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Première rencontre avec Clémentine

Chapitre 5

Les devoirs de vacances (partie II)

Lesbienne
XIV
Le lendemain matin, lorsque nous nous croisâmes au petit-déjeuner familial, nous fîmes comme si de rien n’était devant nos parents. Je ressentis un léger frisson au moment de lui faire la bise et je pense qu’il ressentit la même chose, car notre bonjour réciproque était empreint d’une légère gêne. Nous échangeâmes un sourire timide, mais complice, et reprîmes nos activités respectives de la semaine. Mon frère devait se préparer pour finir les vacances avec un ami à lui, quelques jours entre mecs, comme il dit. De mon côté, les devoirs de vacances n’en étaient pas pour autant finis et je devais désormais me concentrer sur mon deuxième défi pour satisfaire complètement mon maître : coucher avec Noémie, la copine de mon frère.
Je regagnai ma chambre et m’assis donc à mon bureau pour réfléchir au stratagème à mettre en place. Bien que n’ayant jamais eu d’expérience avec une autre fille, je n’avais pas peur, plus maintenant. J’étais devenue en quelques semaines une vraie salope désinhibée et je ne pensais qu’au plaisir que le sexe me procurait. C’était une vraie drogue et j’en voulais toujours plus, découvrir de nouvelles expériences, aller plus loin dans le désir. Si mon maître m’avait demandé cela, il y avait une bonne raison. J’avais besoin de connaître une expérience féminine pour compléter mon éducation. Quoi de mieux qu’une amie de mon âge pour avoir cette première approche ? Tout en réfléchissant et sans vraiment m’en rendre compte, j’avais écarté mes cuisses et porté ma main droite sur mon sexe que je commençais à caresser de haut en bas tout doucement. J’imaginais comment je pourrais amener Noémie à baiser avec moi, ce que nous pourrions faire toutes les deux.
Ma main gauche se mit à masser ma poitrine. A travers le tissu de mon pyjama, j’englobais mon sein gauche à la base puis refermais tout doucement ma main dessus en le tirant vers le haut et l’avant. Je faisais subir ensuite au sein droit le même sort. Ma main droite glissa alors sous mon pantalon et mes doigts entrèrent instantanément en contact avec la mouille de ma chatte. Cette sensation de douceur humide, le contact de mes doigts sur la peau de mes lèvres intimes et de mon clitoris gonflé de désir me fit frissonner. Je relevai alors mon haut pour libérer mes seins et me mis à titiller mes tétons turgescents du bout des doigts. Je ressortis ma main droite gluante du jus de ma moule et la portai à mon visage. Je sentis l’odeur très forte de ma vulve sale que je n’avais toujours pas lavée depuis que mon frère m’avait baisée au lit la veille au soir.
Au lieu de m’écœurer, cette odeur m’excita encore plus et je ne pus me retenir de porter à ma bouche ce nectar peu ragoûtant pour le lécher et l’aspirer. Un puissant goût mâtiné de foutre envahit mon palais et me fit replonger ma main vers mon sexe ouvert. Celui-ci aspira immédiatement trois de mes doigts. Je fermais mes yeux en pistonnant ma chatte de plus en plus vite. Le plaisir montait en moi de manière exponentielle, je ne me contrôlais plus. Les images se mélangeaient à toute allure dans ma tête : mon frère me baisant avec sa queue bien dure, Alex, mon maître, sautant ma mère; moi qui le suce et bois sa pisse, Noémie.....
Comme une décharge électrique, l’orgasme envahit mon corps qui se mit à trembler sur la chaise, mes cuisses se refermant brutalement sur ma main toujours enfouie dans mon intimité avant de m’effondrer en avant, front posé contre le bureau.
J’ouvris à peine les yeux, quand je sentis une main se poser sur mon épaule. Je sursautai alors violemment. Mon frère se tenait devant moi avec un grand sourire. Je n’avais rien entendu, absorbée que j’étais. Depuis combien de temps m’observait-il ?
— Eh bien, petite sœur, je passais pour te dire au revoir avant de partir, mais je vois que tu prends du bon temps.
— Mon Dieu, tu m’as fait trop peur. Je ne t’ai pas du tout entendu rentrer. Tu es là depuis longtemps ? répondis-je en sentant mon visage s’empourprer.
— Il faut dire que tu avais l’air...assez absorbé. J’ai pu t’observer suffisamment longtemps pour en profiter.
Instinctivement, j’ai alors baissé mes yeux vers son entrejambe où j’ai pu constater une bosse proéminente à l’emplacement de son sexe.
— Tu n’es pas assez prudente, sœurette; tu aurais pu être surprise par nos parents; c’est une chance finalement que je suis entré; et j’ai pris la précaution de fermer la porte maintenant, me dit-il en baissant son pantalon et son caleçon d’un mouvement pour libérer son sexe tendu sous mes yeux. A cause de toi, tu vois dans quel état je suis maintenant. Je ne peux pas partir comme ça...
Sans attendre ma réponse, il m’attrapa les cheveux sur le dessus de mon crâne et tracta ma tête vers son gland gonflé. De manière presque automatique, ma bouche s’ouvrit pour accueillir son membre. Mon frère était très excité, car il ne me laissa pas prendre l’initiative et imposa le rythme auquel il voulait que je le suce en guidant ma tête d’avant en arrière. Même si je venais de jouir peu de temps avant, cette situation m’excita immédiatement. Ma langue enroula sa bite que je pompai assidûment. Il se mit alors à accompagner les mouvements de ma tête qu’il dirigeait toujours, de petits coups de bassin. Il baisait littéralement ma bouche. Je percevais ses petits râles de plaisir à travers mes propres bruits de succion. Il appuyait de plus en plus fort sur ma tête, poussant sa queue toujours plus profondément dans ma bouche jusqu’à la maintenir enfoncée à l’entrée de ma gorge. Je ne pouvais plus respirer, et je sentis des larmes couler de mes yeux, ainsi qu’un puissant relent.

J’étais sur le point de vomir lorsqu’il se retira, accompagné d’un important flot de salive qui s’écoula lascivement jusqu’à envelopper ses couilles. Il tenait toujours ma tête d’une main, tandis que de l’autre, il se mit à branler sa queue. Je compris qu’il voulait éjaculer sur mon visage ce qui m’excitait follement. J’ouvris donc la bouche pour accueillir sa semence en tirant légèrement la langue. Je n’eus pas à attendre longtemps. Il posa son gland sur ma langue au moment où son sperme chaud vint taper mon palais et le fond de ma bouche. Je refermai alors mes lèvres et lui donnai de petits coups de langue pour finir de le nettoyer avant d’avaler tout le foutre dont il m’avait remplie.
— Tu suces vraiment comme une déesse. Dire que j’ai passé tout ce temps près de toi sans en profiter. Il va falloir que je me rattrape.
— J’espère que je t’ai bien soulagé, frérot, et que tu vas pouvoir partir maintenant plus léger, lui dis-je avec un petit clin d’œil et un sourire au coin des lèvres.
— Tu es vraiment une grosse salope; même après que je sois venu gicler dans ta bouche, tu continues à m’allumer.
Nous remîmes nos habits en ordre, et je filai prendre la douche dont j’avais plus que jamais besoin, tandis que mon frère partit.
Cette douche me fit du bien, et après m’être soulagée avec les jets du pommeau, mes idées se remirent en place.
Je décidai de faire simple avec Noémie. J’allais être seule à la maison le lendemain. Je l’appelai donc pour savoir si elle était disponible pour que l’on passe une après-midi entre filles. Elle accepta bien évidemment, elle n’avait rien de mieux à faire. Maintenant que le plus simple était fait, il allait me falloir la mettre en condition progressivement pour la conduire là où je le désirais.
XV
Noémie est une superbe jeune fille d’origine cambodgienne à la peau mate, avec de grands yeux noirs assortis à ses longs cheveux fins et soyeux qu’elle aime coiffer en tresse. Elle a des fesses superbes bien rondes, ainsi qu’une poitrine plus grosse que la mienne qui font son succès auprès des garçons et de mon frère en particulier. Je la connais depuis le collège où nous étions dans la même classe. Très rapidement, elle est devenue ma meilleure amie, et c’est comme cela qu’elle est aussi devenue la copine de Lucas.
Elle arriva en début d’après-midi, rayonnante, vêtue simplement d’une robe orangée à bretelles qui lui tombait juste au-dessous des genoux avec de petites sandales. Cette robe mettait particulièrement en valeur ses épaules et le haut de sa poitrine. De mon côté, je portais ce jour-là la même tenue que j’avais mise pour aborder mon frère : après tout, ce petit short et ce haut moulant laissant entrevoir mon bas-ventre m’avaient porté bonheur. Nous avions la maison pour nous, l’après-midi s’annonçait excellente. Nous montâmes dans ma chambre où tout était prêt : mon téléphone en mode caméra, bien actif dans un angle pour ne rien rater, et un petit punch bien frais et bien sucré, rhum-orange-abricot, que j’avais préparé pour la désinhiber, en plus de la potion magique d’Alex bien entendu. Aussitôt arrivée dans ma chambre, après avoir échangé quelques banalités, je lui tendis un verre, en pris un; et nous nous mîmes l’une face à l’autre, assises à genoux sur mon lit.
Tout en sirotant le punch, j’amenais la conversation sur sa relation avec mon frère.
— Alors, comment cela se passe-t-il avec mon frère ?
— Plutôt bien, il est très gentil et très attentionné. Je l’aime vraiment, tu sais.
— Je sais; et heureusement que je te connais bien pour que je te laisse me le voler, lui dis-je en lançant un petit clin d’œil.
— Ne t’en fais pas, je prends bien soin de lui; hihi.
— Vous m’en direz tant, je ne doute pas que tu t’occupes très bien de lui, il est complètement épanoui depuis que vous êtes ensemble. On peut dire que tu as transformé le petit garçon qu’il était en homme maintenant.
Noémie se mit à rougir en baissant les yeux. Sans répondre, elle avala d’un trait ce qui restait dans son verre et je la resservis. Je décidai d’enchaîner pour l’amener vers des pentes plus raides.
— Il faut dire que tu as certains arguments auxquels un garçon ne peut pas résister.
— Tu trouves ? me répondit-elle en relevant sa petite tête écarlate.
— Oh oui, Noémie, notamment ta superbe poitrine. Doucement avec le bout de mon index, je viens effleurer le bout d’un de ses seins à travers la robe. Noémie plonge son regard dans le mien, interrogative, mais ne fait pas de gestes pour reculer. Après un petit instant, elle sourit :
— Tu es gentille Clémentine, mais toi aussi, tu as une superbe poitrine.
— Ils sont tout de même beaucoup plus petits.
— La taille ne fait pas tout, rétorqua-t-elle, en finissant un nouveau verre. Je décide alors de jouer une carte.
— Tu accepterais de me les montrer ? Elle rougit encore plus fort et après une hésitation :
— Uniquement si tu me montres les tiens aussi.
— Oui formidable, on va pouvoir se comparer.
Après un nouveau verre de punch, tout doucement, une après l’autre, Noémie fit alors glisser sur la peau fine de ses épaules, les bretelles de sa robe. Elle libéra ainsi sa poitrine encore protégée par un petit soutien-gorge pigeonnant en coton blanc. Les hauts de ses seins, parfaitement comprimés par le soutien-gorge, venaient presque se toucher. Elle était déjà sublime. « Attends, je vais t’aider, » lui dis-je en enroulant mes bras autour de ses épaules pour dégrafer sa lingerie. Je restai alors bouche bée devant ses seins en poires légèrement plus galbés en dessous avec des tétons très foncés entourés de larges auréoles bronzées. « A ton tour, désormais, » me lança-t-elle. Sans plus me faire prier, je retirai directement mon haut, lui révélant ainsi directement ma petite poitrine pâle et arrondie. « Ils sont très beaux, j’en étais sûre, j’aime beaucoup leur forme,» me dit-elle avec un petit sourire.
Sans parler, nous regardions nos poitrines respectives pendant quelques secondes et je pris l’initiative de venir poser le bout de mes doigts sous le dessous de ses seins. « Tu as la peau si douce à cet endroit ». Elle me regarda faire sans rien dire. Je fis alors doucement glisser mes doigts sur ses seins, toujours en effleurant sa peau. La réaction ne se fit pas attendre et je vis ses tétons se tendre sous mes yeux. Un rapide coup d’œil à ma poitrine me confirma que les miens aussi étaient bien bandés.
— Que nous arrive-t-il Noémie ? lui dis-je alors que la pointe de mon index venait de toucher celle d’un de ses tétons.
— Je crois que nous avons bu trop de punch et que nous ne sommes plus dans un état normal.
— Tu as peut-être raison, tu veux que nous arrêtions ?
Pour toute réponse, elle approcha ses lèvres de ma bouche; je sentis alors son haleine chaude chargée d’alcool. Elle ferma les yeux, vint déposer un léger baiser auquel je répondis immédiatement. Nos bouches s’ouvrirent, la sienne avait un goût sucré très agréable mâtiné de rhum. Les pointes de nos langues se touchèrent avant de s’enrouler ensemble. En nous embrassant, nos corps se rapprochèrent et nos poitrines s’écrasèrent l’une contre l’autre. Sentir la pression de ses seins sur les miens, la caresse de ses tétons sur ma peau m’excita fortement. Nos bouches ne se décollaient plus alors que nous caressions mutuellement nos dos. J’aspirais sa langue, elle, la mienne; et nos salives ne formèrent plus qu’un seul fluide dans nos bouches réunies.
— C’est comme ça que tu embrasses mon frère ?
— Ta bouche a un goût, une texture différente de la sienne...
— Tu aimes ?
— Je crois que oui, c’est très agréable...
— Tu serais prête à tromper mon frère alors, lui dis-je avec un petit sourire.
— Ce n’est pas de ma faute; c’est toi qui me pousses dans tes bras. Et puis, avec une fille, ce n’est pas vraiment "tromper".
— C’est la première fois que tu embrasses une autre fille ?
— De cette manière, oui; et toi ?
— Oui également.
Je passai alors mes doigts dans sa chevelure soyeuse, puis me penchai à nouveau sur elle pour déposer mes lèvres à la base de son cou offert. Ma langue glissa alors sur sa peau et remonta vers le lobe de son oreille que je mordillai délicatement. Elle aimait cela et je sentis sa respiration s’accélérer. De ses mains, elle vint enrouler la base de mes seins et me mit à les malaxer doucement. Elle se courba alors vers moi et je vis ses lèvres se fermer sur mes tétons qu’elle pinça légèrement, m’arrachant un petit gémissement de surprise et de plaisir. C’est ainsi que Noémie commença à me téter, un sein puis l’autre. Sa langue et le bout de ses dents jouaient avec la pointe de mes tétons durcis de désir. Doucement, je redressai sa tête et l’embrassai à nouveau. Je voulais à mon tour goûter à sa poitrine voluptueuse. J’avais déjà sucé des queues dans ma vie, mais jamais je n’avais eu en bouche des seins de femme. Cette idée m’excita terriblement.
Je les pris en main, un dans chacune de mes paumes. Je me mis à les malaxer en les serrant entre mes doigts et en leur faisant décrire des arcs de cercle. Puis, d’une légère pression, je poussai Noémie en arrière qui se laissa tomber sur le dos et je me retrouvai ainsi à quatre pattes au-dessus d’elle.
Avec ma langue, je me mis à lécher assidûment ses deux seins, telle une petite chatte qui lape son bol de lait. Ma bouche se plaqua sur ses aréoles et je me mis à sucer ses tétons, à les aspirer comme deux petites bites. Noémie gémissait doucement, caressant mes cheveux, complètement abandonnée. Instinctivement, elle avait légèrement entrouvert ses cuisses. Tout en continuant à déguster ses seins, ma main droite s’aventura donc sur l’intérieur d’une de ses cuisses et remonta vers son entrejambe. Plus ma main remontait en glissant sur sa peau de soie, plus je sentais sa chaleur. Quand enfin mes doigts atteignirent son sexe, je pus sentir sa moiteur à travers le tissu même de sa culotte. Elle mouillait aussi fort que je devais mouiller également. Mes doigts firent alors pression sur son abricot et se mirent à effectuer de petits mouvements de friction de bas en haut. Les gémissements de Noémie s’amplifièrent alors que je la masturbais en suçant ses seins.
Je sentis alors des doigts, les siens, venir également fouiller mon intimité. Elle appuyait avec sa main entre mes cuisses à travers mon short. « Retire-le-moi », lui soufflai-je. Elle défit mon bouton et le fit glisser sur mes cuisses. J’étais maintenant quasi nue au-dessus d’elle, quand ses doigts vinrent rejoindre ma fente humide. Nous nous fixions désormais dans les yeux en nous masturbant mutuellement. Mes doigts écartèrent le tissu de sa culotte sur le côté alors qu’elle ouvrait un peu plus ses cuisses pour venir rencontrer sa chatte. Je les trempai dans son jus, puis vins les porter à sa bouche. Elle fit de même. Je suçai alors ses doigts enduits de mon jus de moule, et elle, les miens couverts du sien. Puis, je portai mes doigts à ma bouche pour goûter aussi sa mouille et mélanger nos goûts. Puis, ma main rejoignit sa vulve; et réciproquement. J’enfonçai alors mon index et mon majeur dans sa chatte, mon pouce s’appuyant sur son clitoris. Je sentis ses doigts me pénétrer également.
Nous nous mîmes alors à nous pistonner mutuellement sans douceur et très vite. Nos chattes jutaient abondamment dispersant de nombreuses gouttelettes de mouille à chaque va-et-vient. Nous criions toutes les deux de concert et finîmes par jouir ensemble, prises d’un violent orgasme simultané. Je m’effondrai alors à ses côtés, fis valser mon short qui gisait maintenant au niveau de mes chevilles. Mon corps nu en sueur tressautait encore des frissons de plaisir qui le parcouraient. Pendant plusieurs minutes après l’orgasme, aucune de nous deux ne parla. Nous restâmes juste allongées; cuisses ouvertes, l’une près de l’autre, main dans la main.
— Tu as aimé ?
— J’ai adoré, me répondit-elle en tournant la tête vers moi. Le problème c’est que maintenant je vais y prendre goût; hihi.
— Aww ! Cela sera notre petit secret entre filles. Dis donc, petite coquine, tu serais plus à l’aise si tu quittais complètement ta robe et ta culotte maintenant, nous n’avons plus rien à nous cacher.
Tout doucement, Noémie fit alors glisser ses derniers vêtements le long de ses belles jambes pour les laisser choir au pied du lit. Elle me révéla enfin l’intégralité de son corps. Elle était superbe, allongée, avec des courbes très féminines. Sa taille se resserrait avant de s’élargir à nouveau sur son bassin pour replonger vers ses belles jambes fines. Ses fesses, que je ne voyais pas, devaient être superbes. Son mont de Vénus était délicatement recouvert d’une fine toison, d’un noir de jais, bien entretenue.
— J’ai encore envie de toi, Noémie; tu es trop belle.
— Moi aussi Clémentine.
Et nous nous embrassâmes tendrement.
— Je vais bien m’occuper de toi, je veux te faire plein de choses, mais d’abord, je veux reprendre quelques forces.
Elle me regarda avec curiosité alors que je me relevai et sortis du tiroir de mon bureau, le second sachet de poudre que m’avait laissé Alex, ainsi qu’une petite paille adaptée que je me suis fabriquée. Je voulais le partager avec Noémie pour décupler encore notre plaisir.
— Qu’est-ce que c’est ?
— Tu vas voir, c’est génial, c’est de la potion magique. Avec ça, tu vas jouir encore plus fort.
— Mais c’est de la drogue, tu es sûre Clémentine ?
— Fais-moi confiance, c’est juste pour s’éclater. Je te montre, écarte tes cuisses.
— Tu es folle Clémentine, mais OK, je veux bien regarder.
Je me positionnai alors sur le ventre entre ses cuisses écartées. Sa chatte était délicieusement ouverte devant moi et je pouvais admirer ses grandes et petites lèvres, la pointe de son clitoris, et même deviner vers le bas son anus. J’allais bientôt pouvoir explorer en détail toute cette zone. Mon excitation qui n’avait pas vraiment baissé malgré l’orgasme remonta. Je déversai délicatement la moitié du sachet sur son ventre plat, juste en dessous de son nombril. Je gardai l’autre moitié pour elle. Je formai ensuite un joli trait fin de poudre descendant vers son sexe. Je la regardai avant de positionner la base de ma paille sur le sommet du rail. Noémie, quoique dubitative, avait redressé sa tête pour m’observer en détail. D’une inspiration, je sniffai alors toute la coke. Je me redressai; puis, rapidement, je sentis mon rythme cardiaque s’accélérer, et cette douce euphorie caractéristique me gagner. Mon excitation sexuelle se décupla encore plus, si c’était possible.
— A ton tour maintenant Noémie, lui dis-je en lui tendant la paille.
— Je ne suis pas sûre.
— Fais comme moi, tu verras, c’est génial, tu ne le regretteras pas.
Je m’allongeai alors sur le dos et déversai le reste du sachet entre mes deux seins. Noémie se pencha alors vers moi, paille dans le nez, un léger sourire aux lèvres. En la voyant sniffer la coke comme cela sur moi, je ne pouvais m’empêcher de me caresser. Après avoir tout aspiré, Noémie partit en arrière en poussant un râle de plaisir. Elle semblait être partie ailleurs. Je me redressai alors, nous nous embrassâmes, et je la poussai délicatement pour la mettre sur le dos. J’avais envie de son corps, de ressentir toutes ses sensations.
Mon visage se trouvait à quelques centimètres à peine de sa vulve. Je pris alors ses cuisses de mes mains pour les écarter et plongeai mon visage dans son intimité. La chatte de Noémie était dilatée par l’excitation, et ma bouche fut instantanément envahie par sa mouille abondante. La pointe de ma langue glissa entre ses petites lèvres pour pénétrer l’entrée de son vagin. Son corps tressautait et se cambra brutalement. Ma langue fut comme aspirée et je me mis à faire de petits va-et-vient comme avec un micropénis. Noémie gémissait et avait agrippé mes cheveux sur lesquels elle tirait. « Oui, continue, bouffe ma chatte, c’est tellement bon ». La cyprine de sa moule était abondante et j’aimais en sentir le goût dans ma bouche. J’en buvais chaque goutte qui s’écoulait en moi. Son jus avait un goût salé légèrement acidulé.
Ma langue ressortit de son trou qui avait déjà dû enfouir, à plusieurs reprises, la bite de mon frère, pour remonter doucement vers son méat urinaire et atteindre enfin son clitoris rose foncé. Je le pris entre mes lèvres pour le pincer, avant de le titiller avec le bout de ma langue et finalement de l’aspirer. Noémie criait presque de plaisir. J’aurais pu la faire jouir directement si j’avais poursuivi sur son clitoris, mais je voulais encore en profiter. Je n’étais pas rassasiée de sa chatte. Ma langue repartit alors vers le bas glissant sur ses lèvres, puis je la redressais légèrement pour atteindre son périnée et finalement descendre sur son anus. Quand j’atteignis cette zone, Noémie s’écria : « Oh oui, lèche mon cul, Clémentine. » Je ne me fis pas prier et ma langue se mit à jouer avec son petit orifice. Je poussai toujours plus, puis crachai pour l’humidifier. Il s’ouvrit alors tout doucement et la pointe de ma langue pénétra son petit cul.
Je la retirai au bout de quelques instants et vins la remplacer par mon index qui rentra en elle d’un seul trait. « Regarde comme je baise ton cul Noémie ». Je me mis alors à doigter son petit trou. « Tu vas encore me faire jouir Clémentine, je ne vais pas pouvoir tenir ». Ma bouche se plaqua alors à nouveau sur son clitoris que je me mis à aspirer et à lécher avec force. Il ne fallut alors que quelques secondes pour que Noémie jouisse violemment. Mon doigt s’enfonça au plus profond de son anus et ma bouche resta plaquée sur sa vulve en fusion. Tout son corps fut pris d’un spasme qu’elle ne contrôlait pas et elle poussa un grand cri. Un puissant jet de liquide vint alors frapper mon visage et me fit reculer. Noémie était en train d’éjaculer littéralement et j’ouvris alors la bouche pour essayer de capter son nectar. Finalement, elle se calma et resta comme choquée par une décharge électrique pendant plusieurs secondes.
— Je n’avais jamais connu un orgasme aussi puissant. Je ne sais pas ce qui s’est passé, cela ne m’était jamais arrivé.
— Hihi, je suis heureuse de voir que les filles entre elles peuvent se faire aussi plaisir. Je crois que tu as aimé mon soin spécial du clitoris.
— C’est vraiment très excitant et différent que de jouir avec une queue.
— Il va falloir que tu me montres ça Noémie, car moi, je n’ai pas encore connu cette expérience.
— Tu vas me tuer, Clémentine.
— Ne me dis pas que tu vas me laisser en plan après ce que je viens de te faire.
— Non, tu as raison, et puis j’ai très envie de goûter ton petit minou.
Assise sur le lit, j’écartai alors en grand les jambes devant elle, passant mes doigts devant mon sexe trempé. Telle une femme-serpent, Noémie se mit sur le ventre et progressa en ondulant vers mon antre tropical. Ses mains se posèrent sur l’intérieur de mes cuisses et timidement, dans un premier temps, je sentis le contact de sa bouche sur mes lèvres intimes. Un immense frisson parcourut alors chaque centimètre de ma peau. Rapidement, sa langue ouvrit ma chatte et elle commença à me laper. Ma tête retomba alors en arrière et je me mis à gémir. Chaque coup de langue équivalait à une petite vague de plaisir qui croissait progressivement. J’agrippai alors l’arrière de sa tête pour la plaquer sur ma vulve et me mis à onduler doucement au rythme de sa langue qui m’avait désormais pénétrée. « Tu aimes mon jus ? » lui demandais-je. « Hmm oui; je me régale », me répondait-elle. Comme à chaque fois que je suis excitée, je sentis la pression de ma vessie augmenter.
Les assauts de la langue de Noémie sur mon méat urinaire n’arrangeaient rien à l’affaire. Je savais que je ne pouvais pas me retenir, et un petit jet d’urine jaillit alors dans sa bouche sans aucun préavis. Elle eut immédiatement un mouvement de recul et se redressa légèrement. « Je suis vraiment désolée, mais je ne peux plus me retenir, » lui lançai-je, au moment où ma pisse se mit à couler régulièrement, venant s’écraser sur le haut de sa poitrine. A ma surprise, Noémie ne se retira pas, et commença à étaler mon nectar sur ses seins. « C’est tout chaud, » me dit-elle. Je voyais ma pisse huiler son corps de bronze et s’écouler sur son ventre pour rejoindre son sexe qu’elle se mit à frotter. Je la mis alors au défi : « Tu peux goûter si tu veux ». Sans un mot, elle vint positionner son doux visage sous mon jet qui lui fit fermer les yeux et provoqua une petite moue. Très progressivement, sa bouche s’ouvrit, et mon urine l’emplit jusqu’à déborder.
Dès que j’eus fini, je la vis déglutir pour avaler le liquide qu’elle retenait entre ses joues.
— Je ne pensais pas que tu boirais ma pisse, tu es une salope comme moi, tu as aimé ?
— Oh oui, j’ai adoré, le goût est un peu bizarre, mais je suis hyperexcitée à nouveau maintenant...
— Moi aussi, ma belle. Tu sais, on pourrait essayer un truc que j’ai toujours fantasmé avec une autre fille, on va frotter nos petits minous.
L’idée sembla lui plaire immédiatement. Elle s’assit en face de moi posant ses fesses sur les draps trempés de ma pisse. Nos jambes s’entrecroisèrent et nous nous approchâmes l’une de l’autre jusqu’à ce que nos lèvres intimes s’embrassent. Nos jus, mon urine se mélangèrent alors. Nous fûmes saisies de frissons; et de concert; nous mîmes à onduler un rythme, frottant nos vulves en chaleur de manière frénétique. Nous gémissions de plus en plus fort et chaque mouvement provoquait une nouvelle vague de plaisir. Je sentais sa petite chatte chaude contre la mienne, son jus couler sur mes cuisses. Après seulement quelques minutes qui parurent des heures, j’eus un violent orgasme. Noémie aussi, je pense. Elle jouit en même temps que moi, et je sentis tout son corps se mettre à trembler de manière incontrôlée. Nous tombâmes sur le lit chacune de notre côté, terrassées par le plaisir. L’atmosphère de ma chambre était lourde, humide et sentait le sexe.
Nous étions bien toutes les deux, et nous nous sourîmes, nous embrassâmes mollement dans la chaleur de cette après-midi que nous aurions aimé ne voir jamais se terminer.
Toutefois, nous ne pûmes rester à rêver longtemps allongées toutes nues, dans mon lit, car nous entendîmes la voiture de mes parents revenir. Rapidement, nous nous rhabillâmes; je fermais précautionneusement la porte de ma chambre où j’allais devoir faire discrètement un brin de ménage; et nous descendîmes les accueillir comme 2 petites filles modèles, juste avant de filer vers la cuisine prendre notre quatre heures, car nos activités nous avaient bien ouvert l’appétit.
C’était incroyable, mais j’avais rempli mes défis. Alex allait être fier de moi quand il verrait ce que j’avais fait. Il me tardait de lui envoyer les vidéos et de le voir à nouveau.
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