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Premiers plaisirs anaux

Chapitre 3

La main me prend

Hétéro
J’ai consacré quelques pages à vous parler des joies infinies du plaisir anal, et au chapitre précédent, j’aI laissé au lecteur l’image d’une jeune femme russe affalée sur le dos, ruisselante notamment de sueur, après qu’elle m’ait offert une chevauchée fantastique, au cours de laquelle j’avais fait tout mon possible pour qu’elle rentre chez elle en fauteuil roulant. Cette jeune personne avait en effet eu le malheur de m’allumer à un moment où je cherchais à rompre trois mois d’abstinence, causés par mon expatriation. La dernière femme en date à m’avoir déchargé n’était autre que ma copine restée au pays, le jeune cobaye dont il est question au premier chapitre de cette série : c’est dire comme j’avais les crocs. J’avais donc mis les mains sur une femme d’environ vingt-cinq ans, assez expérimentée, qui trompait avec moi son copain allemand comme je trompais ma copine française.
Elle avait des besoins au-dessus de la moyenne et jouissait avec une facilité unique, ce qui ne l’empêchait pas d’avoir rapidement besoin de recommencer. Pour notre première nuit, je l’avais donc puissamment enculée, ainsi que je l’ai raconté, mais j’avais fait également honneur à son vagin, que j’avais labouré plusieurs fois jusqu’au matin.
Il lui fallait bien une soirée sortie de prison pour la contenter, et elle prit rapidement l’habitude de me retrouver, parfois tard le soir sur le chemin du boulot et de l’université, pour se faire grimper dessus par mes soins, souvent jusqu’au matin, quand elle repartait éreintée, mais ravie.
Cela faisait plusieurs semaines que duraient nos séances de baise. Je ne crachais pas sur son vagin, ni au sens figuré ni au sens propre, parce qu’elle mouillait toujours énormément. Un soir, après que je l’eus ramonée en missionnaire, le majeur replié dans son anus, histoire de m’assurer une bonne prise au moment de lâcher mon coup, un peu comme sur une boule de bowling, et qu’elle m’eut nettoyé le gland avec sa grande bouche aux lèvres épaisses, elle s’allongea à mes côtés en me regardant. Elle eut à cette occasion la bonne idée de me demander si on m’avait déjà pénétré. Je lui répondis qu’aucune femme n’avait jamais fait ça pour moi, et elle se proposa de me montrer.
On ne me l’avait jamais fait, mais à vrai dire, j’avais depuis bien longtemps déjà compris l’intérêt de la chose. Par accident : j’étais encore lycéen quand un soir, accroupi sur ma chaise de bureau, je m’étais cogné contre l’accoudoir, au-dessus de l’anus. La sensation m’avait fortement interpellé et j’avais passé la soirée à appuyer sur cette paroi séparée de la prostate par le vide sur lequel ouvre l’orifice anal. Le résultat était qu’en plus d’être agréable en soi, cette sensation faisait douloureusement bander, donnait encore plus envie de se branler et amenait des quantités de sperme invraisemblable à sortir.
Mais la masturbation de ce côté-là était encore plus frustrante que de l’autre et j’avais attendu avec impatience le jour où une audacieuse allait se sentir de venir me doigter. Il était bien que ce soit cette jeune Russe que j’avais enculée si sauvagement qui s’occupe de moi. Sur le dos, j’écartai les jambes, et elle se glissa entre elles. À l’instant où elle posa son index sur mon anus, ma queue, qui venait pourtant de décharger, se mit au garde-à-vous d’un bond ! Voyant cela, elle me fit mettre à quatre pattes, ce qui était nouveau pour moi. Ma verge pendait entre les jambes et mon anus devait la regarder droit dans les yeux. Elle se cracha dans la main gauche et empoigna ma queue, qu’elle commença à branler doucement de bas en haut, en remontant bien jusqu’aux couilles. Puis elle m’enfonça son index de la main droite, qu’elle venait de lécher. J’écarquillai les yeux de plaisir et de surprise ! Je ne me rappelais pas qu’elle avait les doigts si gros !
Ce petit index me paraissait énorme, et il était en effet énorme de plaisir.
La puissante sensation anale remuait entièrement les tripes, et se cumulait à la sensation de sa main gauche en train de me traire : j’étais dans un état de plénitude totale, le plaisir avait chassé toute forme de pensée de mon cerveau. Elle faisait des va-et-vient doucement, je sentais mon anus serrer son petit doigt potelé, et s’enfoncer vers la prostate prête à exploser. Heureusement, une sensation me sortit de ma transe : j’allais jouir, déjà ! Et j’avais du mal à croire que deux testicules suffisent à expulser ce que j’avais envie de mettre sur le matelas à cet instant.
Dans une grimace, je parvins à lui dire de s’arrêter : "arrête, arrête... je vais jouir, et vois-tu, je veux te défoncer, tu comprends, j’ai envie de te tuer, de me vider entièrement dans ta chatte et de disparaître ; d’expulser toute ma personne dans ton cul et d’arrêter ma vie là, d’accomplir mon destin et le tien." Enfin, j’ai dû lui faire comprendre quelque chose de ce genre-là parce qu’elle s’est effectivement arrêtée et s’est mise aussitôt à côté de moi, qui me relevai, à quatre pattes sur les coudes.
Ses coudes n’eurent pas le temps de toucher le matelas que je l’avais déjà attrapé par le cul : ce qui restait de mon discernement guida ma queue dans son vagin largement ouvert, je m’enfonçai à fond, j’attrapai les poignées d’amour, le cul, n’importe quoi qui passait à portée de mains, de mes ongles qui raclaient son dos, je jouissais en déployant assez d’énergie pour illuminer les deux grandes roues des tuileries, les fessiers contractés au maximum au moment de l’impact, la bouche grande ouverte par laquelle je laissai sortir un gémissement qui finit en un concert de cris, parce que sa chatte venait d’entrer en surchauffe et que ces quelques minutes de bouquet final avaient réussi à provoquer l’orgasme chez elle aussi.
Je repris mes esprits dans la position où commence ce chapitre : ma monture, la crête toute fumante encore du sperme du Minotaure, avait les yeux tournés vers le plafond à côté de moi, des larmes coulaient sur ses joues.
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