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Prêtre dominateur

Chapitre 1

Gay
Je regardais des sites internet pornos, j’aimais bien regarder des sites avec des vieux et des jeunes minets. Voyant ça, j’ai cherché un site où des vieux proposaient de sucer des jeunes. Je n’étais plus vraiment jeune, car j’avais 35 ans, mais je venais de quitter ma copine qui me gonflait sérieusement et j’avais très envie de me faire sucer alors je me suis dit : pourquoi pas ? Je m’étais rasé la queue comme j’avais vu dans les sites pornos, on voyait bien mes couilles de cette façon et elles étaient bien pleines, je dois dire. Sur le site d’annonces, il était précisé : pour jeune bien épilé qui veut se mettre tout nu, je veux bien te sucer à fond la queue et les couilles aussi.
J’habitais dans le 78 alors avec mon navigo c’était pas loin en fait. Il habitait Paris. C’était un mec de 75 ans et il recevait chez lui. J’avais envoyé une photo de ma bite dure et bien épilée. J’avais envoyé une photo de mes fesses aussi par pur délire. En fait, c’était un vieux prêtre et il aimait bien les petits jeunes soumis ; lui et ses collègues aimaient bien sodomiser des jeunes et il avait direct envoyé mes photos à tous ses vieux collègues. Ils se branlaient toute la journée sur mes photos et pensaient sans arrêt à se faire vider les couilles par moi. J’y suis donc allé en train ; en chemin, il m’a envoyé une photo de sa queue : elle était vraiment grosse et il avait mis un anneau autour de ses grosses couilles pour qu’on les voie bien ; elles étaient grosses et son gland apparaissait bien ; sa queue était large et longue ; au moins 20 centimètres de long et 5 centimètres de largeur.
Il s’était rasé les couilles, mais avait laissé les poils au-dessus ; il voulait montrer que c’était lui l’homme.
Il m’a envoyé un message :
— Alors tu la trouves comment ma bite ?— Elle est grosse, j’ai dit.— C’est toi qui me fais bander comme ça, tu sais, a dit le vieux papy.— J’espère que tu t’es bien lavé la queue et les fesses ?
J’ai répondu oui ; je m’étais même fait des lavements dans le cul pour être vraiment propre. Quand je suis arrivé chez lui, il m’a accueilli gentiment ; je me suis à poil comme demandé dans l’annonce. J’ai dû prendre une douche devant lui ; il est venu à poil aussi pour me montrer sa grosse bite dure. Après, il m’a lavé la queue et les fesses en me mettant des doigts dans le cul pour bien me laver. Je bandais comme un âne, je dois dire ; il m’a lavé aussi la queue en la frottant fort, et après, il l’a serrée fort.
J’ai dû me mettre à genoux, car il me tenait par les couilles.
— Je vais te la traire. Laisse-toi faire, m’a-t-il dit.
Pendant qu’il m’astiquait à fond en la serrant de plus en plus fort, il m’a mis sa queue dans la bouche. Il me trayait la bite comme une vache qui doit donner son lait.
— Tu vas me téter aussi ; c’est normal.
Il avait mis ses grosses couilles en avant et j’ai dû lui lécher et les mettre entièrement dans ma bouche, j’étais là à genoux dans la douche en train de sucer les couilles de ce vieux et de me faire traire. J’avais du mal à les mettre entièrement dans ma bouche tellement elles étaient grosses et pendant ce temps-là, il me branlait la bite comme un acharné et me mettait des doigts dans le cul. Ca le faisait bander comme un fou. Il m’a fait éjaculer la queue pour me montrer qu’elle était à lui maintenant. Je suis allé sur son lit après, et là, il m’a sucé vraiment fort ; il n’arrêtait pas de sucer en voulant boire tout mon jus.
Je devais lui donner tout mon jus maintenant.
— Il est à moi ton jus ; donne tout ton jus, disait-il pendant qu’il me suçait la queue à fond.
Je n’avais plus vraiment le choix et en plus, j’avais la queue vraiment dure, il m’avait mis une espèce de pommade sous la douche et ma queue était dure comme du bois ; il me tenait par les couilles et me tétait la queue comme un malade ; il la pompait vraiment à fond. Il m’a fait éjaculer pendant une bonne heure ; j’allais devoir lui donner ma bite quand il en avait envie et le laisser me pomper à fond maintenant. Pendant qu’il me suçait, je devais lui lécher la bite, le gland et les couilles pour entretenir son érection. Il me l’a mis dans la bouche et je devais moi aussi pomper ; j’avais du mal à la mettre dans ma bouche tellement elle était grosse, mais il forçait l’entrée de ma bouche et me baisait la bouche en fait en bougeant son bassin pour que je la mette bien au fond de la bouche. Je sentais ses couilles qui tapaient contre mon menton.
A un moment, il est venu par gros flots de sperme et j’ai dû tout avaler ; il s’astiquait la queue en même temps pour bien se vider les couilles ; j’étais devenu son vide-couille. Sa queue était restée très dure et je me suis mis sur le dos. Il avait vraiment envie de mon cul. Je n’avais jamais essayé la sodomie et il le savait, car mon petit trou était vraiment serré quand il mettait ses doigts ; ça le faisait bander encore plus dur d’avoir un petit trou vierge à sodomiser.
— Tu vas être une bonne femelle maintenant ; j’ai envie de ton cul, m’a-t-il dit en se mettant un peu de lubrifiant sur sa grosse queue.
Il y est allé doucement pour la faire rentrer dans mon cul, mais après, il s’est vraiment défoulé.
J’ai pris sa bite dans le cul pendant un long moment, c’est comme ça qu’il se vidait les couilles. Je devais lui dire de la mettre plus fort encore et c’est comme ça qu’il s’est vidé entièrement les couilles. J’étais dans son lit et il en profitait pour m’enculer même quand je dormais ; j’ai dû le laisser me prendre toute la nuit. C’était un dimanche et au matin, j’étais couvert de sperme, mais ce que je ne savais pas, c’est qu’il avait appelé d’autres vieux amis à lui.
Des vieux homos en fait qui avaient tous des gros besoins et qui se prêtaient leur soumis ; j’étais dans leur harem maintenant et tous les vieux prêtres de son monastère allaient me passer dessus pour se faire vider les couilles.
Toute la journée de dimanche, ils m’ont enculé et m’ont fait sucer leurs vieilles bites ; j’ai sucé une dizaine de bites et je devais tout avaler à chaque fois ; ils avaient tous les couilles pleines et j’étais leur femelle soumise maintenant. J’ai aussi pris toutes leurs queues dans le cul pendant des heures.
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