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Premières vacances post confinement

Chapitre 1

Hétéro
Un après-midi en vacances.
Voilà maintenant plusieurs mois que le confinement en France lié à l’épidémie de coronavirus est fini. Ça a été un soulagement pour quasiment tout le monde. Ceux qui avaient dû arrêter de travailler ont finalement vu s’ils avaient toujours un emploi après cette crise, ceux qui étaient sans emploi, mais avec des enfants ont finalement pu les remettre à l’école et ne plus avoir à leur trouver occupation sur occupation ou supporter les crises de nerfs dues à l’isolation. Même pour ceux qui n’avaient ni travail qu’ils risquaient de perdre s’ils ne pouvaient y revenir très vite, ni enfants commençant à envisager la prise de valium, le confinement fut une malédiction. Quand on n’a pas d’enfants et pas de véritable travail, les sorties pour les loisirs restent une bénédiction faute d’autres buts dans la vie.Même si la plupart de tes activités pouvaient se faire de chez toi et que tu étais en couple avec un homme ne te portant pas sur le système contrairement à tant de femmes, toi aussi le confinement commençait à te peser. Plus le temps passait et plus les envies de voyage, que ce soit pour rendre visite à ta famille, faire un peu de shopping, voir une amie, ou partir une semaine pour le plaisir quelque part dans le pays... ou dans un pays à proximité quitte à prendre l’avion, finissaient par venir gratter à la surface de ta conscience.La première chose que vous avez faite H et toi quand le confinement fut levé, fut de rendre visite à vos familles puis rapidement, comme vous le permettait votre mode de vie depuis des années, chercher un hôtel confortable dans une ville agréable ou aller passer une nouvelle semaine dans une autre atmosphère loin de la routine du quotidien où l’on sort le chien fait sa lessive et doit cuisiner ses repas. Profiter de ne rien avoir à faire d’autre que prendre du bon temps.Vous vous êtes trouvé une petite ville en bord de mer à quelques heures de chez vous. Une ville agréable avec un hôtel. La suite est magnifique, les poutres apparentes, une vue sur la mer depuis le balcon et les baies vitrées, un petit salon, une grande salle de bain avec une douche à l’Italienne et une baignoire ronde faisant jacuzzi ainsi que deux lavabos entourés de marbres ou ce qui y ressemble en tout cas.La première journée, vous laissez le boulot à la porte, décidant que vous aurez tout le temps pour tourner quelques vidéos plus tard pour le site. La ville plutôt calme, le bord de mer et même tout simplement le charme de l’hôtel donne envie de profiter.Tu portes une petite robe blanche toute légère avec de petites bretelles, un joli décolleté, un peu cintré pour mettre ta taille fine en valeur avant de s’élargir et tomber au-dessus du genou. Pris d’une impulsion soudaine et parce qu’avec cette chaleur, même un string peut devenir gênant, tu décides de ne rien porter sous ta robe. Bon de toute façon, tu n’es pas vraiment toute nue, n’est-ce pas. Tu as tout de même ta robe sur le dos.Le temps que vous êtes dans l’hôtel, rien à signaler, mais une fois dans la rue, alors que ne connaissant pas la ville, vous avez décidé de prendre la voiture pour trouver un coin, H un mètre derrière toi alors qu’il cherche les clés dans sa poche, lève les yeux sur ton petit cul et te fait remarquer qu’avec la bonne lumière, on remarque très bien que tu ne portes pas de sous-vêtements. Arf ! Oh et puis tant pis. Tu décides que tu n’as pas envie de remonter enfiler quelque chose d’autre. Ton petit côté exhibé se réveille. Tu demandes à H si ça le gêne. Évidemment que non voyons. Vous avez à peine quitté l’hôtel où vous êtes déjà sous le coup d’une petite pointe d’excitation, heureusement assez faible sinon adieu la sortie en ville. Vous prenez la voiture pour vous rapprocher un peu du centre-ville. Vous vous trouvez une terrasse en bord de mer pour un petit goûter. H faisant mine de regarder son téléphone sous la table, active la caméra. Le sourire mutin aux lèvres, le regard brillant du risque de se faire griller, tu ouvres bien plus les cuisses pour lui. Il ne peut pas te montrer les quelques minutes de vidéo qu’il a tournées, car là où vous êtes, il suffirait qu’un serveur passe derrière toi pour profiter de la vue sur l’écran, mais très vite, tu pourras en profiter aussi. D’ailleurs puisque H s’amuse à te filmer, toi aussi tu as envie de jouer. Tu fais glisser un pied hors de la sandale qui le ceint et fais un peu de pied à H. Dommage, la table est un peu trop grande pour que ton pied puisse caresser autre chose que sa jambe.Vous décidez d’aller faire un tour sur la plage, histoire de marcher un peu et éliminer une partie du petit quatre heures que vous venez de déguster. La plage est loin d’être bondée. Les enfants ont repris l’école et un certain nombre de personnes ont renoncé à prendre des vacances en septembre, que ce soit par obligation, maintenant qu’elle croule sous le travail à rattraper ou par choix, pas encore convaincu que le virus ne représente maintenant plus qu’un risque tout fait raisonnable. Il y a largement plus d’un mètre de séparation entre les personnes qui prennent le soleil de septembre sur la plage. Des couples pour la plupart, quelques familles. Alors que vous marchez le long du bord de mer, tu ne manques pas de remarquer que ton passage est loin de passer inaperçu. Une pointe de timidité te traverse rapidement l’esprit, mais c’est comme toujours la flatterie et l’excitation qui l’emportent chaque fois que tu remarques un homme dont les yeux passent sur toi, alors que sa copine est à côté de lui, et même quand c’est le regard d’une femme oscillant entre envie et jalousie.Légèrement tournée vers la mer, par trois fois, tu te baisses sous un prétexte ou un autre, offrant ainsi à un public limité la certitude que, alors que ta robe se tend sur ton cul, tu ne portes rien en dessous. Est-ce uniquement l’effort qui fait monter le rouge à tes joues ? Est-ce uniquement de la transpiration qui rend ton entrejambe un peu humide ? En tout cas, quand avant d’entreprendre le chemin inverse pour retrouver la voiture, vous vous posez dans le sable quelques minutes, que tu t’allonges sur le dos les pieds plantés dans le sable et les jambes pliées s’ouvrant et se refermant l’air de rien, c’est clairement de l’excitation que tu ressens. Le regard perdu dans le ciel, tu ne vérifies pas si un passant dont ça serait le jour de chance venait à passer devant vous au moment où tes cuisses seraient plus ou moins ouvertes. Tu sens une vague de désir montant de ton bas-ventre. H qui tourné sur le côté, la tête dans une main, te regarde et te caresse doucement le biceps et l’épaule, doit voir lui si un passant bien heureux profiterait du spectacle, mais il n’en dit rien. C’est aussi le fait de ne pas savoir qui t’excite.L’excitation monte encore d’un cran quand, alors que vous vous relevez, les mains de H passent consciencieusement sur ton corps afin de te débarrasser du sable que tu ne pourrais pas atteindre.Quand vous reprenez le chemin inverse pour retourner à la voiture et à l’hôtel, votre pas est étrangement plus pressé qu’à l’aller. Dans la voiture, pendant les quelques minutes de trajet pour revenir à l’hôtel. Ta main fait des allers-retours sur la cuisse d’H alors qu’il est au volant. Bien que ses mains soient plus crispées sur le volant qu’à l’accoutumée, il réussit à vous reconduire à l’hôtel sans emboutir une voiture, alors que par-dessus son pantalon, tu tâtes d’une main experte la bosse qui pousse dans son pantalon. Quelqu’un va avoir besoin de deux, trois minutes avant de pouvoir rejoindre la chambre sans se faire cramer.
De retour dans la chambre, alors que H ouvre la baie vitrée pour faire rentrer un peu de soleil, tu fais glisser les bretelles de ta robe sur tes épaules et cette dernière jusqu’à tes pieds et lui annonces que tu files sous la douche. L’eau est à température ambiante, mais ton corps est tellement chaud que par contraste, elle te paraît un peu fraiche, et ce n’est pas pour te déplaire. Tu sens l’eau couler sur ton corps et te détendre au passage. C’est rafraichissant, c’est agréable. Les yeux fermés, le corps tourné vers le mur carrelé, ton esprit se vide en trois minutes.Pensais-tu t’en sortir à si bon compte après avoir joué avec les passants et titillé H ainsi avant de l’allumer pour de bon dans la voiture ? Alors que tu ne penses quasiment plus à rien, H que tu n’as pas entendu rentrer dans la salle de bain avec le bruit de la douche, cette glisse dans ton dos. Tu sens torse contre toi, ses bras qui t’enserrent doucement, et sa queue molle contre tes fesses, alors qu’il profite un peu lui aussi de l’eau de la douche. Vos corps mouillés, ses bras glissent contre les tiens. Il joue du bassin de gauche à droite, ce qui fait frotter sa queue sur ton cul. Le paquet ramollo finit rapidement par se transformer en bâton de chair dure, en bosse envahissante entre vous, mais trouvant sa place idéale dans le sillon entre tes fesses. C’est loin d’être désagréable de la sentir glisser là.Alors que ses mains glissent sur ton ventre, caressent tes seins, son pouce passant presque l’air de rien sur tes mamelons, on pourrait presque croire que c’est le résultat involontaire de ses mouvements quand sa queue ne glisse plus de gauche à droite, mais de haut en bas entre tes fesses quand il se colle ou se recule un peu plus de toi. Il suffirait que tu te penches en avant là, maintenant, pour que cette queue cesse de t’allumer et se mette enfin au travail, éteignant le feu qui brûle de plus en plus fort dans ton bas-ventre, en satisfaisant l’un de tes deux orifices... voire les deux tant qu’à faire.Alors qu’il s’écarte un peu de ton bassin, sa queue quitte tes fesses. Tu es déçu une seconde avant de la sentir se glisser entre tes jambes. Le ligament suspenseur qui fait que le pénis en érection a tendance à revenir se coller au bas-ventre fait tout le travail pour maintenir son sexe contre ta chatte. La pression est si forte contre ton minou qu’il suffirait que tu ouvres un peu les cuisses et te penches de quelques centimètres pour que sa bite te pénètre debout. Pour le moment en tout cas, même si tes cuisses tremblent un peu d’excitation, la queue d’H se presse si fort contre ton sexe qu’elle frotte sur ton clitoris et te fait gémir alors que sa bouche dans ton cou, ses mains malaxant tes seins qui vont finir par être les plus propres et les plus brillants du pays si ça continue, il te baise doucement sans même te pénétrer. Tu glisses une main sur le devant de ta chatte et tu sens le bout de sa queue frotter contre la paume de ta main à chacun de ses mouvements. C’est évident que tu as envie de la toucher mieux que ça. La sentir à la fois si dure et douce dans ta main, mieux encore glissée entre tes lèvres et sur ta langue. H a une autre idée en tête. Il n’en a pas fini avec toi, comme tu t’en rends compte alors que, toi qui te faisais violence pour ne pas te pencher en avant afin de ne pas te faire pénétrer tout de suite. Une main appuie un peu sur ton dos pour te faire te pencher en avant. Tu te retrouves les mains appuyées sur le mur carrelé devant toi. Ce n’est plus la queue de H que tu sens, mais sa barbe et sa langue qui, alors qu’il est maintenant à genoux derrière toi, se glisse entre tes fesses sur lesquelles l’eau de la douche continue de couler et alterne entre ta rondelle et ta chatte qui est trempée par autre chose que de l’eau. Ce n’est plus des gémissements qui sortent de ta gorge sans que tu ne cherches à les réfréner, mais des « aaah », « oooh », « mmmh oui continue », « t’arrête pas tu va me faire jouir »C’est ce moment ou, pervers, il choisit de s’arrêter. Il se relève, te retourne et te roule une pelle majestueuse où il te semble percevoir le goût de ta chatte sur sa langue. Une de tes mains dans son cou, l’autre se glisse entre vous et tes doigts s’enroulent autour de sa queue dure comme une barre de fer et qui te semble être au moins tout aussi chaud que doit l’être l’intérieur de ta chatte à ce moment-là. Ton pouce passe sur son gland bien plus glissant qu’avec de l’eau avec tout ce précum d’anticipation. Tu fais mine de vouloir descendre pour lui rendre le pareil qu’il vient de t’infliger, mais il t’en empêche. « Pas le temps » dit-il simplement, sachant que s’il se glisse entre les lèvres de ta bouche chaude, il n’arrivera jamais à se retenir suffisamment longtemps pour se glisser aussi entre les lèvres de ta chatte qui ne demande que ça. Prenant clairement les choses en main, il te retourne à nouveau et tu te retrouves les mains sur la vitre de la douche. Il n’y avait en effet pas besoin de se cambrer de beaucoup pour que sa queue glisse en toi. Avec l’eau de la douche, et toute la mouille qui t’a envahie avec ces frottements et sa langue, elle glisse d’une seule traite à l’intérieur de ta chatte gourmande. Tu étais tellement bien préparé que tu l’as à peine sentie passée. C’est un peu dommage, car tu adores sentir ta chatte s’écarter et s’ouvrir pour absorber sa queue à chaque première fois où il se glisse en toi.Tu es là, le corps presque collé contre la vitre, la bite D’H qui te transperce agréablement, son corps contre les tiens, ses bras autour de ton ventre et sa bouche qui mordille ton épaule, quand il fait un premier va-et-vient. Le rythme de ses coups de queue est à la fois lent et brutal pour commencer. Chaque fois que son bassin vient taper contre cul, tu te retrouves un peu projeté en avant et tes seins se pressent contre la vitre froide qui agace tes mamelons sensibles. Il reste plus qu’à espérer que la chambre d’à côté soit inoccupée ou que ses occupants soient sortis, car votre partie de jambes en l’air n’a plus rien de discret entre tes petits cris, chaque fois qu’il se plante au fond de ta chatte et ses grognements. Le rythme de ses coups de reins s’accélère un peu, et ils deviennent un peu moins brutaux. Regardez qui c’est rendu compte que finalement, il avait un peu de temps avant de jouir et a décidé d’en profiter encore un peu. Finalement, c’est toi qui jouis une première fois, mais tu as des excuses avec le traitement auquel il t’a soumis jusque-là. Les muscles de tes jambes se contractent en même temps que ta chatte et semblent sur le point de te lâcher, mais tu es entre de bonnes mains. Une main derrière toi est bien agrippée au cou de H alors que tu jouis et cries en même temps.Il s’arrête une petite minute comme s’il cherchait à vérifier si ton orgasme était sur le point de l’achever lui aussi. Il ne bouge plus à l’intérieur de toi alors que tu reprends ton souffle et alors que lui en a clairement trouvé un second.D’une main, il éteint l’eau de la douche alors que toi tu serais bien tenté d’en reprendre plus froid. Vous sortez de la douche. Heureusement qu’il y a un tapis de bain épais, car ce serait dommage de glisser maintenant. Face à face, nues, vos corps luisant d’eau, d’une main autour derrière ta nuque, il rapproche son visage du tien et te roule une nouvelle pelle. De l’autre main, il relève ta jambe droite qui s’agrippe à sa cuisse gauche et te pénètre à nouveau par-devant. Le torrent de feu entre tes cuisses qui semblait s’être calmé pour un moment après ton orgasme semble finalement reprendre de plus belle alors que vos regards ne se quittent pas et que si tu baissais les yeux, tu verrais ce que tu sens dans ton ventre, sa queue brillante de mouille et de précum rentré et sortir d’entre tes cuisses. Dedans, dehors, dedans encore... Accrochée à son cou, tu es fascinée par son visage crispé par l’effort et le plaisir alors qu’il te transperce encore et encore de sa queue brûlante. Ta jambe d’appui montre des signes de faiblesse. Tu fais mine de vouloir reposer ton autre jambe sur le sol, mais au lieu de ça H, les mains agrippant tes fesses, te soulève du sol sans même que sa queue perde le chemin de ton sexe et tu te retrouves avec les deux jambes autour de sa taille. Te voilà suspendu à son cou et sur sa queue. Tu vois les muscles de ses biceps se contracter chaque fois qu’il te soulève un peu pour laisser la gravité empaler ta chatte encore sensible sur sa queue jusqu’à la garde. C’est trop de plaisir pour continuer à garder les yeux ouverts et le regarder. Ta joue se colle contre la sienne, tes yeux fermés et ton visage se contractent chaque fois que tu redescends sur sa queue. Il est trop épuisé pour te secouer vigoureusement et les allers-retours sont plutôt lents, mais heureusement, car s’il arrivait à accélérer le rythme, tu sens que tu pourrais défaillir.Au bout de quelques minutes de cet effort intense, il pourrait te reposer au sol, mais fait plutôt un pas en avant et t’assoit sur la bordure de marbre du lavabo. Voilà qui est plus confortable malgré le froid de la pierre sur ton cul brûlant. Ses biceps tremblent un peu après l’effort, mais il ne te relâche pas pour autant. Au même titre, l’étreinte de tes jambes autour de lui a beau se desserrer un peu, tu ne le lâches pas non plus. Les avant-bras autour de son cou, à nouveau les yeux dans les yeux, tu le regardes s’acharner encore un peu à l’intérieur de ta chatte qui n’est plus si serrée que ça, puis trouvant un souffle entre deux petits cris de plaisir, tu réussis à dire :« _ Jouis ! Jouis en moi s’il te plaît, lui intimes-tu. »Il ne dit rien, mais il donne une dernière accélération comme le coureur voyant la ligne d’arrivée accélère une dernière fois, plein d’envie de l’atteindre et pouvoir dire qu’il a tout donné. Bien que prenant beaucoup de plaisir, un nouvel orgasme ne semblant pas si loin que ça, il semblerait que tu ne jouisses pas une nouvelle fois finalement. À moins que...Dans un râle primaire, bestial, sa queue se gare au fond de ta chatte et ne bouge plus, alors qu’il se met à jouir au fond de toi. Tu la sens pulsée à l’intérieur de toi, alors que ses jets de sperme brûlants et sous pression après tant d’excitation jaillissent au fond de ton sexe et viennent frapper le col de ton utérus. Un, deux, trois, QUATRE jets jaillissent au fond de toi, les deux premiers, les plus puissants provoquent une sorte de courant électrique en touchant cet endroit inhabituel. C’est comme si cela appuyait dans ton cerveau sur le bouton « orgasme », te donnant bien plus d’élan qu’il ne t’en manquait pour te faire jouir à nouveau. Tes bras et tes jambes se resserrent autour de lui, alors que tu te mets à jouir de nouveau à ton tour pendant que son sperme continue de t’inonder et engluer ta chatte sensible. Vous êtes épuisés, vous ne seriez pas contre vous affaler sur le lit et piquer un petit somme pour récupérer, mais cette séance sportive nécessite clairement une deuxième douche comme le montre le jus que tu sens couler de ta chatte et que tu t’efforces d’expulser en la contractant. Les yeux baissés sur ton entrejambe, les mains ouvrant ta chatte du bout des doigts, intriguée, tu regardes couler sa semence à l’extérieur de toi pendant deux minutes. Tu les as clairement sentis pulser à l’intérieur de toi, mais tu es un peu surprise de la quantité de sperme qu’il semble avoir joui alors que votre dernier tête-à-tête ne date que de la veille au soir. Finalement, rester debout le temps d’une autre douche semble l’effort de trop. Vous optez plutôt pour tester l’option jacuzzi de la grande baignoire ronde après avoir attrapé de quoi vous réhydrater dans le minibar.
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