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Presqu'un inceste

Chapitre 1

Inceste
Je vais vous raconter une histoire en partie véridique.Quand je suis né, ma mère Christiane n’avait que 18 ans. Mon père, m’a reconnu mais a quitté très vite ma mère en m’emmenant avec lui pour me mettre en pension car il pensait que ma mère était trop jeune, trop portée sur le sexe et ne me donnerait donc pas une bonne éducation. C’est ce que j’ai appris bien plus tard.Trimballé de nourrice en nourrice puis en orphelinat et pensionnat, je m’engageai finalement, à 18 ans dans l’armée pour acquérir ma liberté. Commença alors pour moi les expériences très nombreuses avec des professionnelles du sexe qui m’apprirent beaucoup et qui me donnèrent beaucoup de jouissances de toutes sortes. Encore aujourd’hui je les en remercie.Je me mis en quête aussi de retrouver ma mère car j’avais perdu mon père de vue puisqu’il n’avait plus les pensions à payer. Moi je voulais connaître un peu mes origines maternelles. Après de nombreuses démarches, je réussis à obtenir des renseignements précis et plusieurs adresses auxquelles ma mère avait habité. Finalement à l’une de ces adresses qui semblait être la dernière, je me rendis un samedi matin lors d’une permission de week-end et frappai à la porte. Une splendide femme, blonde, plantureuse, souriante, m’ouvrit. Je pensai m’être trompé car cette femme paraissait avoir à peine la trentaine. Je me présentais tout de même à elle et son visage s’assombrit brutalement. Quelques larmes commencèrent à pointer chez elle, puis elle me prit dans ses bras pour me serrer très fort en me disant "Oh mon fils dire que je t’ai tant cherché et voilà que je te retrouve ! "Elle me fit entrer dans son studio assez vaste et très bien arrangé. On discuta pendant un bon moment sur ces 20 dernières années. J’appris notamment qu’elle avait eu de nombreux amants et s’était mariée, mais son mari était décédé dans un accident de voiture trois ans après. Elle avait encore un copain, mais celui-ci était très malade et comme elle travaillait, elle ne pouvait pas le soigner, donc il était parti dans sa famille en Normandie. Elle n’avait plus de ses nouvelles depuis près d’un mois. Elle pensait qu’il ne reviendrait plus.On décida alors d’aller déjeuner ensemble au buffet de la gare où elle travaillait en semaine. La patronne de ce buffet Françoise, était une magnifique femme brune, à qui je donnai aussi à peine la trentaine. C’était une amie de ma mère qui me présenta à elle. Françoise manifesta alors un regard admiratif à mon égard et félicita ma mère d’avoir un « si beau garçon » comme fils.L’après-midi on se promena tout en bavardant sur nos vies, nos goûts, nos expériences de toutes sortes. Puis je demandai à ma mère si elle ne connaissait pas un petit hôtel près de chez elle, surtout pas trop cher, car j’étais plutôt fauché. Elle me dit que les petits hôtels du quartier n’étaient pas chers mais n’étaient pas très agréables et elle me proposa de m’héberger dans son studio pour le week-end, étant donné que je devais retourner à ma caserne le lendemain dimanche dans la soirée par le train.On rentra et on dîna en tête-à-tête. Je regardais ma mère avec de plus en plus d’excitation car elle était réellement très sexy. Son décolleté notamment, me donnait plein d’idées... Après le dîner qui dura un bon moment, ma mère me dit que je pourrais dormir sur son canapé et elle dans son grand lit, pas très éloigné. Elle commença à se déshabiller et partit aux toilettes pour terminer et revenir en chemise de nuit un peu vaporeuse qui n’arrangea pas mes affaires car je sentais maintenant de sérieux picotements dans mon entrejambe. Je commençai à me déshabiller mais n’ayant pas de vêtement de nuit je restai en slip. Une sérieuse érection me gênait car je ne voyais plus cette femme comme ma mère mais comme une femme désirable à qui j’avais envie de manifester tout ce que je ressentais pour elle. Elle s’en aperçut mais malgré un petit sourire entendu elle fit semblant de ne rien voir. Elle se coucha dans son grand lit et moi je m’allongeai sur son canapé en slip et torse nu le sexe comme un mât de cocagne et la tête pleine d’idées les plus excitantes les unes que les autres. Ma mère disposait d’un interrupteur à la tête de son lit et atteignit la lumière. A l’abri de l’obscurité je commence à me masturber tranquillement lorsque brutalement la lumière revient. Ma mère se tourne vers moi et aperçoit la situation pour le moins gênante pour moi. Elle éclate de rire et me dit "Mais qu’est-ce qui t’arrive mon chéri ? C’est moi qui te mets dans cet état ? Je me doutais un peu de ce que tu allais faire quand j’ai vu la manière avec laquelle tu me regardais une fois déshabillée" Je ne pus évidemment pas m’empêcher de lui dire qu’étant à court de caresses cela m’avait beaucoup excité et je ne pouvais plus me retenir pour me soulager. — J’espère que tu ne m’en voudras pas Maman ?— Mais ne t’inquiète pas je sais ce que c’est et tu peux continuer, cela ne me dérange pas. Alors n’y tenant plus je lui demande :— Maintenant vu la situation actuelle tu pourrais peut-être accepter que je me couche à tes côtés et ainsi m’aider pour me soulager ? — Que veux-tu que je fasse je suis ta mère. Que penseras-tu plus tard de moi si nous faisions l’amour ensemble ?— Non mais attend Maman, je ne pensais pas te faire l’amour car je sais que cela ne doit pas se faire entre mère et fils, mais tu pourrais m’aider autrement pour me faire jouir en prenant toi aussi du plaisir.— Bon allez d’accord viens auprès de moi, on va voir ce que l’on peut faire.Je ne me fais pas prier et passe tout de suite dans son lit après avoir complètement ôté mon slip.Ma mère regarde ma bite bien raide et s’exclame. — Quel bel engin, dommage que je sois ta mère car je m’en serait bien occupé autrement. Mais alors veux-tu que je te masturbe ?— Bah pourquoi pas mais tu sais çà je sais bien le faire tout seul et je préférerai que tu me fasses quelque chose que je ne peux pas faire tout seul !— Ecoute me dit-elle je vais t’autoriser à t’amuser avec mes seins et si tu le veux tu peux jouir entre les deux, mais on en restera là. Est-ce que cela te convient ?— Oh oui ma petite mère. Tu es adorable ! Je comprends d’où me vient cette soif permanente de sexe. Tu es finalement toi aussi bien portée sur la question !Là-dessus elle s’assoit et enlève sa chemise de nuit faisant jaillir ces deux magnifiques mamelles que je me mets à caresser et à embrasser. Elle s’allonge sur le dos et je m’installe à califourchon sur elle. Je lui présente mon engin entre ses seins qu’elle enferme aussitôt avec ses mains pour m’en faire un fourreau. Je n’ai pas longtemps à limer avant de lui déverser un flot abondant de sperme qui l’inonde jusqu’au menton. Elle éclate de rire et se dégage pour aller au cabinet de toilette et se nettoyer.Quand elle revient, j’ai rejoint mon canapé et remis mon slip après m’être essuyé la bite avec mon mouchoir. Elle vient vers moi et me dit : — Tu sais il faut oublier ce que nous avons fait et il faut que tu trouves une fille qui t’apporte tout ce que moi ta mère je n’ai pas le droit de te fournir. D’ailleurs je te signale que cet après-midi Françoise qui est une grande amie confidente, m’a demandé si je pensais que tu serais d’accord pour avoir une petite aventure avec elle. Je lui ai répondu que tu serais sûrement d’accord et qu’elle n’avait qu’à venir déjeuner à midi à la maison pour te le demander. Donc dors bien mon chéri et demain midi tu auras peut-être l’occasion de t’épanouir complètement avec elle sans complexes.Elle retourna se coucher et quelques minutes plus tard je perçus quelques petits bruits réguliers du sommier de son lit et une respiration un peu forte. Quel idiot je faisais car j’aurais dû rester dans son lit et la masturber moi-même, mais finalement je ne sais pas comment cela se serait terminé.Au réveil, ma mère et moi prenons un petit déjeuner en tenue légère et quand je sentis que la chaleur montait dans mon slip je partis prendre ma douche pour calmer mes ardeurs.La matinée se déroule tranquillement à préparer un petit repas très simple avec du congelé et ranger un peu le studio. A midi Françoise arrive toute souriante dans une tenue très légère jupe et corsage en tissu léger laissant supposer des dessous affriolants que j’ai hâte de découvrir.Ma mère la fit asseoir sur le canapé à côté de moi pour déjeuner. Elle approche la table de nous et s’assied elle sur une chaise de l’autre côté de la table afin d’être plus disponible pour le service dit-elle.Dès que ma mère se lève pour aller dans le coin cuisine, je ne perds pas de temps et pose ma main sur la cuisse de Françoise qui me regarde avec des yeux à moitié fermés comme si elle dégustait longuement la caresse que je lui faisais en remontant ma main jusqu’à son entrejambe. N’y tenant plus elle approche son visage du mien et nos bouches ne sont plus qu’à quelques centimètres l’une de l’autre. Après quelques secondes d’observation nos langues commencent une sarabande à l’intérieur de nos bouches ce qui a pour effet immédiat de ma faire bander un maximum. Françoise lance alors une de ses mains en excursion et saisit mon sexe avec le tissu de mes vêtements en serrant de toutes ses forces.C’est alors que ma mère revient à table et découvre que nous avions franchi déjà un grand pas vers des plaisirs plus intenses, sa copine et moi. Elle constate que Françoise n’avait même pas eu besoin de me demander si j’accepterais une aventure avec elle.Le repas se déroule tout de même normalement pour faire honneur à la maîtresse de maison, mais dès le dessert fini, nos ébats amoureux reprennent de plus belle pendant que ma mère s’éclipse pour débarrasser la table et ranger la cuisine. On repousse la table pour être plus à l’aise et Françoise se penche très vite pour abaisser le zip de ma braguette et sortir ma bite, avec un peu de difficultés d’ailleurs vu son état de turgescence avancée. Elle la prit bientôt à pleine bouche en suçant et aspirant de toutes ses forces comme si elle voulait en extraire rapidement le nectar.J’interromps cette action pour faire basculer ma compagne sur le canapé. A mon tour je me penche sur son pubis que je découvre trempé en écartant son string de la main et je commence un lent et profond mouvement pour déguster sa merveilleuse liqueur. Je remonte un peu pour titiller son petit bouton d’amour, ce qui lui arrache un petit cri de bonheur semble-t-il. Ma mère revient alors de la cuisine : — Eh bien vous alors vous ne perdez pas de temps ! Vous deviez vraiment être à cours de caresses et pressés de combler ce retard !Nous n’entendons à peine ce qu’elle vient de dire tant nous sommes occupés à rechercher ce qui pourrait nous donner le plus de joie et de plaisir. Finalement d’un commun accord Françoise et moi en quelques secondes retirons tous nos vêtements et partons sur le grand lit de ma mère qui elle nous suit pour s’installer dans un fauteuil situé au pied du lit. Elle nous observe sans en perdre une miette et avec un grand sourire aux lèvres.Nous nous mettons en position de 69 et nous dévorons littéralement nos sexes. Françoise a un premier orgasme qui me fit l’effet d’une décharge électrique tant il fut soudain et violent. Ayant peur de jouir trop vite je repousse sa bouche de ma bite et lui demande de venir s’installer sur moi assise en me faisant face et en s’empalant sur mon membre toujours bien raide. Elle entreprend alors une chevauchée fantastique pendant que moi je lui triture les seins et titille ses mamelons. Il ne faut pas longtemps pour que Françoise jouisse à nouveau en manifestant son bonheur par des mots de plus en plus crus dans le style : « Oh que c’est bon ta bonne bite bien raide dans ma chatte … çà y est je jouis !... oh !... »Il ne m’en faut pas plus pour que moi aussi je démarre et lui envoie au fond de sa chatte plusieurs jets puissants de foutre en ahanant avec force pour manifester ma jouissance.Nous retombons tous deux sur le côté et échangeons un baiser profond pour nous remercier mutuellement du bonheur que l’on s’est donné.Nous avions pendant ces quelques minutes presqu’oublié ma mère dans son fauteuil. Lorsque nous la regardons à nouveau, nous nous apercevons qu’elle avait sa jupe remontée jusqu’à ses hanches et une main posée sur sa chatte. Elle avait les yeux à moitié fermés et continuait à profiter du spectacle que nous lui avions donné. Elle venait de se faire une bonne petite branlette en nous regardant et en voyant son visage encore dans le vague cela venait certainement juste de se terminer par un bon moment de jouissance pour elle aussi.De voir ma mère ainsi, me redonna de la vigueur, ce qui n’échappa pas à Françoise qui me dit « Je vois qu’il faut que tu remettes cela mon chéri ! Je la caresse alors gentiment pour l’exciter et lui demande de se mettre à quatre pattes. Je m’installe derrière elle et la caresse avec mon gland depuis le bas du dos jusqu’à son clitoris. Elle ronronne littéralement comme une chatte. Puis n’y tenant plus, je la pénètre en m’enfonçant en totalité dans sa chatte bien chaude et humide. Quelques minutes me suffirent pour lui envoyer un nouveau jet de sperme, au fond de son petit nid d’amour. Ce fut évidemment moins abondant que précédemment, mais tout aussi jouissif.Ma mère n’avait encore rien perdu de ce nouveau spectacle offert et nous complimenta pour nos ébats qui lui avaient donnée l’occasion de se soulager elle aussi. Chacun reprit ses esprits, fit un brin de toilette et se rhabilla. Ce fut ensuite les adieux. Ma mère me promit de m’appeler dans la semaine pour que l’on organise une nouvelle rencontre quant à Françoise elle avait sa voiture et se proposa de m’emmener à la gare pour prendre mon train afin de rentrer à ma caserne. En cours de route je lui ai apporté encore quelques petites caresses qu’elle apprécia beaucoup. Elle me fit promettre de garder le contact pour qu’à l’occasion on reprenne notre roman d’amour là où nous l’avions interrompu chez ma mère, mais cette fois chez elle. Je finis ma période militaire sans avoir le souci d’être en manque de sexe. Ce qui ne m’empêcha pas à la caserne de me branler presque chaque soir en repensant à ces deux femmes que j’aime.
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