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première sortie en club pour ma tante

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Agé de 50 ans je suis depuis quelques mois l’amant de ma tante, une belle femme mature de 71 ans veuve depuis un an. Mariée pendant 50 ans, elle n’a connu qu’un seul homme et sur le tard elle découvre et apprécie en ma compagnie les plaisirs du sexe. Il y a quelques semaines elle me confia son fantasme de faire l’amour avec deux hommes à condition qu’ils soient très jeunes. Ne pouvant faire autrement que d’accéder à ses désirs j’ai invité un soir trois jeunes militaires, dont un noir, d’une vingtaine d’années qui l’ont baisée dans toutes les positions et fait jouir pendant plus de deux heures. Après cette expérience je lui ai proposé de continuer sa découverte du libertinage en allant dans un club échangiste. Une proposition qu’elle refusa en m’expliquant qu’elle ne se sentait pas prête pour se dévoiler devant des inconnus. Je lui ai fait remarquer que les trois militaires étaient bien des inconnus avant qu’ils ne viennent s’occuper d’elle. " C’était chez moi, ce n’est pas la même chose que d’aller dans un club" m’a-t-elle répondu.
Je n’ai pas insisté mais je suis revenu à la charge il y a quelques jours en lui disant que l’on pouvait aller faire un tour dans un club mais que nous n’étions pas obligés d’y faire quelque chose. "OK, m’a-t-elle dit, on y va juste pour prendre un verre et regarder ". Trop content de sa réponse je l’ai décidée pour le lendemain, un vendredi. Nous sommes allés dans un club dans la région de Nantes. En se préparant chez elle, je la sentais tendue, anxieuse. Je lui dis de s’habiller d’une manière sexy. Elle ressortit la tenue que je lui avais offerte pour accueillir les trois jeunes militaires : bas, porte-jarretelles, string fendu et soutien-gorge ouvert dévoilant ses tétons. En enfilant sa jupe, elle eut un moment d’hésitation en disant " on ferait mieux de ne pas y aller ". Je l’ai rassurée, en lui disant que tout allait bien se passer et que nous ne ferions rien si elle ne le voulait pas. Mes paroles l’ont à peine décontractée mais elle enfila quand même son manteau ce qui était le signal du départ.
Durant le trajet, elle habite à 80 kilomètres du club où nous allions, elle ne parla pas beaucoup. Je sentais qu’elle allait refuser au dernier moment. Nous sommes arrivés vers 23 h. Garées sur le parking il y avait une vingtaine de voitures. Au moment de descendre elle eut un moment de recul... " On s’en va "me dit-elle. Une fois encore je la rassurai et si elle accepta je sentis que c’était à contrecœur. Le portier est venu nous ouvrir. Nous avons laissé nos manteaux aux vestiaires et nous avons filé vers le bar. Accoudés au comptoir ou assis dans les fauteuils il y avait une quinzaine d’hommes. Nous avons pris un jus d’orange et sommes allés nous asseoir dans un fauteuil. À côté de nous il y avait un couple, une dame d’environ 60 ans et ce qui me semblait être son mari, un monsieur un peu plus âgé. Ils étaient en compagnie de deux hommes et tous les quatre discutaient tranquillement. Peu à peu je sentais Alice se détendre. " Tu t’inquiétais pour rien" lui dis-je en lui caressant le cou.
Nous avons fini notre jus d’orange et j’ai proposé de lui faire visiter les lieux. Nous sommes montés dans les chambres. Comme je m’y attendais, trois ou quatre hommes ont rapidement pris le même chemin. Malheureusement là-haut c’était le calme plat. Personne dans les coins câlins. Un peu déçu, j’ai pris Alice par la main et nous sommes redescendus. Nous sommes retournés nous assoir à la même place. À côté de nous il y avait eu un peu de changement. Les deux hommes qui accompagnaient le couple de sexagénaires avaient quitté leur fauteuil pour s’installer sur le petit canapé avec la dame entre eux deux. Ils ne restaient pas inactifs car tout en discutant ils caressaient la dame dont ils avaient remonté la jupe jusqu’à mi-cuisse. Alors que l’un des hommes l’embrassait à pleine bouche tout en lui ouvrant son chemisier, l’autre prolongeait sa caresse sous la jupe de la dame sous l’œil impassible du mari. La scène n’avait évidemment pas échappé à Alice qui semblait captivée par le spectacle. Voir une femme se faire caresser ainsi c’était une première pour elle.
Elle n’était pas au bout de ses découvertes. Tout en regardant la scène je posai une main sur la cuisse d’Alice que je commençai à caresser. Sans la brusquer je lui écartai un peu les cuisses et j’accentuai ma caresse vers son entrejambe. Un homme d’une quarantaine d’années s’approcha de nous et demanda s’il pouvait s’assoir dans le fauteuil à côté. Je me doutais bien qu’il ne venait pas là uniquement pour poser son verre à notre table. Tout en s’essayant il rapprocha discrètement son fauteuil d’Alice. Alors que je continuai mon va-et-vient sur la cuisse de ma tante je surveillai discrètement la main de l’homme qui ne tarda pas à être baladeuse. À côté de nous la dame était à moitié dévêtue et les deux hommes avaient sorti ses seins qu’ils suçaient voracement tout en lui caressant la chatte. En regardant la scène je remontai au maximum la jupe d’Alice dévoilant un peu plus son intimité. Mon regard croisa celui de notre camarade de jeu qui s’enhardit à la vue du clin d’œil que je lui fis.
Il avait compris que j’étais d’accord. Il s’approcha encore plus d’Alice et commença à l’embrasser dans le cou tout en lui pelotant les seins. Elle ne refusait pas les caresses et les yeux mi-clos elle semblait même apprécier la situation et d’une main elle caressa le torse du Monsieur qui n’était vêtu que d’une serviette. Prenant Alice par la main il se leva et proposa d’aller continuer dans une chambre à l’étage. Alice qui remettait de l’ordre dans ses affaires, elle avait rabattu sa jupe, m’interrogea du regard. Je lui dis " je finis mon verre et je monte vous rejoindre". Tous les deux s’en allèrent vers les escaliers suivis, comme je l’espérais, par une bonne moitié des hommes assis au comptoir qui se doutaient que quelque chose allait se passer. Tout en finissant mon verre je regardai la scène à côté de moi où la dame, qui n’avait plus sur elle que ses bas et son porte-jarretelles, suçait alternativement ses deux partenaires sous le regard de son mari qui avait ouvert sa braguette pour se branler.
Le spectacle était tellement bandant que j’en oubliais presque Alice. Il y avait bien dix minutes qu’elle était partie avec son partenaire et de peur qu’elle ne s’inquiète je décidai d’aller les rejoindre. Arrivé à l’étage je ne mis pas longtemps pour comprendre dans quelle chambre ils se trouvaient. L’attroupement devant la porte me renseigna. Je m’approchai mais il y avait trop de monde pour que je puisse rentrer. Me hissant sur la pointe des pieds je ne distinguais d’abord rien à cause de la pénombre de ce qui se passait dans la chambre mais je me doutais bien qu’Alice et son partenaire avaient été rejoints par d’autres hommes. Un des hommes qui était devant la porte s’en alla de ce qui me permit de m’approcher. Mes yeux s’habituèrent peu à peu à l’obscurité. Sur le lit ils étaient cinq autour d’Alice. Allongée sur le dos elle avait la jupe retroussée jusqu’au nombril et les jambes largement écartées pour permettre à son partenaire, j’appris par la suite qu’il s’appelait Mario, de lui lécher la chatte.
Alice n’était pas inactive. Alors que deux hommes se relayaient tour à tour dans sa bouche, elle branlait les deux autres qui, de chaque côté, lui suçaient un sein. Mario se releva pour enfiler un préservatif sur son sexe qu’il avait de bonne taille. Les deux qui suçaient les seins levèrent les jambes d’Alice pour permettre à Mario de la pénétrer. J’entendis Alice pousser un cri lorsqu’il rentra. D’où j’étais placé j’avais une belle vue sur la queue qui allait et venait dans la chatte. Alice semblait apprécier le traitement tant ses gémissements se faisaient de plus en plus rapides. À côté de moi, les hommes ne savaient pas qui j’étais, les commentaires allaient bon train. On entendait des " quelle salope", ou des " c’est une vraie chienne" de la part des hommes qui attendaient leur tour en se branlant. Les deux hommes qui se faisaient sucer déchargèrent presque en même temps sur son visage. Aussitôt, deux autres les remplacèrent. Soudain Mario accéléra le rythme. Alice gémissait de plus en plus fort.
D’un seul coup je vis son corps se tendre, elle hurla un grand coup. Elle avait joui. Aussitôt Mario sortit de la chatte, enleva le préservatif pour aller décharger une bonne rasade de sperme sur ses seins. Mario m’aperçut, il me lança un clin d’œil et s’approcha de moi pour me dire " elle est bonne ta femme" ne sachant pas que c’était ma tante ! Sur le lit l’activité avait repris de plus belle. Pour qu’elle soit plus à l’aise, un homme avait fait glisser sa jupe. Il en profita pour se mettre sur le dos et demanda à Alice de venir le chevaucher. Elle était à peine installée sur la bite qu’un deuxième homme se présentait derrière elle et s’enfonçait dans son petit trou. Deux hommes se mirent debout pour présenter leur queue devant la bouche d’Alice qui les avala l’une après l’autre. Il y eut un mouvement de foule à l’entrée de la pièce. Les hommes laissaient passer l’autre dame qui était montée accompagnée par ses deux amants. Si ces deux derniers étaient nus laissant voir une belle érection, le mari était toujours habillé.
Mario proposa au petit groupe de venir s’installer sur le lit à côté d’eux. " D’accord" dit la dame qui s’allongea sur le dos pour se faire entreprendre par ses deux partenaires. Celui qui enculait Alice se retira, ôta sa capote pour aller décharger sur les gros seins de la dame à côté. Sur le lit il n’y avait plus un centimètre de place. Outre les deux dames il y avait près de dix hommes qui se relayaient dans tous les trous offerts à leur voracité. Des hommes partaient, d’autres arrivaient. Je n’ai pas compté le nombre de queues qu’Alice a sucé et pris dans tous ses trous durant la soirée mais ça devait dépasser la vingtaine. Nous avons quitté la boîte vers deux heures du matin après avoir pris les coordonnées de l’autre couple qui nous a invités chez lui pour la semaine prochaine. Mario m’avoua avoir un faible pour Alice. Comme cette dernière ne semblait pas insensible à son charme nous avons promis de l’appeler prochainement pour qu’il vienne passer une soirée avec nous. "De toute ma vie je n’avais jamais connu autant de plaisir" m’avoua Alice en remontant dans la voiture.
Se dévergonder à 70 ans, il n’y a pas d’âge pour se faire plaisir.
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