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Je prépare Joëlle pour une nouvelle séance au sex-shop

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
— Tu t’es éclatée salope, tu aimes ça des gros manches par derrière.— Trop bien, et dire que j’ai attendu jusqu’à aujourd’hui.— Mais si tu veux rattraper le temps perdu, c’est facile.— Ah oui, et comment ?J’ai mon idée, mais attends d’être chez elle, dans une situation plus chaude, pour lui dévoiler tout.— Ne sois pas impatiente, tu le sauras toujours assez tôt.— Allez, sois sympa, je veux savoir.— Chez toi, si tu es gentille avec moi.— Tu sais que je fais tout ce que tu veux, alors s’il te plait c’est quoi ton plan.Je refuse de lui dire, et elle se masturbe rageusement, se fait jouir, lèche ses doigts.— Tu me connais par cœur salaud, tu sais comment m’exciter, mais c’est moi qui vais profiter de mes orgasmes, et pas toi, connard.— Mais c’est qu’elle est en colère ma petite chérie. Astique toi salope, aime toi, c’est ça de moins que j’aurais à faire.J’ai été un peu trop loin et elle me fait la gueule. Je m’arrête à la première aire de repos et lui demande sincèrement pardon. Je lui promets de lui dévoiler mes intentions en reprenant la route, et on se roule une longue et chaude pelle de réconciliation. Je réalise alors la chance que j’ai qu’elle veuille m’appartenir et lui promets de ne plus la blesser.Je lui ai tout dévoilé et on arrive chez elle. A peine la porte fermée on se déshabille dans sa chambre. Je suis allongé à poil sur le lit, le manche à l’équerre. Elle est aussi entièrement nue et rampe depuis le fonds du lit vers mon sexe qui l’attire. Elle ne me suce pas, mais l’admire avec ses grands yeux désireux, et m’effleure plus qu’elle ne me caresse :— Cette bite, cette bite que tu as ! Elle est trop belle ! Je te demande pardon moi aussi pour tout à l’heure, tu es mon amant préféré, ma queue préférée.— N’en fais pas trop, J.C. et Jacques, sont mieux montés que moi.— Oui, mais justement ils sont trop bien montés. Ca va pour une baise de temps en temps, mais pas pour s’aimer à volonté. Toi, j’ai envie de ta queue en permanence, et puis contrairement à eux je peux te gober jusqu’aux couilles.Elle joint le geste à la parole et m’engloutit jusqu’à la racine. Elle me suce à merveille, et me fixe dans les yeux espérant mes commentaires :— Salope, je n’y crois pas. J’ai peur de rêver, de me réveiller, et que cela n’ait jamais existé. Tu as vingt-deux ans, moi cinquante sonnés, et tu es là à me turlutter. Dis moi que je ne rêve pas, pince moi.Elle ne me pince pas, mais plante délicatement ses grandes dents bien blanches sur mon gland, et relâche sa tendre morsure :— Tu es réveillé, où je recommence ?— Réveillé, et heureux. Tu es géniale chérie, je t’aime.Il n’est pas question de sentiment profond entre nous. On s’aime bien, mais c’est surtout le sexe qui l’emporte, et c’est ainsi qu’elle a justement pris mes mots. Après m’avoir bien caressé, et sucé, elle avance sur moi, me chevauche, et s’empare de ma trique pour se la mettre dans sa chatte brûlante et liquéfiée. Elle se couche sur moi, et me chuchote à l’oreille :— Baise moi, baise moi, baise moi. Je suis ta petite pute, et j’ai faim de ta queue dans tous mes orifices. Prends moi, défonce moi, punis moi de m’être faite enculée par d’autres mecs et d’y avoir pris du plaisir. Je suis à toi, je suis ta poupée gonflable, ton esclave de chair. Elle m’a mis le feu, et je ne me contrôle plus. Je la retourne sur le dos, monte sur elle, et réalise ses désirs. Je la bourre, la laboure, enfonce mon soc dans son sillon qu’elle arrose de son plaisir. Je me retire, et l’emmène devant une grande glace que je lui ai achetée, pour la prendre en levrette, et qu’elle se voit :— Regarde toi salope, regarde comme tu es jeune et belle, et comme tu te fais mettre par un vieux. Et je ne te parle pas de J.C., qui a 67 ans, qui pourrait être ton grand-père, et qui t’a enculée à m’en rendre jaloux. Tu veux baiser ma pute jolie, tu aimes ma queue, alors accroche toi, je vais te matraquer comme je ne l’ai jamais fait, tu m’as trop allumé ma chérie. Je la baise de toutes mes forces, décuplées par la vision de ma superbe monture, et approche de l’extase. J’ai juste le temps de me retirer, et de m’approcher de la glace que je macule de longues giclées. Je n’ai pas fini de jouir que déjà elle entame le nettoyage. Elle lèche mes dégoulinades, se regarde dans les yeux, fière d’elle, et remonte jusqu’à mon gland qu’elle embouche d’une torride délicatesse. Elle me vide, me nettoie.Il est midi, on se lave, déjeune, puis on se recouche dans les bras l’un de l’autre pour reparler de mes projets, très hard, avec elle. Elle veut tout ce que je veux, est prête à tout pour me faire plaisir, et dis oui à tout. Je l’avais aiguillée il y a quelques temps, par téléphone, sur un plan pisse, mais sans donner de suite. Je l’ai réalisé avec Patricia, et je sens que le moment est favorable. Je ne veux pas lui pisser dessus, elle est trop jeune et trop mignonne, mais je veux son urine sur mon corps, dans ma bouche. Elle accepte de boire une bouteille d’eau, et m’offre un moment inoubliable dans le bac à douche. Son urine est une pure merveille de chaleur, de senteur, de couleur. Elle me recouvre le corps, me remplit la bouche, et quand elle a malheureusement terminé son pipi joli, je la remercie de son offrande, comme un chien remercie sa maîtresse pour sa pitance. On baise encore et je m’en vais.J’ai prévu une autre séance dans le sex-shop pour le samedi suivant. Elle ne rentre pas chez elle et je ne la rejoins que le samedi midi, et non le vendredi, pour ne pas l’épuiser et qu’elle soit en forme. J’ai appelé Jacques pour être sûr qu’il soit là, ainsi que Guillaume. J’ai appelé aussi le patron pour l’informer de notre venue et le rassurer sur notre éventuelle participation à ses soirées privées. Joëlle s’est décidée à y jouer la putain de service, offerte par tous les trous, et c’est comme une répétition que l’on vient faire aujourd’hui en journée. Il souhaite prendre un acompte, la tester, et nous attend à 13h30.Il referme la porte derrière nous et baisse son froc dans la boutique.— Suce moi salope.Elle s’accroupît et le pompe avec application.— Tu es une bonne, je sens qu’on va bien s’amuser avec toi. Lève toi et enlève le bas que je te prenne. Elle ôte ses collants et son string, et garde sa mini robe violette, ras la moule. Il la tourne et lui met la main à la chatte :— Tu es déjà prêtre à l’emploi chienne, toute mouillée et ouverte. Tiens, prends mon manche dans ton huître pendant que je te prépare le cul.Il veut finir avant l’ouverture de 14h, et ne perd pas de temps. Il la baise tel un métronome, salive sur sa raie, et enfonce un pouce puis les deux. Il la masturbe de ses deux gros pouces, les écarte pour mieux l’ouvrir et crache direct dans le trou. Elle gémit mais se laisse faire. Elle est suffisamment dilatée, et il change d’orifice. Il s’engage d’un seul coup, sa queue est dans la bonne moyenne, comme la mienne, sans plus, et elle l’absorbe aisément. — Salope, aussi jeune et aussi pute, c’est inespéré. Tu aimes la queue, crois moi que tu vas en prendre. Je vais rameuter tous mes potes, et on va te prendre comme des bêtes, on va t’éclater le cul.Il s’excite et décharge dans son puis. Il se retire, lui donne son sexe à nettoyer. Il prend une revue qu’il pose au sol, elle s’accroupit dessus et déverse le contenu de son cul. Il la doigte profond pour tout libérer et lui donne ses doigts à sucer. Elle est maintenant à quatre pattes et bouffe l’impressionnante quantité de foutre qu’il a écoulé entre ses reins.On approche de l’heure d’ouverture, et je vais avec elle dans la salle de cinéma.
A suivre…………………………
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