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Prends-moi au salon de l'agriculture

Chapitre unique

Le prestige de l'uniforme

Avec plusieurs femmes
Au salon de l’agriculture, cette année encore, je regarde passer les familles. Ça crie, ça piaille. Verres de bières à la main, la foule ne désemplit pas et défile pour voir : vaches, poules, cochons...
J’y suis pour le travail, sur un stand, et m’ennuie prodigieusement à répondre aux questions du public, toujours les mêmes. Je porte un uniforme que je préfère taire par anonymat, pour le moment, mais qui suscite de l’admiration.
Il est bien taillé, il est vrai, et met en avant ma grande taille et mes pectoraux dessinés. Bientôt l’heure de ma pause déjeuner approche... J’ai faim : je dévorerais la terre entière si je pouvais.
Sur notre stand, il y a plusieurs "attractions" destinées aux enfants, dont une qui a beaucoup de succès, au point que certains adultes s’y prêtent aussi. Une sorte de boîte à appareil photo...
Mon rôle ce matin : inviter les gens à venir. C’est un vrai attrape-curieux. Puis, j’appuie sur un bouton qui immortalise l’instant. Flash. L’appareil imprime alors instantanément une photo de piètre qualité, mais sympathique. Et tout le monde est content. On m’a mis à ce poste pour "ma belle gueule", c’est ce qu’a dit mon chef.
Et ça défile : "souriez", "allez, plus, à droite". Je m’entends parler comme étranger à moi-même. Je pense à autre chose. Je pense à cette tension qui m’anime en tout instant entre mes jambes, à cette envie irrépressible de femmes qui ne me quitte jamais.
Soudain, deux jolies voix m’extirpent de ma torpeur :"Monsieur, vous nous prenez alors ?"Je manque de m’étouffer."Euh, oui... Pardon ! Allez y, resserrez-vous."
Elles sont toutes les deux blondes et approchent la trentaine comme moi. Je n’ai pas de mots pour décrire leur beauté, mais je vais m’y risquer.
Des cheveux clairs longs, fins ; des yeux noirs qui contrastent avec la blancheur de leur peau. Deux bouches fines. On dirait deux sœurs, mais elles sont justes amies. L’une porte un chemisier blanc, qui laisse deviner une poitrine ronde, petite mais ferme. Un discret grain de beauté trône au dessus de sa lèvre. L’autre porte une jupe noire et courte qui met en valeur ses fesses bombées. Elles sourient, me regardent, alors que je tarde à déclencher le cliché.
Amusée, celle au chemisier blanc, me lance :"Nous sommes trop seules. Tu viens avec nous pour la photo ?"
Je hausse les épaules. Mon chef, dans un coin du stand, me fait signe de la tête de les rejoindre, tandis qu’Emma, une collègue me tape sur l’épaule.
"Allez, vas y ! Tu n’es pas si timide d’ordinaire."
Il me semble que nous avons couché ensemble, Emma et moi, il y a quelques années. Je ne suis plus sûr. Nous avions tellement bu, et n’avons jamais osé en reparler. Peut-être en ai-je parlé dans mes nouvelles publiée ici "Le gala de la fac de droit".
Je m’égare... Je rejoins, donc, les deux blondes, intimidé, et réalise que celle au grain de beauté me sourit fixement. Elle tient un verre à la main et semble quelque peu débridée.
Je m’installe à sa droite, face à la caméra. Elle s’esclaffe :"Voilàaa ! On est mieux maintenant !"Mon coeur s’emballe. Je sens une main baladeuse se glisser dans la poche arrière de mon pantalon, assez lourdement. Je tourne la tête vers elle, mes yeux plongent dans son décolleté, comme aimanté, ce qui ne lui échappe pas. Son parfum me saisit l’âme. Il est doux, sucré, avec un arrière goût de miel.
Je m’éloigne, un peu étourdi, pour boire un verre d’eau. Lorsque je reviens, elles sont parties. C’est l’heure de ma pause. J’abandonne mes collègues pour me diriger vers un restaurant et m’acheter à manger. Dommage, j’aurais bien aimé connaître son prénom ou lui demander son numéro de téléphone...
Je cherche dans ma poche ma carte bleue. Mince ! Je l’ai oublié. Je fouille à tout hasard ma poche arrière. Mes doigts se heurtent à un bout de papier froissé, que j’attrape et commence à lire.
"Viens me rejoindre ce soir, derrière le hall 2. Prends la porte de sortie réservée au personnel, la 102. C’est là où arrivent les bottes de pailles. C’est isolé... Je t’y attendrais après mon service, à 20h. J’espère que tu trouveras ce mot à temps. Sinon... dommage pour toi, beau gosse."
J’ai le coeur qui pétarade. C’est irréel. Toute la journée, je ne pense qu’à elle. Peut être veut-elle discuter autour d’un verre... Est-ce un piège ? Oui, sûrement. Je n’irai pas... Cela vaut mieux. En même temps, j’ai très envie. Je réagis peu aux blagues d’Emma, je suis plus absent encore durant tout l’après-midi. J’aimerais que le temps file à toute allure et, aussi, savourer cet instant incertain.
Fin de journée. Je prends mes affaires et file. Non, je n’irai pas. C’est décidé. Je prends le route vers la sortie et le métro, porte de Versailles.
Et puis merde... Je fais demi-tour au dernier moment et fonce au hall 2. Après plusieurs minutes de galères, je trouve enfin la porte 102. Ce salon est immense, voyez-vous, on s’y perd vite.
Je pousse la porte de service. Comme elle l’avait dit. C’est calme. Isolé. Il y a des bottes de foins partout empilés, tantôt à mi-hauteur, tantôt sur plusieurs mètres. On dirait un labyrinthe de paille. Il fait nuit noire, nous sommes en mars, et les lumières des lampadaires orangés éclairent très la place d’une douce pénombre.
Elle a dû partir. J’ai dix minutes de retard, en même temps. Je n’avais qu’à pas réfléchir et foncer. Agir avec ma queue plutôt qu’avec mon cerveau.
Soudain, j’aperçois deux embouts rouges de cigarettes qui brûlent.. peut être que... Je m’approche et reconnais deux douces voix à l’accent chantant du sud, en pleine dispute."Il est là... T’es sérieuse meuf ?— Oui.— T’es vraiment en train de faire ça.— Oui.— T’es trop une cramée.— C’est pour ça que tu me kiffes, avoues."Lorsque je m’approche, elles gloussent et se taisent.
"Tu en as mis du temps", me dit l’une en riant.Je crois reconnaître ma préférée, celle avec le grain de beauté. Je lui demande :M"Comment tu t’appelles ?— Émilie. Et toi ?— Ludovic. Et ta copine ?"
Cette dernière s’agace :"J’ai pas de nom, j’entre pas dans vos combines, moi..."
Un silence s’installe, comme prévu. Je ne suis pas à l’aise, mais je la regarde toute entière. Je ne suis plus qu’à deux mètres d’elle. Émilie déboutonne légèrement son chemisier... Je réalise qu’elle n’a aucun soutien-gorge."Tu sais, je ne porte pas de culotte non plus... dit-elle.— Meuf, t’es trop une folle.. J’y crois pas, murmure sa copine.— Ferme ta bouche et surveille la porte. Si quelqu’un rentre, tu siffles".
Étrangement, elle ne bouge pas et regarde Émilie se déshabiller. Devant moi, cette beauté ouvre plus encore son chemisier, laissant paraître ses seins, plus beaux encore que je les imaginais. Elle fait glisser son pantalon à ses pieds, dévoilant ses deux jambes fines.
Puis, elle s’approche de moi, nue sous son chemisier, en chaussure à talon, et souffle une bouffée de cigarette enivrante, mêlée à son parfum. Et, comme un rien, nos lèvres se rencontrent. Sa copine nous regarde, stupéfaite.
Émilie glisse sa main entre ses jambes, je reconnais le bruit mouillé d’une chatte excitée."J’ai toujours rêvé de sucer un inconnu en uniforme comme ça, murmure Émilie. Puis qu’il me prenne sans ménagements...— Comment aimerais-tu que je te prennes ?— Comme une chienne", répond Émilie.
Il suffit de demander, je songe. Toute ma frustration accumulée de la journée ne demande qu’à exploser. Une bosse se forme sur mon pantalon. Sa copine jette un œil paniqué vers la porte d’entrée, mais peine à détourner le regard.
Émilie s’agenouille devant moi, à même le foin et le béton, et ouvre la bouche. Docile, pour une fois dans ma vie, je déboutonne mon pantalon, et sors ma queue déjà raide."Ne sois pas si rapide, s’offusque-t-elle par principe.— Tu as raison", je lui réponds.
Je carresse ses cheveux, que je noue en queue de cheval. Mon sexe n’est qu’à quelques centimètres de son visage. Puis je saisis sa nuque et l’embrasse avec fougue en me baissant à son niveau. Elle me mordille les lèvres, fermes les yeux, entièrement à moi.
Je sens sa résistance faiblir. Elle ouvre encore la bouche pour accueillir ma queue. Qu’elle est chaude et douce ! Ses lèvres sont une carresse, ses gémissements décuplent mon plaisir, car elle se masturbe en même temps.
"Vous êtes des fous, sérieux, geint sa copine qui oublie de surveiller l’entrée.— Rejoins nous", je tente, osant à peine, un jour, espérer réaliser ce fantasme.
Elle hésite, puis se rapproche un peu, recule, et pose finalement sa main sous mes couilles qu’elle malaxe gentiment. Je l’embrasse tandis qu’Emilie me suce avec application. Je lui dis :"Enleve ta culotte, toi aussi."Elle s’exécute tout en serrant plus fort de ses doigts mon plaisir. Elle titille mes veines. Dans l’ombre, je devine une botte de foin derrière elle, qui semble confortable. Je leur ordonne :"Retournez vous toutes les deux."
Elles obéissent, dos à moi, les mains sur la botte, penchée en avant. A mon tour de leur donner du plaisir, ou du moins essayer. Je me mets à genoux derrière leurs culs, et avec envie, comme un animal presque, j’embrasse leur sexe sous la jupe pour l’une, puis sous le chemisier pour l’autre. Je lèche. J’embrasse. Je lappe. Puis je glisse un doigt léger sur leur clitoris. Elles gémissent.
Émilie appuie sur ma tête, à chaque fois, quand vient son tour pour que je la pénètre de ma langue, que je glisse tantôt sur son sexe tantôt dans son cul.
Lorsque je me lève enfin, les jambes d’Emilie tremblent. Je rentre alors en elle comme dans de l’eau, sans capote."Mets-en une, supplie-t-elle.Confus, je me retire. Je n’en ai pas sur moi. Elle soupire :"Non, on s’en fout. Enfonce-moi. Fourre-moi".
Tout au fond, je reviens... Elle me tire en elle, encore. Tout va si vite. Quelqu’un pourrait venir."Prends moi", crie-t-elle.
A côté, sa copine se carresse frénétiquement, couchée sur le dos désormais, face à moi, sur la botte de foin, les yeux levés au ciel.
"Vide tes couilles en moi, hurle- Emilie. Vas-y. Donne-moi tout. Donne moi mon lait.— Je veux ton cul, je lui murmure à l’oreille.— Tout ce que tu veux, chéri."
Et je glisse ma queue dure dans son orifice le moins lisse. Elle fait une légère grimace. Je m’inquiète, mais elle m’encourage à y aller. Je la démonte sans ménagements.
Je sens l’excitation à son comble."Encule moi, monsieur. Encule moi".
Sa copine mouille abondamment et jouit. Émilie tremble d’orgasme. Je la rejoins aussitôt dans son cul serré.
Un silence vient aussitôt, à peine couvert par nos soufflements. Le salon ferme ses portes, et mon sperme se mêle à Émilie, à sa sueur et sa cyprine, et coule le long de ses jambes jusqu’au sol couvert de pailles.
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