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Premières rencontres

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Dans le sex-shop. Premières rencontresC’est le printemps, il fait nuit, le centre-ville est un peu déserté. Anne et moi sortons d’une séance de cinéma. Dans la rue sombre, toutes les boutiques sont fermées. Au milieu de grandes vitrines occultées, une porte, plutôt discrète indique l’entrée d’un sex-shop. Nous poussons la porte…

Quand je me relis, je me demande : comment ai-je fait pour ne plus être ce jaloux maladif des premières années de ma vie amoureuse ? Comment en suis-je arrivé là ?
Épicurien, Hédoniste, même jouisseur, j’avais été très malheureux, lors d’une de mes premières liaisons qui avait duré cinq ans. Je ne voulais plus vivre et faire vivre autour de moi, de telles souffrances ! Ne plus jamais ressentir toutes les affres de la jalousie. Chaque jour celle-ci empirait, jusqu’à devenir un sentiment extrême, insupportable, presque une torture, à la limite de la folie. Je me suis aperçu aussi, mais bien plus tard, que ce que j’éprouvais, je le reportais sur tout mon entourage. Je me suis donc juré de ne pas revivre ou faire subir ceci, à qui que ce soit. Allais-je passer le reste de ma vie à souffrir et à faire souffrir autour de moi ?
Dix ans plus tard, j’étais quadragénaire. Je rencontrai Anne, une très jolie femme, petite, blonde, avec un charme fou. Elle était un peu plus jeune que moi. Ses yeux bleus, son visage et tout le reste bien entendu, m’avaient immédiatement séduit. Son humour m’avait conquis définitivement. Je voulais la garder mais éviter de me l’approprier, partager avec elle toutes nos aventures, comme deux individus libres dans tous les sens… Pour tous nos sens, partager entre nous et pourquoi pas avec d’autres, hommes ou femmes.
Je m’inventai, alors, une thérapie anti-jalousie, expérimentale, certes, mais un peu violente ! Appliquer une sorte de mithridatisation à mon cas : me confronter à ce poison, me l’administrer moi-même, par petites doses régulières. Peut-être arriverai-je à émousser un peu cette sensibilité exacerbée. Peut-être parviendrai-je, un jour, à m’affranchir de cette horreur de JALOUSIE maladive. Exorciser ce démon, mais aussi, éviter de me contenter de virtuel. Avancer vers de vraies expériences physiques, atteindre de vraies émotions, mais qui ne soient plus que positives.
Avant de me connaître à la suite de son divorce, Anne, fréquentait beaucoup les boîtes de nuit. Elle y avait fait de nombreuses conquêtes. Beaucoup d’hommes la draguaient, sur son lieu de travail ou même dans la rue. Beaucoup la sollicitaient et lui proposaient souvent des rencontres plus intimes. Elle était surtout excitée par la "drague" et les manifestations de désir de ses rencontres. Toutefois elle acceptait d’aller jusqu’au bout pour satisfaire ses partenaires au maximum. Elle était détachée de toute recherche de sentiment. Elle ne voulait pas de liaisons régulières, ni être considérée comme une allumeuse.
Nous devenions de plus en plus amoureux. Nous dérogions au fur et à mesure à nos règles personnelles. Nous nous rapprochions davantage. Quand nous faisions l’amour, j’insistais pour qu’elle me raconte, par le menu, certaines de ses aventures. J’écoutais en la caressant. Ce qui avait pour résultat de nous mettre dans des états indescriptibles ! J’avais l’impression de revivre ses aventures avec elle. Nous arrivions souvent, sans nous concerter, à contrôler nos sens, freinant ou accélérant pour retarder le plus possible notre explosion finale et simultanée.
Nous avions aussi, dès nos premières rencontres, commencé des jeux un peu scabreux. Nous nous donnions rendez-vous dans des endroits les plus insolites, les caves, les escaliers ou les couloirs de grands hôtels, les allées d’immeubles et, sacrilège, un confessionnal dans la cathédrale de Vienne, etc. La crainte mélangée à l’envie d’être découverts augmentait notre plaisir. Nous avions même envisagé de rédiger un guide coquin, des endroits les plus excitants de notre région.
À ces évocations, j’étais partagé entre un besoin presque irrépressible, d’actions hyperpornos, "crades", rapides, même un peu violentes avec elle, ou à l’inverse de longs moments de sexe très tendres, très doux, très lents, de caresses, de douceur. C’est peut-être le télescopage de ces deux envies, qui faisait monter autant mon désir. Alterner l’animalité et le romantisme.
Longtemps je l’ai influencée, pour l’entraîner dans ces endroits insolites, dans des sex-shops, antres de toutes les turpitudes masculines. Elle craignait ces lieux fréquentés, presque exclusivement par des hommes. J’aimais surtout voir leurs regards voraces, sur ses jambes ou ses fesses. Ils n’avaient pas l’habitude de voir de jolies femmes, « normales », dans ce genre d’établissement, aussi j’étais très fier de la montrer, de sentir presque leurs désirs, quasiment "palpables". Sa présence suscitait toutes les convoitises. J’avais été si souvent dans leur situation. Eh oui pensé-je « c’est moi qui la caresse partout, partout, et c’est avec moi qu’elle fait l’amour ».
Toutefois, je me faisais violence pour ne pas la considérer comme ma propriété. Il me semblait de plus en plus, que ma jalousie disparaissait au profit d’une excitation intense ! Être son jouet, mais aussi jouer avec elle, la partager avec d’autres, ou ne la garder que pour moi, me l’approprier, toutes ces incertitudes aussi participaient à l’explosion de mes sensations !

Ce soir de printemps, nous entrons dans la boutique.
L’endroit est peu éclairé. Quelques hommes déambulent dans les rayons d’accessoires divers, de revues, de K7 pornos. Comme des conspirateurs honteux, tous font mine de lire ou d’examiner des objets, tout en regardant, en coin, la chute de reins de ma compagne, ou en lorgnant dans son décolleté.
À l’étage dans une partie du couloir trois cabines se suivent. Nous entrons dans celle du milieu. Il y flotte une odeur violente de désodorisant, toutefois incapable de couvrir les odeurs de sperme qui subsistent. Je mets un jeton dans la machine, sur l’écran vidéo défilent des scènes pornographiques très hard, de fellations, de sodomie, de baise en groupe etc. Nous sommes debout, au fond de la cabine. Celle-ci est relativement exiguë, un mètre cinquante de large, pas plus de trois mètres carrés.
Nous remarquons de grandes fentes de chaque côté, sur chaque cloison, à soixante centimètres du sol et suffisamment grandes pour laisser passer des sexes masculins de bonne dimension, ou même des bras. Je me tiens derrière Anne, je l’embrasse dans le cou. Elle est vêtue de sa robe de soie ivoire à pois bleus, si douce à caresser. Je la déboutonne sur tout le haut et lui caresse les seins en les extirpant du soutien-gorge. Je relève le devant de sa robe et l’accroche au porte-jarretelles, vers son nombril, comme si un rideau du théâtre se soulevait entre les deux cuisses gainées de bas noirs qui formeraient les colonnes de la scène. Je l’offre à la vue et au toucher éventuel, d’autres mâles qui pourraient arriver dans les cabines voisines.
Lui baissant le slip jusqu’au genou, je lui caresse les lèvres d’une vulve de plus en plus humide. Tout à coup, nous entendons la porte de gauche se refermer et nous apercevons une ombre furtive vers l’orifice. En se penchant un peu nous distinguons un œil, puis un visage, c’est un homme qui voyant le sexe d’Anne, tire la langue, l’agite rapidement, pour bien nous signifier qu’il aimerait lui lécher la chatte. Je continue à lui caresser le clitoris, j’en profite alors, pour lui tourner un peu les hanches vers la gauche afin d’offrir une meilleure vision à notre invité.
En même temps j’ouvre ma braguette. Je baisse son string sur ses chevilles, elle se cambre pour faciliter l’introduction de mon sexe, par-derrière. Pendant que je la pénètre, elle écarte les lèvres de sa vulve pour faciliter l’intromission, puis se masturbe de l’index en regardant l’orifice du voyeur. Elle halète, lorsque nous voyons émerger un très joli pénis sous nos yeux. Anne le saisit et le branle doucement pendant quelques minutes.
Nous n’avions rien entendu, mais sur notre droite un autre sexe est apparu, beaucoup plus gros, plus sombre. Anne fait un quart de tour sur le côté, le saisit aussi de la main droite, pour lui prodiguer le même traitement que celui de gauche. En se recentrant au milieu de la cabine, elle les serre tous deux avec beaucoup plus de force, en faisant des va-et-vient réguliers, en cadence de chaque côté. Nous entendons leurs porteurs ahaner derrière la cloison, et les bruits sourds que produisent leurs coups de bassin, contre la paroi, comme s’ils étaient en train de copuler avec une femelle toute chaude ! Elle s’occupe de nos trois pénis en même temps ! Elle donne des coups de fesses en arrière pour mieux me sucer avec son ventre.
Je suis excité au dernier degré. Comment ? Ma petite femme si souvent réservée, se révèle être une Salope Intuitive de haut rang ! Une redoutable branleuse de bites anonymes ? Trois mâles rien que pour elle. Trois mâles qu’elle tient à sa merci entre ses mains et dans son vagin !
Je suis stupéfait de voir la relative aisance qu’elle manifeste dans cette situation, la maîtrise dans la manipulation de ces deux membres bandés pour elle. Le voisin de gauche ne peut, tout comme moi, tenir la distance. Je me libère, me répands au fond d’elle, quand je vois de grandes giclées laiteuses, jaillir de la gauche sur les pieds d’Anne. Elle se tétanise et jouit bruyamment elle aussi. Je sens son orgasme sur mon membre, les pulsations nerveuses de son vagin, un délice. La belle "bite" de droite est restée sur sa faim.
Nous avions réalisé trois orgasmes simultanés !
Nous nous rajustons rapidement puis nous sortons de la cabine. Nous apercevons alors deux jeunes beurs de 18-20 ans, leur différence d’expression est flagrante, l’un souriant, satisfait, et l’autre encore un peu frustré, celui-ci peut-être, aurait bien voulu qu’elle le finisse, mais il n’a pas osé demander à Anne.
Dommage, je crois qu’elle l’aurait fait, là, au milieu de tous.C’était la première fois m’avoua-t-elle, qu’elle avait ce genre de rapport avec plus d’un homme.
Dans la rue, mon excitation n’était pas retombée, celle-ci n’a fait que croître en voyant les reliefs de l’éjaculation du mâle sur une de ses chaussures.

L’inconnu du Parc.
Quelques semaines plus tard, nous nous rendons dans une chambre d’hôte, située dans un petit village de la région de Saint Rémy de Provence. La région embaume les senteurs méridionales, une véritable incitation à la gastronomie et à la coquinerie. C’était en fin d’après-midi. À la place du passager, Anne portait un chemisier très fin et très échancré, des bas très sexy, en Lycra, et une jupe très courte.
Nous demandons notre chemin à un passant, un très beau jeune homme, sur le trottoir, depuis sa position, près de la vitre ouverte, il surplombe l’intérieur de notre voiture. Il paraît fasciné par les jambes gainées d’Anne, jusqu’à la limite visible du haut des cuisses. Il nous regarde tout en se passant la langue sur les lèvres, comme pour me demander mon assentiment. Son regard en dit long sur ce qu’il aurait aimé lui faire si tout avait été permis ! J’ai bien regretté, ce jour-là, de n’avoir pas osé poursuivre plus loin avec lui ! J’aurais dû lui demander de nous accompagner, c’eut été plus simple et plus efficace.
Sur les autoroutes ou dans la voiture, elle se laissait volontiers caresser, les pieds sur le tableau de bord, les cuisses largement écartées, la vulve suintante, la pulpe de mon index lissant son clitoris. Certains camionneurs ont profité d’une vue imprenable sur sa chatte qu’elle branlait avec délectation, pendant qu’alternativement, je lui titillais le bout des seins ou les petites lèvres humides. Certains klaxonnaient, en faisant des appels de phare. Pour nous faire arrêter, dans le prochain parking.
Souvent même, nous nous arrêtions dans les aires de repos pour faire l’amour au risque d’être surpris par des routiers. Nos vraies rencontres, ont vraiment commencé en septembre 1990. Parfois nous allions la nuit, dans le quartier de Gerland, de l’île Barbe, ou le Parc de Parilly. Ces endroits connus à Lyon étaient fréquentés par quelques couples, mais surtout par beaucoup de jeunes hommes en mal de sexe, ou tout simplement des couples échangistes ou voyeurs. Nous nous contentions d’observer. Puis nous rentrions à la maison, passablement émoustillés. Regarder des voyeurs n’est-ce pas le comble de la perversion ?
Cette nuit de septembre, nous nous sommes arrêtés sur une petite aire du Parc de Parilly. J’ai ouvert le chemisier d’Anne, je joue avec ses seins, elle a les cuisses écartées sur le siège. Je titille son clito et les lèvres de sa chatte toute moite, elle ferme à demi les yeux, elle halète, mais regarde tout de même dehors. Nous apercevons des ombres autour de la voiture. Elle est très excitée. Un homme s’approche à la hauteur de la portière, il a la queue à la main et se branle, les yeux exorbités en regardant les seins et les cuisses d’Anne. Il nous propose d’emblée :
— Vous voulez baiser avec un beau mec ?
Devant son air halluciné, nous refusons son offre. Un peu brutal le garçon ! Et puis, il n’est pas aussi beau qu’il le prétend ! D’autre part, la beauté n’est pas pour nous un critère unique ou incontournable. Plusieurs véhicules nous croisent en faisant des appels de phares, puis repassent, les conducteurs nous fixent avec insistance. Quelques piétons aussi, furtivement, défilent plusieurs fois, comme par hasard. Un homme grand, plutôt jeune, vient près de nous, et revient plusieurs fois. Il jette un coup d’œil et remonte dans sa voiture garée un peu plus loin.
Nous restons quelques instants, puis nous repartons. Le jeune homme démarre en même temps que nous, puis commence à nous suivre. Nous n’avions pas l’intention d’aller plus loin avec lui. Nous tentons de le semer. Peine perdue !
Nous décidons alors d’aller dormir à Décines à quelques kilomètres, dans la petite maison de famille, notre résidence d’été. Le poursuivant vraiment déterminé, ne nous lâche pas ! Malgré de nombreux détours, il est toujours là, nous nous arrêtons devant la maison, il s’arrête aussi. Il vient vers nous, il nous propose de passer un moment avec nous, sans arrière-pensée, tu parles !
Quelle opiniâtreté ! Nous l’invitons à boire un verre ensemble à la terrasse du café voisin en face de notre maison. Il se montre très agréable, avec Anne, mais aussi avec moi. Il n’est pas bi, ni moi, mais nous nous comprenons. Nous avons tous les deux la même envie de prendre cette femelle. De jouir d’elle et de la faire jouir.
La situation devient pour moi vraiment excitante. Voir un tel désir d’un homme jeune, pour ma compagne, me fait encore plus d’effet. Je vois qu’elle apprécie la convoitise qu’elle provoque chez ce jeune mâle. Je sais maintenant qu’elle fond d’envie, elle aussi. Allons-nous craquer ? A-t-elle l’intention de se faire "baiser" par cet inconnu ? Ou simplement de jouer avec nous ?
Finalement il s’est montré gentil et convaincant. Nous lui proposons de venir chez nous. Nous craquons, peut-être pour le récompenser de tant de constance, et, peut-être, comme il n’est pas mal du tout, est-il devenu tout à fait "consommable". Peut-être aussi que notre appétit n’a fait qu’augmenter, en fonction de la sienne qui devenait presque… Palpable.
Nous le faisons entrer dans la maison.
La chambre est peu éclairée. Malgré la pénombre, nous sommes encore un peu coincés, angoissés. Notre partenaire nous a dit avoir rencontré plusieurs fois des couples. Ii est bien plus jeune que nous, mais affiche une apparente décontraction. Il est certainement coutumier du fait, nous sommes vraiment novices dans ce domaine, disons inexpérimentés !
Anne, debout, l’embrasse, longuement elle joue avec lui en se frottant contre son ventre. Elle se laisse caresser, peloter la poitrine, les fesses, il ne va pas tarder à lui caresser la "chatte". J’avais déjà remarqué la bosse qu’arborait son pantalon. Il la tient par les hanches, puis n’y tenant plus, il se met à genoux et soulève sa robe, baisse la fine culotte brodée et lui écartant les lèvres du sexe, la lèche, puis la suce longtemps, pendant que je les regarde, allongé à côté d’eux. Je ne participe pas, je suis seulement spectateur à moins d’un mètre d’eux.
Au bout d’un moment, elle lui demande de se masturber devant elle pendant qu’elle fait de même. Et lui dit avec un sourire désarmant :
— J’aimerais que tu jouisses sur mes seins.
C’était hallucinant. Jamais elle ne m’avait demandé une telle chose.
Il saisit son membre, et tirant sur la peau du prépuce, à pleine main, à quelques centimètres de la bouche, il se branle avec une grande application. Il tire sur la hampe pour bien faire émerger son gland et lui montrer la puissance de son érection. Ses testicules s’écrasent et se gonflent en rythme de son branle. La vitesse augmente puis il se tétanise, se raidit encore et éjacule, En dirigeant ses jets sur la poitrine d’Anne, puis, posant le méat de son gland sur chaque mamelon, il se répand en longues saccades dans le sillon de ses seins. Plusieurs giclées ratent leur cible, rebondissent et s’étalent sur l’édredon, avec un bruit mat.
Anne serre et rapproche ses seins l’un contre l’autre quand elle sent les jets la frapper. Elle ferme les yeux, ouvre la bouche et jouit intensément ! Elle ouvre les yeux, elle regarde l’inconnu, lui sourit et avec un regard de reconnaissance, de sa main elle récolte et étale tout le sperme sur sa poitrine.
Puis, comme avec un baume, elle se pétrit longuement les seins.
Fantastique massage à l’onguent blanc, la classe quoi !
À peine est-il parti, il faut que je retrouve la chaleur de son ventre et l’onctuosité de sa vulve.Restez là, je reviens dans un, non dans plusieurs instants !

Le gérant du sex-shop
Comme je l’avais narré, mon fantasme (même s’il n’était pas très original) : nous retrouver, Anne et moi, dans un sex-shop, pour que ma petite femme puisse être entourée d’hommes frustrés, avides de sexe, et de sensations. Comme si je leur apportais une proie à dévorer, mais qu’ils ne posséderaient jamais. Nous avions découvert une boutique avec des cabines de visionnage de films pornos, vers l’Hôtel-Dieu, à Lyon.
Jusqu’à un jour, de mai où nous venions de choisir un film X, une histoire de couple avec des partenaires multiples, et "innocemment", nous demandons le film, au gérant du sex-shop.
Plutôt beau garçon, brun 25 ans environ, le sujet du film semble l’accrocher : une histoire de trio, il nous fait un sourire plein de sous-entendus. Nous montons à l’étage dans une petite cabine.
C’était le printemps, il était près de minuit. Il y avait peu de monde dans les cabines de visionnage de vidéos. Au bout de quelques minutes le film saute un peu, le son crachote.On frappe à la porte, c’est le vendeur.
Désolé, nous dit-il, mais j’ai un problème technique !
Il nous propose, alors de regarder la suite dans une petite salle de projection, plus confortable que ses cabines classiques. Nous sommes un peu embarrassés. Il se montre très persuasif, il semble très sympa et discret. Anne, le trouve "mignon". Il nous fait entrer dans une petite pièce, au fond de la boutique, au rez-de-chaussée, il nous laisse. Une douzaine de places, des fauteuils rabattants comme les anciennes salles de cinéma, devant un grand écran, nous sommes seuls, nous nous asseyons côte à côte sur deux des trois places du premier rang. Le film redémarre, nous le regardons à peine.
C’est la situation surtout qui nous échauffe les sens, nous pensons à tous ces gens si près de nous, ils se doutent certainement de notre activité. Je suis presque sûr que le vendeur nous "mate", avec une caméra dissimulée. Après avoir ouvert quelques boutons du chemisier d’Anne, j’extrais un sein, hors du soutien-gorge avec une main, et de l’autre lui écarte les jambes.
Je lui caresse la toison en soulevant l’élastique du slip. Elle ferme les yeux et s’abandonne à mes caresses. Elle mouille beaucoup, la situation un peu glauque, la stimule. L’homme apparaît, surgi de nulle part, Il devait nous observer depuis un écran vidéo ! Nous sommes surpris, mais nous faisons mine de regarder l’écran, tout en prolongeant nos caresses. Il nous demande si nous l’autorisons à rester en séance privée avec nous. Nous sommes encore un peu gênés, mais nous l’acceptons, il est beau garçon et il semble habitué, "professionnel". Il paraît surexcité, la beauté de ma petite femme ne laisse pas du tout indifférent. Rapidement il ferme le sex-shop. Quelques minutes, puis Il vient s’asseoir à droite d’Anne. Son pantalon fait une énorme bosse.
Elle pose négligemment sa main sur la braguette de notre compagnon. En souriant, elle lui ouvre la fermeture éclair, et en extrait un sexe turgescent. C’est le moment qu’elle adore, m’a-t-elle dit : ouvrir un pantalon et découvrir un sexe bandé, c’est comme déballer un cadeau avec la surprise bonne ou médiocre que cela implique. Et là, elle trouve le cadeau à son goût. Elle le masse par de petites pressions le long de la hampe, puis elle tire sur la peau vers le bas, en dégageant le gland qui émerge. Plusieurs gouttes cristallines, de liquide préséminal émergent du méat, avec la paume de la main elle les étale sur tout le gland, en avançant les doigts vers les testicules, elle les caresse, en même temps, elle masse aussi le périnée de ce brave garçon.
Nous continuons comme si de rien n’était, il insère la main dans le chemisier, et sort aussi l’autre sein de son logement.
Je regarde Anne, elle jubile, les cuisses ouvertes, une queue dans chaque main. Je sens la deuxième main de notre partenaire, qui monte le long des bas à coutures d’Anne, et vient rejoindre la mienne vers le slip. Il glisse la main sous le slip et lui doigte le sexe, elle écarte bien les jambes, au bout de quelques minutes, il vient s’agenouiller entre les pieds de ma petite femme et lui lèche la vulve un long moment, lui tâtant les seins, agaçant les pointes. Il écarte les grandes lèvres de sa chatte et titille le clitoris du bout de la langue. Puis il se met debout devant nous, Elle reste assise. Elle semble vérifier l’effet qu’elle produit ! Elle le masturbe doucement.
Je suis dans un état second. Puis au bout de quelques minutes, elle se penche complètement sur lui, et commence à lui lécher le gland qu’elle a décalotté. Elle marque un temps d’arrêt en passant le bourrelet. Sans capote, a cru, elle le fait rentrer profondément au fond de sa gorge, le ressortant, pendant plusieurs minutes, suçotant le bout, serrant la tige par petites pressions (ce que j’adore). Elle le suce à fond pour bien le gober, le posséder.
L’homme ferme les yeux. Concentré sur les lèvres de ma femme qui l’aspirent, le serrent, l’avalent. Au bout de quelques minutes, il ouvre les yeux et me fait signe, par-dessus son dos, qu’il a trop envie de la "baiser".
À l’époque je n’avais jamais vu un autre sexe que le mien, pénétrer ma femme ! Je lui fais signe non, du doigt. Il obtempère, et se redresse, devant nous. Nous restons assis. Elle est rose d’excitation, les pointes de ses seins débordent par-dessus le sous-tif. Elle se saisit de la queue, et se remet à emboucher le gland, qu’elle a suçoté d’abord, puis elle engloutit complètement la bite dure, la pompant avec application. Le gars empoigne sa tête à deux mains, les doigts crispés dans ses cheveux, en accompagnant ce pompage pour le rendre plus violent et profond.
Maintenant, il l’a entièrement recentrée sur sa queue, elle ne peut plus se dégager, mais il fait tout de même un peu attention, à ne pas l’étouffer. Le rythme que lui imposent ses mains, est assez soutenu, l’obligeant parfois à engloutir la verge sur toute sa longueur, jusqu’à la limite de la respiration. Ses boules viennent cogner le cou et le menton d’Anne. Elle doit sentir le gland dans son gosier, c’est une gorge profonde, le rêve de tout homme ! J’imagine que, déçu de ne pas la prendre comme une femelle, tout ouverte, il veut me montrer fièrement comment il la domine !
Je suis assis, je la relève et enlève son slip, elle se courbe sans lâcher sa proie. Je lui écarte les cuisses et la vulve, Je la pose sur mon gland. Elle continue avec application tout en s’empalant sur moi. Je saisis chacun de ses seins dans les mains, Je présente la poitrine, à l’homme, en faisant pointer les tétons. Il regarde son sexe coulisser entre ses lèvres et bande encore plus en dardant son regard sur les seins. Je les lui présente, comme une offrande. Elle lui caresse les bourses en le pompant, et en faisant des va-et-vient sur moi. Je n’avais jamais imaginé que je pourrais un jour avoir un tel plaisir dans cette situation. En m’agrippant à ses seins, Je sens la chaleur humide de son ventre autour de mon sexe, Je vois l’homme se raidir de plus en plus et je me demande si elle est prête à avaler toutes les giclées de sperme qu’elle ne va pas tarder à faire jaillir sur sa glotte ! Ou s’il va lui asperger le visage et la poitrine.
Au bout de cinq minutes, il écarte sa main gauche et prend un Kleenex dans sa poche Elle n’a rien vu elle ferme les yeux, elle est prête à tout ! Cette idée de giclées de sperme qu’elle avalerait, me fait craquer et je me libère, arrosant copieusement le fond du vagin, au moment même où l’homme sort son engin de ses lèvres et, en deux trois branles, éjacule des quantités incroyables de sperme dans le mouchoir. C’était la mode à l’époque et toujours un peu aujourd’hui, dans les films X, d’éjaculer sur le visage ou les lunettes des femmes, dans les gangs bangs on appelle ceci Bukkakes, ou Creampies si cela se fait sur la vulve, l’anus ou le ventre de la bénéficiaire. Il n’a pas osé, son geste témoignait de la qualité de ce garçon.
Je crois que nous avons souri, en imaginant le décalage entre la presque brutalité de la situation et ce geste délicat qu’il a eu, faisant penser à une Marquise tenant sa tasse de thé le petit doigt en l’air.

Anne je t’aime aussi ! Quand tu fais jouir d’autres hommes !
Soyons lourds : ma chère petite femme je viens de m’apercevoir qu’il est urgent d’écrire et faire de nouvelles rencontres. Nos mémoires pourraient peut-être mériter un nouveau titre " Vincent, François, Paul, Éjacs", Nous avons déjà connu deux Gilles ! Comment éviter la confusion des ...numéros ?
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