Je suis un jeune homme de 23 ans et pour le boulot, je viens juste d’emménager à Paris. Je suis seul dans mon nouvel appartement et je me sens perdu dans cette immense ville que je ne connais pas. Je ne connais personne, je commence le travail dans plusieurs jours et je risque vraiment de m’ennuyer d’ici là. Je navigue donc sur quelques applications de rencontres à la recherche d’une fille, même pour aller boire un verre, mais rien de concluant. Je décide donc d’aller courir pour passer le temps et maintenir ma condition physique. (Grand, brun, petite barbe et assez mignon)
Je descends l’immeuble et dans les escaliers, je fais une mauvaise chute de quelques marches et tombe nez à nez en face d’une paire de pieds, de très jolis pieds. J’ai déjà eu quelques expériences fétichistes mais rien d’extrême. Je me relève et c’est une jolie femme, svelte et sexy, qui est en face de moi. Je lui dis que ça va, on se salue poliment et je pars faire mon footing. J’ai du mal à courir car j’ai une érection assez forte. Je repense à ses pieds et j’ai terriblement envie de les avoir dans ma bouche. Je tente de chasser ces idées mais rien n’y fait, elle a eu raison de moi. Je décide de rentrer et ne la recroise pas, jusqu’au lendemain. Je remontais chez moi après être sorti manger vers 19 heures et elle était devant moi dans l’escalier, en short avec ses longues jambes me rendant fou. Arrivé devant chez elle, elle me demande si je compte tomber à nouveau à ses pieds et je dis qu’ils sont très jolis et qu’une mauvaise chute peut se transformer en jolie vue. Elle ne répond pas mais me regarde avec détermination, c’est une femme de caractère et j’ai très envie qu’elle fasse de moi sa chose, son objet sexuel. Elle m’invite à prendre un verre et j’accepte. — Retire tes chaussures ici. Tant mieux, je vais pouvoir regarder ses pieds en buvant un verre. On fait connaissance quelques instants et en voulant boire, elle fait tomber son verre et se retrouve avec du liquide plein les jambes et les pieds. — Je n’ai pas envie de tacher mon appartement, prends-moi un essuie qui se trouve dans la commode derrière toi. Elle est directive et j’aime ça, je vais le chercher et reviens devant elle. — Aide-moi à me sécher. Je suis tellement heureux, j’ai l’impression d’être son jouet. Peut-être que je me fais des films mais autant en profiter. Je l’essuie lentement du haut des jambes, tout en profitant de la vue et en sentant mon sexe gonfler, jusqu’au bas de ses pieds, que j’essuie... Lentement. Je ne m’en rends pas compte mais elle avance de plus en plus son pied vers mon visage et finit par le toucher. Je le respire fort, il sent bon et je deviens fou, je pose l’essuie.
— Lèche-moi les pieds, soumis, tu en meurs d’envie. Fais-le, maintenant. Oh je ne me fais pas prier, je suis accroupi devant elle, comme une petite pute, avec ma langue qui passe partout sur ses pieds, entre ses orteils, sur la plante, dessus. Je suis aux anges et bande comme un fou. — Tu es une vraie pute, mets-toi à quatre pattes. Je vais chercher du matériel. Je ne comprends pas mais exécute ses ordres, je suis sa chose désormais. Elle revient après un court instant et me bande les yeux. Ensuite, elle m’attache à la table et baisse mon jeans. Elle revient et me met à nouveau ses pieds sur le visage. Je suis occupé de devenir fou et je sens que je vais exploser. Je gémis comme une pucelle. Elle se retire et vient derrière moi. Je sens un gel froid aller sur mon anus et je me demande s’il n’y a pas deux-trois mecs derrière prêt à me violer ou si elle va m’enfoncer un concombre. Mais je suis très excité en pensant à tout ça et je cambre naturellement les fesses, pour faire plaisir à ma maîtresse.
Elle commence à me frapper avec une cravache en m’insultant et que j’aime ça, je ne réponds plus de moi. Je la sens ensuite se positionner autour de moi et je me rends compte qu’elle a mis un Gode Ceinture, elle pousse lentement et je gémis mais également de douleur, c’est ma première fois. Elle pousse tout en m’insultant et le gland du Gode passe, elle commence alors ses va-et-vient et je me dis "Je suis en train de me faire enculer par ma voisine" je pourrais avoir peur et tout arrêter mais non, j’aime trop cela. Elle va de plus en plus vite et je crie comme une pute. Elle me met alors un bâillon à anneau dans la bouche et continue à me prendre. Je bave de partout, j’ai l’impression de me faire éjaculer dessus tellement je sens ma bave couler à flots. Mais je suis terriblement excité. J’aime tellement cette situation
Après une vingtaine de minutes à me faire prendre comme une chienne, elle s’arrête revient ; tire le bâillon et met ses pieds dans ma bouche. — Suce-moi, soumis.— Oui maîtresse, dis-je le pied dans la bouche.— Qu’es-tu, soumis ?— Votre chose, maîtresse.— Tu aimes te faire prendre.— Oui maîtresse, je suis tout à vous, je ferais tout ce que vous voulez, tout, promis maîtresse. Elle revient derrière et après une minute, je sens qu’elle me pénètre à nouveau. — Branle-toi, mais si tu éjacules, gare à toi.— Oui maîtresse. Elle me démolit et en même temps je me branle mais je ne tiens pas le deal, je lâche une quantité de sperme comme jamais j’ai lâché sur le sol. Je me sens vide mais j’ai encore envie d’elle — Tu n’as pas tenu, nettoie dit-elle en sortant de mon cul.— Nettoie ? Maîtresse ?— Oui lèche tout. Je n’ai pas le choix, je n’ai jamais fait ça mais je dois satisfaire ma maîtresse.Je me mets à avaler mon sperme pendant qu’elle me frappe le cul à la cravache. — Tu es une bonne pute.— Oui, maîtresse, rien qu’à vous, dis-je en avalant le reste du liquide flasque jonchant le sol.— Mais je t’avais dit de ne pas éjaculer, la prochaine fois, tu seras puni en conséquence. Elle me dit de me rhabiller et de partir. Je suis rentré chez moi, le cul ouvert, la bouche sentant mon propre sperme, après avoir été attaché, bâillonné, par ma voisine du dessous. Paris, ça commence bien...
