Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire zoo
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 267 J'aime
  • 11 Commentaires

Première saillie

Chapitre 1

Zoophilie
Mon père était étalonnier dans un haras privé, dans le département de l’Orne, et les chevaux étant pour mes parents une passion de tous les jours, j’ai été bercée dans cette ambiance et c’est très tôt que des mots comme étalon, saillie, chaleurs, reproduction ou gestation sont entrés dans mon vocabulaire.
Cela a d’ailleurs permis à mes parents de ne pas me donner trop de cours d’éducation sexuelle, mon père m’ayant seulement dit quand j’ai assisté à ma première saillie :
"Tu as vu comment les chevaux se reproduisent... et bien pour nous c’est exactement pareil ! "J’ai bien sûr ensuite posé quelques questions à ma maman, mais dans le fond, tout ce qu’elle m’a dit était très proche de ce que j’avais eu sous les yeux. La différence fondamentale à mon sens étant qu’entre les hommes et les femmes, on ne parlait pas de saillie, mais que l’on disait faire l’amour...J’avoue que l’accouplement chez les chevaux, cela m’a toujours fascinée, et je ne comprenais pas trop pourquoi ces animaux que je côtoyais tous les jours, qui étaient pour moi d’une grande docilité, aussi bien tenus en main que montés, devenaient soudain de véritables furies dès qu’un cheval entier sentait qu’une jument était en chaleur.Je revois les juments, tenues par mon frère. On leur avait entravé les postérieurs, qu’elles ne puissent pas faire de mal à l’étalon. Dans l’attente de la saillie, leur corps était parcouru de grands frissons, et lorsqu’elles sentaient que l’étalon arrivait, lorsqu’elles étaient bien décidées de se faire saillir, elles relevaient la queue, écartaient les postérieurs, leur vulve s’ouvrait et lorsqu’elles étaient bien « chaudes » elles laissaient échapper de longs jets d’urine trouble et épaisse.Mon père arrivait alors, tenant l’étalon qui trottinait sur place, relevant son encolure, mettant sa queue sur son dos... il avait vraiment fière allure, avec ses sabots ferrés qui martelaient le sol, faisant parfois jaillir des gerbes d’étincelles. Mon père l’emmenait alors à la tête de la jument, qu’ils se reniflent bien tous les deux, s’assurant ainsi que la jument était bien prête à être couverte. Ils couinaient tous les deux, comme s’ils se parlaient, le mâle sentant la jument à féconder tandis que la jument saluait celui qu’elle reconnaissait comme pouvant la fertiliser.
La tête de l’étalon parcourait ensuite toute la ligne du dessus de la jument, de l’avant vers l’arrière, comme s’il l’embrassait, et elle était parcourue d’un long frisson. Arrivé au cul de la jument, il humait bien sa vulve et, retroussant alors les naseaux, il aspirait ainsi cette odeur qui transmettait à son cerveau que la jument était bonne à s’accoupler, tandis que son sexe commençait à sortir du fourreau. Lorsque celui-ci était entièrement descendu, il se dressait sur ses postérieurs, s’approchait de la jument et le sexe tendu au maximum, que l’on sentait tout dur et vibrant, prenait possession de la matrice de la jument.
Ses antérieurs reposaient alors de chaque côté de celle-ci, son corps était sur son dos. Trois ou quatre coups de reins assez violents indiquaient alors que l’étalon était en train de féconder la jument. Il se laissait ensuite glisser de son dos, reprenait de ses quatre membres contact avec le sol et son sexe d’où s’échappaient encore quelques gouttes de sperme rétrécissait rapidement, ressemblant à un petit tuyau tout mou, recroquevillé, qui rentrait rapidement dans son fourreau.La tempête était passée, les deux animaux retrouvaient alors leur calme.
Maintenant, les choses changent : il y a toujours une jument en chaleur, mais elle n’est présente que pour exciter le mâle ! Lorsque mon père amène l’étalon, il lui fait renifler la jument, mais il ne le laisse pas la saillir. Quand il est bien excité, que son sexe est bien descendu, onle fait monter sur un mannequin, censé représenter une jument, mon frère saisit alors la verge de l’étalon et l’insère dans un vagin artificiel pour recueillir le sperme qui servira à féconder plusieurs juments.
C’est l’insémination artificielle.
C’est lorsque je vis la bosse qui se formait dans le pantalon de mon frère quand il saisissait la verge de l’étalon que je me rendis compte que moi aussi j’étais tout excitée : je sentais mon entrejambe tout humide...Oui, j’étais fascinée par cette scène, fascinée par la verge de l’étalon, par sa grandeur, par sa grosseur, par la force sauvage qui se dégageait d’une saillie. Et je ne pensais qu’à une seule chose : recevoir sur moi la semence de l’étalon et à avoir en moi une partie de cette verge plus grosse, et surtout plus longue, que tout ce que j’avais pu connaître jusque-là. Mais il se dégageait une telle force, une telle virilité lors de ses actes que cela m’épouvantait et restait pour moi du domaine du fantasme.
J’ai cependant fait des recherches sur Internet, où les scènes zoophiles avec des chevaux ne manquent pas. Mais ce que je voyais alors était bien loin des scènes qui se déroulaient sous le hangar de monte du haras.Les chevaux étaient attachés, avaient parfois les postérieurs entravés, et des femmes caressaient, suçaient, pompaient le sexe de l’étalon pendant de très longs moments. D’autres faisaient rentrer l’extrémité de la verge de l’étalon dans leur vagin voire même dans leur anus. Mais cela ne faisait pas réel, le sexe de l’étalon n’était pas entièrement sorti, et il me semblait d’une mollesse, d’une vivacité insignifiante !Bref, tout cela était très loin du noble animal que je voyais arriver tenu par mon père, plein de vie, piaffant sur place et avec une verge longue et bien dure !Cette verge que j’espérais, pour moi !C’est ainsi que j’ai compris que pour réaliser ces scènes, on leur administrait des tranquillisants, qui les rendaient tout calmes et les faisaient déverger. C’est pour cela que ces femmes les caressaient aussi longtemps, pour avoir en elles des sexes qui finissaient par éjaculer, mais sans avoir la rigidité d’une verge lors d’une véritable saillie !Et moi je me disais que j’avais sous la main tout ce qu’il fallait pour faire beaucoup mieux...
Mais il me fallait aussi un complice, qui fut vite trouvé en la personne de mon frère, même si au début, il me traita de folle. Mais je réussis à l’exciter en lui décrivant mon fantasme, et il accepta enfin de m’aider pour le réaliser. Je n’allais pas, bien évidemment, utiliser un des étalons du haras : la semence se vendait trop cher pour être gaspillée, et le prélèvement était quand même à force éprouvant pour les étalons, déjà suffisamment sollicités. Mais j’avais toujours Sorietto, le cheval qui m’avait permis d’accéder à la compétition de haut niveau. Son origine et ses performances lui avaient permis d’être agréé étalon, mais cette carrière s’était vite arrêtée, les tests de fertilité s’étant avérés négatifs. Il était cependant resté entier et nous l’utilisions comme boute-en-train, pour détecter les juments en chaleur.Mais cela ne l’empêchait pas d’avoir tout ce qu’il fallait pour saillir !
Alors, un jour où mon père s’était absenté, je mis mon plan à exécution...La vieille Folie, jument toute calme, était bien en chaleur, et je l’attachais dans le hangar de monte. Mon frère avait été cherché Sorietto, et il lui faisait renifler la jument. Il piaffait sur place, dansant d’un postérieur sur l’autre. Et surtout, petit à petit, sa verge sortait du fourreau. Une belle verge, bien longue, rose à sa naissance puis bien noire avant de se terminer au niveau du gland déjà bien gonflé par un mélange de rose et de noir, une verge que je sentais durcir de plus en plus à mesure qu’elle s’allongeait.Je m’étais mis contre le mannequin, laissant cependant un léger espace derrière moi pour pouvoir reculer un peu en cas de coup de reins trop violent de l’étalon, le corps tourné dans la direction par laquelle Sorietto allait arriver. Il fut bientôt face à moi, dressé déjà sur ses postérieurs, son sexe battant l’air à hauteur de ma poitrine.
Tandis que son poitrail, antérieurs écartés, retombait sur le mannequin, j’avais saisi sa verge, épiant ses contractions pour deviner le moment où il allait éjaculer. J’avais enfin en main, face à moi, cette verge si ferme, tant désirée, que je sentais palpiter sous ma caresse. Quand je vis qu’elle se relevait quelque peu, se tendant encore un peu plus, je sentis que c’était le moment.
Je plaçais alors la verge face à mon vagin, que j’avais bien dilaté de mes doigts. Le coup de reins de l’étalon le fit me pénétrer, et heureusement que je tenais son sexe d’une main et avais laissé de l’espace derrière moi, sinon je pense qu’il m’aurait déchirée ! Je reçus en moi un flot de sperme d’une telle intensité que cela me fit crier de plaisir.
Baissant ensuite rapidement la tête, le second jet me remplit la bouche, me faisant suffoquer. Sortant alors le membre d’entre mes lèvres, je le dirigeais vers mes seins, vers mon ventre, recevant alors avec délice le reste de sa semence qui semblait ne jamais devoir se tarir. Je fus alors saisie d’un orgasme d’une rare intensité, ma cyprine se mélangeant en coulant sur mes cuisses avec le sperme de l’étalon.Mes genoux qui tremblaient ne purent bientôt plus me supporter et je me retrouvais à terre tandis que mon frère, doucement, faisait redescendre l’étalon du mannequin. Il le ramena à son boxe et quand il revint me trouva toujours à terre, haletante et étendant sur mon corps toute la semence de l’étalon.
Dans ma demi-inconscience, je remarquais combien son jean était tendu au niveau de sa ceinture.
Une relation incestueuse ne nous tentait ni l’un ni l’autre (nous avions déjà évoqué ce sujet tous les deux), mais il m’avait bien aidé et je le sentais vraiment congestionné, et saisissant son sexe, je le caressais de ma main jusqu’à ce que sa semence se mêle sur mes seins à celle de Sorietto.
Diffuse en direct !
Regarder son live