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Premières passions

Chapitre 1

Les retrouvailles

Hétéro
Ils s’étaient donné rendez-vous dans une soirée masquée. Chacun arrivait de son côté pour pimenter leurs retrouvailles. « Cherche-moi », avait-elle écrit sur son message, une demi-heure plus tôt, et c’est ce qu’il faisait. Lui-même masqué, il scrutait la foule avec des yeux de chasseurs, savait qu’il la reconnaîtrait entre toutes, mue par un désir impatient. Elle lui avait envoyé, avec son message, une photo d’elle, de ce qu’elle portait sous sa tenue de soirée, comme une promesse de merveilles à venir. Elle savait comment faire pour l’attirer, pour le rendre fou, depuis plusieurs mois déjà. Ils avaient déjà eu plusieurs rendez-vous, polis, calmes, pendant lesquels les deux âmes solitaires apprenaient tranquillement à se dompter. Et maintenant que la confiance s’était installée, ils étaient prêts pour l’étape suivante. Tous deux avaient hâte de découvrir l’autre et le jeu avait commencé deux semaines plus tôt, à coup de mots coquins et de photos.
Ce soir-là, elle était enfin devant lui, la belle Iris. Dont il ne connaissait que l’initiale. Elle était de dos, mais il la reconnaissait parfaitement : ses hanches dessinées, ses cheveux ondulés, sa démarche... Elle se déhanchait au rythme de la musique, les mains au-dessus de sa tête, semblait absorbée par ce qu’elle entendait. Au fur et à mesure qu’il se rapprochait, il reconnaissait son parfum, un mélange délicat, sucré, qui lui donnait envie d’enfoncer son nez au creux du coup gracieux de sa future partenaire. Il se glissa alors derrière elle, posa les mains sur sa taille pour l’attirer contre lui et lui déposer un baiser délicat dans la nuque.
La demoiselle n’eut qu’une seconde d’arrêt dans sa danse et avait penché la tête pour lui laisser libre accès. C’était lui. Elle se fit alors plus féline, se redressa pour coller son dos contre le torse masculin et ses fesses contre son entrejambe. Elle se mit alors à se déhancher plus lascivement, ses mains glissant sur les hanches de son partenaire de danse pour l’inciter à la suivre dans ses mouvements. L’attraction qui les reliait était inexplicable, ils s’attiraient comme deux aimants et n’attendait que le moment propice où ils s’éclipseraient pour se retrouver seuls. Ils étaient tous les deux passionnés, fous, et comptaient bien prolonger cette alchimie toute la nuit.
La musique résonnait dans leur cœur, dans leur corps et très vite, malgré la foule, ils n’étaient plus que seuls au monde. Le déhanché d’Iris entre ses jambes faisait vibrer Max qui sentait déjà le désir le prendre au ventre. Il la serra encore plus contre lui afin qu’elle sente l’effet qu’elle avait déjà sur lui puis avança la main droite sur son ventre. Elle portait une jupe noire, courte et fluide, qui donnait à Max un libre accès. Il passa alors sa main sous le tissu, découvrit qu’elle ne portait pas de sous-vêtement hormis le corset de la photo. Cette découverte ne fit que l’exciter encore plus et il enfonça plus rapidement que prévu son index dans le sexe déjà humide de sa partenaire. Non étonnée, mais tout aussi excitée, Iris mit sa tête en arrière et vint lui déposer un baiser au coin des lèvres. Elle avait envie de lui, au milieu de cette foule trop occupée à danser pour se soucier d’eux.
Sa propre main frottait le jean gonflé de Max, espérant pouvoir profiter de ce sexe rapidement. Un deuxième doigt avait rejoint l’index masculin et les gestes de Max s’intensifiaient. Elle ne pouvait s’empêcher de gémir, retenant sa voix pour ne pas gâcher ce plaisir. Sa main gauche avait ouvert la fermeture éclair du pantalon déjà trop gênant et s’y était introduite pour serrer le sexe gonflé, malgré une position peu confortable. Elle voulait lui montrer qu’elle avait envie de lui, tout de suite. Il l’avait retournée, lui avait agrippé les fesses pour qu’elle se lance dans ses bras et s’accroche à lui. Leurs lèvres se rejoignirent dans un baiser passionné, fougueux, violent.
Avec Iris accrochée à sa taille, il s’en alla de la salle, prit un couloir sur la droite qui menait à diverses pièces différentes. Petit à petit, l’ambiance devenait plus feutrée, silencieuse. Des cris s’entendaient, sourds, derrière les portes closes. Il avait réservé la chambre 10, au bout du couloir. Mais n’avait pas attendu d’y entrer pour poser Iris au sol, s’accroupir, soulever sa jupe et embrasser son entrejambe. Elle se mit alors à gémir de plaisir, ne pouvant retenir aucune sensation, aucun râle de plaisir. Ses doigts s’enfonçaient dans les cheveux bruns de son amant, agrippaient sa nuque avant de l’inciter à se relever. Elle avait envie de lui, maintenant. Alors elle enleva le jean de son partenaire, lui retira son caleçon, et l’enroula d’une jambe pour l’inciter à venir en elle. Max ne se fit pas prier et enfonça son membre sans aucune délicatesse entre les cuisses humides d’Iris qui poussa un petit cri de plaisir.
Il la prit contre la porte de la chambre, l’embrassait langoureusement, lui pressait les seins de ses mains. Et lorsqu’il sentit qu’elle allait jouir, il se retira, amusé, et la reposa au sol. Frustrée, elle grogna, retira ses ongles des bras musclés de Max et s’écarta pour le laisser ouvrir la porte. Elle se vengerait...
Mais la nuit ne faisait que commencer.
Lorsqu’ils entrèrent dans la chambre, Max ferma la porte derrière eux. Iris fondit sur lui comme une gazelle et s’agenouilla devant lui. Elle attrapa son sexe et le lécha délicatement, du bout de la langue pour commencer. Puis elle le prit totalement en bouche et commença ses va-et-vient, le lécha, le suça, avec toute la ferveur qu’elle le pouvait. Max ferma les yeux et poussa des soupirs graves, appréciant cette fellation avec un plaisir incommensurable. Il allait à son tour jouir et s’en empêcha, contrôlant son souffle et en se concentrant. Il avait trop envie d’elle pour partir si vite. Alors il la repoussa et l’attira sur le lit. Tout était déjà prêt : menottes, masque, bâillon.
Ils enlevèrent tout d’abord les loups qui recouvraient leurs yeux et s’observèrent un court instant, lisant dans le regard de l’un et l’autre le même désir, la même passion. Ils se dévorèrent des lèvres alors qu’Iris s’apprêtait à être attachée et bâillonnée. Bloquée dans ses gestes, elle n’avait plus qu’à subir les plaisirs de son amant qui la retourna d’un bras, lui redressa les fesses et la prit avec force. Ses coups de reins s’accentuaient au rythme des cris d’Iris. Et lorsqu’il l’entendit jouir, il la redresse et se laissa partir à son tour en lui mordant l’épaule, puis se laissa retomber sur elle, satisfait.
Il finit par la délivrer de ses liens pour qu’elle se blottisse dans ses bras. Ils se caressaient doucement leurs corps brulants, laissant la ferveur se dissiper, sachant pertinemment que la nuit n’était pas terminée pour eux.
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