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Première Rencontre avec une inconnue dominatrice.

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Une semaine après, mon chef m’a changé de poste, d’homme à tout faire, je suis devenu livreur, c’est bien mieux rémunéré. Mais je ne suis toujours pas embauché, juste un CDD long, ce n’est déjà pas si mal. Mon inconnue, je ne l’ai revue qu’en allant manger à la cantine, et de loin encore, car elle est toujours assise à la table de la direction. Où nous les employé (es) ou ouvrier (es) n’avons pas notre place.
Même dans Montpellier, endroit où je vis maintenant, je ne la croise pas. Elle doit vivre en dehors de Montpellier, sans doute dans une belle villa, mais cela, je ne fais que l’imaginer.
Et le temps s’écoule ainsi, demain Noël, et je n’ai nul endroit où me rendre, j’ai sympathisé avec ma voisine du dessous, une jeune femme charmante d’une trentaine d’années. Un soir en rentrant des courses, je croise ma voisine Hélène qui réceptionne son courrier.
— Bonsoir Cyril.— Bonsoir Hélène.— Cyril, tu as quelque chose de prévu demain pour le réveillon de Noël ?— Heu non, rien du tout.— Ça te dirait de venir chez moi, on sera une dizaine, et un de plus ne devrait pas poser de problèmes.— C’est très gentil, Hélène, mais je ne veux pas gêner tes ami (es).— Idiot que tu es. (Elle rigole en douce).— En plus, on va bien s’amuser, et toi tu seras tout seul comme un ermite dans ton appart.— Oui, tu as gagné et j’apporte quoi ?— Toi, déjà, je veux bien que tu m’aides pour faire les courses.— D’accord, par contre, je n’ai que ma cent quatre, on n’y mettra pas grand-chose, dedans le coffre est minuscule.— Un copain m’attend dehors avec une camionnette, on ne sera pas trop de trois.
Et c’est ainsi que j’ai passé un merveilleux réveillon de Noël, et également celui du jour de l’An avec elle et ses ami (es). Mais nous avons un trop grand écart d’âge, elle a trente-quatre ans (enfin moi je le vois comme cela). Mais qu’elle reste une très bonne amie oui sans doute.
On est mi-janvier, on m’a dit qu’il y avait un joli complexe avec des piscines chauffées. J’ai donc acheté un maillot, une serviette et un bonnet, c’est souvent obligatoire, me dit la vendeuse.Je m’y rends donc ce jeudi après-midi, il est quinze heures, on ne peut le manquer, c’est immense. Je gare ma cent quatre, le parking est assez désert, j’entre dans ce grand bâtiment. Dans le hall, une grande photo indique les emplacements des différentes piscines, trois extérieures et deux en intérieur.Je me dirige vers la réceptionniste.
— Bonjour madame.— Bonjour monsieur, piscine extérieure ou intérieure, toutes sont chauffées.— Intérieure s’il vous plaît.— Ce sera dix francs, vous avez un bonnet ?— Oui. Je lui donne l’argent.— Merci, deuxième étage, vous avez des casiers à code pour y ranger vos affaires.— A d’accord merci, au revoir.— Au revoir monsieur et bonne baignade.
Je vais au deuxième, me déshabille, enfile mon maillot de bain avec le bonnet. Ah c’est vrai qu’il faut passer par le pédiluve, c’est là où souvent on y attrape des microbes, mais bon pas le choix. Il est écrit qu’avant de se baigner, il faut appuyer sur le bouton et prendre une douche, ce que je fais, ça va, elle est tiède.
Dans et autour de la piscine, pas grand monde, vingt personnes tout au plus. Des gens barbotent, ou nagent tranquillement. Dans le couloir de nage du fond, deux hommes et une femme font une course de vitesse en crawl. Je les regarde, admiratif, un homme a gagné, puis je vois la femme, mais c’est cette fameuse inconnue qui m’a forcé à lui acheter les escarpins. Elle porte un maillot de bain sport une pièce couleur bleu ciel, sa poitrine est un peu écrasée par le tissu tendu, elle se retourne, un dos magnifique, un peu musclé, normal, c’est une nageuse, je vois que ses avant-bras sont musclés, mais sans trop. Je comprends mieux comment elle m’a levé de mon banc si facilement à notre dernière rencontre.Elle ne m’a pas encore vu, je me glisse dans l’eau, elle est très bonne et commence à faire quelques longueurs en brasse.
Quand je sens qu’on se saisit de mes jambes et m’entraîne au fond, je commence à paniquer et me débattre, des gens me regardent en souriant ou en riant sous cape. Quand une tête émerge à mes côtés, c’est elle.
— Ben alors tu ne sais pas nager.— Si, mais c’est toi qu... Elle met sa main sur ma tête et me fait couler, je suis à la limite de boire la tasse.— Elle relâche son étreinte et je peux enfin émerger, je tousse un petit peu, car j’ai avalé un peu d’eau.— Tu sais que tu ne dois pas me tutoyer.— Excusez-moi.— Voilà qui est mieux, tu viens souvent ?— Non c’est ma première fois et vous ?— Assez régulièrement, j’adore nager, mais à cause de ma poitrine assez généreuse, je n’ai pas pu faire de la compétition de haut niveau, cela me freine dans l’eau.— Vous voulez nager ?— Avec toi ? Elle rit.— Tu veux me défier en crawl ?— Non, juste nager tranquillement.— Non, je dois partir, à une prochaine. Elle me fait une petite bise sur le front et sort de le l’eau rejoindre ses amis.
Je continue de nager en faisant un peu de crawl, je ne sais toujours rien d’elle, même pas son prénom ? Je suis revenu le samedi suivant, c’était blindé. Le jeudi suivant hélas je travaille, c’est peut-être ce jour-là qu’elle nage dommage. Le jeudi d’après, pareil, je suis sur Agde pour livrer un client.
Nous voici en février, et mon chef vient me voir, avant que je n’exécute mon transport régional.
— Cyril, je sens que tu vas être embauché à plein temps.— Oh ce serait trop super.— A la dernière réunion, j’ai parlé de toi au chargé d’affaires et maintenant tu vas le voir en chair et en os.— Je vais me changer et j’y vais.— Non, vas-y tout de suite, il a une réunion après ?— Mais je suis un peu crade.— Pas grave gamin, allez file et je te dis un gros M pour l’embauche, ah oui la personne que tu vas rencontrer c’est N. Zéphyr.— Merci.
Je me rends donc dans les bureaux de la direction et demande à l’accueil :
— Bonjour madame.— Bonjour monsieur, vous désirez.— Pouvez-vous m’indiquer où se trouve le bureau de Mr. N. Zéphyr s’il vous plaît.
Elle me répond avec un petit sourire.— Deuxième étage, puis troisième porte gauche en sortant de l’ascenseur.— Merci.— Monsieur.— Oui.— Vu que vous êtes en tenue de travail, pouvez-vous prendre les escaliers s’il vous plaît.— Oui bien sûr.— Prenez la deuxième porte à droite pour les escaliers. Elle a raison cette petite dame, je suis en salopette pas super propre. Le chargé d’affaires qui va me recevoir risque de m’en faire la remarque et il aura raison. Je n’aurais pas dû écouter mon chef Thierry et me changer, maintenant il est trop tard. Sans doute qu’au deuxième étage, j’ai une chance de croiser mon inconnue, elle doit être secrétaire de direction ou quelque chose dans le genre.
Me voici au deuxième étage, elle m’a dit troisième porte gauche en sortant de l’ascenseur. Je suis devant sa porte, en lettres italiques dorées est écrit Chargé d’Affaires N. Zéphyr. J’imagine un monsieur, la cinquantaine avec un léger embonpoint. Une sonnette sur le côté, il est écrit, prière de sonner merci. Ce que je fais, et de l’autre côté de la porte, j’entends une voix féminine étouffée qui me dit :
— Entrez. Sans doute sa secrétaire, j’entre, personne à l’intérieur, étrange.— Prenez un siège, j’arrive, je cherche juste un dossier. Encore cette voix féminine, il me semble que je l’ai déjà entendue, mais où ?— Je veux bien m’asseoir, mais je suis en salopette de travail, c’est mon chef qui m’a dit de venir vous voir tout de suite et je n’ai pas eu le temps de me changer.— Dans ce cas, rester debout, je dois bien avoir un couvre siège quelque part.
Je reste donc debout et regarde cette pièce, au sol du parquet stratifié, en face de moi, il y a deux sièges, un long et grand joli bureau tout en acajou, derrière un grand fauteuil en cuir, un grand meuble rempli de dossiers et accroché au mur un immense tableau représentant un voilier des années cinquante. A côté une horloge assez moderne des années soixante-dix. Les murs sont peints en mauve et là aussi un grand meuble rempli de dossiers.
— Désolé, je n’arrive pas à mettre la main sur ce fichu dossier, vous êtes Cyril Poussin ?— Oui, c’est bien moi.— Votre chef Thierry ne tarit pas d’éloges sur vous, c’est pourquoi j’ai voulu vous recevoir.— Merci, oui je m’entends très bien avec Thierry, c’est un excellent chef très patient et bon pédagogue.— Ah ça y est, je l’ai enfin, mon prédécesseur maintenant à la retraire, avais une curieuse façon de rangement. C’est une femme qui est ma chargée d’affaires, d’après sa voix elle est assez jeune.— Désolée pour l’attente. Et là, j’ai un blanc en la voyant, car c’est mon inconnue qui me fait face à l’instant, elle a l’air aussi surprise, mais se ressaisit plus vite que moi.— Eh bien pour une surprise c’en est une, je ne m’attendais pas à te voir. Elle reprend son tutoiement.— - - - (Je n’arrive pas à parler).— Tu es muet maintenant, dis, tu les reconnais, me désignant du doigt les escarpins qu’elle m’a persuadé d’acheter pour elle.— Oui ce sont ceux que je vous ai achetés.— Exact, alors quand tu les vois, tu t’agenouilles et tu les embrasses.
Tel un automate, je m’exécute et embrasse la pointe de chacun de ses escarpins.— Tu obéis, bien c’est parfait. Elle me tend un couvre siège.— Pose-le sur le siège et assieds-toi, nous avons à parler. Je mets le couvre siège en place et m’assois. Elle s’assoit sur le coin du bureau en croisant haut ses longues jambes, sa jupe se relève légèrement.— Tu peux regarder avec le regard uniquement, tu sais pourquoi j’ai voulu te recevoir.— Oui j’imagine que c’est peut-être pour être embauché.— Exactement tu as dix sur dix, Thierry m’a dit qu’à tous les postes où il t’a placé, il y a eu d’excellents retours.— - - - (Un ange passe).
Je me mets à rêver et j’imagine que je glisse mes doigts lentement sous sa jupe, a-t-elle un tanga, un string ou peut-être est-elle nue en dessous, quand j’entends un net claquement de doigts.Elle a bien claqué des doigts.
— Hé ho, t’es toujours là, bon regarde-moi dans les yeux si mes jambes te troublent autant, tu as entendu ce que je t’ai dit ?
Je la regarde, ses yeux vert clair me font chavirer, mais j’arrive à lui répondre.— Oui, que Thierry a été très satisfait.— Et donc tu vas signer un CDI, tu es content ? Je baisse le regard, ses yeux sont trop troublants, je me mets à regarder le bateau dans le tableau.— Oui.— Oui qui mon chien !
La tonalité du son de sa voix est devenue un peu plus grave et autoritaire.— Heu non oui madame.— Voilà qui est mieux, à croire qu’il faut tout t’apprendre...— Désolé madame.— Sache jeune homme que l’on n’interrompt pas quelqu’un quand il parle, tu as compris !
Je hoche simplement la tête.— Voilà qui est mieux, tu es un peu long à la détente, mais on va y arriver.— Oui madame.— Tu vois quand tu veux. Et elle me caresse tendrement la joue, sa voix est à nouveau enjouée.— Par contre Cyril, on ne peut pas te garder sur Montpellier, si tu changes de poste, tu vas direct à Bordeaux et tu as cinq jours par mois en plus de tes dimanches pour revenir sur Montpellier.— Mais madame, je n’ai qu’une vieille voiture et pas sûr qu’elle supporte tous ces trajets.— Tu auras une Clio d’entreprise, ne t’en fais pas pour cela, avec une carte entreprise pour les péages et l’essence.— Merci madame.— Je n’y suis pour rien, nous faisons cela pour chaque collaborateur. Là-bas tu auras un poste équivalent à celui de Thierry ou presque, tu seras en charge de six employés, Thierry en dirige cinquante ici. Tu t’en sens capable ? Car nous, enfin l’entreprise, croit en toi.— Oui je pense que je serais à la hauteur, madame.— Alors il ne te reste qu’à signer le contrat.— Je peux le lire.— Bien sûr.
Je me mets à lire les quatre pages du contrat, en effet c’est une très belle proposition qui m’est faite, moi qui n’ai même pas le BAC, juste un petit BEPC eu en troisième, je n’aurais plus jamais une telle offre et un tel salaire.— Je signe où madame ?— Avec un autre employé, je ne ferais pas cela, mais avec toi oui, avant de signer, tu vas aller sous le bureau, il y a la place et t’allonger pour me servir de repose-pied, j’ai les jambes lourdes.— Et si je refuse madame.— Mais on dirait qu’il se rebiffe le petit, simple, je mets fin à ton contrat. (Je m’écris).— Mais c’est du chantage !— Non pas vraiment, car je sais que tu vas le faire.
Elle se penche et me murmure à l’oreille.— Je sais que tu n’es qu’un faible, maintenant à toi de choisir la promotion ou le chômage. Je reçois dans deux minutes un autre candidat et si tu refuses d’être mon repose-pied, c’est lui qui aura la place.
La place d’être son repose-pied ou d’avoir le poste sur Bordeaux, ou les deux à la fois ?
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