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Première soirée en club

Chapitre 2

Orgie / Partouze
Ils se levèrent alors et se dirigèrent vers l’étage supérieur, réservé aux couples....
Valerie flageolait sur ses jambes qui la supportaient à peine dans l’escalier....encore sous le coup de la vision de cette brutale pénétration publique, elle venait de perdre ses repères. Machinalement elle suivait son compagnon, lui tenant la main, telle un automate, le regard au loin.....
Au premier étage la salle principale était occupée par un grand lit rond, autour duquel on pouvait aisément circuler. Cet immense lit, placé sur une estrade pouvait facilement accueillir plusieurs couples et c’était d’ailleurs là, sa fonction première.
Un couple s’y ébattait, nu, l’homme à quatre pattes , la tête enfouie entre les cuisses de sa maitresse, qui reposant sur ses bras, la tête en arrière, les yeux clos, gémissant à un rythme régulier, semblait apprécier la gâterie qui lui était prodiguée.
Ils s’y attardèrent quelques minutes, appuyés sur le bord du lit, n’osant troubler les deux amants.
Virginie avait récupéré de sa première expérience de la soirée et semblait être de retour. Tout en regardant le couple se faire plaisir, elle sentait la pression de son compagnon derrière elle, ses mains caressant les courbes de son corps que couvrait à peine sa robe légère... Elle se sentait désirable et désirée et semblait flotter sur un petit nuage.... Aussi ne résista-t’elle point lorsque qu’il la poussa délicatement sur la partie encore libre de l’immense lit.
Allongée sur le ventre, parallèlement à l’autre couple, la tête à la hauteur de l’homme qui s’affairait toujours entre les cuisses de sa compagne, elle observait cette belle femme mure, aux courbes pleines, dont il se dégageait un érotisme sauvage, aggravé par cette posture lascive d’abandon au plaisir brut. Elle était encore ailleurs mais avait conscience que son compagnon avait retroussé sa robe et s’affairait à la débarrasser de son string, déjà descendu à mi-mollets....elle avait envie d’être prise...qu’il lui fasse l’amour, là, devant d’autres, sans aucune gêne...ils étaient seuls avec le décor....les glaces aux murs lui renvoyant l’image harmonieuse de leur couple, elle à moitié nue, chevauchée par son amant, débarrassé de sa chemise, les mains sur ses hanches.
Elle se laissait faire, sa robe l’ayant définitivement quittée, indifférente à son environnement, les yeux mi-clos, appréciant ce moment de calme après la scène de la piste de danse qui l’avait quelque peu remuée....et ce n’est qu’après quelques minutes que son esprit réalisa que les caresses de son compagnon, n’étaient plus tout à fait les mêmes....
Débarrassé de ses vêtements, à genoux, ses cuisses encadrant la tête de Virginie, il lui massait délicatement les épaules de ses deux mains, s’attardant sous les aisselles, à la naissance de ses seins.... mais il n’était plus le seul à la caresser....des mains douces effleuraient le haut de ses cuisses, comme n’osant aller plus loin.... Un frisson la parcourue...plaisir ou crainte...? Elle ne le sut jamais. Mais très rapidement son corps lui fournit une réponse, remuant ses fesses et écartant sensiblement ses cuisses.... la main s’enhardit alors, s’enfonçant d’avantage entre les jambes pour remonter par petits coups jusqu’à effleurer son sexe.Là encore, sans hésitation, son corps lui dicta l’attitude à adopter et relevant les fesses, elle vint à la rencontre de cette main inconnue, lui offrant le contact de ses lèvres humides.
Tournant alors la tête vers le couple, elle croisa le regard de sa voisine et comprit dans son regard souriant et quelque peu interrogateur, qu’elle était l’instigatrice des caresses qui se faisaient de plus en plus précises sur son sexe...
Comme pour laisser planer le doute, Virginie détourna la tête et se mit sur le coté, tout en prenant soin de légèrement rapprocher son corps de la main qui s’était immobilisée, comme attendant un signal positif. Celui-ci fut perçu comme tel lorsque Virginie, alors sur le coté, replia sa jambe supérieure, ouvrant de fait ses cuisses à cette main inconnue. S’accommodant ainsi de cette douce intrusion dans son intimité, elle s’était retrouvée, à hauteur de lèvres, face au sexe déjà bien ferme de son compagnon. Tentation trop grande, et à ne pas laisser passer, en l’état où elle se trouvait et c’est tout naturellement que du bout de ses lèvres et de sa langue, elle se mit à titiller le gland de son compagnon, réalisant très vite à quel point il y était sensible... Ce dernier, toujours à genoux, lui tenait la nuque d’une main et lui taquinait un sein de l’autre.... lui aussi avait du mal à contenir son excitation face à une situation tout à fait nouvelle, qui, il fallait bien le reconnaitre, les avait quelques peu dépassés, même si pour le moment le vécu n’était apparemment pas pour leur déplaire... Venus en observateurs, les voilà qu’ils étaient acteurs, timides certes, mais acteurs tout de même, et force était de reconnaitre que cet espèce d’anonymat dans lequel leur couple se retrouvait, semblait avoir un effet positif sur leur libido et annihilait toute forme de culpabilité. La morale judéo chrétienne semblait avoir été rapidement oubliée au profit momentané, de celle des bacchanales antiques......
Virginie, quelque peu hésitante au départ, s’était prêtée au jeu et semblait ne pas le regretter, à ce qu’il en percevait... fort occupée sur la verge durcie, auquel elle prodiguait une fellation des plus douces et des plus profondes, elle n’en remuait pas moins les hanches en un simulacre de coït , orchestré non plus par une seule main mais par deux.... En effet l’homme du couple d’à coté, lui massait consciencieusement d’un doigt, la corolle de chair de son petit trou, descendant parfois vers le sexe inondé de Virginie, et puis, ainsi lubrifié, reprenait son massage circulaire....A demi consciente, tant sa jouissance était proche, Virginie attendait d’être prise.....son ventre, désormais en feu, réclamait un sexe.... le sexe de son compagnon, bien sur, mais confusément elle réalisait à quel point sa volonté ne maitrisait plus ses sens....
Elle savait que quiconque, à ce moment précis, pouvait en disposer et qu’elle aurait accueilli n’importe quel sexe d’homme pour peu qu’il la prenne là, tout de suite, profondément....et elle aurait joui de tout son corps....
Elle n’avait su résister plus longtemps à cette nécessité impérative de se faire prendre par n’importe quel sexe disponible et était venue se planter sur la verge tendue de son compagnon, qui allongé alors sur le dos s’était vu présenter le coté pile de la magnifique croupe de Virginie. Cette dernière, accroupie sur son compagnon, les yeux fermés après s’être lentement empalée sur le pieu de chair, savourait comme il se devait, ce sentiment de dépendance tant attendu. D’un va et vient lent elle s’enfonçait d’avantage à chaque aller sur le piston de chair lubrifié à outrance.A chacune des pénétrations, son vagin se contractait sur le sexe durci, provocant un gémissement profond.
Son amant, les deux mains sur sa croupe provocante, essayait de l’enfoncer chaque fois d’avantage. Le spectacle de son sexe épais, pilonnant ce vagin béant était particulièrement fascinant et il eut voulu que ce moment ne cessa point....Oublié le décor, oubliés les couples qui s’étaient rassemblés autour du lit et se régalaient de cet accouplement magnifique, où amant et maitresse étaient seuls au monde avec leur jouissance lubrique. Des mains trainaient ça et là, caressant le sexe mâle au passage, ou alors titillant un des seins de Virginie, comme autant d’encouragements à la chose....
Le couple voisin était tout proche, spectateur privilégié de cet acte de chair....
Et comme pour bien montrer qu’elle avait assimilé les règles du jeu, Virginie s’était emparé d’une main, du sexe de l’homme et le masturbait consciencieusement synchronisant les mouvements de sa main et ses aller-retours sur la verge. Sa voisine vint alors poser ses lèvres sur le gland, comme pour marquer sa propriété mais aussi son approbation à un tel traitement de la part de Virginie...et enjambant la tête du compagnon de Virginie, lui présenta son sexe d’une façon qui ne prêtait guère à confusion. La sollicitation était claire et il était difficile d’y résister ou de la refuser, tant cela s’était fait naturellement.....
Le sexe ainsi offert était gonflé d’un désir palpable et tel un petit sexe mâle, le clitoris avait atteint des proportions impressionnantes et lorsqu’il le prit entre ses lèvres, il eut presque le sentiment de se saisir d’un doigt. La femme était sur le point de jouir à en juger à la façon dont elle allait et venait entre ses lèvres. Lâchant alors les hanches de sa compagne, il s’empara de celles de sa voisine et plaquant ses lèvres encore d’avantage contre le sexe qu’il butinait depuis quelques minutes, il prolongea la succion sur le bourgeon de chair, le faisant rouler entre langue et lèvres.
Tel un séisme venu du tréfonds du corps, la femme entra en transes et se mit à hurler, perdant manifestement tout contrôle de son corps, agitée de convulsions et de soubresauts, son sexe coulant d’une lave délicieuse....cela dura de longues secondes, et comme une réaction en chaine parfaitement synchrone, son compagnon agité de spasmes, se vida de son foutre dans la bouche de sa compagne. Virginie comme pour n’être en reste, accéléra son mouvement et bientôt, courbée vers l’avant, elle sembla chercher son souffle, agitée de spasmes et explosa d’un orgasme exceptionnel par son intensité.C’en était trop pour son compagnon qui sentant Virginie partir, ne pu lui aussi se retenir et s’abandonnant à sa jouissance ferma les yeux pour mieux en profiter et se vida en elle, à grands jets de sperme....
Tout était devenu noir autour d’elle tant la jouissance avait été puissante et Virginie subissait encore par vagues successives les contrecoups de l’orgasme qui l’avait chavirée....Confusément elle porta sa main sur son sexe et constata qu’il était littéralement inondé, mais chose étrange point de partenaire.....
Le décor du club avait aussi disparu mais un second se reconstituait au fur et à mesure que sa vue s’éclaircissait.
C’était sa chambre et elle était seule....
Fini l’ambiance feutrée et la lumière rouge, les mains qui la caressaient et ces corps entremêlés; elle comprit alors qu’elle venait de rêver et se souvint qu’elle s’était allongée sur sa couche, en petite tenue en attendant son amant... la chaleur qui régnait alors avait favorisé son assoupissement et elle se surprit à regretter ce retour sur terre... son ventre se contractait encore, sa respiration hachée la faisant douter des images qu’elles percevait.
Elle ferma les yeux, comme pour replonger dans cet univers qui venait de lui procurer un plaisir si intense....mais c’était l’obscurité la plus totale. Le miroir l’avait rejetée dans la banalité de la quotidienneté... Elle mit quelques minutes pour recouvrer son calme et sa lucidité. Les yeux fixés sur son plafond, elle se repassait les images de cette soirée dont elle avait du mal à admettre qu’elles n’étaient que le reflet de son imagination.... et, même si elle devait se rendre à l’évidence, elle voulait en savoir d’avantage. Comprendre ce qui venait de se passer en elle. L’expérience avait été trop forte pour Virginie pour qu’elle accepte de ne conserver de ce moment hors du temps que le souvenir de la déception d’un retour brutal à la réalité du moment.
Elle devait savoir... après tout, elle n’avait pas rêvé à quelque chose de si extraordinaire.... Elle se prit à sourire... de tels lieux existaient, son amant était en route pour lui faire l’amour, la vie lui réservait régulièrement de bons moments, alors, où était le problème.....?
De nouveau elle ferma les yeux, se massant lentement son entrejambe, quelque part apaisée et rassurée.... autour d’elle il ne faisait plus noir, et elle reconnut cette lumière rouge, le velours des fauteuils....La porte du pavillon venait de claquer discrètement, l’homme qu’elle attendait était dans la pièce à coté......
Elle avait envie......
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