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prise de conscience

Chapitre 1

Inceste
Je m’appelle Agnès, je suis âgée de 46 ans, mon mari, Jean-Marie tient une entreprise de travaux publics, ses revenus sont très bons et c’est pour cela que j’ai arrêté de travailler depuis la naissance de ma fille.
J’ai rencontré mon mari, comme beaucoup de femmes à l’époque, à un bal d’été.Je faisais partie d’une famille modeste alors que mon futur époux était appelé à devenir le futur patron de la boite que tenait son père depuis 28 ans.
C’est ainsi que l’année suivante, nous nous sommes mariés, j’avais, à l’époque tout juste 20 ans. J’étais déjà enceinte de ma fille Claire qui a maintenant 26 ans et qui m’a donné la joie d’être mamie d’une petite fille de 2 ans.Puis, il y a eu Élise qui a, maintenant, 23 ans. Elle est aujourd’hui à New-York pour poursuivre ses études.Plus tard est venu mon fils Nicolas, âgé de 17 ans. Je lui ai prodigué plus d’affection et d’attentions qu’à ses sœurs, d’ailleurs, celles-ci me l’ont, quelques fois, reproché !
Certains pensent que c’était parce qu’il est le dernier de la famille, pourtant ceci est complètement faux. Plusieurs facteurs possibles ont joué dans ce sens.La première, nous voulions un autre enfant – surtout mon mari qui voulait un garçon pour pouvoir reprendre la tête de la maison familiale. Le problème qui a résulté de cette volonté, c’est que j’ai fait plusieurs fausses-couches avant d’être à nouveau enceinte.La seconde, c’est que Nicolas n’a pas du tout le même caractère que son père, il est plutôt intellectuel et très timide. Il est rarement sorti, mis à part pour aller voir un film au cinéma.Nicolas a très peu d’amis et ceux-ci sont comme lui, des étudiants qui ne font que ça et qui ne parlent que de ça.
Pourtant Nicolas n’aime pas vraiment ce genre de copains, pour le peu que l’on a parlé, il m’a souvent dit qu’il aimerait faire la fête et des tas d’autres choses. Mais sa timidité prend le dessus et ça le bloque de faire le premier pas vers de nouvelle rencontres. On lui a conseillé Face book, mais là aussi, ça ne marche pas.Il y a aussi un autre problème, son père... Le fait de savoir son fils intellectuel et son aversion à reprendre l’affaire familiale, son père le néglige et ne le considère plus comme son fils, pour preuve, ils ne passent jamais de temps ensemble.Lorsque son père lui parle, c’est pour lui faire des reproches et au final, c’est moi qui prends sa défense, ce qui finit obligatoirement par une dispute.C’est donc tout naturellement que j’ai compensé en tendresse et en attentions les carences d’affection que mon mari avait pour son fils.
Aujourd’hui, mon mari et moi nous nous aimions toujours, mais Nicolas est entre nous et ce qui met notre relation sur une position assez délicate, voire des fois, à la limite du divorce.Le problème est encore plus délicat et c’est assez difficile d’en parler comme ça, d’ailleurs mis à part de très rares confidents, je n’en ai jamais parlé. Pourtant, j’avais besoin de m’étancher, de faire le point et de me comprendre.Je me suis donc inscrite sur un forum de discussion pour lire des témoignages pour raconter mon expérience peu banale, je dois l’avouer.
La famille de mon mari est très aisée, depuis que nous vivons ensemble, mon mode de vie a bien changé. Finis les vêtements de sous-marque, place aux tailleurs de grande marque de chez Christian Dior, le plus souvent. Ce fut les premiers escarpins vernis à talons-aiguilles, les chemises en soie furent très appréciées.Je vivais, dorénavant, comme une femme charmante de très bonne famille, attirant les regards ainsi que la jalousie de mes copines d’enfance.
Mais nous savons rester simples, nous ne sommes pas au point d’avoir une femme de ménage et un chauffeur. À la maison, c’est moi qui fais le ménage, le repassage et la cuisine, au plus grand bonheur de mes enfants.
Au fil du temps, la routine commença à s’installer dans nos ébats amoureux entre mon époux et moi et je me suis donc mise au goût de la lingerie. Les culottes en dentelle ou en tulle firent leur apparition dans mes tiroirs.Plus tard, vers l’âge de 40 ans, je me suis mise à acheter des porte-jarretelles. J’étais assez réticente pour porter ce genre de lingerie, je pensais que l’on allait le voir lorsque je m’assiérais et que ça ne serait pas très confortable à porter.Mais il n’en fut rien... Mon mari adora et moi, encore plus. C’est fou ce que ce bout de tissu peu changer la silhouette d’une femme.
Oh, mais j’oublie, je mesure 1,65 m et je pèse, aujourd’hui, 60 kg, oui, les années passent et j’ai pris du poids, peut-être que mes trois grossesses m’y ont aidé.Mes origines italiennes du coté de ma mère m’ont été profitables pour proportionner mon poids sur mes fesses et ma poitrine, faisant donc du 100 C, pour le plaisir de Jean-Marie.Je suis brune, la peau mi-mate, les yeux marron en amandes.
Pour en revenir à la lingerie, le porte-jarretelles fut un tournant pour ma vie intime et beaucoup suivirent le premier pour prendre une grande place dans les tiroirs de ma commode.Malheureusement, la routine revint entre nous et cette fois-ci, je ne fis rien pour arranger les choses. Pendant que Jean-Marie était obnubilé avec son entreprise, moi je m’occupais de Nicolas, seul enfant à être encore à la maison.Je m’habillais toujours aussi chic, c’était maintenant une habitude prise avec le temps.Seules les pantoufles prenaient la place des talons quand je restais à la maison. Très souvent, j’étais habillée en jupe tailleurs arrivant aux genoux, une chemise en soie et mes bas.
Mais voilà, les choses ont pris une toute autre tournure à la maison, il y a de cela presque un an. Passant principalement beaucoup de temps avec Nicolas, lorsqu’il n’était pas en cours, j’ai remarqué, avec le temps, que ses regards avaient changé sur moi.Souvent, je le surprenais à fixer mes jambes lorsque je faisais le ménage ou quand j’étais assise devant la télé.Puis, plus tard, dans la voiture, lorsque je l’emmenais en cours.J’étais très surprise, au début et surtout gênée, mais le sachant timide et, sans doute, puceau, je me suis dit que, peut être, s’il découvrait la femme à travers moi, que cela allait l’amener à sortir pour pouvoir rencontrer des filles de son âge.
C’est comme ça que mon trouble s’est apaisé et j’ai donc laissé Nicolas me regarder en pensant que ceci aller s’arrêter tôt ou tard. Mais avec le temps et mon approbation de le laisser faire, ses regards devinrent de plus en plus appuyés et plus vicieux, aussi.Souvent, il fait tomber quelque chose à table, lorsque nous mangeons, que mon mari soit là ou pas. Ce que je croyais un accident, au début, s’est très vite transformé par un geste voulu.Ou même, lorsque nous regardons la télé, il s’installe sur le pouf en face de moi. Je ne sais pas quoi faire et dans ma tête, des tas de questions se mélangent. Je me dis, de là où il est, il doit voir ma culotte et la lisière de mes bas, etc.
Alors, lorsqu’il recommence son manège, je croise les jambes pour qu’il ne puisse rien voir de mon entrejambe. Curieusement, je me surprends, le matin, à continuer à mettre des jupes ainsi que mes bas tenus par un porte-jarretelles.Je suis certes troublée, mais pas fâchée envers Nicolas.
La première barrière morale franchise remonte au jour où je suis allée le chercher à ses cours.Il pleuvait ce jour-là. Nicolas a couru vers la voiture, il était trempé.Je l’ai grondé car il posait son sac de cours trempé sur la banquette arrière ce qui pouvait salir les sièges de mon Audi toute neuve.J’ai pris son sac, je suis sortie de la voiture pour le mettre dans le coffre. J’ai repris ma place et nous sommes partis en direction de la maison.Pendant la route, j’ai remarqué que mon fils fixait mes cuisses, par curiosité, j’ai suivi son regard. En remontant dans la voiture, je n’avais pas fait attention que ma jupe, verte foncé, avait remonté, laissant voir la lisière de mes bas blancs, tenus par un porte-jarretelles de la même couleur. Ma jupe était à ras la culotte et je pense même que, en se penchant un peu, Nicolas pouvait apercevoir ma culotte blanche, entièrement transparente, que je portais ce jour-là.
Du haut de mes escarpins noirs, mes jambes tremblaient. Nicolas était mon fils, mais ses regards d’hommes m’étaient complètement inconnus de lui. C’est comme si, à chaque moment pareil, un parfait inconnu me regardait et me fixait.Je ne sais pas si c’est le fait de n’avoir toujours connu qu’un homme, mais cette situation là, ne me laissait pas indifférente.Sur le forum de discussion, L’accueil y est très chaleureux, on me conseille surtout de me laisser aller et de tout "déballer", ça ne peut que me faire du bien ! Plus je parle, plus j’ai envie de parler et, effectivement, je ressens un bien-être, une paix intérieure, un apaisement !
J’entends quelques vérités qui me rassurent et me désinhibent dans mon moi intérieur :< Tu es à un âge où tu as envie de plaire, d’être désirée, bref, d’être considérée comme une femme, quoi de plus normal !Ton époux est moins présent, il a d’autres préoccupations et il se trouve que tu as un admirateur, juste à côté de toi ! Quelle aubaine ! Et aussi quel dilemme ! Accepter ses regards admiratifs, c’est l’encourager à aller plus loin ! Te sens-tu prête à voir en lui, non seulement un fils aimant, mais aussi un fils attentionné qui saura t’apporter ce que tu désires ?
Je réalise, par ces discussions successives, que non seulement Nicolas nourrit des sentiments amoureux à mon égard – je ne sais pas si c’est une chance pour lui d’être tombé dans ce genre de fantasme – mais je ressens la même inclination !

a suivre
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