Enfin le déconfinement !! Après plusieurs mois nous pouvons enfin organiser un rendez-vous sexuel chez moi. Pendant toute la période enfermés à la maison, nous avons échangé de nombreux fantasmes, ce qu’il voudrait que je lui fasse, comment il voulait que je lui parle, etc. Ce qu’il veut surtout, c’est se faire prendre et être passif, sucer, se faire prendre, être ma salope comme il me l’a dit.Nous avons tous les deux les mêmes envies, c’est-à-dire de dominer l’autre quand on est actif et être une petite salope en étant passif. J’adore l’entendre me traiter de salope ou de chienne quand je le suce ou quand il me pénètre.Pendant deux jours avant son arrivée, j’ai l’impression d’être excité à plein temps. J’imagine sa bouche sur ma queue, mon sexe qui entre dans ses fesses, ses gémissements quand je l’encule, bref j’ai envie de lui comme j’ai rarement eu envie de quelqu’un. Enfin le moment est venu, il me dit qu’il arrive et immédiatement je bande, pendant cinq minutes, mon jean me fait mal à l’entrejambe et j’ai peur de jouir à peine il me touchera. Hier soir il m’a encore envoyé un mail me disant combien il avait envie de sentir mon sexe en lui, aller et venir dans son anus et mon sperme le remplir ! Il sonne, nous montons dans ma chambre. Je passe tout de suite derrière lui, comme je l’ai fantasmé toute la nuit. Ma main gauche se pose sur sa poitrine, et ma droite caresse doucement ses fesses. — Tu m’as manqué, lui dis-je, j’ai très envie de toi Je lui enlève, bouton après bouton, sa chemise, doucement, il ne dit pas un mot. Il souffle simplement, très fort. Une fois torse nu, je lui pince doucement les tétons et lui murmure à l’oreille. — Tu m’as dit par mail que tu voulais être ma salope, que tu voulais te faire baiser, je vais exaucer ton vœu. Il plaque ses fesses contre mon sexe, et ondule pendant que je continue à pincer ses tétons. Puis je descends ma main droite à nouveau vers ses fesses puis doucement vers l’avant de son jean. Je l’embrasse dans le cou et ma main vient à la rencontre de son paquet. Je sens à travers le tissu qu’il bande bien dur. — Tu bandes bien, c’est de savoir que je vais bien te baiser qui t’excite comme ça ? — Oui, dit-il comme premier mot depuis son arrivée, j’ai envie que tu me prennes J’ouvre son pantalon, le laisse tomber à terre, j’entre ma main dans son caleçon, et prends son sexe en main. Je le branle tout doucement, il pose sa tête en arrière sur mon épaule, il s’abandonne et appuie un peu plus ses fesses sur mon paquet tout en continuant d’onduler. Je baisse alors son caleçon de quelques centimètres. Il se baisse pour finir de l’enlever et enlever par la même occasion son pantalon. Il s’appuie nu sur le bord du lit et je mets immédiatement ma main entre ses fesses. Il reste ainsi, appuyé les deux mains sur mon lit, il écarte les cuisses et m’offre un accès à son anus. Je me déshabille rapidement et m’agenouille derrière lui et entreprends de lui lécher l’anus, mais toujours doucement, je veux le faire monter en pression doucement. Après quelques minutes d’anulingus, j’entre un doigt, puis deux. Je commence à perdre un peu de lucidité, j’ai envie de le défoncer. Je me relève et me colle à lui, mon sexe calé entre ses fesses et je commence à faire des allées et venues ainsi. Il gémit — Prends-moi, mets-la en moi— Tu veux que je te baise comme une salope ?— Oui, prends-moi— Tu veux être ma salope ?
— Oui— Une salope ça suce avant de se faire baiser Je me recule, fais le tour et m’allonge sur le lit. — Viens entre mes jambes et prends-moi dans ta bouche Il s’exécute et commence à me sucer comme un assoiffé de bite — Doucement, prends ton temps C’est avec application qu’il me pompe tendrement, c’est tellement bon, je ferme les yeux et profite à plein de cette pipe exceptionnelle. — Regarde-moi quand tu me suces Il me regarde et rembouche mon sexe presque en entier. Il prend mes couilles et les caresse en même temps. Le jus commence à monter. — Viens t’asseoir dessus, je veux te baiser Il prend le gel, badigeonne son anus, en met sur mon sexe et se met sur moi. Presque immédiatement, ma queue entre entièrement en lui. Il est ouvert comme jamais. — T’es tout ouvert ma salope Il me sourit — J’en avais tellement envie Il commence alors à bouger, à aller et venir, serrant ma queue, accélérant, ralentissant, les yeux fermés, il savoure le moment. Je prends son sexe en main et le masturbe doucement pendant qu’il prend de plus en plus son pied, si j’en crois ses gémissements de plus en plus forts. Il bande à fond et un des fantasmes dont il m’avait parlé était de jouir sur mon torse pendant que je l’enculais. J’avais envie de lui offrir ça. Même un peu plus, et je me penche et arrive à mettre son gland dans ma bouche. Il bouge pour à la fois s’enculer et me baiser la bouche. Je le regarde dans les yeux, il gémit, a du mal à garder les yeux ouverts, perdu dans son plaisir. — Je vais jouir, m’annonce-t-il— Tu veux jouir dans ma bouche ou sur moi ?— Je sais pas, fais-moi jouir comme tu veux Je garde un peu encore son gland dans ma bouche, puis me recule et accélère mes coups de reins, il crie et me dit qu’il va jouir. D’un coup, son sperme jaillit de sa queue sans que ni lui ni moi n’ayons à le branler. C’est sans se toucher qu’il m’inonde le torse de foutre — Ah putain, oui, oui !!! Il crie son plaisir en éjectant une dose importante de sperme J’accélère et rapidement je me vide au fond de son anus jouissant pratiquement en même temps que lui, un orgasme énorme comme rarement j’en ai connu. Il est toujours assis sur moi, mon sexe ramollit doucement en lui et nous nous regardons sans parler, souriant et conscient de la jouissance énorme que nous venons de partager, éreintés.Finalement, il s’allonge à côté de moi, nous reprenons notre souffle. Après avoir récupéré, nous décidons d’aller prendre une douche.Contrairement à d’habitude où mon excitation retombe complètement après avoir joui, j’ai encore envie de sexe. Sous l’eau, nous nous savonnons et je passe du savon sur son sexe, que je prends en main, le branlant doucement tout en le regardant droit dans les yeux. Son regard me semble plus dur que tout à l’heure, il est passé de salope à dominateur. J’adore ce changement, je me mets à genoux, sans lâcher son regard et tourne ma langue autour de son gland, puis je lèche son sexe, des couilles jusqu’au gland, plusieurs fois, toujours en le regardant. — C’est à moi d’être ta salope maintenant Il ne répond pas et met sa main derrière ma tête et me guide pour prendre son sexe en bouche. — Suce-moi Je suis hyper-excité, je suis sa salope, sans aucune contestation, et je veux qu’il le sache. — Tu peux me faire tout ce que tu veux, je suis à toi Et sans attendre, je reprends ma pipe en m’appliquant le plus possible, utilisant ma langue pour titiller son gland tout en faisant des allers-retours, j’ai envie de le faire jouir avec ma bouche, qu’il m’inonde la langue de sperme. Mais il a une autre idée Il nous fait sortir de la douche, et sans se sécher, me fait me pencher en avant, les mains autour de l’évier et se frotte à moi, puis me rentre un doigt sans préparer mon trou, mais aucun souci, je suis excité et ça rentre tout seul. — T’es ouvert, tu as envie ma salope Il me parle en me regardant dans la glace. Il accélère son doigtage, entrant un deuxième doigt qui me fait un bien incroyable. — Regarde-toi dans la glace comme tu aimes ça qu’un mec te mette des doigts dans le cul Je me regarde, et mon visage est déformé par le plaisir, je n’ai aucune honte à me regarder prendre plaisir, et voir derrière moi Marc qui pilonne maintenant mon cul avec ses doigts. Il prend le gel qu’il avait emmené, en met sur mon anus, sur son sexe et rapidement présente son gland entre mes fesses. Il pousse et doucement son sexe entre en moi. On se regarde dans la glace, il sourit et quand il est entièrement en moi il me dit — Tu la sens bien en toi ?— Oui, c’est bon Sans prévenir, il accélère immédiatement et me baise directement sans douceur, il me défonce comme il me l’avait promis dans les mails échangés pendant le confinement. Je me vois dans le miroir, bouche ouverte, yeux à moitié fermé, la tête baladée par les coups de reins de Marc qui lui regarde sa queue coulisser en moi, puis me regarde tout en me traitant de petite salope, de chienne, tout ce que j’adore !Il ralentit, sort son sexe de mes fesses et m’emmène dans le lit. Il me met à quatre pattes au bord et se renfonce en moi, puis recommence à me pilonner. Il me relève et prend ma bite en main et me branle activement pendant qu’il m’encule. Je perds pied, la jouissance est proche, son sexe tape ma prostate et m’envoie des décharges électriques.Tout à coup, il s’arrête enfoncé entièrement en moi, ma tête repose sur son épaule, et je ne peux pas m’empêcher d’onduler pour ne pas arrêter cette baise qu’il m’offre — Ça, c’est une bonne salope, vas-y tu peux pas t’arrêter hein, tu veux encore te faire baiser ? Je ne réponds pas mais me remets à quatre pattes et je me baise comme un fou, reculant jusqu’à sentir son ventre sur mes fesses et avançant jusqu’à avoir son gland presque sorti de mon cul, je ne suis plus qu’un trou qui veut être rempli. Je le regarde, il est debout, il ne bouge plus et me regarde — Claque-moi le cul Une fessée s’abat tout de suite après ma demande et pour une première, une onde électrique me traverse le corps, j’en redemande et il recommence, trois-quatre fois, la jouissance monte, je sens que ça vient et tout à coup je suis terrassé par un orgasme, je crie, mon sperme coule de mon sexe et je suis secoué de spasmes. Marc s’agrippe à mes hanches et en quelques coups de reins me rejoint. Je m’effondre sur le lit, sur le ventre, jambes écartées, Marc en profite pour introduire deux doigts et me fouiller l’anus souillé de son foutre, monte sur le lit et renfonce son sexe en moi, une nouvelle décharge me traverse, il me met trois ou quatre grands coups, s’enfonçant au maximum en moi et à chaque fois la décharge est aussi bonne. Puis il s’écroule puis roule à côté de moi. Nous retournons sous la douche, mais aucun son ne sort de nos bouches, nous nous lavons mutuellement, nous masturbons lentement l’un l’autre mais impossible de repartir. Je me mets à genoux et le suce — J’en peux plus, me dit-il— Je voulais te remercier pour cette jouissance incroyable Il a du mal à rebander mais finalement son sexe finit pas répondre et à durcir sur ma langue.Nous finissons en 69 sur le lit, sur le côté, chacun enfonçant plusieurs doigts dans l’anus de l’autre et nous éjaculons finalement quelques gouttes dans la bouche de l’autre. Enfin, il est l’heure de se séparer, aucun regret cette fois-ci nous avons été au bout de nos envies, et je n’ai qu’une hâte jouir à nouveau aussi fort avec lui.
