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Première Rencontre avec une inconnue dominatrice.

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Comme je ne bouge pas :
— Mais c’est que tu veux me tenir tête, très bien alors je vais commencer un compte à rebours, vas sous le bureau, je te veux sans aucun vêtement sur le haut du corps, m’ordonne-t-elle avant de commencer lentement à décompter.— Dix... neuf... huit... sept.… six... cinq... quatre... trois... deux... un... zéro ! Toujours pas décidé ?
Pendant qu’elle me fusille de ses yeux verts, je réfléchis à toute vitesse : bon servir de repose pied, ne peut-être bien terrible. Elle se saisit alors du contrat et le déchire tout doucement.
— Non attendez ! J’accepte.— Voilà qui est mieux, déboutonne ta salopette et vire le tee-shirt, file sous le bureau vite, je ne veux pas t’entendre gémir, ou bouger.— Oui, madame, réponds-je en me glissant sous le bureau.
La grande horloge indique neuf heures quinze : ça va c’est propre, je me positionne dos contre le parquet et attends.
— Tiens, avec cela tu ne pourras pas parler, dit-elle en me tendant sa culotte, amusée par mon regard effaré.Elle est propre, n’aies pas peur, ajoute-t-elle en m’enfonçant de force sa culotte dans la bouche. Je ne veux pas t’entendre gémir, ou bouger.
Quelques secondes après on frappe à la porte :
— Oui entrez.— Bonjour madame.— Bonjour Guillaume cela fait combien de temps, que vous travaillez pour l’entreprise ?— Six ans.
Elle s’assoit dans son fauteuil, pose ses pieds toujours chaussés des fameux escarpins sur mon torse nu et me piétine tout doucement avec ses talons, tout en parlant avec Guillaume. Elle soulève ses jambes, les repose, comme si elle faisait de l’exercice, enfonce ses talons plus profond, les relève, les renfonce : c’est juste un peu douloureux. Mais pourquoi je me laisse manipuler ? Je pourrais très bien réagir ! Elle me fait subir des choses que je n’aime pas ! Depuis combien de minutes suis-je allongé ainsi ? Enfin la conversation avec Guillaume se termine, une fois qu’il est parti elle me dit d’une voix enjouée, tout en continuant de me piétiner :
— Tu as le poste Cyril tu es content ?— ...— Ben alors t’es muet ? Insiste-t-elle en exerçant une plus forte pression des talons.
Je ne peux répondre avec sa culotte enfoncée dans la bouche.
— Au temps pour moi, rit-elle, j’avais oublié que t’avais ma culotte en bouche, bon j’ai encore deux rapports à compléter, ne bouge pas, ça m’a fait du bien de me détendre, j’ai un peu les jambes lourdes aujourd’hui.
Elle enfonce plus fortement le talon de son escarpin dans mon ventre. Je suis sauvé par un coup de téléphone, elle décroche se lève et parle vivement avec son interlocuteur puis raccroche légèrement énervée.
— Debout.
J’ai les jambes légèrement ankylosées.
— Dommage on commençait juste à s’amuser.
Heu c’est elle qui s’amusait, pas moi.
— Quentin vient de me dire que je devais me rendre à une réunion, précise-t-elle, me lançant un petit regard sexy.Humm, pas si mal tu as six empreintes de talon d’escarpin gravé sur ta peau, dit-elle avec à cet instant un petit rictus sadique au coin des lèvres.Tiens ! Le même chiffre six, et oui tu auras six personnes sous tes ordres, tu vois je te laisse un petit souvenir. Bon, rhabille-toi, file directe à la compta, avec ton contrat d’embauche, ils sont déjà au courant. Lundi tu seras sur Bordeaux, je te reverrai bientôt.
Elle me fait un petit smack sur la bouche, je me dirige vers la porte, quand elle me siffle tel un chien :
— Où tu vas comme ça ?— Heu, à la compta, c’est vous qui venez de me le dire.— Tu n’oublies pas quelque chose, désignant de l’index droit ses fameux escarpins.— Heu ...— Quand nous sommes seuls, tu embrasses mes pieds chaussés, quelles que soient les chaussures que je porte, à mon arrivée et à mon départ, c’est un signe de dévotion à mon égard.— Bien madame.— Alors reste pas debout, à genoux et baise-les.
Je m’agenouille donc et les embrasse puis sors du bureau un peu étonné ; à quel jeu joue-t-elle ? Je file à la compta, où l’on me fait signer d’autres papiers, on me donne les clés du véhicule, celles de l’appartement, les cartes carburants et péages. Je retourne à mon petit studio et tout en me déshabillant j’examine mon ventre : j’ai bien l’empreinte de son talon à six endroits différents. La douche me fait un bien fou et une fois essuyé je mets de la crème sur mes ecchymoses, puis me rhabille. Je récupère quelques vêtements, ma radio et mon radio réveil. Hélène ma voisine du dessous n’est pas chez elle, alors je lui laisse dans sa boite aux lettres les clés de mon studio, celle de ma voiture et un petit mot.
Hélène c’est Cyril je suis muté pendant quelques temps à Bordeaux, je te laisse les clés de mon studio et de ma voiture.Bise Cyril.

C’est simple, court, direct, de toute façon je ne vais pas lui écrire un roman.
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Cela fait trois mois que je suis sur Bordeaux, c’est une toute petite structure de huit personnes, alors qu’à Montpellier ils sont presque deux mille cinq cents. Moi je m’occupe de six employés : Olivier, Pascal, Jean, Laurent et Éric, qui ont tous entre vingt-deux et trente ans. Puis Serge, le doyen qui lui a cinquante-six ans. Il aurait pu être responsable à ma place ou viser bien plus haut, mais cela ne l’intéresse pas du tout, de plus il gagne un peu plus que moi. Il y a aussi Annie la secrétaire qui a vingt-cinq ans et Sylvie la comptable qui en a vingt-huit. Ils sont une petite famille, chacun connait le salaire de l’autre et il n’y a pas de jalousie.
Au début ils ont été un peu réticents de voir un jeune de vingt ans les diriger, mais très vite ils m’ont adopté. Le responsable avant moi, n’était là que pour être le chef et rien d’autre. Comme il est parti en retraite, je le remplace et ils ont gagné au change car je travaille comme eux : je me salis les mains comme on dit dans le jargon. Tout le monde se tutoie et s’appelle par son prénom. C’est bien plus convivial, j’ai même fêté mon anniversaire, les fameux vingt ans, avec eux. Hélène mon amie et ex voisine à qui j’ai laissé les clés de mon studio et de ma voiture, me dit que tous les quinze jours elle passe faire le ménage, elle fait aussi rouler ma cent quatre. Pour le courrier j’ai fait le nécessaire pour avoir une adresse postale sur Bordeaux.
Je suis toujours en relation avec ma chargée d’affaires mais c’est uniquement des rapports professionnels et toujours par téléphone. J’avoue qu’il m’arrive de penser à elle dans mes fantasmes quelquefois. Au bout de trois mois, j’apprends qu’un haut responsable va me faire passer un audit (un contrôle pour savoir si je fais bien mon travail). Par contre je ne sais pas à quelle date ce contrôleur viendra. Une semaine, puis deux toujours rien, mon contrôle a dû passer entre les mailles du filet. Le Lundi 6 mai 1993, j’organise une petite réunion de chantier dans mon bureau, comme je le fais tous les lundis depuis mon arrivée, quand je vois une Renault dix-huit turbo bleu clair se garer dans la cour, immatriculée trente-quatre comme dans le département de l’Hérault et la ville de Montpellier. La portière côté conducteur s’ouvre, je vois des jambes féminines apparaitre chaussées de baskets, une main les ôte et les remplace par des escarpins. Je les reconnais tout de suite : c’est ma chargée d’affaires qui vient donc m’auditionner, je sens mes jambes défaillir. Annie le voit et me dit en plaisantant :
— Qu’est-ce qui t’arrive Cyril ? on dirait que tu as vu un fantôme !— Ah mais c’est Nathy qui vient nous voir, lance Éric.— Oui, c’est la nièce de Serge. Tu la connais peut-être, me demande Sylvie.— Tu sais à Montpellier on est presque 2500, je l’ai peut-être croisée c’est possible. Par contre je viens de voir ma chargée d’affaires arriver, je pense qu’on devrait vite se mettre au boulot les gars et les filles.
Là, tous me regardent et se mettent à rire de bon cœur.
— Ben quoi, j’ai dit une connerie ?
Annie qui a enfin fini de rire me dit :
— Un peu, la chargée d’affaires comme tu dis, c’est Nathy la nièce de Serge.
Si j’avais été à ce moment-là une petite souris, je me serais vite réfugié dans un trou. J’entends un bruit d’escarpin qui résonne de plus en plus fort.
— Ah ! Voilà la plus belle, dit Serge.— T’es toujours aussi flatteur, lui répond Nathy en lui faisant une grosse bise sur la joue droite.
Puis, elle s’avance vers tout le monde, leur fait la bise, elle me voit et s’approche de manière conquérante : qu’est-ce que je dois faire la vouvoyer ou la tutoyer ?
— Cyril tu te plais ici, tu t’es bien intégré ?— Oui madame, tout le monde est bien sympa.— Madame ? Hé oh Cyril ! C’est ma nièce, on la tutoie tous ici, tu vas pas y échapper, à Montpellier tu la vouvoies ok, mais ici c’est le « tu » qui est imposé.— Oui Cyril, tu peux me dire tu, mais n’oublie pas ce que je t’ai dit dans mon bureau, ajoute-t-elle d’un ton plus profond, plus autoritaire aussi.— Bon partez tous, on se verra après je dois parler à votre chef seul à seul.
Tout le monde s’éclipse, je ne suis plus qu’avec elle, Nathy ferme la porte du bureau à clé, baisse les stores, allume la lumière et me regarde. Elle attend, un petit rictus légèrement sadique au coin des lèvres, comme je ne bouge pas elle me dit :
— Et alors tu as déjà oublié ?
Je repense à sa phrase : Quand nous sommes seuls, tu embrasses mes pieds chaussés, quelle que soient les chaussures que je porte, à mon arrivée et à mon départ, c’est un signe de dévotion à mon égard. Je m’agenouille donc et lui baise ses escarpins.
— Enfin, voilà qui est mieux, tu es un diesel, mais je vais te reprendre en main.— Oui madame je vous écoute.— Débraguette-toi et montre-moi ta queue.— Hein ? Pardon ? J’ai du mal entendre...
Pour toute réponse j’ai droit à une petite gifle. Je fais ce qu’elle me dit et sors ma queue qui est toute recroquevillée.
— On dirait qu’elle n’est pas vraiment contente de me voir. Branle-toi, mais tu n’éjacules pas, m’ordonne-t-elle.
Je prends mon sexe en main et commence à faire un va-et-vient. Assez vite il prend de la vigueur.
— Stop ! Voilà qui est mieux, je te veux cul nu maintenant.
Je descends mon pantalon sur les chevilles ainsi que mon slip.
— T’as un sexe dans la moyenne c’est bien.— Oui on me l’a déjà dit, tout content qu’elle me félicite, mais elle me lance un regard dur.— T’ai-je dis que tu pouvais parler ?— Non.— Alors tais-toi.
Elle se tourne pour attraper un lacet assez fin et l’enroule autour de la base de mon pénis et de mes testicules. Puis, progressivement, elle le serre, jusqu’à ce que je laisse échapper un petit cri de douleur.
— Oh que j’aime ça ! Entendre un mâle geindre comme une fillette. Rhabille-toi.— Mais... Vous me laissez ainsi ?— Oui, il faut que tu apprennes. Rhabille-toi, on rejoint les autres. Ah oui en leur présence tu peux me tutoyer, hormis si je te l’interdis, précise-t-elle alors qu’elle déverrouille la porte et sort.
Je me rhabille, mon sexe toujours en érection à cause du lacet qui le comprime, je ne peux pas débander. Je réussis à dissimuler mon érection en le mettant dans une certaine position et rebraguette mon jeans. Mais, pourquoi je me laisse ainsi manipuler ? Je ne suis qu’une simple marionnette en sa présence. À cet instant précis je sais que je suis amoureux, mais elle l’est-elle de moi ?
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