C’est ma quatrième année comme sauveteur à la plage. Puisque c’est moi le plus ancien de la place, mon superviseur accepte que je travaille seulement les soirs jusqu’à la fermeture. N’étant pas trop matinal, c’est l’horaire de rêve ! Une soirée du mois de juillet, la température est tellement chaude que mon maillot rouge me colle à la peau. Sur ma chaise haute de sauveteur, mon torse reluit sous le coucher du soleil devant moi. La journée de travail se termine dans cinq minutes, le temps que tous les baigneurs quittent la berge et puissent aller se changer dans les vestiaires. À la plage, nous sommes seulement deux employés pour effectuer la fermeture. Ma collègue vient me voir pour passer le temps, je me doute bien qu’elle me trouve de son goût. N’ayant aucun intérêt pour elle, je la laisse parler jusqu’à temps que la plage soit complètement vide. En ramassant ma planche sur la chaise, je coupe la conversion en lui disant de s’occuper de ranger les embarcations. Moi, je vais me charger de la fermeture des vestiaires. Encore couvert d’une fine couche de sueur, j’arrive proche du vestiaire des hommes. Habituellement à cette heure-là, tout le monde a quitté. En ouvrant la porte, je me dirige directement vers les douches pour fermer les lumières. J’entends encore un jet d’eau au loin. En m’approchant lentement, mon corps se fige devant deux hommes nus devant moi. À première vue, les deux doivent être dans fin vingtaine comme moi. L’un des deux est à quatre pattes au sol, alors que le deuxième est littéralement en train de l’enculer. Après une dizaine de secondes devant eux, les deux mecs se tournent vers moi en arrêtant tout mouvement. Étonnamment, je suis tellement surpris que je ne sais tout simplement pas quoi dire. Pris en flagrant délit, ils restent immobiles en étant fusionnés devant moi. Nous sommes à environ deux mètres de distance. — Messieurs, ce n’est pas la place pour... Je n’ai même pas eu le temps de terminer ma phrase que le mec à la chevelure brune cesse la pénétration en sortant son pénis brusquement. Mes yeux sont directement rivés vers son sexe gonflé. Croyez-moi, c’est de loin la plus longue saucisse que j’ai vue de ma vie. Son membre est circoncis avec une veine qui fait toute la longueur. Ses couilles semblent tellement lourdes qu’elles pendent malgré la grosseur de son scrotum. Je confirme, c’est un vrai mâle dominant. — Désolé! Peux-tu nous laisser une minute pour nous nettoyer ? me répond-il. Les deux ont sans doute remarqué que mes yeux étaient rivés sur son organe reproducteur. Voyant aussi ma bosse qui se forme dans mon maillot, ce beau grand brun me demande : — Est-ce la première fois que tu vois des hommes nus ? C’est quoi ton nom ?— Moi c’est Nathan. Je n’ai jamais vu un aussi gros pénis, lui dis-je en pointant son entrejambe. En ricanant, les deux mecs ont clairement compris mon intérêt. Difficile de cacher mon excitation devant ces deux hommes athlétiques. Le passif est encore à genoux devant moi. Ses cheveux bouclés blonds et ses yeux bleus brillants me font perdre tous mes moyens. Je me souviens vaguement de l’avoir croisé sur la plage aujourd’hui.
— Moi c’est Nico, j’ai toujours voulu baiser avec un sauveteur sexy. C’est peut-être mon jour de chance ? me dit le mec à la chevelure blonde. En fait, je suis devant deux beaux gosses qui veulent uniquement passer du bon temps. Sur un coup de tête, j’accepte la proposition. — Oui, mais c’est ma première fois, lui dis-je. En m’avançant vers eux, Nico baisse mon maillot sans gêne. Durant ce mouvement, mon pénis sort en rebondissant sous le regard surpris de mes deux partenaires. Je sais qu’à ce moment, je viens de franchir un point de non-retour. De façon instinctive, le blondinet attrape nos sexes avec ses mains. D’un coup de bouche, il savoure chaque longueur de ma saucisse bien fraîche. C’est la première fois qu’un homme me suce et je suis loin de détester ça. Prenant le soin d’avaler nos glands chacun notre tour, il ne lésine pas sur le léchage des couilles avec sa langue. Je sens la main du mec à la chevelure brune qui agrippe l’une de mes fesses. J’ai oublié que sans maillot, mon anus est très vulnérable. Comme remerciement à la meilleure fellation de ma vie, je dirige le blondinet vers une cabine de douche. En me baissant à genoux devant son derrière, mes mains écartent ses fesses de façon brusque. Ma bouche s’approche directement de sa rondelle. À ce moment, je suis tellement excité que mon audace me surprend. En léchant tous les contours de son anus, j’entends ses faibles gémissements. Notre étalon nous regarde attentivement en se masturbant. Remarquant avec ma langue que son orifice reste entrouvert, je présume que le blondinet s’est longuement fait pilonner avant mon arrivée. Je termine par des coups de langue directement sur l’arrière de ses bourses. Après avoir mangé les fesses du bel inconnu, je me relève aussitôt en approchant mon pénis vers son orifice. Sans difficulté, mon sexe le pénètre graduellement en laissant échapper quelques gémissements. Il faut dire que son trou est déjà bien étiré. Mes coups de reins commencent rapidement en m’assurant de me rendre le plus profondément possible. Sans surprise, le beau brun s’avance pour me pénétrer à son tour. En dirigeant son gland vers mon trou, je doute que ça puisse facilement entrer. Étonnamment, mon étalon insère doucement son organe pour éviter de me brusquer. Je cesse aussitôt mes mouvements de bassin, disons qu’à ce stade je suis littéralement pris en sandwich par deux mâles. En gémissant assez fort, mes muscles réussissent à se dilater pour laisser place à son pénis. Le temps de me familiariser, je ne suis pas gêné de crier pour faire passer la douleur. De toute façon, on est entre hommes. En restant profondément en moi, le mec à la chevelure brune n’hésite pas à pousser jusqu’au fond de mon estomac. Mes jambes tremblent légèrement en raison de la largeur de son membre. Pour me détendre, il répète le mouvement de glisser sa bite hors de moi et de me surprendre en me défonçant d’un seul coup. Toujours étonné, je gémis à chaque pénétration. Avec mon pénis bien au chaud dans le rectum de Nico, je débute sans prévenir les coups de bassin à mon tour. La sensation de se faire sodomiser pendant que je pénètre un homme est incroyable. Je peux comparer ça aux mouvements de pistons bien huilés en parfaite synchronisation. Je confirme que trois hommes en pleine pénétration dans une douche, ça sent fort la testostérone. Surtout que la chaleur est à son comble dans la pièce, des gouttes de sueur perlent même sur mon front. Le mec brun n’hésite pas à accélérer le rythme dans mon anus pour me montrer qu’il est le mâle dominant. Sur le bord d’éjaculer au centre du sandwich, je demande un temps d’arrêt pour reprendre mes esprits. En voulant me calmer, le mec brun s’étend sur le sol de céramique en me faisant signe. En m’approchant, je m’assois dos à lui en glissant sa grosse bite en moi. Aucune difficulté à la pénétration, je remarque même que mon trou est maintenant bien dilaté. Pendant que je me fais ramoner le fion, Nico avance son entrejambe vers mon visage. J’ai littéralement un gland à l’entrée de ma bouche. Même si le goût est discutable, je prends mon rôle très au sérieux. Ma langue parcourt tous les centimètres de son membre. C’est parfois difficile de se concentrer à la tâche en raison du rythme de pénétration anale. Je n’hésite pas à gémir devant eux pour profiter du moment. Chaque orifice de mon corps est utilisé à son plein potentiel. Un pénis dans ma bouche et un autre dans mes fesses, disons que je ne pensais pas que ma journée se terminerait de cette façon. Pendant que je mange la saucisse de Nico, j’ai une belle vue sur son corps luisant de sueur. En regardant ses abdominaux bien définis et ses cuisses musclées, je vous confirme que cet homme m’excite beaucoup. Même si j’ai complètement perdu le contrôle, le mec à la chevelure brune ne diminue pas le rythme pour autant. En mode marteau-piqueur, ses couilles frappent les miennes à chaque mouvement de son bassin. Soudainement, il arrête la pénétration en s’assurant que son pénis remplit entièrement mon rectum. Avec son gland qui pousse contre ma prostate, je sens mon mâle dominant qui me farcit l’anus. Au loin, j’entends la porte du vestiaire qui s’ouvre. — Nathan, es-tu là? me demande une voix féminine au loin. Complètement vulnérable, je ne sais tout simplement pas quoi dire. Mon entrejambe est parfaitement écarté avec des pénis qui remplit tous mes orifices. Nous pouvons entendre le bruit des pas s’approcher. Sur le bord de l’orgasme, Nico me fait signe qu’il doit se vider les couilles. C’est un moment très mal choisi, mais il dirige son gland vers mon front. En donnant un dernier coup de main, le blondinet m’éjacule directement sur le visage. J’ai de la semence chaude qui me coule partout sur les yeux. Entre les gémissements du blondinet en plein orgasme, je reconnais la voix de ma collègue. — Nathan, qu’est-ce que vous faites ? Après encore deux à trois derniers jets de sperme sur mon visage, je prends une longue respiration. À l’aide d’une main, je nettoie rapidement le liquide qui couvre mes yeux en réfléchissant à une explication. Imaginez-vous, je suis assis sur un pénis avec du sperme qui coule de mon visage jusqu’à mon ventre. Pris en flagrant délit, je prends le temps de me lever en glissant la bite de mon mâle dominant hors de moi. N’aidant pas à ma cause, son sperme commence à couler de mes fesses en grande quantité. Je sens un liquide chaud couler sur ma jambe avec l’une de mes mains, je tente de cacher mon sexe devant elle. — On va ramasser, je suis désolé ! lui dis-je, avec une main devant mon sac de mâle. — Ark, faites ça ailleurs la prochaine fois, me demande-t-elle. Je lui confirme avec un sourire que le message est passé. Elle quitte le vestiaire, nous laissant seuls pour se nettoyer. Les deux autres hommes rient de la situation, alors que moi je suis plutôt gêné. Sans vous mentir, le sol de céramique est couvert de semence blanchâtre. Mon maillot rouge de sauveteur baigne même dans notre mélange de liquides corporels. Je commence à rire de la situation, moi aussi. Disons que malgré cette mésaventure, j’ai eu le meilleur sexe de ma vie. Comme remerciement, je me replace à genoux devant eux pour nettoyer leur sexe avec ma bouche. Bien que leur gland soit sensible après l’orgasme, je prends le temps de lécher chaque recoin. Avec mon corps encore couvert de sperme, la satisfaction d’avoir deux pénis devant moi est indescriptible. En partageant un seul jet de douche, on se nettoie mutuellement en comparant chacun la longueur de notre queue. Andy, le mec à la chevelure brune a sans contredit l’organe le plus massif du groupe. Je m’étonne moi-même d’avoir réussi à le glisser complètement dans mes fesses. On s’échange nos numéros de téléphone en restant nus sur le bord des vestiaires, de toute façon il n’y a pas de gêne entre nous. Pour une première sodomie, mes deux étalons m’ont parfaitement comblé.
