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La présidente suce

Chapitre 2

Trash
L’élégante troupe d’hommes en costume et de femmes en tailleur s’avance dans le long couloir aux murs gris éclairés par la lumière froide des néons. Les bruits de pas sur le carrelage blanc, le brouhaha des conversations et le crépitement des appareils des photographes résonnent bruyamment sous les hauts plafonds, alors que l’homme qui accompagne le groupe ouvre une porte qu’il invite ses visiteurs à franchir. Ils entrent dans une vaste salle. Sur le mur qui leur fait face, de hautes fenêtres s’ouvrent sur le boulevard. Sur la gauche, quelques canapés fatigués et des fauteuils dépareillés sont regroupés autour d’un gros téléviseur sur lequel la présentatrice du journal de 20 heures annonce les titres du jour. Le reste de l’espace est meublé de tables et de sièges hétéroclites destinés aux activités de lecture ou aux jeux de cartes. Une trentaine d’hommes hagards aux vêtements défraîchis et crasseux hantent la pièce, avachis devant les informations qu’ils regardent à peine ou tuant le temps à la belote. D’âcres effluves se mélangent dans une atmosphère lourde de tristesse et de lassitude.
Le guide, monsieur le directeur du centre d’accueil en personne, présente l’endroit et ses occupants.
— Voici la salle dans laquelle les gens que nous accueillons peuvent se reposer et se détendre. Comme vous le savez, nous offrons aux sans-abris un hébergement, mais aussi un soutien psychologique et un support dans leurs démarches administratives. Nous venons de terminer les travaux d’aménagement et d’entretien annuel qui nous permettrons d’être à pied d’oeuvre au début de l’hiver. Nous devons malheureusement faire face à une demande croissante d’année en année...
Il se met ensuite en devoir de présenter ses invités aux démunis qui ont mollement levé les yeux sur eux.
— Nous recevons aujourd’hui madame Stéphanie Del, la présidente du groupe industriel qui nous aide financièrement depuis de nombreuses années, son assistante, monsieur Leraide qui représente le ministère du logement, ainsi que monsieur le maire de l’arrondissement et ses collaborateurs...
Les photographes immortalisent à coup de flash cette rencontre improbable entre les grands acteurs de la société et les oubliés de la rue. Stéphanie s’avance vers ces derniers, un sourire engageant aux lèvres, pour serrer quelques mains. Elle porte un tailleur jupe beige, des talons aiguilles assortis et un chemisier blanc dont le col s’ouvre sur un carré Hermès aux motifs bruns, ocres et or. Son sens de l’humain et sa générosité sont connus de tous, et c’est avec une réelle sincérité qu’elle est venue échanger quelques mots avec les défavorisés que la fondation de son entreprise soutient à travers ce centre. Cécile, son assistante, ne la quitte pas d’une semelle. Hôtesse d’accueil il y a encore quelques semaines, la plantureuse grande blonde a su convaincre la présidente par son à-propos et ses capacités d’adaptation, au point de devenir sa plus proche collaboratrice. Vêtue d’un strict tailleur pantalon noir, elle laisse toutefois s’exprimer les charmes de sa superbe plastique dans l’extrême décolleté de son chemisier blanc.
Le contact se noue petit à petit. Les délicates senteurs de parfum rencontrent les relents de transpiration, de timides sourires aux dents jaunâtres répondent aux douces lèvres rouges. Les élus viennent à leur tour prendre leur petit bain de foule, mais les regards sont surtout attirés par les deux femmes qui illuminent, bien mieux que le discours sans âme des politiques, un quotidien si terne.
Stéphanie répond devant une caméra aux questions des journalistes. Son engagement personnel, les valeurs de l’entreprise, le partenariat renouvelé, les montants alloués... Du coin de l’oeil, elle surveille sa collaboratrice qui prend sa mission très à coeur. Cécile se tient face à quatre joueurs de cartes qui la dévisagent, incrédules. Elle ouvre sa veste. Le chemisier, déboutonné jusqu’au nombril, baille légèrement puis se tend sur son opulente poitrine lorsqu’elle place ses mains sur sa taille en bombant le torse. Ses tétons, durs et dressés, pointent à travers le tissus. Les yeux s’écarquillent et se mettent à briller, provoquant chez la jeune fille un sourire satisfait et bienveillant. Stéphanie se détourne quelques instants de son interview en s’excusant. Tout en s’adressant aux quatre hères salivants, elle tire sur le chemisier de son assistante et en extrait son sein gauche nu.
— Ne soyez pas timides messieurs. Cécile est entièrement à votre disposition. Je pense que vous n’avez pas souvent l’occasion de peloter d’aussi jolies mamelles...
Pendant que la présidente reprend son entretien avec les journalistes abasourdis, Cécile dégage son sein droit, offrant sa poitrine à la lubricité libérée de ses nécessiteux. Une main sale et tremblante s’avance, intimidée devant le trésor qui s’offre à elle. Touche la douce peau pour s’assurer qu’elle est bien réelle. Presse pour constater que le sein ne se dérobe pas sous la fruste caresse. La belle assistante affiche un sourire coquin. L’homme aux cheveux noirs hirsutes et à la peau tannée par de trop longues années d’errance se tourne vers ses acolytes en ricanant et, prenant confiance, commence à malaxer le tendre globe laiteux. Son voisin se hasarde à son tour sur l’accueillante poitrine. Les deux autres joueurs se lèvent pour plaquer leurs mains fébriles sur les fesses de Cécile, les agrippant à travers le pantalon noir. Les respirations sont bruyantes, la tentation réveille les bas instincts qui sommeillent dans les esprits embués des quatre hommes. Elle ferme les yeux. Deux bouches avides la tètent sans ménagement, trop heureuses de téter autre chose que leur éternel litron de rouge. Les doigts se plantent et les paumes claquent sur son derrière de rêve, fantasme de magazine érotique enfin à leur portée.
Stéphanie avance dans la salle accompagnée par le cameraman et les reporters, serrant quelques mains supplémentaires, distribuant des mots d’encouragement. Trois grands noirs sont avachis sur un canapé face aux actualités. Sensible au charme de la présentatrice, celui qui est assis au milieu masturbe son énorme sexe, dressé comme un pieu hors de la braguette de son jean crasseux. La patronne au grand coeur, suceuse hors pair et compétitrice dans l’âme, ne résiste pas et tombe à genou devant l’exceptionnel engin. L’homme hébété, assommé par la fatigue et peut-être aussi un peu par l’alcool, laisse les fines mains manucurées reprendre l’ouvrage qu’il avait entrepris en solitaire. Après quelques coups de langue rapides sur le gland gonflé, la bouche présidentielle engloutit le sexe d’ébène massif. Le cameraman continue à filmer. A ses côtés, monsieur le maire et le représentant du ministère restent, outrés, immobiles devant la scène d’une rare indécence qui vient de les prendre de court. En vicieuse expérimentée, Stéphanie libère un instant ses mains branleuses pour trousser sa jupe et offrir aux regards atterrés l’excitante vision de ses fesses, de sa petite culotte de soie blanche et des porte-jarretelles tendus qui maintiennent ses bas de couleur chair.
Les représentants du peuple offusqués n’en restent pas moins des hommes, et durcissent à vue d’oeil devant un tel spectacle...
***

A quatre pattes sur la table basse sur laquelle le jeu de cartes est resté éparpillé, Cécile enfourne jusqu’à la garde une longue trique musculeuse. Son propriétaire, un homme entre deux âges au teint grisâtre, cale son gland dans la gorge de la jeune femme en agrippant celle-ci fermement par la base de sa queue de cheval. Il se retire de temps en temps, le membre couvert de salive glaireuse, pour la laisser brièvement respirer et exhaler un gémissement lascif. A genoux de part et d’autres, deux des amateurs de belote se contorsionnent pour sucer les mamelons qui se balancent hors de la veste et du chemisier ouverts au rythme de la fellation bestiale. Le quatrième larron, l’homme aux cheveux en bataille, se tient derrière l’assistante, toujours affairé sur son postérieur. Ses doigts tirent sur la couture du pantalon jusqu’à la faire craquer, s’insinuent, tirent encore et finalement déchirent le tissu noir d’un coup sec, exhibant les orifices de la belle. Se saisissant d’une bouteille de vin rouge qui tient encore miraculeusement debout sur la table, il introduit brutalement le goulot dans le vagin détrempé.
— Madame boira bien un petit coup avec nous, pendant que Romulus et Rémus tètent ses mamelles de chienne...
Cécile aurait aimé lui préciser que la mythologie romaine parle plutôt d’une louve, mais une femme du monde ne parle pas la bouche pleine. Pas plus qu’elle ne porte une bouteille directement à ses lèvres, à moins que ces dernières ne soient, en l’occurence, vaginales. La chatte béante laisse échapper des flots de vinasse bon marché sous les assauts nerveux du goulot. Le liquide coule le long des cuisses écartées, imbibant le pantalon ruiné, pour former une flaque rougeâtre sur la table.
A l’autre bout de la pièce, Stéphanie est montée sur son étalon et s’empale sur son énorme sexe, les mains appuyées sur le dossier. Les deux autres grands noirs finissent de se déshabiller. Le premier contourne le canapé pour se placer en face de la plus belle suceuse du CAC40 qui gobe immédiatement le monumental pénis. Le second, tout aussi membré, se prépare à investir le petit trou de l’élégante patronne. Le caméraman tourne autour du quatuor, alternant vues d’ensemble et gros plans salaces sur le vagin écartelé par l’imposant piston ou sur les lèvres expertes glissant sur le sombre mât. En marge de l’action, le maire et le représentant du ministère commentent la scène en se masturbant.
— Mon dieu, cette énorme bite répugnante va vraiment rentrer dans son cul ? Elle va se faire détruire !— Ne la sous-estimez pas monsieur le maire, on dit qu’elle est aussi salope que douée en affaires... J’espère en tout cas qu’elle se sera proprement désinfectée pour son rendez-vous de demain avec le ministre !— Soyez prudent, un journaliste risque de vous entendre... Vous pourrez me passer sa petite culotte, que je me branle aussi avec ?
Défoncée par tous ses orifices, Stéphanie est bien loin de penser aux deux pisse-froid pathétiques qui se partagent le slip de soie qu’elle a négligemment laissé choir pour offrir ce moment de bonheur à ses partenaires d’un soir. En fait, elle ne pense à rien, complètement abandonnée à sa jouissance. L’homme qu’elle chevauche a plaqué ses mains sur la jolie poitrine qu’il a libérée du chemisier en faisant sauter malencontreusement quelques boutons. Secouée par les deux sexes monstrueux qui dévastent son arrière-train, la présidente tente tant bien que mal d’assurer sur le troisième le travail de fellation qui fait sa réputation. Son luxueux foulard danse et vole sur ses épaules, accompagnant avec légèreté et élégance le mouvement de ses lèvres autour de la grosse sucette noire.
***
A moitié couchée dans un fauteuil marron au tissu délavé, Cécile recrache l’abondante semence qu’un vieux kabyle vient d’éjaculer dans sa bouche. L’épais liquide blanc coule sur son menton, puis glisse lentement entre ses seins, eux-mêmes généreusement recouverts du fruit de quelques belles jouissances. La veste de son tailleur noir est maculée de maladroites éclaboussures. L’entrejambe déchiré de son pantalon laisse apparaître un vagin trempé d’où dégouline un mélange peu ragoutant de cyprine, de sperme et de vin.
Un nouveau candidat à l’extase s’approche, le sexe sorti de la braguette de son jean. L’assistante surexcitée, trop heureuse de dispenser un tel bonheur, l’accueille en se léchant les lèvres et en le regardant se masturber.
— Alors que vas-tu faire avec ta grosse bite ? Me la fourrer dans la bouche ? Juter sur mes gros nichons ? Ou en rajouter sur ma chatte bien baveuse ? A moins que tu ne veuilles toi aussi saloper mon tailleur ?
L’homme semble hésiter, puis choisit l’option vagin. Ayant guidé son engin dans l’intimité de Cécile, il prend appui sur les accoudoirs pour effectuer sans retenue quelques violents aller-retours. Il s’immobilise au plus profond de la jeune femme en grognant, agité de soubresauts. Lorsqu’il se retire, le sperme met quelque secondes à sortir entre les lèvres humides et s’écoule petit à petit en un filet continu sur le siège tâché. Il y a deux choses importantes à garder à l’esprit lorsque l’on travaille avec Stéphanie Del : avoir une hygiène buccale irréprochable, et s’assurer d’une contraception rigoureuse...
Déjà une nouvelle queue prête à exploser s’avance, pendant que madame la présidente commence elle aussi à récolter le fruit de ses efforts.
Bien droite sur ses genoux, les bras le long du corps, la bouche ouverte et les yeux fermés, elle attend sur le carrelage froid que les trois grands noirs nus l’aspergent. Regroupés en cercle autour d’elle, une multitude de sexes maintenus en érection à coups de poignet attendent le début du feu d’artifice. Ses trois amants jouissent enfin, emplissant sa bouche l’un après l’autre. Elle avale sans hésiter la somme des trois éjaculats alors que deux autres glands se pressent et se bousculent contre ses joues. D’autres giclent dans ses cheveux, d’autres encore sur son tailleur. De nouveaux se présentent devant son visage luisant pour y déposer une deuxième puis une troisième couche. Monsieur le maire accède à son tour à madame la présidente et lui enfonce sa propre culotte dans la bouche, ayant au préalable souillé de son sperme le fin tissu blanc. Le bien nommé Leraide, représentant du ministère, choisit pour sa part d’étaler sa semence sur la poitrine déjà bien douchée, succombant à la tentation fétichiste de jouir comme un cochon sur un véritable carré Hermès.
Les yeux toujours clos, Stéphanie savoure les jets poisseux qui s’abattent sur elle comme autant d’éclaboussures de bonheur. Elle se dit que cette salle n’a probablement jamais été autant animée. Et cela la fait mouiller encore une fois. Elle pense à Cécile, la magnifique salope au grand coeur à laquelle le directeur de l’établissement est allé présenter ses hommages les plus pervers. Elle pense à la petite journaliste qu’elle a à peine vue tout à l’heure et qui est en train de se faire bruyamment défoncer sur une table grinçante.
Elle pense enfin, alors que les bienheureux d’un soir finissent de s’essorer sur sa toilette en haletant, qu’elle aimerait bien avoir une copie sur DVD du reportage de cette visite...
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