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Princesse Touche Minou

Chapitre 2

Erotique
Cela faisait déjà deux semaines que Mari Hasar avait entamé une excursion pour trouver son prince des îles. La princesse et sa cohorte voyageaient toujours vers l’ouest, en direction des terres interdites. Le trajet était moins aisé que Mari ne l’aurait pensé. Jusqu’à présent, ses voyages diplomatiques se déroulaient sous l’égide de l’officialité. Même pour les longs trajets, elle avait toujours été hébergée par un quelconque noble essayant de bien se faire voir dans l’espoir de récolter une faveur ou deux. À présent, elle se retrouvait à dormir sous une tente quasiment tous les soirs. Mari ne pouvait plus jouir de son statut pour lui faciliter la vie. Au contraire, elle choisissait maintenant de le cacher.

Lorsque la princesse eut traversé le bon royaume de Tarsett qui se trouvait juste à l’ouest du sien, elle se rendit compte que le blason porté sur son armure ne ferait que la mettre en danger. En effet, Tarsett était un royaume proche de celui des Hasar dans plus d’un sens. C’était un allié historique, son peuple appréciait fortement la princesse et les nouvelles voyageaient d’un royaume à l’autre si rapidement que certains plaisantaient souvent que les deux royaumes ne faisaient qu’un.C’est pourquoi à présent, dès que l’un des locaux reconnaissait le blason des Hasar ou bien lorsque la princesse enlevait son casque, Mari était alors couverte de louanges et d’offrandes.

De plus, comme les informations circulaient vite entre les deux royaumes, tout Tarsett avait déjà entendu la nouvelle officielle : Mari Hasar avait pris un vœu de conquête et se dirigeait vers les Terres Interdites dans le but de le mettre à exécution. La princesse afficha un large sourire de satisfaction la première fois qu’on lui porta cette histoire à ses oreilles. Elle la confortait dans son sentiment qu’elle avait fait le bon choix de désigner Aya en tant que conseiller régent. En effet, Mari avait pour l’habitude de faire un bon nombre d’apparitions publiques en tant que princesse, son absence ne pouvait pas longtemps être cachée. Cette demi-vérité rentrait parfaitement dans le caractère de la princesse et racontée rapidement, elle permettait de rassurer la population. Tout était en bon ordre, c’était la bonne décision à prendre.

Un des effets secondaires de cette histoire fut bien sûr d’attirer beaucoup plus d’attention sur elle que la princesse ne souhaitait recevoir au départ. Elle reçut même une invitation officielle de la part du roi de Tarsett. Invitation qu’elle déclina bien entendu, prétextant que son vœu ne lui permettait pas de se détourner de son objectif. En réalité, elle n’avait pas le temps de se prêter à des plaisanteries politiques. Elle n’avait que 6 mois pour trouver son prince, incluant le retour. Chaque minute comptait. Pour cela, elle se hâta hors du royaume de Tarsett.

Ce fut à ce moment-là que les premières difficultés commencèrent. Le blason de son armure attirait tout un tas de regards envieux sur sa personne. Elle se trouvait à présent dans le royaume d’Attesir. Un royaume à la population particulièrement pauvre. Mari avait tenté par plusieurs fois d’établir un échange économique et une relation diplomatique avec la reine du royaume dans le but d’améliorer les choses, mais celle-ci était une femme obtuse et narcissique ne portant que peu d’intérêt à son peuple.

Toujours était-il qu’en l’état, avoir sur soi tout ce qui pouvait montrer un signe de noblesse ou de royauté était comme se dessiner une cible dans le dos. Aucun incident n’était encore arrivé, mais Mari dans sa sagesse avait choisi de cacher le blason royal à l’aide d’une cape. Aussi, elle et ses 10 compagnons se faisaient désormais passer pour une bande de mercenaires endurcis si jamais on les questionnait quant à leur objectif. La comédie était plutôt dure à jouer pour certains des chevaliers qui n’avaient jamais même quitté la capitale.
L’un des chevaliers le plus concerné se nommait Victor. Celui-ci était un jeune chevalier de trois ans le cadet de Mari. Malgré cet écart d’âge, ils avaient pendant un moment appris le maniement des armes ensemble. Ils se connaissaient depuis assez longtemps pour avoir développé une certaine complicité. Ils s’appréciaient et se portaient un respect mutuel. Victor venait en effet d’une famille de fermiers sans aucun rapport avec la noblesse ou la chevalerie. Il avait par la force de ses purs efforts acquis une excellente maîtrise de l’épée jusqu’à obtenir le titre de chevalier. Titre qui était son rêve depuis son plus jeune âge. Mari admirait la façon dont il avait passé des heures à s’entraîner pour accomplir son but. Quant à Victor lui, il admirait tout simplement l’être entier de la princesse.
Celle qui avait redressé l’économie du pays, celle dont les sautes d’humeur et les excentricités faisaient fuir les plus patients, celle encore qui poussait des hurlements de plaisir réveillant les alentours tous les soirs. C’est pourquoi il avait décidé d’accompagner la princesse dans sa quête qui pour plus d’un paraissait insensée.
Cependant, tout son talent à l’épée et toute son admiration pour la princesse ne l’empêchaient pas d’être le plus maladroit et lourdaud du monde. Il était également connu dans le monde de la chevalerie pour gaffer régulièrement en dehors de ce qui concerne le combat.
Il bégayait facilement lorsqu’il était pris au dépourvu et était un horrible menteur. Lui demander de prétendre être ce qu’il n’était pas revenait à demander d’un cheval qu’il agisse comme un chat. C’est pourquoi dans ces situations, c’est la princesse qui venait à son secours. De son côté, Mari incarnait parfaitement le rôle de meneuse mercenaire dans cette mascarade. Les tempéraments agressifs envers Victor cessaient assez rapidement après que la princesse ouvrait la bouche. Une ou deux fois, elle eut à frapper quelques gueux au visage pour venir au secours du jeune chevalier. Ce que Victor avait largement la force de faire lui-même, mais dont la nature conciliatrice l’empêchait de faire. De ce fait, il appréciait fortement l’assistance de la princesse.

Notamment, à cause de ce genre d’incidents, Mari et son escorte avaient choisi de s’éloigner des villes et des villages tant qu’ils le pouvaient. Cela même à la nuit tombée. Selon la princesse, il faudrait sûrement camper la nuit, une fois arrivés aux terres interdites. Il ne leur coûtait rien de se prêter à la pratique dès maintenant. Au contraire, davantage de préparations ne pouvaient que faire du bien.
Ainsi, chaque nuit, Mari montait sa tente individuelle. Le campement des autres chevaliers se trouvait stratégiquement placé afin que toutes les autres tentes entourent la sienne. Bien entendu, il y avait toujours au moins deux chevaliers montant la garde, se relevant à tour de rôle. L’un stationnant près de la tente royale centrale et l’autre restant dans le périmètre général du campement, se chargeant également de garder les chevaux attachés un peu plus loin.
Mari n’avait toujours pas renoncé à ses petits rituels. Chaque soir, elle enlevait son armure de plates et la maille qui se trouvait en dessous. La princesse se dénudait complètement dans la discrétion de la toile qui ne donnait qu’aux regards extérieurs que la seule ombre de sa silhouette gracieuse, projetée par lumière de la bougie. Mari s’asseyait alors sur le tapis situé au centre de la tente pour préparer sa toilette. Le bain était un luxe pour elle à présent. À moins de se trouver près d’une rivière, il pouvait se passer plusieurs jours sans qu’elle n’ait l’opportunité d’en prendre un. Cependant, en tant que princesse, elle ne pouvait tout de même pas négliger son hygiène, pensait-elle.
Elle avait toujours une fiole d’alcool et un parfum à sa disposition. Elle avait pensé à les amener avec elle avant de partir du château, sachant que ce genre de situation se présenterait. Elle vaporisait ainsi une bonne dose de parfum sur une serviette puis l’imbibait religieusement d’alcool. Saisissant la serviette, elle effectuait toujours les mêmes gestes. De la main droite, elle frottait tout d’abord son visage en prenant bien soin d’éviter les orifices. Puis elle passait à sa nuque. La plupart du temps, elle se sentait déjà très émoustillée à ce stade. La sensation de la serviette humide sur sa nuque lui semblait similaire à un baiser sensuel. Elle passait sa serviette rapidement sur le dos, la passant de sa main droite à sa main gauche. Revenant de face, elle s’attaquait ensuite aux seins. Elle soulevait ses seins délicats par le téton qu’elle pinçait de sa main droite pour ramasser la sueur, s’y étant engouffrée. Cette sensation la rendait folle.
C’était le point de départ de l’envolée de son désir. Bientôt, elle pinçait ses deux tétons, l’un à travers la serviette et l’autre à main nue. Une chose en entraînant une autre, l’une de ses mains glissait subtilement vers la direction de sa vulve. Finalement, elle commençait par caresser son clitoris formant avec ses doigts une succession de petits cercles. Ses yeux montaient au ciel de plaisir. La serviette toujours sur ses seins, elle descendait le long de son ventre avant de trouver son entrejambe. À ce moment, elle commençait à « nettoyer » son clitoris avec la serviette. La frottant hardiment, mais toujours autant délicatement que possible, tandis que les doigts de sa main pénétraient son antre dans un plaisir absolu. Une dizaine de minutes passait ainsi avant que l’extase ne se fit sentir. Pour finir, elle passait la serviette en vitesse sur ses fesses, son anus et ses jambes avant de préparer à s’endormir.
Ce rituel ne l’ennuyait pas encore puisqu’il était nouveau pour elle. Une nouvelle méthode et un nouvel environnement qui plaisait à son goût pour l’aventure. Un soir comme à son habitude, elle enleva son harnois, se rendit nue au centre de la tente et prépara son matériel de toilette. Cependant, elle se rendit compte qu’elle était à court d’alcool. Ce n’était pas dramatique, elle pourrait très bien racheter une fiole sur un marché la prochaine fois qu’ils se rendraient en ville. Contrairement à la fiole spéciale d’aphrodisiaque, qui elle était unique et dont le vendeur avait disparu sans crier garde. Cela lui rappela son prince, soudain elle se sentit embarrassée. Sentiment qui était pourtant rare pour la sans-gêne Mari Hasar. Elle pouvait sentir sa propre odeur corporelle corsée créée par la sueur accumulée au cours d’une dure journée à voyager sous une armure intégrale.
La crasse formée sur sa peau resterait là pour un moment puisqu’elle n’avait pas d’alcool. « S’il fut là, que me ferait-il ? ». À cette pensée, l’imagination de la princesse partit au galop. S’allongeant sur le dos, elle abandonna toute envie de toilette et commença comme chaque nuit à se masturber. Seulement cette fois, c’était un peu différent. Mari avait envie de se sentir crasseuse. Enfouissant ses doigts aux plus profonds de son vagin effectuant un va-et-vient qui pourrait rappeler l’intense mou et remous de la mer, la princesse se sentait sale. Ramenant sa main droite de son vagin humide, elle porta quatre de ses doigts à sa bouche. Elle voulait sentir son propre goût. Elle laissa sa main dans sa bouche un instant, laissant dégouliner la salive sur son menton par l’occasion. Son autre main n’arrêta pas son doigtage intense. Retirant ses doigts de sa bouche, elle récupéra immédiatement la bave sur son menton, utilisant la même main.
Elle passa cette main sur l’entièreté de son corps, y étalant la bave par la même occasion. Ses pieds, ses fesses, son anus, ses épaules, ses cheveux, aucun endroit n’y échappa.Lorsque plus une once de son corps n’était pas propre, elle porta à nouveau sa main dans sa bouche. Ce goût infâme de crasse naturel venait bien d’elle. Cette idée la propulsa dans un nouveau monde de plaisir et de satisfaction. Elle se tortillait de bonheur sur le tapis, comme un vers ou telle une personne possédée en plein exorcisme. La main qu’elle utilisait pour se doigter ne lui appartenait plus, c’était désormais un instrument du désir. Ses spasmes de satisfaction s’intensifiaient de plus en plus quand soudain, elle entendit une voix. « Princesse, vous allez bien ? » avant même qu’elle ne puisse répondre, la voix pénétra dans la tente. Le visage qui se montra était celui de Victor le chevalier qui était de garde auprès de la tente de la princesse cette nuit-ci.
À la vue de la bouille de Victor, la princesse entra dans une immense colère. « Victor, pauvre sot. Comment oses-tu interrompre mes pratiques ? » déclara la princesse, toujours nue, qui s’était redressée sur le tapis.
— Excusez-moi princesse, j’ai vu votre silhouette bouger comme si vous étiez à l’agonie. J’ai pensé au pire, que vous aviez été empoisonnée ou quelque chose de la sorte.— Ainsi non content m’interrompre, tu épiais la silhouette de ta princesse dans son moment d’intimité, fit remarquer la princesse.
Victor fut pris de cours et ne sut quoi répondre.
— Je... Je... — Plus un mot, je comprends parfaitement la situation. Mari marqua une pause puis soudain afficha un sourire malicieux.— De par ton voyeurisme puis de par ton intrusion, tu as ruiné mon moment d’apaisement. Cela requiert un punissement approprié. Ne penses-tu pas ?— Oui princesse.— Bien, enlève donc ton bas.
Les sourcils de Victor montèrent au plafond.
— Je vous demande pardon princesse.— Tu m’as très bien comprise. Dévêts-toi de ton pantalon.
Victor regarda la princesse dans les yeux pour voir si elle était sérieuse. Bien sûr, elle l’était complètement et il pouvait le voir dans ses yeux. Mari Hasar avait un immense principe de participation sur la base du volontariat. Cela que ce soit pour un travail spécial comme cette expédition ou bien pour participer à une de ses perversions. Mais si jamais l’on lui fait offense, les règles changeaient du tout au tout. Le volontariat de l’accusé n’avait plus aucune place dans l’équation jusqu’à ce qu’elle estime la dette réglée.
Victor le savait, il devait payer cette dette aléatoire qui n’était qu’applicable dans le monde de Mari Hasar. Il avait appris au fil des années qu’aucun individu sain d’esprit ne voulait être dans la liste des personnes ayant offensé la princesse. Il s’exécuta donc, enlevant la ceinture comprenant son épée puis le pantalon.
— La culotte aussi, ordonna la princesse, accompagné d’un geste de l’index.
Victor accomplit la commande. Il savait depuis le début que c’était ce que Mari voulait et il n’y avait rien à faire s’il voulait se sortir de cette situation.
— Te voilà déjà l’organe engorgé. Cela est bien digne d’un voyeur tel que toi, cadet. Rapproche-toi désormais, lui fit signe la princesse. Victor se plaça debout sur le tapis, juste devant la princesse, qui elle se trouvait toujours assise en sirène au sol. Son phallus en érection était à un souffle de distance du visage de la princesse.— À genoux, proclama la princesse d’un ton ferme.
Victor s’exécuta. Un instant après, Mari utilisa son index pour soulever le pénis du chevalier. La façon attentive et précise dont elle l’observait rappela à Victor la façon dont lui-même examinait son propre armement avant un combat.
— Hmm pas mal. Tu es digne de servir de remplacement pour mon prince.
D’un signe de la main, la princesse indiqua son entrejambe.
— Plais-moi.— Princesse, êtes-vous sûre ?— Ta princesse est toujours sûre d’elle et tu le sais, répondit-elle.
D’un geste hésitant, il porta ses mains à l’entrée du vagin de la princesse. Il pouvait sentir ses doigts s’humidifier au fur et à mesure qu’il s’aventurait de plus en plus profondément en elle, Mari poussa un léger gémissement.
— Toujours aussi maladroit, mais je ressens ton potentiel. Ta dextérité à l’épée pourrait nous rendre service, déclama-t-elle, suivi d’un regard coquin se portant sur l’homme.
À son tour, elle plaça sa main sur le membre du chevalier et commença tendrement à le faire reluire. Victor fut pris par surprise et lâcha à son tour un gémissement. Mari afficha un sourire de satisfaction sur son visage. Suite à quoi leurs regards se rencontrèrent. Le servant et la princesse se perdirent dans les yeux l’un de l’autre. Les tourteaux pouvaient sentir leurs respirations ardentes caresser le visage de l’autre. L’excitation de la situation devenait de plus en plus palpable. Quand soudain, Victor dans un élan d’impulsion qui ne lui était pas habituel, essaya d’embrasser Mari.
Avant même que la bouche de Victor ne puisse l’effleurer, elle le gifla. Victor ahuri, porta sa main toujours mouillée sur sa joue.
— Les lèvres de ta princesse ne sont réservées qu’à son être élu. Tu n’es là que pour jouer un rôle. Celui de mon prince. Les limites à ton incarnation sont celles que je choisis pour toi.
En entendant ces mots, Victor était désemparé. Il s’était à la fois emporté, fait des illusions et avait failli à son devoir de chevalier. Ce coup à son moral devenait de plus en plus visible sur son visage au point que Mari dut le faire remarquer.
— Ne me fixe point avec ces yeux. Tu sais que ta princesse a toujours observé un sentiment sororal à ton égard. Mais bien cadet, à dépit de mes lèvres, je laisserai les tiennes effleurer mon sein. Libre à toi d’y téter, même si tu n’y trouveras aucun lait.
La lueur dans les yeux de Victor se ralluma. Il agrippa le sein gauche de Mari et commença à le téter goulûment. La princesse attrapa la main libre du chevalier et la plaça sur son clitoris. Victor comprit son intention et commença à le caresser intensément. Quant à Mari, de sa main droite, elle masturbait hardiment l’organe de Victor pendant qu’elle se doigtait parfaitement en rythme avec la main gauche. Dans cet échange mutuel de plaisir, leurs esprits semblaient s’unir. Leurs transpirations respectives s’unissaient sur leurs corps nus. Par moments, les yeux de la princesse se révulsaient de plaisir, accompagné de gémissements puissants.
— Dis-moi cadet, quel goût ai-je ? demanda la princesse sous l’effet d’un plaisir intense.— Aigre, un peu comme boire de l’eau après un entraînement sur la terre.
Sous ses mots, le cœur de Mari s’accéléra, son vagin se resserra autour de ses propres doigts.
— Je suis si proche de la jouissance. Viens avec moi.
Elle accéléra les mouvements de sa main sur le pénis de l’homme. Celui-ci lui mordilla le téton en réponse. Il ressentait les puissantes pulsations de son pénis et commençait à s’abandonner au plaisir. Il jouit, son sperme s’envola pour repeindre le ventre de la princesse. De son côté, celle-ci comme en réponse à l’extase de Victor, la princesse fut prise de spasmes de plaisir. Son corps affaibli vint s’appuyer sur celui du chevalier.

Après quelques minutes de repos passé ainsi dans les bras de l’un de l’autre. Mari interrompit le moment. Elle se releva puis déclara :
— Je dois dire que tu ne m’as pas déçue, Victor. Peut-être y a-t-il un autre domaine à part l’épée pour lequel tu serais doté de talent. Considère ta dette envers ta princesse comme annulée. Tu peux maintenant disposer.
Mari se dirigea vers ses vêtements et commença à se rhabiller et sembla ne plus porter aucune attention au chevalier. Victor suivit son exemple et ne sachant pas quoi dire dans une telle situation, se dirigea vers la sortie de la tente en silence. Alors qu’il s’apprêtait à s’en aller, il entendit la voix de Mari.
— Et Victor ? l’interpella-t-elle. L’homme se retourna.— Cela ne me dérange en rien que tu m’observes. Mais de par l’amour que je te porte, je dois te demander de ne pas te faire te méprendre, enchaîna-t-elle.— C’est compris, Princesse.
Victor quitta alors la tente.

Mari se sentit épuisée. Elle se dirigea vers sa couche. C’était certainement la soirée à la fois la plus plaisante et la plus fatigante qu’elle avait passée depuis son départ. Il n’y avait pas à dire, une petite dose de plaisir partagé était parfois nécessaire. Sur cette pensée, ses yeux se fermèrent et elle sombra dans un sommeil paisible.
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