Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 95 J'aime
  • 2 Commentaires

Priscilia, cette nympho...

Chapitre 6

Hétéro
Je reprends mes esprits quelques secondes, quelques minutes après m’avoir fait du bien avec mon gode ventouse dans la douche. Toujours collé à la baie vitrée, mon gode est luisant, brillant de ma cyprine. En même temps, j’en ai bien profité il faut le dire, ça fait tellement longtemps que je n’ai pas prit un sexe en moi, que se soit dans ma chatte ou dans mon cul. Là, de me faire prendre les deux par ce sexe en plastique m’a comblé mais pas pour très longtemps. Limite ce soir, je peux recommencer.
Je finis de prendre ma douche, je me prépare puis je m’habille. Me voici habillé de ma robe rouge, je finalise l’installation de mon décolleté pour laisser apparaître l’intérieur de ma poitrine. Ce décolleté arrive juste au dessus de mon nombril, de quoi laisser apparaître déjà beaucoup de surface de ma peau. Je me chausse, mes talons d’environs dix centimètres de haut. Une fois terminé, je descends rejoindre mes parents dans le salon. Le bruit de mes talons annonce ma venue mais personne dans le salon, ni la cuisine pour m’accueillir. Je distingue des bruits dans le jardin. Je m’approche de la fenêtre située dans la cuisine, celle-ci donne une vue directe sur le jardin et la terrasse. Je me penche légèrement pour les observer, je regarde à droite vers le jardin, je ne trouve personne. Je tourne la tête à gauche, vers la terrasse, les chaises et la table.
Les amis de mes parents ne sont toujours pas là mais ils ne devraient pas tarder et pourtant, mes parents n’ont rien trouvé de mieux que se faire plaisir, une nouvelle fois depuis notre arrivée. Ma mère habillé d’une robe, moins ouverte que la mienne mais déjà bien ouverte pour une femme de son âge, est allongée sur la table, sur le dos. Les cuisses grandes ouvertes, la robe remontée à hauteur de hanche. Mon père quant à lui est accroupit devant elle, la tête entre ses cuisses. Je ne l’aperçois pas mais je distingue très bien ce qu’il est entre un de faire. Il prodigue un cuni à ma mère, à sa femme.
Depuis le début de nos vacances, ils n’arrêtent pas de le faire, fellation, baise, cuni,… je ne pensais pas ça de mes parents mais se sont de véritables chauds lapins. Je sais maintenant de qui je tiens ça, ce côté nymphomane qui sommeil en moi.
Mon père passe sa langue sur le clitoris de ma mère, je ne devrais pas regarder mais mon regard reste fixé sur eux et mon corps ne bouge plus comme hypnotisé par ce décor. Ma mère toujours allongée sur cette table, pousse de légers gémissements couverts par sa main comme si elle ne souhaitait pas qu’on l’entende. Ou que je les entendes. Mon père toujours à réaliser son travail entre les cuisses de ma mère ne bronche pas d’un centimètre, il sait ce qu’il doit faire. Il sait ce qu’elle aime car il lui suffit de quelques instants pour amener sa femme au plaisir clitoridien. Je la vois se crisper, se contracter et resserrer les cuisses au moment de son plaisir.
Je quitte la cuisine après avoir vu cet exploit de mon père, je prends la direction des escaliers pour faire croire à mes parents que je sors seulement de la salle de bain. Je fais exprès de les appeler du haut des escaliers pour qu’ils m’entendent et réagissent.
« Papa, Maman ! Vous êtes à la cuisine ? »
Ne voyant pas de réponse immédiate, je les relance une nouvelle fois et cette fois, une réponse me parvient.
« Oui ma chérie ? Qu’est-ce qui se passe ? »
« Rien, je voulais savoir si vous étiez à la cuisine et si vous aviez besoin d’aide. »
Tout en descendant les escaliers, j’essayais d’écouter le déplacement de mes parents. Ma mère fût la dernière à entrer dans la cuisine tandis que mon père faisait semblant de préparer l’apéro. Elle ne savait pas ou se mettre, un peu décoiffé mais toujours aussi belle tout de même, elle alla dans le frigo pour sortir quelques préparations pour ce soir. Je les aida à finaliser cet apéro avant que le couple d’ami arrive. Quinze minutes, c’est le temps que nous avons attendu avant d’entendre sonner à la porte. Ma mère se dirigea vers la porte pour les accueillir.
« Hey, comment ça va ? Ça fait plaisir de vous voir depuis le temps ! »
« Coucou, ça va très très bien et toi ? Oui, ça fait tellement plaisir de vous voir, ça fait quoi deux ans maintenant ? »
« Nous, ça va nickel, en vacances ça ne peut qu’aller . Oui c’est ça, ça fait deux ans. Le temps passe trop vite ! »
A ce moment là, je vis ma mère heureuse, joyeuse de revoir ses amis. Mon père alla les saluer également avec autant de gaieté que ma mère. Ça devait être de bons amis à mes parents pourtant je n’en avais jamais entendu parlé avant. Pour ma part, je continuais d’installer l’apéro dehors, de faire une belle présentation sur la table.
« Ah bonjour, vous devez être Priscilia ! »
« Oui c’est bien moi, bonjour ! »
« On ne peut pas se tromper, vous ressemblez beaucoup à vos parents mais vous avez surtout la beauté de votre maman ahah »
Voilà le premier échange que j’ai eu avec les amis, du moins avec l’ami de mes parents. C’est un monsieur d’une quarantaine d’années environs. Les cheveux courts un peu grisonnant mais pas trop, mesurant environs 1m75, 1m80 je dirais. Ce monsieur présente bien, vêtu d’une chemise blanche et d’un bermuda en jeans accompagné d’une paire de basket blanche basse. Sa femme, située juste derrière lui, n’a rien à lui envier. Elle présente également très bien, une belle robe ouverte sur le côté de sa cuisse droite, le dos nu et ouverte sur les côtés laissant apercevoir l’extérieur de sa poitrine libre comme l’air. Une femme blonde, les cheveux mi-long d’environs 1m65 avec ses chaussures compensées.
Sur le moment, je n’ai pas fait attention mais en effet il manquait quelqu’un. Mes parents m’avaient dit que leur couple d’ami viendrait avec leur fils, un peu plus âgé que moi mais je ne vois personne avec eux. Nous apprenons que leur progéniture nous rejoindra plus tard dans la soirée car il travaille et quitte à 22h. Il est moniteur de sport aquatique et ce soir, il avait une sortie en mer sur des jets-ski avec deux couples qui voulaient observer le couché du soleil.
Nous nous asseyons sur les chaises, sur la terrasse puis nous commençons l’apéro. Je m’assois à l’extrémité de la table pour laisser mes parents discuter avec leur amis. Je suis sur mon téléphone mais je reste attentive aux discutions des « grands ». Généralement, c’est dans ces moments là que l’on apprend des choses sur ses parents. Pour le moment, rien de bien croustillant, juste des sujets lambda de la vie courante, le boulot, les loisirs, les enfants,… Vu que les sujets de conversation ne sont pas très intéressants, je me sers de servir les hôtes et les invités. Ils tournent au champagne ce soir. Je sers les coupes puis je retourne à la cuisine pour jeter la bouteille vide et revenir avec une pleine. En revenant sur la terrasse, je sens comme une gène dû à ma présence. Je n’y fais pas plus attention que ça et j’installe la bouteille dans le sceau d’eau et de glace.
Je reprends ma place sur mon fauteuil de jardin, plongé dans mon téléphone. Les adultes discutent toujours de la pluie et du beau temps, je suis un petit peu déçue des sujets qu’ils abordent ce soir mais ça viendra peut être avec le temps, au fur et à mesure que la soirée avance sous les coupes de champagne. Plongé dans mon téléphone, j’ai comme l’impression d’apercevoir quelque chose bouger au dessus de mon écran. Vous savez cette vision ou vous fixer quelque chose mais qu’autours de ce point fixe, il y a autre chose. C’est ce qui m’arrive. Je suis plongé dans mes réseaux sociaux mais je suis sûr que quelque chose bouge sous la table. Je fais mine de regarder mon écran quand…. 
Diffuse en direct !
Regarder son live