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Première rencontre avec une soumise

Chapitre 2

Trash
Le début de cette rencontre n’a fait que confirmer mon penchant pour la domination. Pour une première, j’ai la chance d’être tombé sur la partenaire idéale. Salope à souhait, docile et joueuse.
Installés confortablement sur un sofa le temps de retrouver nos esprits après un début de rencontre haut en couleur, je remets sa laisse à ma soumise afin de lui faire comprendre que les choses sérieuses recommencent.
Je l’installe à genoux devant moi et lui ordonne de me lécher les couilles et la verge. Ma queue réagit immédiatement et se dresse fièrement. Alors qu’elle s’applique à parcourir de sa langue le moindre centimètre de cette bite qu’elle semble tant désirer, je tends à ma soumise un verre de Champagne en l’invitant à en mettre dans sa bouche puis de me sucer ainsi. La sensation est divine. Le mélange du Champagne froid et de sa bouche chaude, les bulles qui picotent mon gland gonflé. Maladroitement, elle laisse s’échapper un léger filet de Champagne, lequel coule sur mes couilles. La gourmande y voit un bon prétexte pour recommencer à me les lécher.
Toujours en laisse, ma petite chienne me suit jusqu’au lit où je lui intime l’ordre de se mettre à quatre pattes, de plaquer son buste au matelas et d’écarter ses fesses avec ses mains. Son œillet serré offre un contraste saisissant avec sa chatte bien ouverte et humide. Je sais de nos échanges que ma petite salope pratique la sodomie, mais qu’il est important de bien la préparer. Un crachat puissant vient s’écraser contre son petit trou et je commence à le caresser. Mon doigt, préalablement enduit de lubrifiant s’enfonce doucement alors que la respiration de Sara se fait plus profonde. Je ne peux m’empêcher d’y goûter, de le déguster et je me retrouve rapidement avec ma langue dans son fondement.
Son anus s’ouvre peu à peu au fur et à mesure de mes assauts. Ma soumise apprécie visiblement qu’on s’occupe d’elle ainsi et ses gémissements sont autant d’encouragements à persévérer. Afin de parfaire la préparation de son petit cul, j’introduis un plug anal de taille raisonnable. Après quelques va-et-vient, je décide de la laisser ainsi.
Couché à côté d’elle, une tension sur sa laisse ramène sa tête à la hauteur de ma verge. Je bande fort. La situation m’excite au plus haut point, car c’est la première fois que je dispose d’un tel jouet sexuel. Alors que ma queue a repris sa place dans sa bouche, je félicite ma soumise et lui déclare être très fier d’elle tout en lui caressant délicatement les fesses. Je l’interroge ensuite :
— Penses-tu être une petite chienne méritante ?— Oui Monsieur. Je crois.— Penses-tu mériter que je te prenne ?— Oui Monsieur. Je serai heureuse que vous preniez sauvagement la petite salope que je suis.
Vous vous doutez bien que ses mots n’ont fait qu’augmenter encore mon excitation. A ma demande, elle déroule une armure de latex sur ma queue avec sa bouche et en profite pour aller bien au fond de sa gorge.

Ainsi cambrée devant moi, mon sexe entre sans difficulté dans sa chatte. La tenant par les hanches, mes coups de reins sont directement forts et profonds. Elle encaisse bien. Ses gémissements augmentent en intensité et je remarque dans un miroir que cette petite salope se caresse vigoureusement la chatte. Je lui démontre ma désapprobation en lui administrant une fessée qu’elle n’a pas pu anticiper et en lui rappelant qu’elle n’a pas à prendre d’initiative.
Tirant sur sa laisse, je la force à se remettre à quatre pattes, en appui sur ses bras. Je maintiens la tension pour que sa tête soit bien droite et le collier exerce une légère pression sur sa gorge. Elle respire moins facilement, mais continue de gémir aux coups de boutoir. Je continue à la labourer fortement et je sens la pression exercée par son plug anal sur ma queue. Cette sensation nouvelle est très agréable et accentue mon plaisir. A ce rythme-là, il est évident que je ne vais pas tenir indéfiniment.
En préparant notre rencontre, j’ai expliqué à Sara que j’adore qu’une femme s’occupe de mon anus avec sa bouche. Elle m’a indiqué que ce n’est pas forcément quelque chose qui lui plaît, mais qu’il faudrait voir sur le moment.

Me relevant, je ressors ma queue de sa chatte transpirante et retire son plug anal. Son cul est légèrement dilaté, mais pas assez à mon goût. Afin de parfaire sa préparation, j’y introduis sans trop d’efforts un plug plus large.
Je relève ma soumise et l’embrasse goulûment. La coquine, visiblement très excitée par nos ébats, en veut encore. J’ai l’impression qu’elle va avaler ma langue. Je reprends place sur le sofa et lui intime l’ordre de venir me prodiguer un pétale de rose (qui ne tente rien n’a rien). Je devine dans son regard un vague moment d’hésitation puis elle descend doucement pour se mettre devant moi. Elle ne me quitte pas des yeux et me gratifie d’un "Oui Monsieur" avec un grand sourire. Cette femme est décidément une véritable salope (au sens noble du terme).
Elle écarte délicatement mes fesses et passe un doigt sur ma rondelle. Je suis excité comme jamais et je n’ai qu’une envie : qu’elle me bouffe le cul. Sa langue vient tourner autour de mon anus avant de le titiller frénétiquement. En même temps, elle me branle vigoureusement et je dois lui dire de baisser le rythme afin de ne pas exploser. Elle revient ensuite sur ma queue et me suce profondément tout en me regardant. Les aller-retour entre ma verge et mon cul s’enchaînent. Sa bave coule abondamment sur mon membre et sur mes couilles et j’ai vraiment un plaisir dingue à voir ma petite chienne comme ça.
Ayant envie de terminer en beauté et de faire jouir encore celle qui me donne tant de plaisir, je conduis ma soumise vers la balançoire. Celle-ci, fixée au plafond, permet de s’asseoir et de positionner ses jambes un peu à la manière d’un fauteuil gynécologique. Avec mon aide, elle s’y installe et je ne peux m’empêcher de profiter de cette vue magnifique. Toujours en bas et talons, penchée en arrière et avec son plug anal, chacun de ses orifices s’offre à moi. Ses chevilles passées dans des sangles lui maintiennent les jambes écartées et elle ne peut refuser de se faire prendre.
Je m’approche d’elle et joue avec ses seins toujours aussi réactifs. Après avoir retiré son plug anal, j’approche ma bouche de son oreille et lui susurre :
— Tu es ma pute et maintenant je vais te sodomiser.— Oui Monsieur, je suis votre pute. Enculez-moi s’il vous plaît.
Bien que préparé, son anus demeure un peu serré, ce qui n’est pas pour me déplaire. Elle grimace un peu alors que mon gland entre doucement. A l’aide de mes bras, j’exerce une tension sur la balançoire afin de la faire s’empaler sur ma queue plutôt que de lui donner des coups de reins.

Arrivé au plus profond d’elle, je commence des va-et-vient délicats, toujours en utilisant les mouvements de la balançoire. Ses gémissements trahissent un mélange de douleur et de plaisir. Son regard m’indique clairement qu’elle aime ça. La cadence s’accélère au fur et à mesure que son anus s’habitue à ce traitement. Après une sèche claque sur ses fesses, de puissants coups de reins remplacent le mouvement délicat de la balançoire et mes mains maltraitaient ses seins.
Je ressors ma queue pour la laisser ainsi, toujours dans cette position où aucune décision ne lui appartient. En guise de final je lui présente le gode sur lequel elle s’était empalée plus tôt et lui commande de le sucer. Je remets ma bite dans son cul pour la labourer comme il se doit. Afin de porter le plaisir à son paroxysme, j’introduis son gode dans sa chatte pour la prendre en double. Ses gémissements se transforment en cris et tout son corps semble comme possédé. Avec ma verge dans son cul, un gode dans la chatte et ses doigts sur son clitoris, ma petite pute ne peut refréner un orgasme libérateur, puissant et long.
Pour ma part, ne tenant plus, je ressors ma queue et enlève rapidement le préservatif. Ma semence gicle abondamment sur elle du ventre au visage.
Alors que je reprends mes esprits, toujours debout devant elle, ma soumise étale mon jus sur sa peau, fait glisser ses tétons entre ses doigts pleins de sperme et me regarde avec un grand sourire. Faisant le tour de la balançoire, je lui offre une dernière fois mon chibre pour qu’elle le nettoie avec sa bouche.
Ce fut la rencontre coquine la plus intense qu’il m’ait été donné de vivre (à ce moment-là). La découverte et l’expérimentation de mon côté dominant et la prestation de ma soumise furent géniaux. Nous nous voyons ponctuellement pour poursuivre notre découverte de nouveaux plaisirs et je ne vous cache pas que j’aimerai prochainement la voir se faire baiser par un inconnu devant moi.
S’agissant de ma première histoire, n’hésitez pas à me faire part de vos remarques et conseils.
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