Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 181 J'aime
  • 4 Commentaires

Premières

Chapitre 1

Première fellation

Hétéro
Avertissement : Ces écrits ne sont, en aucun cas, le fruit de mon imagination mais ma réalité dans ma plus simple intimité.[Lyon - Parc du Fort de Montluc]Vendredi soir avec les copains, ce sont les soirées feux sur la Place Bellecour mais je ne sais plus pour quelle raison, nous nous retrouvons à migrer dans un parc du 3ème arrondissement. Je sors avec A. depuis moins de deux mois, c’est mon premier véritable "petit copain". Les hormones en ébullition depuis notre rencontre fortuite, nous parlons ouvertement de nos désirs réciproques par SMS. Nous sommes amoureux et à l’aise. Ce soir-là, on se retrouve donc à zoner en bande éclectique. Il y a les métalleux avec leur longue crinière et leur t-shirt de groupe, les gothiques en new rock et chainette puis les babos plus âgés que nous. Nous devons être une quinzaine à prendre possession de l’Esplanade entre le collège, le parc à enfants...et la prison. En ce mois de Juin, le ciel est encore clair jusque tard, nous profitons de la fraîcheur de la soirée: Nous rions, fumons, tisons. La jeunesse décadente quoi...L’obscurité gagne le terrain et l’ivresse nous grise insidieusement. Le groupe se morcelle en couples éphémères pour trouver à chaque coin du jardin un peu d’intimité. A. m’invite à le suivre derrière des buissons. Là, il s’allonge dans l’herbe et moi, à ses côtés, je commence à l’embrasser tendrement. La manzana donne un goût sucré à mes baisers et lui, gourmand, ne tarde pas à fourrer sa langue entre mes lèvres. Nos embrassades deviennent plus fiévreuses et nos mains baladeuses. Il me caresse un sein sur mon t-shirt Rammstein -mon préféré où sous un ange à quatre pattes est écrit "Keine Engel"-. Mon téton se durcit au fond de mon soutien-gorge. Celui-ci est épais -rembourré- et je vois bien que cela le frustre alors je le dégrafe et le pose dans l’herbe. Il me demande de grimper sur lui et j’obéis. A califourchon, il a une prise totale sur ma poitrine. A pleine paume sous le tissu, il me masse les seins et déjà, je prends du plaisir parce que je suis -très- sensible de cette zone érogène. Ses caresses durent et me chauffent, j’ai la tête qui tourne un peu sous l’euphorie. De son côté, A. est à l’étroit dans son treillis. Il porte une main à sa ceinture cloutée et me demande.— Je peux?J’ai le coeur qui bat alors à cent à l’heure parce que c’est la première fois qu’un homme se déshabille explicitement pour moi. Le visage rougi d’un coup de chaud, je me mord la lèvre et acquiesce. Quelques secondes plus tard, je suis en train de phaser sur la goutte qui perle de son gland. J’ai envie de le toucher mais je n’y connais rien et j’ai vraiment peur de mal m’y prendre. Pourtant la petite goutte fraîche m’hypnotise. A. me retire mon t-shirt, le vent frais sur mon buste mis à nu me tire de longs frissons. Avant qu’il n’ait pu reprendre son massage, j’ai cédé et ployé l’échine entre ses jambes. Un peu brutalement, je glisse son sexe dans ma bouche. Je le sens se durcir et palpiter sous ma langue. A. grogne entre surprise et soulagement. Pour me rassurer, il pose une main dans mes cheveux rouges et là, ma mâchoire se détend. Du plat de la langue, je caresse sa chair tendue. Je...ne sais pas quoi faire d’autre alors c’est lui qui me guide. Lentement, il ondule du bassin, se laissant coulisser entre mes lèvres. Moi, je ne bouge pas mais salive abondamment au point tel que j’en viens à devoir aspirer pour ne pas lui baver sur le pantalon. A. pousse un râle de plaisir et s’arque au fond de mes joues. Je crois deviner ce qu’il me reste à faire...D’une main moite, je stabilise la base de sa queue puis j’entame un va-et-viens un peu déconstruit de ma tête avant de finalement trouver un rythme qui lui tire de plus en plus de soupirs. Dans des bruits peu glorieux, je le suce et l’aspire. A. réprime un cri dans son poing quand je m’attarde sur son gland. La texture y est plus lisse mais moins douce que la peau veinée de son sexe. La goutte a déjà fondu sur ma langue mais je ne me souviens pas de son goût, le palais encore parfumé de liqueur. Je m’y prends mal parce que bien vite, j’ai mal à la nuque et ma mâchoire se crispe. A. reprends le dessus pour me soulager dans l’effort. Il a plaqué ses deux mains sur mes tempes et me baise littéralement la bouche. Je comprends à ses râles qu’il n’en a pas fini avec moi. Je sens son gland me trouer les joues, presser contre ma gorge. Je mouille mon tanga autant que je salive sur lui. En faite, je réalise sous ses coups de reins que la peau elle-même n’a pas vraiment de goût. Je me fais pilonner la bouche et j’y prends un plaisir coupable. Les yeux fermés, ça tourne et ça me brasse alors je les garde grand ouvert fixant sa ligne de poils sur son bas-ventre.— Je vais jouir...Dans l’élan plus rien ne nous arrête et dans un cri incontrôlable, il gicle dans mon palais. Là pour le coup, je le sens le goût exploser dans ma bouche en trois salves chaudes et épaisses. J’ai un haut le coeur mais vu qu’il tarde à freiner la cadence, je ne me sens pas d’autre choix que d’avaler sa semence. Je grimace quand il se retire, essoufflé. La poitrine nue, je cherche rapidement à tâtons une bouteille d’alcool pour me rincer la bouche quand nous entendons juste à côté de nous, un des copains, allongé sur le côté, taper dans ses mains. Rien qu’à me repasser les applaudissements, j’en rougis toujours.
Diffuse en direct !
Regarder son live