Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 21 J'aime
  • 4 Commentaires

Premiers émois gay sur un chantier

Chapitre 1

Gay
Est-ce que vous vous souvenez de la canicule de 2003 ? Moi je m’en souviens très bien. C’est l’été où j’ai découvert les plaisirs masculins.
Je venais de rompre avec ma copine après quelques mois d’une relation assez banale. Nous nous voyions de moins en moins, l’annonce des vacances avait été fatale.
Mes projets de vacances avaient été annulés, ma grand-mère m’avait fait une proposition que j’avais vite acceptée.
Elle voulait faire retaper une partie de sa maison et de son jardin. Elle proposait que j’aide l’ouvrier embauché pour l’occasion en échange d’une petite somme.
Me voici donc dans le train en direction de la Creuse, un petit sac avec quelques tenues qui ne craignent rien. Pour un mois au plein air, à bricoler.

Le temps de me poser et de m’installer et j’étais déjà au travail avec Didier. Un local, très sympa, à l’aspect un peu bourru : la cinquantaine, des mains calleuses, bien charpentées tout en muscle malgré un petit ventre.
Moi, je faisais 1m73, 61 kilos, pas une montagne de muscle, mais je pouvais travailler sans problème sur un chantier.
Avec une telle chaleur, nous commencions la journée très tôt jusqu’à 11h/12h puis ne reprenions que vers 16h ou 17h. Mais même comme ça, le bleu de travail était étouffant. Nous finissions donc souvent en short et torse nu, voire en slip pour Didier.
Je ne me voyais pas comme gay ou bi à l’époque, mais son physique m’intriguait beaucoup. Et j’essayais de m’imaginer son sexe ou de l’apercevoir, mu par une force incontrôlable.
Cette force se faisait de plus en plus pressante, à force de travailler avec lui.
Le lendemain, je ne me doutais pas que j’allais être comblé. Nous avions passé la journée à travailler sur la toiture d’une petite maison au fond du jardin. Nous étions vraiment en nage et étions l’un sur l’autre pour fixer les tuiles, son slip me touchait donc souvent le dos nu. Autant vous dire que j’étais en érection, mais pas une discrète. Heureusement, il ne sembla rien apercevoir. Du moins à ce moment.

Jusqu’à ce qu’il propose de s’arroser au tuyau pour se rafraîchir. Pensant qu’on resterait dans nos tenus, j’acceptais volontiers.

Très naturellement, il se mit nu et demanda à ce que je l’arrose. Il gémissait sous l’eau froide alors que je me sentais un peu tremblant d’une telle vision ainsi que de la chaleur. Son corps viril m’attirait. Son sexe un peu gonflé, ses poils foncés, ses grosses couilles, tout me plaisait.

Puis ce fut mon tour, sur ses conseils, je cédais facilement et me mis aussi nu, dissimulant à peine l’effet qu’il me faisait. Et il m’arrosa en esquissant un sourire en voyant mon érection qui ne s’était pas calmée. Loin de là même.
L’eau froide me fit défaillir avec toutes ces émotions, la fatigue, le corps bouillant.
Mes jambes se dérobant sous mes pieds, sans que je ne puisse rien faire, je tombais dans les pommes.
Je me réveillais quelques secondes ou minutes plus tard, Didier était à côté de moi. Pas plus habillé que tout à l’heure, mais l’air un peu étrange, comme essoufflé.
— Sacré coup de chaud mon petit, tu es tombé comme une pierre. La queue toute droite, c’est pas commun !— Oui, je ne sais pas ce qui m’est arrivé. Il faut peut-être que je me repose.— Détends-toi, prends ta journée de demain. On se voit lundi.

Encore un peu chancelant, au moment de mettre mon boxer et short., je vis une petite trace rouge sur mon sexe. Je n’y fis guère attention et partis chez ma grand-mère me reposer.
Un goût étrange en bouche, la mâchoire et le dos un peu anquiloze-t, mais je mets ça sur le compte de mon malaise.
Avec toutes ces émotions, je me suis endormi d’un coup. Presque aussi vite que lors de mon malaise.
Mon sommeil fut très agité, envahi par des rêves érotiques qui me semblaient quasi réels. Moi allongé, bouche ouverte, un sexe me la remplissant, faisant des va-et-vient rapides.
Pendant qu’une main me caressait avec force le sexe. Puis d’un coup, une double éjaculation chez moi et chez le propriétaire de la queue au fond de mon palais.

Je me réveillai en sursaut ! Ce goût dans la bouche, c’était le même qu’après mon malaise, l’odeur c’est celle de Didier !
Est-ce que c’était un rêve ou juste un souvenir de la journée ?
Il faut que j’en aille le cœur net ! Et que j’élabore un plan !

N’osant pas l’aborder frontalement sur ce sujet, je pensais que cela pourrait venir naturellement de lui. Le lendemain, j’étais de repos, mais bien déterminé à avancer sur mon projet, je me rendis à la ville la plus proche. Mon idée était de me trouver une tenue suffisamment provocatrice afin de vérifier si je suscitais des regards appuyés de sa part ou de l’envie.
Quelques boutiques plus tard, rien n’avait retenu mon attention quand me vint l’idée de faire un tour au rayon femme. Après quelques hésitations, mon achat se concrétisa par un minishort plutôt serré, une culotte en coton assez classique de par sa coupe et un string blanc. Les essayages, ça sera une fois rentré. Je n’en menais pas large à la caisse. Plus proche du rouge pivoine que de ma couleur rose habituelle au moment de payer, je partis tout timide directement chez ma grand-mère.
L’essayage suscita beaucoup d’émoi chez moi. La culotte et le short me moulaient énormément, presque trop. Dans la précipitation, j’avais pris du S femme en pensant que c’était la même morphologie que chez les hommes. Je tenais plus de la prostituée le long d’une route que d’une fille. Mais pour un résultat qui était loin de me déplaire.
Dernière étape de ma préparation, un passage sous la douche et un coup de tondeuse sur mon petit buisson. Erreur de débutant, l’oubli du sabot sur la machine...
Une grosse bande quasi lisse au milieu. C’est franchement laid ! Perdu pour perdu, autant faire la même chose partout. Et c’est comme ça que quelques minutes plus tard, j’étais lisse comme un caillou. Excité comme une puce.
Tout était prêt pour demain. Après quelques caresses en rêvant de Didier, je m’endormis.
Le lendemain, je partis rapidement, vêtu de mon short, le string dépassant légèrement et un t-shirt ample pour cacher le tout. Il fallait mieux éviter que ma grand-mère ne me voit comme ça.
Nous commençons à travailler après quelques minutes de discussions sur mon état de santé, si je me sens bien, si je me souviens de mon malaise, etc. S’il savait... La température continue de monter pendant les travaux. Didier est maintenant en slip, moi en short et le string toujours un peu sorti surtout quand je suis accroupi. Nous ne parlons pas, captivés par nos travaux. Mais je croise plusieurs fois son regard pendant ce temps. Et ce n’est pas un regard innocent, plutôt celui d’un chien devant une belle pièce de boucherie. Il faut dire que je provoque : me cambrant souvent, les fesses en arrière, les agitant parfois un peu sous ses yeux.
La journée se passe bien et est relativement calme à part ses regards appuyés et quelques caresses d’apparence innocentes quand il passe à côté de moi. A chaque fois, je ne peux m’empêcher de remarquer sa bosse, plus visible que d’habitude. Il a une érection, c’est sûr ! L’étape de la douche rafraîchissante approche, c’est lui qui la propose.
Comme dans les films, je me mets dos à lui, me cambrant, descendant doucement mon short, puis le string. Et me retourne. Il bande clairement ! Aucun doute là-dessus. Il esquisse un sourire et m’arrose. La tension sexuelle est à son paroxysme, nous ne parlons plus et nous rapprochons comme aimantés l’un à l’autre. Son slip tombe, révélant une queue bien bandée. Nos corps se touchent, ses mains sèches et viriles m’empoignent les fesses, je gémis sous le plaisir. Naturellement, je me mets à genoux, ma bouche s’approchant inexorablement de cette queue que je convoite, que je désire. Cette odeur virile et un tel délice pour mes narines, je la hume avant de la prendre en bouche.
Quand d’un coup "ding, ding, ding", la cloche annonçant le dîner. Je n’ai que 5 minutes avant qu’elle n’arrive et il le sait. Nous nous cachons et je reprends ma gâterie. M’appliquant méthodiquement sur sa hampe, la léchant de haut en bas, aspirant son gland épais, mordillant ses couilles. Je ne me reconnais plus. Nos gémissements se mêlant dans un concert érotique. Il me baise littéralement la bouche et j’aime ça ! J’adore même. Ses mouvements sont de plus en plus rapides puis c’est l’explosion gustative ! De longs jets au fond de ma bouche que j’avale par réflexe.
La cloche retentit à nouveau. Il faut que j’y aille, je me relève la queue encore bandée et me dépêche de me rhabiller. Mais Didier se met à ce moment derrière moi, saisit ma queue et en quelques aller-retour me vide. Je hurle sous l’émotion, c’est la première fois que je ressens un tel plaisir. Je n’en profite pas assez, entendant ma grand-mère arriver. Je pars en courant non sans la promesse de continuer le lendemain.
Me retournant une dernière fois, je lui crie :
— Le même goût qu’il y a deux jours ! Mais en mieux !
Voulez-vous la suite ? Dites-le-moi en commentaires. Après cette expérience, il me restait encore deux semaines sur ce chantier...
Diffuse en direct !
Regarder son live