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Premiers plaisirs anaux

Chapitre 2

Je prends la main

Hétéro
Je vous avais précédemment raconté comment et avec qui j’avais eu le plaisir de franchir la petite porte des grands plaisirs anaux. Dans le premier chapitre, j’avais doigté et enculé pour la première fois une jeune femme de mon âge (qu’elle soit ici remerciée de tout le sperme qu’elle a su me soutirer !) elle-même assez gourmande du cul, mais sans expérience. Il était temps pour moi de changer de crémière, et quelques mois après ces évènements, je me trouvais en présence d’une autre jeune femme.
C’était une petite Russe aux cheveux châtain clair, coupés un peu au-dessus des épaules, dont la bouche souriait largement, imitant un croissant, des seins blancs, qui laissaient voir leurs veines, en forme de poire et un cul rond et large qui n’avait rien à voir avec celui de ma première victime, petit et rebondi. Nous avions beaucoup bu, et elle m’avait suivi toute la soirée, chez un ami qui organisait une partie de jeux de société. J’avais rapidement compris qu’elle voulait se faire baiser par ma personne et je l’avais donc rapidement guidée chez moi après avoir pris congé des joueurs de donjons et dragons qui continuaient à jeter leurs dés dans la fumée de cigarette.
J’avais, à ce moment, les couilles comme des pêches et puisque j’avais compris que cette poule était déterminée à finir embrochée, je ne pris même pas le temps une fois chez moi, de lui offrir un autre verre : je lui offris plutôt ma langue, et nous nous roulâmes quelques pelles humides, avec des bouches plus gluantes que les chattes de deux lesbiennes en chaleur, quand après avoir passé une après-midi à la plage, elles se frottent l’une contre l’autre dans la position des ciseaux.
Homme d’une certaine expérience déjà, je n’attendis pas qu’elle me lâche la langue pour lui empoigner un nibard, à travers son pull, qui eut tôt fait d’apprendre à voler. Et rapidement, je décollai ma bouche de ses grosses lèvres pour lui baver dessus : elle avait déjà les tétons comme du granite, une cam-girl aurait pu s’assoir dessus. En même temps que je me faisais les dents sur ses mamelons, je commençai à lui peloter la chatte, en ne commençant pas doucement, et en misant sur le plaisir brutal plus que sur l’érotisme. Il faudrait que le législateur admette qu’on peut parler de consentement quand une fille mouille jusqu’à travers son Jean. Elle le retira en se tortillant du cul, car je l’avais mise sur le dos, au bord du lit. Et je retirai la culotte qu’on aurait pu servir comme rince-doigts dans un restaurant asiatique.
Elle fit un bruit bizarre en tombant sur le carrelage, qui se mêla à ses soupirs et à ses petits cris, lorsque je lui mis les doigts dans la chatte un peu comme j’aurais pu faire avec une marionnette. Elle avait le maillot épilé, mais je ne voyais pas l’intérêt de lécher tant elle était humide, visqueuse et luisante. Je vis par contre assez bien l’intérêt d’y mettre quatre doigts et de baratter à fond, histoire de faire sortir quelques sons de cette large bouche.
Comme elle était parfaitement épilée et qu’elle dégoulinait, on pouvait voir, sous les grandes lèvres, le jus qui disparaissait dans le début de la fente de ses fesses posées sur le matelas. Je pense que Dieu a au moins un peu créé le genre humain pour que nous puissions avoir le plaisir de parcourir à pleine main la raie des fesses totalement lisse et humide des jeunes femmes ! C’est un plaisir qui n’a pas de prix et que je recommande bien sûr aussi aux femmes. J’avais donc mis mes doigts dans la brèche sous le vagin, et, de là, ils avaient glissé comme des anguilles sous un rocher, au milieu de cet adorable cul, ferme et rosé malgré sa bonne taille. Or je ne couchais pas cette fois-ci avec une pucelle, ma partenaire avait déjà compris où je voulais en venir pour son bonheur, et elle se tourna instinctivement, se mit à quatre pattes et me présenta son boule grand ouvert, luisant comme si elle avait été en caoutchouc.
On pouvait deviner que son anus avait déjà connu quelques allers-retours, il était parfaitement serré et il attirait à lui les plis des fesses comme le soleil les rayons.
Je lui enfonçai mon majeur, elle fit un bruit d’approbation, à la suite de quoi je décidai d’y installer chacun des doigts de ma main droite. Le pouce entra aussi, et nous poussâmes de toutes nos forces ma main le plus loin possible, dans les vapeurs du plaisir et de l’alcool. Hélas pour faire entrer le poing, il aurait fallu des mains plus fines que les miennes, trop larges et carrées. Nous aurions pu insister, mais son anus avait rendez-vous avec mon pénis, que je dus déballer moi-même de ma main gauche, pendant que mon amie se massait le clitoris. Elle transpirait énormément et c’était la sueur qui achevait de lubrifier la raie toujours bien visible entre les deux miches.
Enfin, je m’accroupis derrière elle, la bite de marbre et les couilles en feu, je posai ma main sur son dos, elle avait une joue au sol, de sa main gauche elle s’écartait la fesse, l’autre cherchait à guider ma queue. Je posai mon gland au milieu de ce saint des saints, de ce trésor de la nature qu’est le postérieur d’une femme soignée et chaude. Je pensais encore que, comme la dernière fois, il allait falloir pousser pour entrer, mais c’était oublier que j’avais affaire à une femme d’expérience : son anus s’ouvrit facilement, et moi qui poussais comme un âne, je me retrouvai brutalement la queue enfoncée jusqu’aux couilles ! Elle ne put manquer de laisser échapper une sorte de cri grave, mais elle ne lâcha pas sa fesse pour autant, elle attrapa la deuxième avec sa main libre et me demanda, dans un souffle, de la baiser à fond. Ce que je m’efforçai de faire, cognant mes couilles trop remplies sur ces fesses luisantes.
Son anus ne serrait pas autant que le premier et je pus par miracle lui offrir plusieurs minutes de plaisir ; mais trop vite, mon gland qui frottait sa paroi, ma verge sur laquelle elle exerçait une pression savamment calculée demandèrent grâce.
J’eus le réflexe de l’attraper par ses poignées d’amour, avant de tout lâcher, mes couilles en étaux, je tâchai de lui faire une déchirure anale bien méritée, je la secouai comme une poupée pendant un bon moment, et quand enfin le sperme eut changé de camp, je m’allongeai sur elle, l’aplatissant, et je retirai doucement mon pénis qui rétrécissait doucement.
Elle resta allongée sur le dos, les yeux ouverts et sans rien dire.
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