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J'ai prêté mes fesses.

Chapitre unique

Divers
J’ai prêté mes fesses(2013)
Voilà quelque temps que j’ai une relation très proche avec un ami de longue date. Nous nous sommes rapprochés petit à petit, mais le grand pas fut fait lorsque son épouse, amie également, l’a laissé tomber. Seul, il s’est alors mis à se confier à moi, beaucoup plus intimement. Moi, la copine au grand cœur, je l’accueillis les bras ouverts, je l’écoutai, tentai de le rassurer. Mon époux, trop souvent en déplacement, je me sentais bien souvent seule et cela me faisait du bien de passer quelques soirées à tenter de lui faire oublier ses peines.
Forcément, dans ce genre de situation on finit par se livrer, se confier soi-même... Ainsi, je lui avais expliqué que, même moi, sous mes airs de femme heureuse, j’avais aussi mes soucis, mes problèmes de couple, de famille. Nous avons passé de très longues soirées à échanger, à nous confier nos secrets les plus intimes, nous rapprochant inexorablement l’un de l’autre. Mon époux connaissait la situation mais ne se doutait en rien que tout ceci allait finir comme dans bien des cas. J’avoue également que je me gardais bien de lui dire précisément combien de temps notre ami passait à la maison, ni le contenu précis de nos échanges. Je me contentais de lui dire que notre ami passait de temps en temps car il avait visiblement besoin de parler un peu... Bref, je restais vague ! À plusieurs reprises, nous nous sommes dit des choses très intimes, nous faisant promettre, l’un et l’autre, de ne jamais répéter cela à personne...
Bref, le rapprochement prit une autre forme le jour où j’ai accepté qu’il dorme à la maison. Mon fils, parti pour la semaine pour ses études, j’étais seule maître des lieux et, vu les discussions qui n’en finissaient plus, après tout, pourquoi pas ? ... Le canapé ou la chambre de mon fils ? ... J’avoue, moi-même que j’étais un peu troublée d’avoir un autre homme que le mien à la maison. Même mon comportement a changé malgré moi. Je faisais moins attention à tous ces détails qui font qu’une femme reste distante. Bref, la vague de froid de ces dernières semaines a eu raison de notre longue amitié. C’est un soir de la semaine dernière, alors que les températures extérieures approchaient les moins dix degrés – il devait être près d’une heure du matin – que nous nous sommes quittés.
J’abandonnai mon ami dans le salon pour monter dans ma chambre. En poussant la porte de celle-ci j’ai dû pousser un long cri d’exclamation. J’avais tout bonnement oublié de refermer ma fenêtre de chambre le midi après l’avoir aérée. Par – 10°, croyez-moi... Le temps de refermer celle-ci, mon ami était là !! Alarmé par mon exclamation, il accourait à mon secours dans son plus joli caleçon ! Bien entendu la chambre était très froide. Nous avons ri de cet oubli et B… en a tout de suite profité pour me proposer de rester avec moi, histoire de réchauffer l’espace, le lit, mais tout en précisant en tout bien tout honneur !
Tout en riant, amusée par la situation, je me suis glissée sous les draps froids. B.… est immédiatement venu se coller à moi, me frictionnant l’épaule. Pendant de longues minutes je n’ai su comment réagir, comment le prendre ? Il m’apportait de la chaleur, ça oui ! Mais était-ce raisonnable ? J’ai bien eu ma réponse à cette question. Non, ça ne l’était pas. Nous avons bavardé à voix basse jusqu’à partir dans un petit délire. Collé à moi, à mon dos, car j’étais recroquevillée sur le flan. Il me murmurait à l’oreille que, n’ayant plus eu de femme dans ses bras, cela le comblaitd’être utile et de me réchauffer ainsi. Grande curieuse de nature, je creusai ses dires. J’ai vite compris que je ne le laissais pas insensible ! Enfin, mes fesses ainsi collées à lui surtout. Et je me sens obligée, ici, d’admettre que je sentais son anatomie dure me coller aux fesses. Ce contact a éveillé mes sens, je l’avoue aussi. Instinctivement, je me suis bougé les hanches comme pour me blottir contre lui, mais sans éviter de me frotter sur cette partie dure qui me troublait de plus en plus. Il a très bien compris lorsque j’ai rompu le charme, lorsque je le sentis se frotter sur mes fesses. J’ai cassé ce moment intense en lui disant que je ne voulais pas tromper mon mari... Qu’à cela ne tienne, je respecte Laurence, mais juste me frotter ainsi sur tes jolies fesses est un réel plaisir pour moi... Je t’en supplie, laisse-moi cette chance... Que répondre à cela lorsque l’on a le cœur qui bat la chamade et le démon au bas-ventre ? Je n’ai pas répondu, j’ai bombé le torse et creusé les reins lui prêtant mes fesses le temps de son plaisir. Je sentis sa queue dure et chaude tenter de se frayer un chemin entre mes cuisses serrées...
Ma culotte était le seul rempart à ses assauts et, entre nous, heureusement que je l’avais car je suis persuadée qu’il aurait fait une entrée fracassante en moi. Puisque je suis ici dans les aveux autant le dire. J’ai failli plusieurs fois glisser la main entre mes cuisses et écarter ce bout de tissu qui lui barrait le chemin. L’envie était forte à l’entendre gémir, m’emprisonnant la hanche d’une main forte. Je ne parle même pas de sa queue tendue et bien dure... sa chaleur qui, forcément, me donnait envie. J’ai pourtant tenu la distance, le laissant juste prendre plaisir ainsi. Au fond, je me voilais la face, mais je savais aussi que d’autres occasions se présenteraient. Étant un bon ami de famille, je refusai simplement de me montrer sous mon vrai visage ! Je serrai donc les dents pour résister à l’appel du sexe. B… s’est crispé et m’a joui entre les cuisses. Ses soubresauts, sa respiration… sa queue qui glissait aisément sur sa mouille. Je serrai les fesses, l’emprisonnant contre le gousset de ma petite culotte et je l’admets, j’étais limite à me laisser aller en sa compagnie. Limite jouir, oui, de par l’intensité du moment. Nous avons encore plaisanté lorsque je lui ai dit qu’il en avait mis partout, tout en m’essuyant. Selon lui, il y avait un trop long moment qu’il n’avait pas joui !
En réalité, j’ai pris un plaisir immense à lui prêter ainsi mes fesses. Oui, j’avais envie de plus, mais vu la situation, je n’ai pas osé. Peut-être aussi par jeu, cette situation me plaisait-elle, et si je devais m’envoyer en l’air avec lui, ce serait, je pense, ailleurs que dans mon lit (lol)._________________Le plaisir ne vaut que s’il est partagé.
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