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Premiers émois sexuels d’un jeune étudiant

Chapitre 1

Erotique
Ma première année d’étudiant fut celle de la découverte de mon indépendance et les quinze mètres carrés de ma chambre universitaire furent mon premier refuge.
Tout en goûtant à une certaine autonomie, je m’immisçais dans la vie en communauté avec des garçons et des filles de mon âge. Cependant, ma timidité m’empêchait d’aborder les étudiantes et je restais principalement avec des personnes de mon sexe.
Un détail important, j’étais toujours puceau comme la plupart de mes amis, et le sexe commençait à prendre une part prégnante dans mes préoccupations, a fortiori dans un lieu de forte promiscuité.

Premier dimanche d’octobre

C’était le premier dimanche du mois d’octobre. Nous étions en début de soirée, juste avant le dîner collectif. Je me souviens de tous les détails. Axel, un de mes voisins de palier vint subitement m’interpeller. Il semblait avoir toutes les peines à contenir une excitation que je ne lui connaissais guère. C’était un garçon d’ordinaire plutôt nonchalant. Il commença à me parler à voix basse en jetant des regards méfiants comme pour me livrer un secret :

— J’ai un plan pour ce soir. J’ai été invité par Lou et Sarah à rejoindre leur chambre à 21 h. Elles souhaitent que je vienne, accompagné de trois potes. Elles seront quatre filles. J’ai déjà Paul et Quentin qui sont partants, t’es chaud pour faire le quatrième ?
À l’annonce des deux prénoms féminins, ma tension augmenta brutalement. Lou et Sarah étaient deux superbes créatures à côté desquelles il était difficile de rester indifférent. Je ne savais pas grand-chose d’elles, mis à part leur âge. Elles avaient vingt ans. Autant dire que pour jeune homme de dix-huit ans, elles n’étaient plus des filles, mais des femmes. Bien entendu, ma réponse fut positive.

Après un repas pris à la sauvette afin d’engranger du temps pour mieux nous préparer, nous nous présentâmes à l’heure convenue devant la chambre.
C’est Lou qui nous accueillit. J’entrai avec une certaine appréhension dans ce sanctuaire féminin. Sarah se trouvait sous la fenêtre fumant une cigarette. Sur le lit étaient assises leurs deux amies Marie et Julia, écoutant la radio.
Les présentations étant faites, nous fûmes invités à boire une bière. Je m’efforçai de dissimuler ma nervosité par des poses feignant la décontraction.
Les quatre filles semblaient beaucoup plus à leur aise, mais l’alcool fit son effet : j’éprouvai une douce sensation de bien-être et de désinhibition. Chacun des garçons essayait de se mettre en avant afin de gagner en crédit auprès du groupe féminin.


Malgré une amitié de façade, une compétition se jouait entre nous quatre. Personnellement, mon regard se fixait sur Sarah. Au fur et à mesure de la soirée, elle me semblait embellir. Elle était vêtue d’un tee-shirt noir échancré à l’effigie des Ramones et d’une jupe relativement courte. Un motif oriental, certainement dessiné, au henné enroulait sa cheville droite. Elle semblait prêter une certaine attention à l’embellissement de ses pieds et chevilles avec plusieurs bagues à ses orteils, des ongles superbement vernis de couleur rouge ocre et des bracelets de cheville dorés.

La soirée suivit son cours puis tout s’accéléra quand Lou nous interrogea brutalement :

— Alors, les gars, y a-t-il des filles de la fac avec lesquelles vous êtes sortis depuis la rentrée ?
Un silence pesant se fit. Paul le brisa par une réponse provocatrice :

— Ben moi non… mais si une de vous quatre est partante… je veux bien.
La réponse de Lou fusa et celle-ci ressemblait à une injonction.

— Eh bien, tu es plutôt direct, petit effronté. En fait, je pense que tu t’emballes un peu vite pour un petit puceau.
Paul était sonné : comment avait-elle si facilement deviné notre état de puceau ? Un sourire figé et affligeant traversait son visage. Lou enchaîna :

— Je pense que vous avez imaginé pas mal de choses avant de venir ici. Cela doit s’agiter très vite dans vos petits slips. Je vous propose un petit jeu qui va plaire à tout le monde. Vous allez d’abord commencer par vous déshabiller et ensuite vous aligner nus devant nous.
Décontenancé, je n’eus pas le temps de cogiter, mes trois amis étaient déjà à moitié nus et semblaient même être pressés à répondre à la proposition de Lou. Peut-être pensaient-ils que cette épreuve était la condition nécessaire à leur première partie de jambes en l’air ? Je les imitai donc et nous nous retrouvâmes complètement nus. Les jeunes femmes, le sourire aux lèvres, nous toisèrent en concentrant leur regard sur nos parties intimes.

Personnellement, je ressentis un certain effroi nuancé par une excitation croissante. Cela commençait d’ailleurs à se voir puisque ma queue durcissait. Par un regard biaisé sur ma gauche, vers Quentin, je m’aperçus que je n’étais pas le seul à bander. Je fus surpris de la taille de son sexe, il était énorme avec des boules ressemblant à deux boules de pétanque. D’ailleurs, le regard des filles semblait conjointement s’orienter vers sa grosse queue.
Puis, c’est encore Lou qui prit les devants en s’adressant à ses amies :

— OK. Pour cette fois, Sarah, je te laisse prendre les mesures ?
Je ne compris pas immédiatement ce que Lou voulait dire, mais quand je vis Sarah récupérer un mètre couture et s’approcher de Paul pour lui mesurer la queue, je compris que les filles avaient envie de nous jauger. Par contre, le fait que Lou ait commencé sa phrase par un « pour cette fois » me laissait penser que nous n’étions pas les premiers à servir de jouets sexuels à ces demoiselles.

D’ailleurs, tout était bien rodé, la mesure était faite avec attention et sérieux : d’abord elle mesurait la longueur, puis la circonférence et enfin, pour finir, les boules étaient soigneusement prises en main et soupesées. Le résultat était ensuite annoncé à voix haute et noté sur un petit calepin.
Après Paul et Axel, ce fut le tour de Quentin. Un silence s’installa et je vis dans les yeux des filles quelque chose qui ressemblait à de l’admiration.
Quand Sarah annonça « 20 cm », Lou enchaîna :

— Félicitations, mon garçon, c’est la première fois que nous voyons pour de vrai un si beau spécimen.
Elle s’approcha de Quentin et lui empoigna les couilles en les malaxant avec sa main droite

— En plus, tu es doté d’une sacrée paire de couilles. Il faudra savoir se servir d’un si beau matériel.
Quentin semblait être sous apoplexie, il était rouge pivoine, mais affichait tout de même un sourire béat et fier. Arriva enfin mon tour. Sarah se positionna en face de moi, je la dépassai de 10 cm, mais elle me semblait être une géante et moi un petit garçon qui allait être jugé devant sa maîtresse.
Elle m’offrit un très beau sourire et m’attrapa les couilles avec sa main droite avec une grande douceur. C’était la première fois qu’une fille m’attrapait ainsi, la sensation était extraordinaire. C’était comme si je m’offrais totalement à elle, je me sentis défaillir. Elle me possédait totalement et pour la première fois, je pris conscience du pouvoir qu’une femme peut exercer sur un mâle.

Elle me mesura ma queue raidie à son maximum et annonça le résultat de 14 cm. Elle me fit un petit baiser sur la joue et retourna auprès des autres filles. Une sorte de conciliabule se mis en place fond de la chambre. Elles se mirent à chuchoter entre elles, j’entendis Lou hausser la voix ce qui me permit de comprendre que nous étions l’objet de leur débat. Enfin, après quelques minutes, elles revinrent avec le sourire. Et Lou reprit la parole :

— Au regard de l’état de vos queues au garde-à-vous, j’en déduis que vous êtes heureux d’être en notre compagnie. Nous allons donc continuer à jouer.— Vous allez vous mettre nues, les filles ? demanda Paul— Pas vraiment. En fait, chacune de nous a parié sur l’un d’entre vous. Je sais que vous être quatre puceaux prêts à sauter sur votre première fille, mais il faut y aller crescendo, ce soir vous allez juste nous montrer ce que vous faites quand vous êtes seul dans votre lit en pensant aux filles qui pourraient vous rejoindre. Pour parler clairement, nous avons parié sur le premier qui va réussir à nous offrir une belle éjaculation.
Ces filles avaient une imagination débordante. Elles proposaient, nous disposions. Bien que réduits à un rôle de subalterne, nous étions complices de leurs jeux sexuels et cela nous suffisait amplement.
Elles nous firent à nouveau aligner, toujours nus, et chacune d’entre elles approcha du garçon sur lequel elle avait misé. J’eus le droit à Sarah qui s’approcha doucement de moi et me chuchota doucement à l’oreille :

— J’ai parié sur toi, car tu es le plus sensible. Je le vois à la façon dont tu me regardes et particulièrement quand tu mates mes jambes. Je suis certaine que tu ne vas pas me décevoir, nous avons parié gros, alors si tu arrives à vider tes coucougnettes avant les autres je te promets que tu auras droit à quelque chose dont tu te souviendras jusqu’à la fin de tes jours.
Elle accompagna ses petits encouragements d’une petite caresse sur mes couilles.

Chacune des filles se plaça assise, face au garçon qu’elle avait choisi. Nous avions les mains derrière la tête. Dès que Lou donna le top départ, nous commençâmes à branler nos sexes raides. Sarah me regarda droit dans les yeux et par un léger basculement de sa tête me fit comprendre de regarder ses jambes. Mon regard caressa ses cuisses puis descendit sur ses chevilles pour se fixer sur ses pieds. À ce moment-là, je me souviens d’avoir ressenti quelque chose d’extraordinaire, une violente décharge électrique irradiant tout mon être.

Un orgasme ineffable, indicible. J’avais perdu le contact avec la réalité durant un temps indéterminé. Finalement, je rouvris les yeux. Sarah affichait un grand sourire. Elle pointait du doigt ses cuisses sur lesquelles des gouttes de mon sperme glissaient. Quelques secondes plus tard, Paul et Axel déchargèrent en même temps. Leurs queues crachèrent violemment plusieurs jets en direction des filles placées en face d’elles, mais aucun ne les atteignit.
Il restait seulement Quentin qui continuait à astiquer son énorme gland rougi. Il semblait maintenant pitoyable à essayer en vain d’expurger sa semence.
Lou s’approcha de lui en persiflant :

— Monsieur vingt centimètres est long à la détente. Finalement, tout ça pour ça !
Cette incise provoqua les railleries de toute l’assemblée. Ce qui le fit arrêter brutalement l’air renfrogné.
Sarah vint me caresser les cheveux, puis les testicules, de la même façon qu’un jockey vient féliciter son cheval. J’eus droit à un baiser sur les lèvres.
Les filles nous invitèrent à nous rhabiller. Elles affichaient un sourire de satisfaction puis finalement, elles nous saluèrent très normalement comme si nous venions de faire une partie de cartes. Nous nous dirigeâmes vers notre bâtiment sans rien dire et c’est Quentin qui brisa le silence :

— Elles se sont bien foutues de nous, les garces !
Paul lui répondit :

— Moi, j’ai bien aimé. Si on a tous bandé comme des ânes, c’est qu’on était bien heureux de jouer à leur petit jeu.
Je gardais le silence, mes pensées étaient encore totalement hypnotisées par les mots et le regard de Sarah. Elle m’avait fait vivre un moment intense. Tout se bousculait dans ma tête. Je mis d’ailleurs très longtemps à m’endormir.

Lendemain de fête

Le lendemain, en début d’après-midi, alors que je rejoignais la salle de jeux, je rencontrai Lou. Sans même me saluer, elle me fit passer un papier plié en quatre.
C’était un rendez-vous dans une heure, à la lisière du bois en contrebas du campus.
Je m’y rendis avec un quart d’heure d’avance. À l’heure dite, Sarah arriva. Elle portait une chemise rose dont les deux premiers boutons étaient défaits, un short beige et des sandales à talons compensés. Elle m’impressionnait encore plus que la veille. Sans même me saluer et avec un petit sourire malicieux aux coins des lèvres, elle engagea la conversation :

— Je suis une fille qui tient ses promesses. Viens, suis-moi !
Nous nous enfonçâmes dans les bois. Puis, arrivée à la hauteur d’une petite clairière, elle s’arrêta, posa son dos contre un épicéa. Après un instant de silence, elle s’approcha et me prit la main pour la guider d’abord vers ses lèvres, puis après un doux baiser, elle descendit sur ses seins. Elle ouvrit sa chemise et m’offrit le plus beau tableau que l’on puisse m’offrir. Ses seins étaient d’une beauté divine et leur douceur m’apportait une sensation qui m’était inconnue. Elle me lâcha la main et me chuchota à l’oreille :

— Cela te plaît ?
J’acquiesçai de la tête sans arriver à sortir un son de ma bouche. Sa main droite vint lentement se placer sur mon entrejambe.
Elle caressa la bosse proéminente, puis avec beaucoup d’attention et de délicatesse, elle descendit la braguette de mon bermuda et passa ses doigts agiles dans mon pantalon. Après avoir caressé mes boules, elle attrapa mon slip et mon bermuda pour le faire descendre au niveau de mes genoux.
Ma queue pointa subitement en sa direction. Je bandai fort. Elle s’arrêta quelques instants, fit deux pas en arrière et me toisa avec un doux sourire l’air satisfaite et sereine.
Elle avança, m’attrapa à nouveau les boules d’une main et la queue avec l’autre. La sensation était encore plus puissante que la veille. Je lui appartenais corps et âme. Elle était forte, j’étais faible.

— Apprécies-tu cela ?
Je fermai les yeux.

— Tu sais que je peux être encore plus généreuse ? Laisse-toi faire, tu vas aimer !
Elle accompagna son injonction par un léger va-et-vient sur ma queue. Cela dura quelques secondes et sans lâcher mon sexe, elle se mit à genoux, approcha tendrement ses lèvres de mon gland et lui fit un baiser langoureux avant de l’engloutir entièrement dans sa bouche chaude et humide.
Je n’ai pas tout de suite osé la regarder, je gardais les yeux clos. Je craignais qu’en ouvrant les yeux tout aller s’arrêter. J’étais bien. Puis je sentis quelque chose d’inévitable monter en moi. Tous mes muscles se raidirent, ma queue cracha un jet puissant. Sarah avait anticipé mon orgasme, elle avait sorti ma queue de sa bouche et avait positionné son visage sur le côté. Elle accompagna mon éjaculation en me branlant avec poigne. Je gémis de manière ridicule.
Sarah se remit debout, remonta mon bermuda et reboutonna sa chemise. Puis vint une mise au point de sa part :

— Ce qui vient de se passer entre nous ne m’engage en rien envers toi. Disons que nous nous sommes amusés tous les deux et c’est tout. Je ne souhaite pas avoir de relation sexuelle avant le mariage, parce que je veux offrir ma virginité à mon futur mari. Par contre, j’aime beaucoup m’amuser avec les garçons surtout quand ils sont aussi innocents que toi. J’espère que tu seras heureux en amour. Je vais rentrer seule à ma chambre. Reste ici durant au moins cinq minutes. Je ne souhaite pas nourrir des rumeurs qui pourraient m’être préjudiciables. Au revoir, petit homme.
Je restais ainsi immobile durant peut-être une heure. J’étais heureux.
Deux mois après cet évènement, je couchais pour la première fois avec une fille et perdais définitivement mon état de puceau.
Je ne sais pas aujourd’hui ce que Sarah est devenue et si elle garde encore dans un coin de sa tête le souvenir de ce qui s’est passé ce jour-là. En ce qui me concerne, Sarah reste mon souvenir sexuel le plus intense.
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