— Aïe ! Il vient de me balancer une de ces claques sur la fesse gauche qui m’a fait sursauter et crier de douleur.
PAN !
— Aïe ! Vous me faites mal ! Il vient de me claquer la fesse droite. Je me tortille et je commence à avoir des larmes qui montent. Je sens la chaleur des claques sur mes fesses tellement elles étaient fortes. En plus, être dans cette position sur ses genoux, complètement nue, avec son collègue qui n’en perd pas une miette, c’est super humiliant !
— Voilà ce que méritent les gamines dans ton genre qui n’obéissent pas à leur mère ! Tu es une vilaine fille Chloé ! Tu mérites cette fessée !
Pan ! Pan ! C’est un peu moins fort que les deux premières mais ça fait mal quand-même.
— Répètes que tu es une vilaine fille et qu’à l’avenir tu obéiras à ta mère et j’arrêterai de te donner la fessée !
Pan ! Pan !
— Je suis une vilaine fille (Pan !) et j’obéirai à ma mère (Pan !) la prochaine fois
— Tu vois, Chloé, c’était pas compliqué me dit-il en se remettant à me caresser mes fesses que je devine toutes rouges. Bon maintenant, on va passer aux choses sérieuses ! Tu vas montrer à mon collègue ce que je t’ai appris la fois dernière !
Je me relève, j’ai les yeux tous rouges de rage et de larmes ! Par contre, mes fesses ne sont pas trop rouges, juste rosies mais on voit les traces des deux premières claques. Le plus jeune s’est relevé. Je viens m’agenouiller devant lui et commence à lui desserrer la ceinture, dégrafer le bouton de son pantalon, puis je descends la fermeture éclair et abaisse le pantalon. J’abaisse ensuite le slip.
Ouah ! Sandrine me l’avait dit mais c’est vrai qu’elle est grosse, en tout cas bien plus grosse que celle de l’autre vieux. En plus, elle est déjà toute tendue. Je la prends dans ma main et commence à la branler comme l’autre jour. Puis, je passe ma langue autour et sur le bout. Mais ça va être compliqué de la mettre complétement en bouche ! Je n’ai pas le temps de réfléchir car il me saisit par les cheveux, me dit d’ouvrir la bouche et me la rentre d’un seul coup en amenant mon visage contre son corps en faisant pression sur ma nuque. Je commence à faire tourner ma langue autour mais rapidement et comme l’autre vieux l’avait fait la fois d’avant, il me fait faire des va-et-vient en me tenant par les cheveux, tout en allant de plus en plus profond dans ma gorge.
Rapidement, le rythme s’accélère et je ne fais plus que subir et manque être étranglée à chaque fois qu’il la fait rentrer au plus profond de ma gorge. Je n’arrive plus à respirer par moment. J’ai de la salive qui coule partout autour de ma bouche tellement je ne peux plus l’avaler. Pendant ce temps, le plus vieux qui nous regardait s’est levé, déshabillé et il vient se mettre à côté de son collègue. Celui-ci tire ma tête pour sortir sa bite de ma bouche en haletant et poussant des cris de bête puis lâche mes cheveux. Je n’ai même pas le temps de reprendre ma respiration que le plus âgé m’a également saisi par les cheveux et me fourre sa queue dans ma bouche. Il m’impose le même rythme que l’autre en faisant faire des allers-retours à ma tête autour de sa bite.
— Elle assure la petite, même si sa copine suce mieux ! dit le plus jeune
Le plus vieux ressort sa queue de ma bouche, j’ai juste le temps de reprendre ma respiration que le plus jeune me rattrape par les cheveux et remet la sienne dans ma bouche et ensuite j’alterne encore une fois avec celle du plus âgé qui, comme lors de la première fois, lâche son liquide au fond de ma gorge. J’ai à peine le temps d’avaler que l’autre me rentre sa bite dans ma bouche et fait de même en éjaculant le reste sur mon visage car je me suis dégagée, tellement je n’en pouvais plus. Comme la première fois, tous les deux me demandent ensuite de venir nettoyer leur queue respective.
— T’es une sacrée petite pute dis-moi ! Tu viens de t’avaler deux bites coup sur coup ! me dit le plus âgé. Pour quelqu’un qui était complétement vierge il y a deux jours, t’es devenue une sacrée gourmande. Va te mettre sur le lit !
Je m’exécute, grimpe sur le lit et me mets à 4 pattes comme la fois dernière. Je sens 4 yeux rivés sur moi, en train de me mater comme ce n’est pas permis.
— Elle est vraiment bien foutue cette petite ! Quel cul elle a ! dit le plus jeune tout en s’approchant du lit et en mettant deux petites tapes sur chacune de mes fesses.
— Allonge-toi sur le dos ! me dit le plus âgé. Je me retourne et m’allonge comme il me le demande.
— Lève tes jambes et plie-les en mettant tes genoux sur tes seins, cuisses bien écartées !
Là encore, j’obtempère et me mets dans la position qu’il m’a demandé. Je me retrouve ainsi complétement ouverte, exhibant toute mon intimité, autant ma chatte que mon petit trou. Les deux vieux s’approchent du lit et le plus âgé me dit :
— Mon collègue va te faire un cunni pendant que je vais te préparer ton petit œillet.
Le plus jeune s’allonge carrément sur moi, en position 69 puis commence à me frotter vigoureusement le sexe avec sa main gauche. Ensuite, je le sens qui commence à me lécher les lèvres de ma chatte, tout en ayant positionné ses mains autour de chacune de mes cuisses. Pendant ce temps, le plus vieux s’est agenouillé au pied du lit et après avoir mouillé son doigt avec sa salive commence à tourner autour de mon petit œillet. Le doigt se fait de plus en plus pressant, gratte mon petit trou puis, après qu’il l’ait à nouveau humidifié, le rentre dans mon fondement en même temps que l’autre me titille mon clito avec sa langue. Je mouille depuis un petit bout de temps et commence à devenir sacrément haletante. Le vieux a retiré son doigt puis j’ai une sensation de fraîcheur via le gel qu’il est en train de m’étaler sur mon petit trou que j’ai l’impression d’être de moins en moins sensible. D’ailleurs, il introduit ensuite 2 doigts d’un seul coup puis les fait tourner à l’intérieur. Je ne les ai pratiquement pas senti rentrer. Il faut dire que l’autre continue son cunni qui provoque de plus en plus un émoi dans mon ventre. J’ai deux hommes qui s’occupent de moi en même temps et tous mes sens sont mis à rude épreuve.
— Bon, Chloé, il va être temps de passer aux choses sérieuses. Je vais te faire vivre une expérience que tu n’oublieras pas de sitôt et qui va te faire découvrir de nouvelles sensations. Tu vas te mettre à 4 pattes, cul bien ouvert !
L’autre s’est arrêté de me lécher et se relève. Je peux donc me retourner sur le ventre puis relever mon corps pour être dans la position qu’il me demande, cuisses écartées comme la fois dernière. Le plus âgé monte alors sur le lit puis commence à me caresser les fesses et passe son doigt le long de ma raie. Ensuite, il remet deux doigts dans mon petit trou, les retire puis je sens qu’il a positionné sa queue devant mon œillet. Il le touche. Je stresse. Il attrape mes cheveux, les tire vers lui pour me faire relever la tête et en même temps commence à s’enfoncer en moi. Je commence à crier de douleur au fur et à mesure qu’il pousse pour la rentrer. Elle est vraiment grosse et cela me fait très mal. Il s’arrête de pousser mais je sens qu’une petite partie est déjà en moi. Il se remet à pousser, je crie à nouveau de douleur. Il me tape sur les fesses.
— Ta gueule ! Et détends-toi, ça rentrera plus facilement !
Malgré ses réprimandes, je ne peux m’empêcher de crier de douleur, je n’ai rarement eu aussi mal ! J’ai les larmes qui coulent de mes yeux. Lui continue à pousser pour rentrer un peu plu sa queue en moi.
— Y a pas à dire ! Elle est bien vierge du cul ! Qu’est-ce qu’elle est étroite ! Ca y est, j’ai tout rentré ! C’est tout chaud à l’intérieur ! lance-t-il à son copain alors que j’hurle à la mort.
Il reste un certain temps en moi, sans bouger. La douleur commence à s’estomper alors que comme mardi dernier, il lâche mes cheveux et se saisit fermement de mes poignets et les place derrière mon dos, ce qui a pour effet que ma tête tombe sur le lit. A partir de ce moment, il commence des va-et-vient à l’intérieur de mon canal, ce qui me fait crier de douleur à chaque coup de rein de sa part.
— T’aimes ça petite salope ! Tu sens la bite dans ton petit cul ! me crie-t-il tout en me donnant des claques sur chacune de mes fesses.
Après un certain temps dans cette position pendant laquelle je n’ai cessé de crier, il nous retourne tous les deux d’un coup sec, lui se retrouvant allongé sur le lit et moi au-dessus de lui, de dos. Il recommence ses va-et-vient qui me font toujours autant hurler en me faisant monter et descendre le long de son pieu. Cela va tellement vite, je suis tellement haletante, les yeux humides et en souffrance que je vois à peine le plus jeune qui est en train de se branler en nous regardant tous les deux. Enfin, le plus vieux pousse un cri et je sens un liquide chaud se répandre en moi. Il se retire de mon fondement, m’attrape par les cheveux et me force à me retourner puis met ma tête face à sa queue.
— Nettoie petite salope ! m’ordonne-t-il.
Je n’ai pas le temps de dire quoique ce soit qu’il a déjà mis sa queue dans ma bouche. Je fais rouler ma langue autour de son engin qu’il ressort ensuite. Je m’effondre alors sur le ventre, allongée sur le lit. J’ai mal au cul, c’est le cas de le dire !
— Alors, ça t’a plu Chloé ? Tu caches bien ton jeu dis-moi ! me dit-il tout en me caressant et tapotant les fesses avant d’y poser des baisers.
Je suis tellement épuisée par cette séance que je me laisse caresser. L’autre s’est d’ailleurs rassis au bord du lit et me caresse le dos. Je me laisse faire. Il descend sa main le long de mon dos, jusqu’à mes fesses, le long de ma raie et je le sens rentrer son doigt dans mon petit trou, même si cela ne pose aucun problème compte-tenu de ce que j’avais en moi juste avant et donc de l’état de dilatation de mon petit trou.
Enfin, tous les deux se relèvent du lit et se rhabillent. Je me relève également et leur demande si je peux aller prendre une douche, je me sens tellement sale. Après cette douche, je sors de la salle de bain, toujours nue et ayant toujours aussi mal au niveau de mon fondement, et me rhabille devant eux.
— Tu as été parfaite Chloé ! Tu devrais continuer dans cette voie ! Tu m’as l’air très douée et je suis certain que tu auras beaucoup de succès et de prétendants !
— Vous pouvez me donner mon fric s’il vous plait ?
— Bon, est-ce qu’elle le mérite cette petite pute ?
— Elle a bien donné de sa personne quand-même pour une si jeune pute !
Et ils me donnent les 250 € convenus que je prends et mets dans mon sac.
— Chloé, nous avons parlé de toi à une de nos relations d’affaire qui habite ici. Et il serait assez intéressé pour te rencontrer. As-tu un numéro de téléphone pour qu’il puisse te joindre ?
— (Ah, je ne m’attendais pas à cette question) Mais qu’est-ce qu’il attendra de moi ?
— Je lui ai vanté ta jeunesse, ton cul. Je pense qu’il voudra juste que tu lui tailles une pipe. C’est quoi ton téléphone ?
— Je n’ai pas de portable ! (Je ne peux quand-même pas leur donner le numéro de la maison, si jamais ma mère répond ! Par contre, même si cette séance a été un peu trop « hard » pour moi, c’est quand-même rassurant de savoir que je pourrais continuer à me faire un peu d’argent de poche en suçant un mec)
— Bon, alors, comment on peut te joindre ?
— J’ai une adresse mail (adresse que je leur communique)
— Bon, on le voit demain. On lui donnera tes coordonnées ! Allez, au revoir Chloé, on a été très content de te rencontrer !
Sur ce, je quitte cette chambre, bien vidée mais contente d’avoir gagné autant d’argent. Je vais pouvoir faire plaisir à Sandrine !
Diffuse en direct !
Regarder son live