On approche de l’heure d’ouverture, et je vais avec elle dans la salle de cinémaOn est assis au premier rang de la grande salle, seuls. Enfin les premiers clients arrivent, dont Jacques. Il baisse son froc aux chevilles et s’installe sur son fauteuil habituel. Joëlle s’agenouille à ses côtés et retrouve avec joie le plaisir de pomper son superbe manche, son sublime gland. Elle m’a excité dans sa séance avec le patron et j’ai envie d’elle. Je déballe mon engin, la fait se relever tout en continuant de sucer, relève sa petite robe sur ses reins, et lui plante le cul sans avertissement. Elle vient de se faire sodomiser, et ça passe comme une lettre à la poste. Il n’y a presque personne et je prends mon temps. Peu à peu les hommes arrivent, ainsi que Guillaume qui nous rejoint.— Te voilà enfin, j’ai cru que tu m’avais posé un lapin, petite salope. Je vais pouvoir jouir puisque tu es là.J’active mes mouvements, ramone ma jeune monture de toute la longueur de ma queue, et lui gifle la chatte avec mes grosses couilles pendantes à chaque fois que je suis à fonds en elle. Je sens ma sève monter, et je m’éclate entre ses reins de pute soumise. Je me retire et donne ma queue à nettoyer à notre petit salaud. Puis je lui donne une grosse paille, et lui ordonne de vidanger l’anus de ma protégée, et de tout avaler.Il y a quelques mecs sur les fauteuils, tous le manche à la main. Je vais les voir l’un après l’autre, et leur propose de se faire ma blonde chérie. Ils peuvent la baiser en levrette sans jouir, l’enculer et jouir, venir dans sa bouche au dernier moment pour décharger. Elle accepte tout.Je veux qu’ils participent tous et ils ont pour consigne d’être rapides, dix minutes grand maximum. Il acceptent et c’est un véritable défilé.Chacun à sa technique:— Se faire, sa chatte, son cul et finir dans sa bouche, ce qui permet à Jaques de se calmer. — Se faire uniquement la chatte, ou uniquement le cul, puis la bouche.— Se faire la chatte et le cul, ou uniquement le cul, et finir dans son anus.C’est ce que j’avais imaginé et qui se réalise. Mais d’autres solutions apparaissent. Cette salope de Guillaume propose ses services. Certains alternent les coups de queue entre les chauds orifices de ma petite, et la bouche de Guillaume. Ils tiennent ainsi dix minutes, laissent la place, et se font pomper par leur amant qui se régale à leurs vider les couilles. D’autres enfin n’ont pas l’intention de jouir, du moins pas de suite. Ils savent qu’après avoir gicler ils repartiront, et à dix euros l’entrée ils veulent rester le plus longtemps. Joëlle prend son pied comme jamais. Elle passe plusieurs heures à sucer une trique phénoménale, tout en se faisant tringler les deux trous par d’innombrables bites bien vaillantes, qui la défoncent avant de s’écouler dans son cul ou sa bouche, à l’exception de ceux, peu nombreux, qui préfèrent Guillaume pour se vider. A chaque fois que trois mecs ont joui entre ses reins, j’estime son fion bien rempli, et guillaume le nettoyeur se charge des décharges. Plus salope tu meurs.Vers 16h ils sont une quinzaine à l’avoir honorée, ou plutôt déshonorée, et je lui accorde une petite pause, pour elle mais aussi pour Jacques qui n’a pas encore explosé. Je profite de cette pause pour me faire turlutter par Guillaume et le désaltérer de ma semence.On reprend la séance. Quelques nouveaux venus profitent de ma chienne offerte, mais la majorité repasse pour une deuxième fois, dont ceux qui n’avaient pas joui la première fois, et qui là s’abandonnent, comblant ma pute blonde de leur chaude et généreuse offrande de sperme. La bouche, le cul, elle est remplie de partout. 18h, c’est l’heure creuse du samedi avant la soirée. Il ne reste que de rares mecs, de vrais homos qui se foutent d’une femelle. Je demande à Guillaume de se farcir Joëlle, par le cul bien sûr, et lui promet de l’enculer ensuite. Il se donne à fonds, impatient de la suite, et se libère en elle. Jacques se lève et va donner le coup de grâce à sa belle suceuse. Sa trique est impressionnante, mais tout en douceur il parvient à l’introduire dans le petit trou bien préparé.Il la pilonne à l’en faire hurler, et j’enquille mon jeune mec avec la même ardeur. Jacques jouit le premier et inonde le tunnel anal de sa partenaire. Elle le nettoie et je me retire de mon soumis pour remplir ma blonde trop salope. Je me retire et me fait nettoyer par Guillaume, avant qu’il ne vide le cul de Joëlle de sa bouche gourmande.On est épuisé, Joëlle plus que moi, et on décide de partir.Le patron nous retient dans la boutique, a déjà eu des échos des performances de ma petite copine, et nous reparle de son plan. Tous les samedis après minuit le sex-shop devient club privé pour des partouzes, et il souhaite notre présence. Après ce qu’elle vient de subir je la sens incapable d’assurer pour ce soir, et je lui promets qu’on sera là dans quinze jours. On reste encore pour discuter des participants, des habitudes sexuelles, des interdits.On rentre chez elle, on se douche, on mange, on se couche, et je l’encule.— Salope, c’est pas possible toutes ces bites que tu as accueillies. J’ai beau savoir que tu n’es qu’une pute finie, tu m’impressionnes plus à chaque fois. J’ai refusé pour ce soir, mais je suis sûr que tu aurais aimé participer.Elle ne me répond pas, comme un aveu. Je me déchaîne entre ses miches, et lui fait passer l’envie de penser à autre chose qu’à ma trique qui la défonce. Elle mouille en abondance, je me retire, et on se finit dans un délicieux 69 gourmand.On passe un dimanche coquin, une semaine classique par téléphone, un autre week-end sexe à rêver du week-end suivant, une autre semaine. Je ne la rejoins pas le vendredi, mais le samedi après midi pour être tous les deux frais et dispos pour cette soirée privée.Minuit arrive enfin. Le patron a fait partir les clients normaux. Seuls restent les initiés. Il ouvre une petite porte dérobée, et nous fait entrer, nous deux et d’autres invités. A suivre.........................
