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Préparation d'un gang-bang

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Les garçons décidèrent que pour mon gang-bang, je devais avoir une tenue « correct. Richard, en habitué du sex-shop local, fut chargé de m’accompagner. J’aurais préféré que ce soit Bruno qui m’emmène mais je dus y aller avec ce jeune un peu négligé. Par chance, il me permit de m’habiller correctement, chemisier bleu foncé, jupe grise mi-longue, soutien gorge et slip noirs assortis. Il se contenta de se soulager les bourses dans ma gorge avant de partir. Et par chance aussi, je fus obligée de garer ma voiture à plusieurs mètres du magasin. J’essayais de me dépêcher pour entrer afin d’éviter de croiser des connaissances mais Richard voulut se pavaner à mon bras.    Le magasin était dans la pénombre. Derrière le comptoir, un géant chauve aux épaules de déménageur d’une quarantaine d’année se tenait debout. Près des sex-toys et godemichés, un couple d’une vingtaine d’année, elle très grande, mince et brune, lui grand aussi avec une barbe fournie. Entre les rayons DVD et revues, deux quinquagénaires petits, l’un avec une moustache grisonnante, l’autre avec des lunettes aux verres épais. Richard serra la main du commerçant.    « Salut Franck. Je te présente Brigitte, une bonne copine. Va dire bonjour à Franck, comme Bruno t’as appris. »    Rapidement et en baissant la tête, espérant qu’aucun client ne regarde de notre coté, je fis le tour du comptoir. Je marquais un temps d’arrêt en découvrant un superbe doberman au pied de son maître.    « N’ayez pas peur, madame Brigitte, Satan n’est pas méchant », me rassura le géant.  Je m’accroupis à ses pieds, puis me démenais pour baisser son pantalon et son caleçon. Je vis alors un sexe qui n’avait rien à envier au plus gros godemiché du magasin. Les couilles rasées avaient chacune un piercing. Je gobais celle de droite, pendant que Richard informait Franck de sa recherche puis partit fouiller dans le rayon lingerie. Le couple s’approcha alors du comptoir. Ils discutèrent longuement avec le vendeur, surtout la jeune femme. Je me doutais qu’ils essayaient de voir ce qui se passait derrière le comptoir Et pour confirmer mon impression, Franck me prit le visage et se recula légèrement pour que je le suive. Malgré moi, je mouillais d’être ainsi exhibée. A genoux, je serrais les cuisses quand je sentis la truffe du chien tentant de se glisser sous ma jupe. Dans un état second, je n’entendais pas les commentaires des 3 personnes autour de moi, mais après un temps interminable, le couple sortit du magasin. Le géant chauve me présenta alors son sexe énorme devant la bouche, et je ne réussis qu’a en gobé la moitié. Richard revint alors des rayons avec plusieurs articles dans les mains.    « Il y a moyen d’essayer ces petites choses ? demanda-t-il.— Pas de problème. Madame Brigitte est si gentille que je lui offre ce service.— Allez viens par ici »Je me relevais alors, au grand dam du chien qui avait réussi à forcer le passage de mes genoux. Deux cabines étaient au fond du magasin. Richard choisit celle de droite et je m’y engouffrais. Je voulus fermer le rideau, mais le jeune homme se mit devant l’ouverture et je ne pus que le glisser à moitié. Commença un long essayage sous les yeux de Richard où je fus souvent les seins ou la chatte à l’air. Du coin de l’œil, je vis que les deux derniers clients s’étaient rapproché de la cabine vers laquelle ils glissaient des yeux plus que curieux. J’enfilais les soutien-gorges et les strings de toutes les couleurs surtout noir et rouge avec les directives de Richard qui me faisait parfois me tourner pour apprécier sous toutes les coutures.  « Alors, madame Brigitte trouve ce qu’elle veut ? »Le vendeur chauve repoussa le rideau entièrement et apparut devant moi.     « Laissez-moi vous aider. »Il remit alors la bretelle de mon soutif puis soupesa mon sein gauche et tira sur mon téton laissé à l’air libre.    « Madame Brigitte, vous avez des obus magnifiques mais de petits bouts. Je vais vous chercher ce qu’il vous faut. Enlevez-moi tout ça et j’arrive »Il disparut vers le rayon lingerie. Richard me fit signe d’obéir à la demande et j’enlevais le soutien-gorge puis, sur ordre du jeune homme le string assorti. Je serrais les cuisses et mis ma main sur ma poitrine discrètement voyant les deux quinquagénaires à quelques mètres de la cabine. Richard les aperçut aussi. Il m’attrapa la main pour la mettre sur sa braguette et me fis écarter les jambes pour me doigter la chatte. Malgré moi je mouillais d’être ainsi dévoilée. Franck revient avec une combinaison en dentelle noire. Elle me laissait les seins totalement libres en les faisant remonter.    « Voilà qui est mieux, madame Brigitte. Vous avez une très belle poitrine », me complimenta-t-il.  Il s’empara de mes nichons qu’il tritura avec ses énormes mains en s’écartant pour laisser les deux voyeurs goûter le spectacle. Il me fit tourner sur moi-même en me sortant de la cabine d’essayage pour montrer mes fesses découvertes par le string en bas de la combinaison, puis me tourna après quelques secondes vers les deux inconnus.    « Et le petit plus, c’est que l’on peut constater que madame Brigitte est une vraie blonde », continua-t-il..    Il écarta alors le bas de la combinaison et ma toison apparut par la fente du vêtement. Le client à lunettes siffla de satisfaction. Franck derrière moi, titilla mon clitoris de son majeur de manière si expert que j’avançais le bassin pour aller à la rencontre de son doigt. Richard et l’autre client plus hardi, malaxèrent mes seins découverts. Puis le vendeur attrapa le tabouret de la cabine d’essayage qu’il plaça devant moi et me fit pencher en m’appuyant dessus, la croupe offerte et les jambes écartées. Il ne mit que quelques secondes pour présenter son énorme bitte devant mon petit minou.  « Non …..Il est trop gros », protestais-je.  Mais le géant continua à pousser et doucement mon vagin accepta son visiteur. Je me sentis défaillir de plaisir.    « OH …. Oui…. », roucoulais-je sous les assauts à la fois doux et violents de mon amant qui alternait les coups de reins savamment. Aussi quand deux sexes dressés se présentèrent devant mes lèvres, j’ouvris grand la bouche pour les gober tous les deux sans savoir à qui ils appartenaient. Ma langue se démena à toute vitesse. Deux mains puissantes s’emparèrent de mes seins en les pétrissant rudement.    « Vos seins remplissent bien mes mains, madame Brigitte. J’ai rarement trouvé d’aussi grosses mamelles. J’adore. Vos pointes réagissent bien et la peau est douce. Je vois que vous appréciez. »    Et c’était vrai que je prenais un pied d’enfer. Ballottée sous les coups de butoir, je parvins malgré tout à faire éjaculer le sexe à ma droite qui se déversa à moitié dans ma bouche, le reste se répandant sur mon menton avant de s’écouler sur le tabouret.    « Et là, madame Brigitte, ne salissez pas ma chaise. »    Le sexe à ma gauche sortit de ma bouche. Je vis que c’était celui de Richard. Franck me redressa tandis que le quinquagénaire à lunettes remontait sa braguette, le sexe mouillé de ma salive. Le commerçant m’enleva ma guêpière et je me retrouvais nue entre quatre hommes. Il me coucha sur le sol du magasin et plaça son dard entre mes seins. Richard prit sa place dans ma chatte et le dernier client introduisit sa pine dans ma bouche. Ils commencèrent à coulisser chacun entre mes lèvres, mes nichons malaxés et mon minou. Le quatrième homme renonça à ranger ses instruments et vint se branler prés de nous. Et chacun y alla de ses commentaires.    « Quelle salope !— Tu as du drôlement la démonter, Franck. Ma bitte glisse comme dans du beurre.— Je fais lui juter dans la gueule tellement c’est bon— Madame Brigitte, je ne vois plus ma queue entre vos gros nichons. Quel pied !Le premier à jouir, après moi, fut le client dans ma bouche qui se retira pour se répandre sur mon visage. Franck me prit par la nuque pour y ajouter aussi sa semence. Les deux hommes se reculèrent pour laisser la place au quinquagénaire branleur qui reprit sa place dans ma bouche. Richard jouit ensuite en m’insultant de tous les noms. Franck revint me triturer le bouton de ses gros doigts alertes. Et je jouis une dernière fois en même temps que mon dernier partenaire.    Les quatre hommes remirent de l’ordre dans leur tenue tandis que couchée sur le dos, je reprenais mes esprits. Le chien, que tout le monde avait oublié, vint alors me renifler. Je tentais de le repousser en me relevant, mais Richard me retourna et m’immobilisa sur le sol en me faisant relever les fesses. Le géant chauve attrapa son animal et le plaça derrière moi.    « Il faut être gentil avec Satan, madame Brigitte. Et ne vous en faites pas, il est habitué de couvrir les femelles en chaleur comme vous. »    En effet, l’animal plaça ses pattes avant sur mon dos et sans aide, glissa son sexe dans ma chatte. Malgré la honte, je ne pus empêcher mon corps de réagir aux assauts de mon amant à quatre pattes. Richard me lâcha et je me laissais faire. Un cinquième male abusa de mon corps.
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