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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Premiers émois par Vincent

Chapitre 1

Divers
Ce jour là je travaillais au jardin. J’adorais cela. C’est moi qui entretenais tout. J’étais dans un parterre en train de repiquer des plantes quand ma mère est entrée dans le living avec une dame. Je ne l’ai pas de suite reconnue. C’était une amie de ma mère qui habitait près de chez nous mais qui depuis plusieurs année était partie à l’étranger. J’avais un bon souvenir de cette dame et je suis donc allé la saluer.
’ Ton fils que j’ai quitté bébé est devenu un vrai jeune homme ’.
Elle exagère un tant soit peu. Au cours de la discussion j’apprends qu’elle est revenue définitivement. Comme elle a compris que j’aimais jardiner, elle me propose de prendre son jardin en main.
’ Pour arrondir tes fins de mois ’.
Je suis donc dans un massif à l’arrière de la maison. Un battant de la porte-fenêtre de la chambre est ouvert. On voit le lit.
Tout à coup, Irène, c’est son nom, entre dans la chambre. Elle donne l’impression de se regarder dans une glace. Elle ajuste par-ci par-là. Elle enlève son chemisier et m’apparaît en soutien. Je commence à bander.
Je ne suis pas très avancé au niveau sexe. Bien sur j’ai découvert seul la masturbation et je m’y adonne de temps en temps. De voir Irène se contorsionner devant la glace me fait un effet bouf.
Elle détache sa jupe, la fait descendre et l’envoi d’un coup de pied sur le lit. Elle ne porte plus qu’un slip et un soutien.
Elle glisse les mains dans son dos et dégrafe. Une main prend la bride d’une épaule et la fait glisser doucement découvrant un sein. C’est bientôt au tour de l’autre et la poitrine apparaît nue. Les mains courent sur celle-ci en de langoureuses caresses.
J’ai déjà vu des poitrines nues : T.V., revues, plage, mais ceci n’a rien de comparable. Je bande comme un âne. Je prends mon sexe en main à travers mon short pour soulager la tension. Presque immédiatement je jouis et j’éjacule dans mon slip.
Irène passe une petite robe courte très décolletée. Elle quitte la chambre, sort par la porte du living et vient me rejoindre.
’Je suppose que je ne puis rien faire pour t’aider, mais je te propose de venir prendre un rafraîchissement’.
Il fait vraiment très chaud, et bien que je ne sois vêtu que d’un slip et d’un short je transpire d’abondance et une boisson sera la bienvenue.
’Avec plaisir’.
Je sui Irène qui se dirige vers la maison. La voir là a quelques cm de moi la poitrine nue sous sa robe sexy redonne de la vigueur à mon sexe.
Elle prépare les rafraîchissements et je puis apercevoir tantôt la poitrine par l’entrebâillement de la robe, tantôt le galbe de deux fesses quand elle se penche en me tournant le dos.
Ma queue est bandée à mort et cela se voit. Je ne sais comment me mettre et me contorsionne sur mon siège.
Elle me regarde en souriant.
’Il me semble voir là une bien grosse bosse ’dit-elle en s’agenouillant devant moi.
La main vient directement sur mon sexe, me caresse quelques secondes puis détache mon pantalon et ouvre la braguette.
’Holà ! Petit cochon, on a déjà joui, c’est tout mouillé’.
Elle se penche vers moi.
’Oh ! Que cela sent bon ! Dis-moi quand as-tu éjaculé’.
’Pendant que tu te caressais la poitrine devant la glace’.
’Tu t’es masturbé ?’
’Pas eu besoin’.
Je dis cela dans un souffle car elle m’a sorti le sexe et me masturbe. Elle se penche à nouveau sur moi et lèche mon bout qu’elle a découvert. J’ai une vue plongeante sur ses seins. Je pose une main sur chacun et les pince. Elle prend alors ma verge dans la bouche.
’Oh ! Oh ! Oh ouiiii !’
Je jouis comme jamais je ne l’ai fait. Elle me suce jusqu’à l’extraction de la dernière goutte. Elle me lâche seulement quand j’ai perdu mon érection.
Elle remet mon zizi en place et ferme mon short.
’Tu as assez travaillé pour aujourd’hui. Reviens demain.’
Le lendemain je suis au même endroit. Irène vient dans la chambre et recommence comme la veille, seulement en plus elle enlève sa petite culotte. Elle est intégralement nue et offerte à mon regard. Elle s’encadre dans la porte-fenêtre et me fait signe de la rejoindre. Quand je suis à sa portée, elle m’attire contre elle et me serre. Ma tête est au niveau du haut de sa poitrine, je sens la douceur de ses seins contre mes lèvres et ma poitrine nue est collée contre elle.
Elle me repousse vers le lit et m’y fait coucher sur le dos. Elle m’embrasse sur l’épaule, remonte vers le cou, et ses lèvres atteignent les miennes. Elle les baise. Sa langue vient parfaire leur action, petit à petit pénètre dans ma bouche et part à la recherche de la mienne pour s’en emparer, tourner autour, la parcourir toute. Quand elle se retire lentement la mienne la suit et bientôt pénètre à son tour pour jouer le même jeu. Le combat commence et nous ajoutons des caresses avec les lèvres et des sucions.
C’est petit à petit que j’ai découvert ces choses, mon éducation avec une fille s’étant terminée jusqu’ici a nous frotter les lèvres avec cependant une discrète avancée de la langue.
Pendant nos baisers, les mains d’Irène ne sont pas restées inactives. Elle m’a enlevé mes vêtements et nous sommes maintenant nus tous les deux.
Ses lèvres quittent les miennes et descendent vers ma poitrine. Et c’est alors un festival de plaisir. Aucune partie de mon corps n’est ignorée. Elle s’attarde particulièrement sur les tétons, le nombril, évite le sexe pour descendre vers les jambes et atteindre les pieds. Elle remonte ensuite entre les jambes, lèche et gobe au passage les testicules avant de s’emparer de la verge.
Quand elle sent que la jouissance est proche, elle remonte et vient reprendre ma bouche. Nous échangeons à nouveau un très long baiser. C’est moi alors qui part à la découverte de son corps. Je suis le même cheminement qu’elle. Chaque parcelle de sa peau est une découverte. Je m’attarde longuement sur les seins. Mes mains, ma bouche, les palpent, les tâtent, les sucent, les pincent. Mes lèvres découvrent les bouts et leur action les font encore durcir et grandir.
Quand j’arrive au sexe, je me perds un peu dans les poils et les replis. Les deux pouces d’Irène viennent alors ouvrir sa vulve et je puis découvrir les mystères qui y sont cachés. Elle pâlie à mon inexpérience en me guidant de la voix.
’Oui là. Continue. Un peu plus haut, lèche bien sur le bout. Prend le entre tes lèvres et suce. Ouiiiiii. Oh ! C’est bon. Va un peu plus bas. Ouvre avec ta langue. Ah ! Tu me rends folle. Entre ta langue dans le trou. Oui comme cela. Va et vient maintenant.’
Et tout à coup j’ai eu une envie irrésistible de remplacer ma langue par mon sexe. Je suis remonté en léchant son ventre puis entre ses seins. Je ne sais pas si je suis entré seul en elle ou si elle m’a aidé, mais je sais que j’ai cru devenir fou quand je me suis senti pénétrer.
’Ah oui ! Je te sens bien tout à l’entrée de moi. C’est bon.’
Et je me suis déchaîné. Cela n’a duré que quelques secondes car j’ai joui presque immédiatement mais alors cette jouissance a atteint une intensité que je n’avais jamais ressentie. J’ai senti ma semence se répandre en elle. Tout mon corps tremblait, mon cour battait à éclater dans ma poitrine, ma respiration était haletante et je poussais des gémissements démentiels.
Je crois qu’elle a joui en même temps que moi, car elle m’a serré contre elle à m’étouffer et a poussé comme un cri de délivrance.
Nous avons encore fait l’amour chaque fois que l’occasion s’est présentée. Assez vite mon sexe a grandi et en peu de temps il a atteint une dimension plus importante sans pour autant atteindre la taille adulte. J’en étais fier, mais rapidement je me suis rendu compte que quelque chose clochait. Nos rencontres se sont espacée et bien vite ont stoppé. Je me suis alors souvenu de la phrase qu’elle avait prononcée lors de notre première fois. ’Je te sens bien tout à l’entrée de moi’. Mon sexe minuscule la pénétrait à peine et c’est surtout cela qu’elle aimait.
gc298647@belgacom.net
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