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La présidente suce

Chapitre 1

Trash
L’histoire qui suit a largement été inspirée par et écrite avec la collaboration de Stéphanie Del, membre active et coquine de XStory.
***
Il est 6h35. Le jour se lève à peine sur Paris. La Citroen C6 noire aux vitres fumées entre dans une rue cossue du huitième arrondissement située à deux pas du parc Moncau. Elle s’immobilise devant l’imposante porte en bois d’un immeuble haussmannien. Une jeune femme pressée en sort en faisant claquer ses talons aiguilles sur le trottoir. Le chauffeur descend de son véhicule pour lui ouvrir la porte arrière. Elle le salue sur un ton de reproche en lui tendant son pardessus et sa serviette.
— Bonjour André. Vous êtes en retard, cela fait plus de cinq minutes que je vous attends.— Bonjour madame. Je vous prie de m’excuser.
Il n’argumente pas. Il sait que l’évocation d’un arrêt prolongé dans une station service pour cause de pneus sous-gonflés ne l’intéresse pas, et il ne tient pas à l’irriter de si bon matin. Elle s’installe et boucle sa ceinture. Il referme la portière, place ses effets dans le coffre et se remet au volant.
La voiture remonte l’avenue Hoche vers la place de l’Etoile. Sur le cuir de la banquette arrière, Stéphanie consulte l’agenda surchargé de sa journée sur son smartphone. La jeune trentenaire a défrayé la chronique lorsqu’elle a rejoint l’année précédente le club très fermé des patrons du CAC40. Elle en est l’une des rares femmes, et de loin le membre le plus jeune. On la dit vive, brillante, fédératrice, mais néanmoins ferme, voire autoritaire. Les mauvaises langues se plaisent à ajouter qu’une si jolie personne n’a eu aucun mal à coucher pour atteindre aussi vite de tels sommets. Cette évocation la fait sourire. Elle lève les yeux un instant sur l’Arc de Triomphe, puis replonge dans la liste de ses rendez-vous alors que la voiture s’engage sur l’avenue de la Grande Armée. Non, elle n’a pas couché pour réussir. Elle ne couche que pour le plaisir...
Stéphanie est une jolie brune qui tient son monde en admiration et en respect du haut de son mètre soixante. Elle porte ce matin un tailleur jupe gris clair et des escarpins assortis qui lui font gagner un petit décimètre d’altitude. Le col de son chemisier bleu roi s’ouvre sur un collier de perles nacrées, sobre mais d’une valeur certaine. Ses cheveux mi-longs tombent sur ses épaules, et elle les ramène machinalement derrière ses oreilles du bout des doigts en compulsant ses notes. La voiture traverse Neuilly. Son chauffeur lui jette de temps à autre un coup d’oeil dans le rétroviseur. Elle n’y prête pas vraiment attention, d’autant que les valeurs de prudence et de sécurité qu’elle se doit de porter auprès des dizaines de milliers d’employés de son groupe le lui interdisent. Il est hors de question de s’envoyer dans le décor en distrayant un chauffeur qui rêve plutôt de s’envoyer en l’air. Il devra encore patienter quelques minutes...
***
La grosse berline entre dans la contre-allée qui mène à la tour, et s’immobilise devant l’entrée principale. Deux solides agents de sécurité, oreillette, chemise blanche, costume et cravate noirs, sortent par la porte à tambour. Stéphanie range son téléphone dans sa serviette et déboucle sa ceinture. Le chauffeur coupe le moteur, descend et fait le tour de la voiture pour se placer devant la portière de sa passagère. La jeune femme presse sur le bouton qui fait descendre la vitre fumée. Elle découvre sans surprise apparente l’énorme sexe déjà raidi qui sort de la braguette baissée. Elle s’en saisit avec douceur, le caresse d’une main, et flatte de l’autre les testicules velues. Il tressaille. Elle sourit, le relâche, et se réinstalle au milieu de la banquette.
L’homme se retire, laissant la place aux pénis également bandés des deux gardiens dont les uniformes viennent se plaquer contre la carrosserie. Tendant le bras droit, elle les gratifie chacun d’un câlin mutin, tandis que l’index de sa main gauche se charge d’actionner l’ouverture de l’autre vitre, derrière laquelle le chauffeur est allé prendre position. Elle écarte lentement les jambes, les mains plaquées sur ses cuisses pour aider sa jupe à remonter. La bande sombre du haut de ses bas et ses portes jarretelles blancs apparaissent. Hanches et fesses se dégagent en ondulant. Ses mains se pressent sur sa culotte, blanche également, montent et descendent, frottant langoureusement son entrejambe. S’avançant par les deux fenêtres ouvertes, les triques dressées se laissent masturber par leurs propriétaires haletants. Le spectacle continue dans la lumière blafarde du plafonnier. Stéphanie déboutonne son chemisier jusqu’au nombril, fait glisser ses mains sous le tissu. Sa guêpière blanche apparaît, les bonnets émergent dans le mouvement lascif de son bassin et de ses épaules. Les doigts coquins les agrippent, les retroussent et libèrent les deux jolis globes dont les tétons pointent fièrement. La masturbation redouble de vigueur, pareille à des applaudissements saluant l’artiste qui entre en scène. La poitrine canaille met en valeur ses formes lorsque Stéphanie se penche pour faire glisser sa petite culotte sur ses chevilles. Lorsqu’elle se redresse, les seins encadrés par son tailleur et le vagin luisant exposé sous sa jupe troussée, elle termine son numéro en passant sa langue gourmande sur ses lèvres. Et constate que les spectateurs sont prêts pour le second acte. Prêts â être dégustés.
Les agents de sécurité se retournent, tirés de leur extase par le bruit des talons qui se rapprochent. Moulée dans un tailleur bleu marine parfaitement ajusté, une grande blonde à queue de cheval et aux formes généreuses marque un temps d’arrêt, réclamant du regard le passage aux deux hommes qui s’écartent. La plantureuse hôtesse d’accueil se penche pour s’adresser à la présidente, leur offrant en guise d’entracte une magnifique vue sur son postérieur rebondi.
— Votre assistante vous rappelle que vous avez un rendez-vous à 8 heures, madame. Elle me demande de vous dire qu’elle souhaiterait vous briefer avant...
Stéphanie dévisage l’embarrassante messagère qui s’est permis de la déranger. D’un ton à la fois hautain et agacé, elle commence à répondre.
— Vous lui direz que nous avons largement le temps et que...
Son regard se perd dans le décolleté que lui offre la veste qui baille, et plonge dans la gorge qui sépare les deux superbes mamelles de l’hôtesse. Elle s’interrompt. Se détend. Et reprend.
— Laissez tomber... Je lui dirai moi-même tout à l’heure... J’aimerais que vous fassiez quelque chose pour moi, mademoiselle...
***
Les deux gardiens se rincent l’oeil. Les fesses nues de la présidente se dandinent dans l’encadrement de la fenêtre arrière de la C6. A quatre pattes sur la banquette, elle suce consciencieusement le chauffeur qui lui tend son membre d’exception par la vitre opposée. Ses lèvres vont et viennent avec douceur, sans bruit ou presque, accompagnées dans leur mouvement par ses doigts manucurés et attentionnés. Quelques gouttes blanchâtres perlent le long de la fente de son abricot duveteux et humide, ce qui n’échappe pas aux deux spectateurs goguenards.
— C’est qu’elle mouille la cochonne... — Regarde-moi ce cul... C’est une vraie chaudasse, la pédégette...
L’agent baisse les yeux vers l’hôtesse, accroupie dos à la portière entre son collègue et lui.
— Et toi, la pétasse de la réception, continue à sucer...
La pétasse en question se cramponne aux deux pénis qu’elle accueille alternativement dans sa bouche. Elle répond à l’injonction d’un gémissement étouffé et d’une légère accélération de ses mains branleuses. Ses deux gros seins se balancent entre les pans ouverts de sa veste qui, en l’absence coupable de soutien-gorge, assurait leur tenue tant qu’elle était boutonnée.
***
Stéphanie... Miss Monde Fellation dans ses oeuvres de bon matin. Ce petit nom lui vient du talent dont elle fait parfois preuve dans les salles de réunion, les conseils d’administration ou les ministères, au grand dam des épouses de notables jalouses. Une plaisanterie, une rumeur taquine et somme toute sympathique pour le peuple commun, une perverse réalité dans l’intimité des grands de ce monde qu’elle mène par le bout du nez. L’entrepreneuse de l’année n’a pas son pareil pour entreprendre...
L’un des gardiens lui offre par la vitre ouverte son pénis gonflé et couvert de la salive de l’hôtesse qui continue à prendre goulument soin de son compère. A moitié couchée sur la banquette, Stéphanie engouffre la trique bien raide efficacement préparée par la jeune femme. Le chauffeur s’est installé dans la voiture auprès de sa patronne dont la jambe gauche levée contre le dossier ouvre l’accès à un vagin dégoulinant. En appui sur la cuisse gainée de soie, il défonce la chatte de madame la présidente avec toute la vigueur que lui permettent ses reins. Malgré les coups de boutoir qui l’ébranlent, font danser sa tenue débraillée et sursauter ses seins, elle assure une masturbation franche et régulière du membre qu’elle dorlote dans sa bouche, ne le laissant sortir que pour quelques brèves pauses durant lesquelles elle titille nerveusement le gland du bout de sa langue. Il y a de multiples façons de construire une belle fellation, mais le succès tient dans la capacité de la suceuse à sentir vibrer le sucé, et à mettre son oeuvre en phase avec la montée de sa jouissance. En ce domaine, Stéphanie a l’art, la manière et surtout l’instinct. Elle excite, contrôle, laisse se calmer, relance de plus belle, joue avec la queue comme un chat s’amuse avec la souris qu’il sait à sa merci. Jusqu’au moment où elle décide d’en finir...
— Oh oui, je vais jouir ! T’es plus douée que la plus pute des putes, présidente de mes couilles... Attends un peu que, je remaquille ta frimousse de grande dame... Oui, ça viens... Prends ça !
L’agent de sécurité expulse son sperme en jets abondants, jugeant de la qualité de la prestation exceptionnelle qui vient de lui être offerte au volume inhabituel de foutre qu’il étale sur sa bienfaitrice. La bouche grande ouverte, Stéphanie récupère avec fierté tout ce qu’elle peut. L’orgasme masculin lui procure toujours et inlassablement le même plaisir. Quelques giclures désordonnées viennent s’étaler son visage et se perdre dans ses cheveux. Elle ferme les yeux en attendant que l’arrosage cesse. Elle sent le lourd filet qui s’écoule lentement sur son menton, prêt à tomber sur la portière, et fait tourner dans sa bouche la précieuse gorgée qu’elle finira par avaler. Une zébrure blanchâtre orne le col de son élégant chemisier bleu, une autre coule sur le revers de sa veste...
Le gardien essoré remballe son membre qui ramollit à vue d’oeil. Reprenant son souffle et ses esprits, il s’écarte de la voiture d’un pas hésitant.
***
— Ils sont élégants, ces uniformes bleu marine. J’aime beaucoup...— C’est vrai, ils font plus habillés que les tenues d’été beiges que nous portions jusqu’à la semaine dernière...
Les coudes appuyés sur la portière, l’hôtesse échange quelques mots avec Stéphanie toujours installée dans le véhicule. Sa bienveillance et sa facilité à communiquer avec tous ses salariés ou contractuels, quel que soit leur poste, ont largement contribué à donner de la présidente une bonne image au sein de l’entreprise. Une forte personnalité, un sens de l’humain, du charisme et, ce qui ne gâche rien, un physique avantageux font d’elle un modèle pour beaucoup de femmes.
Le chauffeur s’acharne maintenant avec son inaltérable entrain dans l’orifice anal de sa patronne. Précédemment lubrifiée par de torrentielles sécrétions vaginales, la trique de compétition va et vient aisément entre des fesses apparemment habituées à recevoir de la visite. L’hôtesse, elle, se fait violemment pénétrer par le second vigile. Agrippé à ses hanches, sur lesquelles il a troussé la jupe de l’uniforme, il la défonce sans pitié. Elle ne demande d’ailleurs pas mieux, elle pour qui l’accueil est une véritable vocation : qu’ils entrent dans la tour ou dans son intimité, elle reçoit tous les visiteurs avec plaisir et avec un sourire éclatant.
La conversation des deux femmes est hachée par les secousses que leur infligent leurs partenaires respectifs. Elles s’interrompent parfois pour laisser échapper d’irrépressibles gémissements inspirés par les glands qui explorent leurs tréfonds. Le collier de perles de Stéphanie sautille sur sa gorge, les gros seins de l’hôtesse se balancent entre ses bras.
— Votre poitrine me rappelle tout à fait celle de la femme d’un ministre que j’ai bien connu, mademoiselle...— Me comparer à l’épouse d’un membre du gouvernement... C’est très flatteur...— Vous auriez dû la voir, sortir ses nichons de sa robe de soirée pour que son mari y étale sa plâtrée de sperme lorsque j’ai achevé ma pipe. Une belle salope, comme vous ma chère...
Les deux femmes rient. L’hôtesse porte ses lèvres au menton de la présidente et happe la semence poisseuse qui le recouvre. Malgré l’agitation de leurs corps malmenés, leurs bouches se trouvent puis s’embrassent longuement. Les langues s’unissent, se délient pour laisser passer un peu d’air, et s’unissent à nouveau dans un interminable baiser au goût de jouissance.
L’apaisement les gagne enfin, après un ultime orgasme. Elles se livrent leurs dernières confidences en murmurant.
— Mon chauffeur vient de décharger dans mon cul... Je sens son foutre qui s’écoule hors de mon petit trou... J’adore cette sensation...— Le gardien est en train de juter sur mes fesses... Je peux me retourner si vous voulez lécher...
***
— Allo, Nathalie, c’est Stéphanie. J’arrive à l’ascenseur dans un instant. J’aurais besoin de prendre une douche et de me changer avant le briefing. J’ai malencontreusement tâché mon chemisier et ma veste... Vous serez bien aimable de sortir le tailleur noir et la chemise business rose pâle qui sont dans le dressing de mon bureau. Voilà. A tout de suite... Ah, j’oubliais. L’hôtesse que vous avez chargée de me prévenir tout à l’heure... Elle m’a l’air très bien cette jeune fille... J’aimerais qu’elle soit affectée à la Direction. Notez ça. Merci.
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