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Premiers plaisirs anaux

Chapitre 4

J'y prends goût

Hétéro
Les lecteurs ont suivi ma découverte de la jouissance anale, du petit cul blanc et rebondi de ma fiancée jusqu’au postérieur volumineux de celle avec qui je la trompe, et qui avait même eu l’amabilité de me doigter au chapitre précédent. J’avais grâce à la première découvert le plaisir de sodomiser et la seconde m’avait permis de me perfectionner dans cet art. Ces deux femmes avaient en commun un goût certain pour le plaisir anal, qui a tendance à venir aux femmes à partir d’un certain temps. Mais depuis plusieurs mois, j’avais entre les mains une nouvelle maîtresse, que j’avais dépucelée et que je dressais selon mes goûts. Elle avait beaucoup de talents et nous avions un atteint un haut niveau de maîtrise dans la baise. J’étais heureux de pouvoir faire jouir cette gamine de dix-neuf ans, quelques jours après son dépucelage.
Je l’avais déchaînée : la découverte du sexe l’avait rendue insatiable, si bien que j’établissais avec son aide un nouveau record personnel de huit éjaculations en vingt-quatre heures.
La pêche de cette divine enfant était mûre pour la sodomie, mais elle ne le savait pas encore. J’avais bien sûr abondamment câliné son anus, presque paternellement, en y mettant un doigt quand elle me chevauchait, en le caressant de mon pouce mouillé pendant la levrette. Parfois dans un ascenseur, je passais la main dans son jean et lui enfonçais une phalange, ce qui la faisait écarquiller de grands yeux bleus et ouvrir sa bouche pulpeuse comme une rose anglaise. L’ascenseur arrivait à l’étage et nous allions main dans la main nous enfermer dans la cabine handicapée des chiottes les plus proches, où je la défonçais, elle accrochée au lavabo, moi accroché à ses hanches, mes cuisses claquaient ses fesses de toutes leurs forces, elle baissait la tête sous l’impact, et la redressait quand je me retirais : mon regard l’attendait dans le miroir et elle me le rendait.
J’y lisais toute sa détermination à jouir, à se faire baiser, elle me défiait et d’un violent coup de queue, je lui faisais baisser la tête à nouveau.
D’autres fois encore si ce cul passait à ma portée à l’improviste, je le claquais de toutes mes forces. Dans ce cas, elle se retournait en me lançant son regard de biche en chaleur et en se mordant les lèvres. Je lui appuyais sur les épaules et une fois à genoux, elle avalait ma queue en me flattant les couilles. Je jouissais directement dans son estomac.
Mais ce cul si fin, si ferme, si lisse et blanc, je ne lui avais pas encore fait honneur. Car pour qu’une sodomie soit réussie, surtout la première, il faut que la receveuse la demande. J’attendais, dans sa bouche ou dans son vagin, qui me sous-tirait chaque jour des litres de semence, le moment où elle me supplierait de l’enculer. Alors seulement à ce moment-là, les yeux bien écarquillés, elle écarquillerait l’anus. Mais pour en arriver là, encore fallait-il lui en donner l’envie.
Un soir qu’elle sortait de la douche (j’avais éjaculé sur les seins, car il m’arrivait si son vagin fatiguait de la chevaucher et de placer ma queue entre ses nichons qu’elle écrasait ensuite pour que je puisse m’y branler à mon gré), elle s’allongea sur le ventre à côté de moi, son cul me narguait et j’entrepris pour la première fois un acte sexuel ultime, un bouche-à-bouche avec le cul, avec lequel les hommes devraient payer les femmes de leurs épilations. Je lui mordais le cou et descendais avec ma bouche le long de sa colonne vertébrale, en bandant et sans perdre de vue ses deux miches. Arrivé au début de la raie, je commençais à lécher assidûment, car la fente de cette jeune femme avait la pureté et la blancheur de l’ivoire et la finesse de certaines sculptures que les Asiatiques font sur les défenses d’éléphant. Son anus était petit, serré, mignon, blanc et sec. Elle venait de se laver et sa raie avait l’odeur de sa peau, mais plus forte.
Je léchais chaque centimètre carré à l’intérieur de ses fesses tendres et fermes, par lesquelles je contournais d’abord le point crucial. J’enfonçais ensuite ma langue dans sa chatte en prolongeant le chemin, pour lui faire croire que je ne la lécherai pas là où elle voulait, et puis, en faisant traîner ma langue depuis le clitoris, je remontai goûter pour la première fois l’anus de femme.

Au moment où ma langue passa sur son anus, qui avait un goût léger, un peu salé, elle eut un mouvement de tête, comme une gazelle qui redresse la tête quand elle sent l’odeur du danger, l’écarquillement des yeux n’avait pas suffi et elle entrait dans un état second. Je la pénétrais avec ma langue, la mordais, la léchais dans tous les sens possibles. Sa tête était retombée, elle ne bougeait plus, mais sa chatte coulait abondamment. Je passais un certain temps, le visage hermétiquement collé à la raie de ses fesses, je retenais ma respiration pour pouvoir enfoncer ma langue le plus profondément possible et la tortiller. Elle finit par relever la tête brusquement, comme saisie par une idée lumineuse. D’une voix chevrotante, mais en essayant de faire comme si elle me demandait la météo de demain, elle me demanda : "Janis ? Dis-moi, tu as déjà sodomisé une femme ?" Je lui répondis que j’avais pratiqué une fois ou deux, oui.
Elle m’avait ensuite demandé de l’enculer, en essayant de me le demander comme si elle avait voulu que je lui passe le sel. C’était le tube de lubrifiant qu’elle m’avait passé toutefois, dont je lui enduisis le cul, elle restait allongée pour l’opération, je m’accroupissais au-dessus, et posais mon gland gluant de lubrifiant presque à la verticale au milieu de sa raie magnifique. C’était une jeune fille d’une grande intelligence, et elle réussit à absorber mon gland, que je poussais avec précaution, assez facilement. La pression exercée par son sphincter était énorme et j’avais la queue divinement prise dans un étau qui ne laisserait pas passer les grumeaux. Je ne lui avais pas enfoncé beaucoup plus que le gland qu’elle poussa un cri rauque, j’eus peur de lui avoir fait mal, mais elle me supplia de continuer.
Je me mettais à sa place, mais la jouissance provoquée par cet anus en train de craquer autour de ma queue m’empêchait d’avoir pitié, j’étais enragé, et avec le sang-froid d’un maniaque, je l’attrapais par les épaules et m’allongeais complètement sur elle. Sous mon poids, ma queue l’encula totalement. Mon visage derrière sa tête, dans son cou et ses cheveux, je devinais qu’elle avait le souffle coupé. Je ne bougeai pas et attendais qu’elle me demande éventuellement de me retirer. Mais lorsqu’elle reprit ses esprits, ce fut pour me dire : "bouge ! défonce-moi ! va, mon beau, encule-moi comme un prince, plus vite !!". Elle hurlait, vociférait. Je me redressais, résolu à détruire cette perle des culs qui craquait autour de moi.
Je passais mon avant-bras sous son bassin pour améliorer la prise et lui surélever le postérieur avant de commencer le pilonnage. J’y allais crescendo, je donnais mes coups de reins avec prudence, au cas où l’un d’entre eux la fasse changer d’avis, mais elle n’abdiqua pas, elle hurlait de plus belle, et tortillait du cul pour augmenter la force de mes coups et s’enfoncer ma queue au plus profond. Elle gesticulait et ne savait pas quoi faire de ses mains avec lesquelles elle essayait de me griffer ou d’arracher les draps : avec une des miennes, je pinçais son clitoris, ce qui lui fit replier les jambes, et ses talons touchèrent mes fesses. De l’autre, je lui appuyais sur l’épaule pour gagner quelques millimètres de profondeur. Cette lutte dura un moment qui finit par se métamorphoser en une levrette de celles que claquent des amants de quarante ans.
Je jouis en hurlant : j’étais en train de gagner le combat qui opposait son sphincter à ma queue, le premier essayant d’étranger la deuxième, tandis que celle-ci cherchait à l’écarteler. Mes ultimes coups de reins, les plus puissants envoyaient son pubis s’écraser contre le matelas, sur lequel il rebondissait et que je revenais percuter au vol. J’inondais ce cul, d’une quantité de sperme qu’il avait du mal à contenir, et quand j’eus bien fini de tout lâcher, je m’aplatissais à nouveau sur elle, l’embrochant une dernière fois.
Elle ne bougeait plus, elle était rouge et blanche, elle transpirait, ses membres étaient sans vie : j’aurai pu lui rouler dessus avec un tracteur, le résultat aurait été le même. Je retirais mon pénis visqueux tout doucement, puis me penchais sur son anus pour regarder les dégâts. Il était strié de petites coupures rouges tout autour, légèrement ensanglanté. Je claquais ses fesses avant de m’allonger sur le dos et tournais ma tête dans sa direction. La bouche entrouverte, elle bavait doucement sur le matelas, les yeux à demi fermés. Bon, c’est un peu tôt pour lui demander de me nettoyer la bite, me dis-je.
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