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Prête à tout pour être libre

Chapitre 1

Trash
L’histoire se déroule dans une société dirigée par des hommes religieux puissants et dans laquelle toute liberté est proscrite, en apparence en tout cas. J’ai un copain. Je sais que c’est interdit, du moins, c’est interdit de le toucher ne serait-ce que lui effleurer la peau jusqu’au mariage. Nous nous voyons parfois en cachette, mais vivant dans une résidence dirigée par un homme puissant qui semble tout savoir, j’ai souvent très peur qu’il nous entende dans nos ébats. Ce soir, nous en avons marre. Nous aimerions tellement pouvoir jouir de nos corps comme nous l’aimerions.
J’ai donc décidé de voir le gouvernant de la maison dans laquelle je me trouve. Je vais lui dire que nous nous sommes mariés et je vais lui demander si nous pouvons essayer de concevoir un enfant. Bien sûr, avec mon copain, ce n’est pas du tout ce que nous souhaitons, nous voulons simplement pouvoir librement faire l’amour chaque soir, sans avoir peur de nous faire prendre. Dieu seul sait ce qu’il nous arriverait.
Je toque à la porte. Le gouvernant m’ouvre alors. Il s’agit d’un homme d’une cinquantaine d’années. N’ayant que 20 ans, il m’impressionne. Il n’est pas très laid, mais ce n’est vraiment pas un homme d’une grande beauté. D’autant plus qu’il est un peu grassouillet et que je préfère les hommes sveltes. Je commence à lui expliquer que mon copain et moi sommes mariés depuis quelques heures et que nous demandons la permission d’engendrer un petit être. Je vois à son regard que cette idée ne lui plaît absolument pas.
— Tu es encore un peu trop jeune pour ça. Je préfère que tu te préserves encore un peu.
Je ne comprends pas sa réponse, dès lors que nous sommes mariés, les gouverneurs acceptent facilement l’idée que nous puissions avoir des relations sexuelles avec notre mari. Je n’en pouvais plus, cela faisant des mois que j’attendais de pouvoir enfin faire l’amour une nouvelle fois avec mon copain, officiellement mon mari depuis peu. Nous ne le faisions plus depuis que ma voisine de chambre s’était fait prendre et que nous ne l’avions jamais revue. J’étais véritablement prête à tout pour pouvoir profiter de mon corps et sentir à nouveau un sexe entre mes jambes.
Après une longue discussion, le gouverneur finit par dire, "il va falloir que tu y mettes du tien pour me convaincre que tu es prête" tout en me regardant de haut en bas avant de poser son regard sur ma poitrine plutôt généreuse. J’étais habillée d’une robe fine, longue puisque nous n’avions pas le droit à plus court. Mais je pouvais sentir son regard sur mes seins à travers le tissu. Son regard s’est immédiatement métamorphosé. Ce n’était plus le regard froid que pouvaient avoir les gouverneurs. Il s’agissait maintenant d’un regard d’envie, de sentiment de supériorité et de malice. Je commençais à comprendre ce qu’il attendait de moi.
Il est vrai qu’avec mon copain, j’avais déjà pas mal d’expérience, j’avais très rapidement envie et je savais y mettre du mien pour qu’il passe un agréable moment. Je devais donc faire la même chose avec cet homme bedonnant, dans l’unique de but de pouvoir continuer de faire l’amour avec mon copain.
Après quelques minutes sans que je ne dise quoi que ce soit, il dit "Je te préviens, c’est toi qui dois me montrer. Je suis un homme de Dieu, je ne peux rien faire". Il ne peut certes rien faire, mais il a le pouvoir de m’obliger à le faire. J’ai donc doucement retiré ma robe, elle est alors tombée à mes pieds. Puis mes sous-vêtements. Je me suis retrouvée nue devant lui, mes deux seins bien ronds et fermes pointaient déjà, et je sentais quelques frissons au niveau de mon bas-ventre et de mon sexe. Je savais que je ne tarderais pas à mouiller. Comment je pouvais avoir aussi rapidement envie de cet homme qui pourtant n’avait rien pour lui si ce n’est le pouvoir ? Peut-être était-ce cela qui me donnait envie ? Ou alors l’animal qui était en moi ressortait de nouveau.
Je me suis approchée de lui, lui ai pris sa main pour la positionner au niveau de mon pubis. Quelques centimètres plus bas, il touchait mes lèvres qui commençaient à être dégoulinantes. Un de ses doigts n’a pu s’empêcher de se frayer un chemin entre mes lèvres. Je lui ai alors remonté sa main jusqu’à ma bouche pour y insérer ses doigts et ainsi lécher ma propre mouille. Je voyais dans son regard son irrésistible envie de me baiser. Il n’avait aucune attention de me faire l’amour. Les gouverneurs n’ont pas d’épouses, ils sont seuls dans leur appartement au Rez-de-chaussée des résidences. Et sa maladresse me faisait penser qu’il agissait de la sorte pour la première fois. Il n’avait donc qu’une envie, pouvoir éjecter sa semence.
Je lui ai alors retiré ses vêtements, et l’ai poussé pour qu’il se retrouve allongé sur son misérable lit. Son sexe était si dur. Il bandait fièrement. Je me suis approchée à quatre pattes, mes seins pendant tous les deux, et ma mouille qui commençait de plus en plus à tremper mon pubis et le début de mes cuisses. Ma bouche s’est approchée de son sexe. Il me regardait droit dans les yeux quand ma langue s’est posée en bas de sa verge pour remonter jusqu’à son gland. J’ai alors entouré son sexe de ma bouche et commencé quelques va-et-vient. Entre les va-et-vient, j’enroulais ma langue autour de son gland tout en le regardant dans les yeux. Je remontais mes fesses afin de me cambrer le plus possible. Je n’étais clairement plus moi même.
Je me suis approchée un peu plus de son visage, mes seins pendaient aussi de son sexe dressé. Je voyais à quel point il avait envie que je retourne le sucer. Toutefois, pour pouvoir être libre avec mon copain, je savais que je devais faire plus qu’une simple branlette. Je devais le faire mourir d’envie, jusqu’à ce qu’il me supplie de le laisser me baiser.
À suivre...
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