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prise de conscience

Chapitre 5

Inceste
À la maison, différentes choses se sont passées.
Après le repas chez Pierre, mon mari m’a parlé dans la voiture. Il s’était aperçu du baiser très appuyé du fils de son ami, proche de ma bouche. Jean-Marie me narguait, en me disant qu’il aurait dû m’embrasser et que j’aurais dû me laissait faire... Je le traitai de malade et de pervers et lui, il ricanait de son ânerie.
Il faut dire qu’il était un peu saoul et la seule chose qu’il ne pouvait pas savoir, c’est que je m’imaginais en train de faire ce qu’il disait avec ce jeune homme mal élevé qui n’avait pas hésité a me caresser la cuisse sous la table, pendant le repas.
La vie continuait a la maison..., comme d’habitude, mon fils prenait toujours autant de plaisir dans mes culottes, s’en donnant, certainement à cœur joie. Je me suis, même, posé la question, savait-il que je m’en étais rendu compte ?
Puis vint un vendredi soir, j’étais allée chercher au lycée, mon fils, ainsi que Lucas et Mathieu. Ce sont des jumeaux, très copains avec mon fils. Leur mère avait eut un empêchement et elle me demanda de les prendre au lycée. J’avais même proposé à Eliette de les faire manger, le soir.
Il faisait beaucoup de vent ce soir-là. Ils sont arrivés juste après la sonnerie, apparemment, ils avaient l’air content d’eux, ils avaient, tous les trois, réussi leur contrôle d’histoire.Curieusement, c’est Mathieu qui s’est assis à mes côtés, au lieu de Nicolas. Je n’ai rien dit et je suis repartie en direction de la maison.Je portais, ce jour-là, une jupe rouge, ample, qui ne me serrait pas comme une jupe tailleur et qui m’arrivait au-dessus des genoux. Malgré le vent, il faisait bon et j’avais choisi une chemise noire avec des manches longues.Mes jambes était couvertes par des bas blancs et j’avais opté pour mes sandales à talons rouge avec une bride autour de la cheville, laissant mes doigts de pied à la vue de tous, au travers de mes collant blancs, achetée il y a 3 ans en Italie.
Si je précise ma tenue, c’est que beaucoup me le demandent en message privé.
Le truc qui est bien avec une jupe ample, c’est qu’elle ne remonte pas quand vous conduisez et ne vous gêne pas non plus. Pourtant, j’ai souvent surpris Mathieu regarder mes cuisses pendant que je conduisais. J’étais gênée, j’ai pensé, alors, que Nicolas avait, peut-être, touché un mot à ses copains sur ma lingerie intime
À la maison, ils sont montés dans la chambre de Nicolas pour jouer à la console. Le vent faisait toujours rage, alors, je suis sortie pour ramasser le linge étendu dehors, de peur qu’il s’envole.
« Vous avez besoin d’aide, Agnès ? »
Je me suis retournée, c’était Mathieu qui était positionné devant la porte-fenêtre de la salle à manger. J’ai trouvé ça gentil et j’ai accepté en le remerciant.Il est rapidement venu m’aider.

J’ai remarqué, juste après, qu’à cause du vent, m’a jupe, ample, s’envolait à chaque souffle, dévoilant aux yeux du jeune homme, mes cuisses gainées de mes bas blancs, tenus par un porte-jarretelles de la même couleur.
Ma jupe se relevait sans cesse et j’en étais exaspérée :
« Ouh, ce vent, c’est pénible ! »
Il ne disait rien, mais n’en perdait pas une miette. À un moment, Mathieu m’a fait la remarque que les nuages gris arrivaient à grands pas et que nous avions intérêt à nous dépêcher. Je lui ai répondu qu’il avait raison et je ne sais pas ce qu’il ma pris, mais je n’ai plus rabaissé ma jupe, à chaque fois qu’elle se relevait, à tel point que, parfois, ma culotte blanche devait lui dire bonjour.
J’en étais toute excitée, mais je faisais mine de me dépêcher et de pas faire attention à lui.Nous sommes, ensuite, rentrés, Mathieu avait l’air tout gêné et pour preuve, j’ai aperçu une bosse au niveau de son entrejambe.
En fin de soirée, Eliette est venue les chercher, j’ai discuté avec elle, cinq minutes. Durant tout ce temps, Mathieu reluquait sans cesse mes mollets juchés sur mes sandales rouges.Je ne tenais pas en place, essayant tout de même de m’intéresser à ce que me disait sa mère.
Le soir même, mon époux m’a appelée pour me dire qu’il finirait assez tard. Je me suis mise donc seule, sur le sofa, devant la télé. Je me suis couchée dessus, commençant a m’endormir. Un bruit, dans la pièce, m’a réveillée dans mon sommeil. Par la glace, je reconnus Nicolas qui avait l’air de ne pas vouloir faire trop de bruit.J’étais intriguée et je me suis mise à faire semblant de dormir pour voir pourquoi il essayait d’être aussi discret.Il s’est approché de moi, il a secoué sa main devant mon visage pour voir si je dormais bien. je l’avoue, sur le coup, j’ai failli rire, il faut dire que c’était assez comique.
J’avais un œil à demi fermé et j’ai commencé à avoir un frisson lorsqu’il a posé une de ses mains sur mon genou gauche.Il m’a regardée un instant et petit à petit, il a remonté sa main jusqu’en haut de ma cuisse, pour atteindre la lisière de mon bas blanc.J’étais raide comme une statue, j’aurais pu me réveiller a tout moment..., quelle audace.Par la suite, il a passé ses deux mains sous ma jupe jusqu’à atteindre ma culotte, puis il a soulevé ma jupe pour la remonté sur mon torse.Il pouvait voir toute mon intimité habillée d’un porte- jarretelles blanc, culotte blanche en dentelle ainsi que mes bas.Je l’ai entendu respirer très fortement..., comme s’il humait mes dessous.
Deux minutes de silence avant que Nicolas ne revienne à la charge.
Cette fois-ci, sa main caressa le haut de ma cuisse.Il a pris l’une des attaches de mon porte-jarretelles et, curieusement, il a tiré doucement dessus, sans le faire lâcher de son emprise.
Pourquoi ? (rire) J’en sais rien, peut-être pour s’informer de sa ténacité à tenir mes bas sur mes cuisses.
De là ou j’étais, je le voyais fixer mon entrejambe, puis d’un coup, son visage a disparu sous ma jupe. Juste après, une légère caresse chaude et humide entra en contact avec le haut de ma cuisse, à quelques centimètres de ma culotte.J’ai compris, tout de suite, que c’était de sa langue qu’il s’agissait.C’était dingue, mon fils me léchait le haut de ma cuisse, puis ensuite, il se mit à lécher ma culotte.Même s’il n’était pas en contacte direct avec mon intimité, je sentais quand même ses coups de langue, à travers le fin tissu.J’essayais de garder mon calme, mais ce n’était vraiment pas simple. À cause de ma nervosité, je pense, ma jambe droite a fait un geste brusque et Nicolas s’est tout de suite arrêté.Il fixait mon visage, tout en respirant très, très fort, puis il s’est approché de mon visage et a dit quelque chose, à voix très basse :
« Si tu savais comme tu me fait bander, maman ! »!
J’en avais la gorge sèche, mais que dire, que faire ?Je devais jouer le jeu, sinon mon laisser-faire, juste avant, aurait l’air assez soupçonneux.Mais chose que je ne lui en croyais pas capable, Nicolas s’est levé et a ouvert sa braguette pour en sortir son sexe.Il a commencé un léger va-et-vient, juste au-dessus de ma tête.Je pouvais sentir l’odeur masculine de son membre, mes narines s’en nourrissaient, c’était surréaliste !Où était mon garçon, si frêle et si timide ?Nicolas était devenu, à ce moment-là, un homme, non un mâle, à la recherche d’une proie pour assouvir son envie. Je l’entendis murmurer :
« Mmmm, maman, comme tu est belle, j’aimerais tant que tu me suces... ! »
Il a approché son bassin de mon visage et a déposé son gland chaud sur le bord de mes lèvres. Mon intimité s’est mise à s’inonder. Par la suite, mon fils a pointé droit son gland sur mes lèvres fermées. Il suffisait juste que j’ouvre la bouche pour me retrouver avec le pénis de Nicolas dans la bouche.D’ailleurs, à chaque contact, une sorte de liquide se collait à mes lèvres. Avec le recul, je pense deviner que ce devait être son pré-sperme.De me voir dormir, encore, a dû lui donner confiance, car il a tendu sa main en direction de ma culotte et a commencé à me caresser – assez maladroitement, je dois dire – par dessus la culotte.
« Maman, je vois toujours tes poils à travers tes culottes..., j’adore ça ! »
Ces mots résonnent encore dans ma tête.Puis, d’un coup, il lâcha prise en disant précipitamment un « oh merde ! ».Il se cambra en avant, tout en se levant et partit tout droit dans la salle de bain.Il a dû jouir..., et plus vite qu’il ne l’avait calculé !

Le lendemain, j’étais très mal, pour la première fois, Nicolas avait posé ses mains sur moi.Je me sentais comme une mère sale, indigne de mon rôle à jouer en tant que maman.J’étais affalée sur le canapé, je n’avais rien mangé.Nicolas était en cours et mon mari qui, comme d’habitude, n’avait même pas vu mon état, je pleurais, seule dans mon coin.Ma fille aînée, Claire, est venue me rendre visite, sans savoir mon état.Elle m’a demandé ce que j’avais ?Je ne pouvais pas lui dire la vérité.Je lui ai dit que j’étais le diable, que je ne savais plus où j’en étais.
« Maman, tu devrais te reposer, pourquoi ne pas partir quelques jours en campagne, chez papy et mamie ? »
J’ai accepté, elle m’a accompagnée, c’était très gentil. Après deux jours, est venu l’heure des confidences.Nous étions sur la véranda de la maison de mes parents.Claire m’a expliqué qu’entre elle et son mari, ça ne se passait pas très bien en ce moment, elle était inquiète.Je lui ai expliqué mon cas, seulement entre Jean-Marie et moi, jamais je ne pourrais lui parler de Nicolas et toutes les autres pensées que me passaient souvent par la tête.Curieusement, elle m’a dit qu’elle me comprenait.
« Papa ne pense qu’à son travail, mais il est vrai que sans lui, nous n’aurions jamais tout ce que l’on a, aujourd’hui ! »
C’est vrai qu’elle avait raison sur ce point. Nous n’avions jamais manqué de quelque chose à la maison.Mon mari était un travailleur acharné qui avait repris l’entreprise de son père.Mon mari ne se plaignait jamais, travaillant toujours et encore.
« Maman, tu devrais parler avec lui, je suis sûre que papa t’aime encore ! »
Elle avait raison, je pense qu’il était l’heure d’avoir une discussion avec lui, mais avant, je devais régler certaines choses avec Nicolas, avant que tout ceci devient incontrôlable, si ce n’était déjà pas trop tard.
Trois jours plus tard, me revoilà a la maison. Nicolas est venu en premier me dire bonjour, il m’a regardée de la tête aux pieds. Je portais, ce jour-là, une jupe tailleur mauve et des escarpins blancs, des bas noirs et une chemise blanche.Je devais être forte dans ma tête et je ne devais plus être tentée par ses regards.Alors, aux grands mots, les grands remèdes, je lui ai tout de suite demandé :
« Pourquoi me regarde-tu comme ça ? »
Nicolas fut très surpris par ma demande, car jusqu’à maintenant, jamais il n’avait été dérangé pendant ses petites manœuvres. Il ne savait pas quoi répondre.J’ai filé dans ma chambre pour me changer et mettre un jeans et un sweat. Lorsque je suis redescendue, ce fut un coup de tonnerre pour Nicolas, son visage exprimait toute sa déception.Ça m’embêtait, mais je devais en passer par là. Nicolas n’est pas resté longtemps à la maison, il se rendit chez son ami pendant tout le reste de l’après midi.
Le soir même, quand mon mari est rentré, je lui ai radicalement sauté dessus, l’embrassant en lui disant qu’il m’avait manqué. Jean-Marie était très surpris, disant que ce séjour chez mes parents m’avait fait du bien.Nous avons mangé tous les deux, Nicolas m’a appelée pour me dire qu’il mangeait chez un copain.Après le repas, mon mari a filé dans le salon pour regarder la télé, là, je me suis dis : « mon gaillard, tu ne va pas t’en tirer comme ça ! ».Je suis montée dans ma chambre, je me suis déshabillée et je me suis mise une nuisette blanche transparente, m’arrivant au niveau du nombril et un string en dentelle blanc – c’est très rare de m’a part – je me suis chaussée de mes escarpins noirs à talon aiguilles et je suis descendue dans le salon.
« Chéri... !– Mmm, quoi ? »
Mon époux était presque endormi lorsque je me suis placée devant lui. Il est resté tout bête, puis a commencé à sourire.
« Hé ben..., comme tu es belle !! »
Cette remarque m’a fait très plaisir et je suis montée sur lui, les jambes sur chaque coté des siennes. Nous nous sommes embrassés, puis il s’est levé tout en me portant :
« C’est vrai que ça fait un moment que je ne me suis pas occupé de toi !– C’est vrai !, lui dis-je, en souriant.– Je suis désolé, mon amour ! »
J’ai été très touchée, car ça faisait longtemps qu’il ne m’avait pas regardée avec tant de sincérité. Je lui ai répondu que ce n’était pas grave, puis, il m’a emmenée dans notre chambre.La suite, vous l’avez deviné, nous avons fait l’amour, oui l’amour, comme nous l’avions rarement fait tout les deux.
Le lendemain, je me sentais rajeunie, j’étais d’une humeur joyeuse, fini le doute et tout ce qui me hantait depuis ces derniers mois. Enfin, c’est ce que je croyais...
Le soir nous étions invités au restaurant, sans Nicolas. C’était un repas d’entreprise où tous les patrons dans la branche de la boîte de mon mari étaient invités.Alors, bien-sûr, on doit se faire belle, robe de soirée noire aux bretelles dorées arrivant aux mollets, des scandales dorées à talon aiguilles avec une bride autour des chevilles, des bas noirs, les bijoux en valeur, les ongles vernis en rouge.Un tour chez la coiffeuse et me voilà prête pour passer une excellente soirée en compagnie de mon mari et du bonheur retrouvé.
La salle était magnifique, nous nous sommes retrouvés à table avec des connaissances de mon mari. J’étais entre un homme âgé d’une soixantaine d’années, retraité dans les affaires, s’appelant Jean-Pierre et un autre, d’une trentaine d’années, Philippe. La table était ronde, mon mari se retrouvant en face de moi. Philippe était un homme charmant qui, je le pense, a dû faire beaucoup de jalouses. Sa femme n’était là, ce soir, car elle était enceinte de 8 mois. Je lui ai dit toutes mes félicitations.
La soirée allée bon train, le spectacle était super, les magiciens avaient beaucoup de talents. Jean-Pierre avait un peu trop bu que la moyenne et commençait a être joyeux, racontant des blagues pour faire rire la table. Puis, au bout d’un moment, il a commencé à déraper et il est parti sur des blagues salaces. On rigolait quand-même, même si je pense que certaines femmes, à notre table, devaient, tout comme moi, se demander si c’était bien la bonne soirée pour les placer.Chose très gênante, lorsqu’il parlait d’une femme dans ses blagues, il faisait souvent allusion a moi. Mon mari rigolait en écoutant bien, pour pouvoir les retenir et les répéter à son travail – humm..., il travaille dur !
Puis d’un coup, c’est une main sur mon genou droit qui se posa..., et à ma droite, il y avait Jean-Pierre. Ce vieux vicieux continuait à blaguer sans prêter allusion à mon regard de tueuse que je lui portai. Alors je la lui ai enlevée. J’étais très en colère envers lui...Philippe s’est remis à me parler, c’est fou comme il savait parler aux femmes.C’était un bel homme brun, les yeux bleu-clair, un regard qui vous fige, un parfum qui vous enivre, mais aussi de très belles mains et c’est une chose qui me plaît chez un homme.
Je ne sais pas ce qu’il m’a pris, mais j’ai commencé à le comparer à mon mari qui lui, était un peu gaillard, un petit bide – ça c’est l’apéro les vendredi soir, sur le chantier – et un peu dégarni. La comparaison n’était pas vraiment équitable et sans m’en rendre compte, je commençais à être séduite par ce bel homme, alors que mon mari était assis à la même table que nous.Il m’a pris la main pour m’expliquer un tas de trucs sur les lignes sur la main, mon cœur battait, j’étais séduite, voilà tout.
Puis, une nouvelle fois, Jean-Pierre posa sa main sur mon genou, mais cette fois-ci, il a relevé ma robe pour être en contact direct de ma peau, toutefois habillée par mes bas noirs. Philippe me parlait encore, je ne pouvais tout de même pas ignorer ce qu’il me disait.J’essayai de bouger ma jambe, mais aucun résultat. Heureusement que la nappe blanche de la table retombait longuement sur nos jambes. Personne ne pouvait se douter de ce qu’il se tramait dessous.Jean-Pierre ne s’en arrêta pas là, puisqu’il remonta ma jambe, jusqu’à atteindre mes fesses.Il me caressa la fesse droite, passant un doigt sous le tissu de ma culotte noire transparente.J’étais morte de trouille que quelqu’un s’en aperçoive, surtout sa femme qui était à ses côtés. C’est Philippe qui s’aperçut que quelque chose n’allait pas.
« Agnès..., vous allez bien ? »
Je lui dis oui..., mais je ne sais pas s’il en fut convaincu. Puis vint la musique et voyant que mon mari s’occupait plus de ses relations amicales qui moi, Philippe m’invita à danser.En plus, il dansait superbement bien, me faisant tourner sur moi même, un délice... !Puis, ce fut le tour d’une chanson plus lente et sans me prévenir, il m’a prise dans ses bras musclés.Quel homme, j’étais aux anges, je ne pensais plus à rien d’autre, ni à mon mari, ni à mon trouble.J’étais séduite par ce séducteur pour qui j’étais, maintenant, une proie sans défense.Il me souriait, je faisais pareil. Aux yeux de tous, on pouvait faire croire que l’on était un couple, à la différence près que j’étais plus âgée de dix ans.
« Agnès, vous êtes vraiment femme séduisante ! »
J’étais au paradis, quel homme quel tact, c’était dingue ! Je lui ai répondu, nerveusement, que j’étais devenue une vieille femme. Puis, il a recommencé à me séduire.
« Une vielles femme ? Vous êtes si belle, si fraîche, si jeune...., quel âge avez vous ? »
Devant ses compliments, je ne voulais pas lui dire, de peur de le décevoir.
« Quel âge me donnez-vous ?– Mmm, 40 ans à peine, ou presque... ! »
J’ai souri, puis je lui ai dit que j’avais 46 ans, mais que c’était gentil. Il m’a souri :
« Votre beauté vous rajeunit, si j’étais votre mari, je cesserais de parler avec tout ces hommes d’affaires et je m’occuperais, sans cesse, de vous... !– Oh mon mari, vous savez... ! »
Et là, sans un mot, j’ai posé mon visage au creux de son cou. Je pense que Philippe n’en n’attendait pas moins comme réponse.La musique arriva à sa fin et une voix familière s’adressa à Philippe : c’était Jean Pierre qui demandait une danse. Pour ne pas le vexer, j’ai accepté.Philippe m’abandonna à lui en me laissant un si beau sourire que je lui rendis.
Jean Pierre n’alla pas dans la dentelle, il s’est plaqué immédiatement à moi, comme si sa vie en dépendait. Quel casse pied, je languissais la fin de la chanson.Puis là, ce fut le bouquet :
« Tu es vraiment bien foutue, petit garce, tu dois aimer te prendre, hein, je me trompe ? »
J’ai cru m’étouffer, quel sale pervers comment osait-il ?Je lui ai demandé pour qui il me prenait et de me lâcher.Il ne m’écoutait pas, alors je l’ai menacé de le gifler devant tout le monde.Il m’a libérée et j’ai regagné la table. Jean Mari n’a rien vu – vous allez vous dire, comme d’habitude !Je n’étais pas bien. Philippe, assis à ma gauche, m’a demandé si j’allais bien. Je lui ai répondu oui, sans être très convaincante.Je me suis levée et je suis allée parler à l’oreille de mon époux.
« Je vais aux toilettes, je reviens ! »
Il m’a dit ok, je me suis redressée et j’ai regardé Philippe avant de partir, en me retournant, en direction des toilettes. Pour arriver au lieu d’aisances, il fallait descendre les escaliers, même les cabinets étaient du luxe. J’en ai fait des soirées, mais là, j’en étais baba !Je me suis regardée dans la glace, après m’être rafraîchi le visage.J’ai sorti une petite trousse de maquillage de mon sac à main pour me refaire une beauté, puis le bruit d’une porte m’interpella : c’est Philippe qui m’avait suivie jusqu’aux toilettes des dames.Mon cœur se mit a battre, alors pour rire, je lui ai dit :
« Philippe, vous êtes une femme, maintenant ? Je ne le savais pas ! »
Il ne m’a pas répondu et je lui ai demandé si ça allait ? Il s’est approché de moi et m’a prise par les hanches, sans rien dire. Je le dévisageai.
« Agnès, je suis fou de vous, vous êtes si belle ! »
J’ai mis mes mains sur ses bras pour lui faire comprendre de me lâcher.
« Philippe..., vous ne pouvez pas, vous êtes marié et moi aussi, voyons !– Je m’en moque, elle ne le saura pas !– Philippe, mais vous fou..., j’ai plus de dix ans de plus que vous ! »
Il ne m’a pas répondu et m’embrassa sans me laisser le temps de réagir. Sa langue cherchait à entrer en contact de la mienne. Je l’ai repoussé pour avoir juste le temps de lui dire : « Philippe, non ! », puis il m’embrassa de nouveau.C’est la première fois que j’embrassais un autre homme que mon mari, mais mon corps me trahissait, car dorénavant, ma langue jouait volontiers avec la sienne.
Philippe m’entraîna dans un WC et ferma la porte. Il me passait des mains de partout.Je lui disais non, mais il n’écoutait rien, faut dire que je ne le repoussais pas trop !Il a remonté ma robe et ma retournée, face au WC, le corps en avant, les mains plaquées contre le mur, il baissa la fermeture éclair de ma robe de soirée, celle-ci tomba au sol.
« Comme tu es belle, comme tu es belle !
Il ne cessait pas de répéter cela, alors que moi, je n’étais plus qu’en petite tenue devant lui.Un porte-jarretelles noir, sans soutien-gorge, mes bas noirs aux fines lisières, mes talons dorés et une petite culotte noire, transparente, avec des petites fleurs rouges en dentelle dessus. Cette culotte était l’un de mes derniers achats, je l’avais prise vraiment petite, celle-ci, ne m’arrivait qu’au milieu de mes fesses.Cette lingerie étant, normalement, pour accompagner une nuit d’amour avoir mon époux et ça allait être ce beau séducteur qui allait en profiter.
Philippe m’a pris la main et l’a embrassée. Je lui disais d’arrêter, que quelqu’un pouvait venir. Il me répétait que j’étais belle, que rares sont les femmes qui portent encore de telles lingeries. Il m’a ensuite retournée, face à lui et m’a de nouveau embrassée.Je ne lui ai pas refusé son geste, il m’a ensuite pris un sein pour le porter à sa bouche. Malgré mes dénégations, mes mains étaient posées sur sa tête, lui prouvant que ce qu’il me faisait était bon.
Sans retenue, il plongea une main dans ma culotte et me caressa fortement.Il ne se contrôlait plus et moi, j’étais au bord de l’extase. Il m’a, par la suite, fait m’asseoir sur la cuvette, puis dans un geste assez nerveux, il sortit son sexe par la braguette.Malgré la situation dans laquelle je me trouvais, je pus, quand-même, reconnaître que le membre de cet homme était bien plus gros et plus long que celui de mon époux.Mais c’est surtout son gland qui m’a surprise par sa taille.Il posa une main derrière ma tête tout en me demandant ou plutôt, dois-je, dire en m’ordonnant de le sucer.
Jamais, je n’avais fait ça à un autre homme que Jean-Marie.Je ne voulais pas, malgré son manque de patience, il pointa son sexe, comme mon fils l’autre jour, contre ma bouche. J’eus, à cet instant, une pensée fugace pour le sexe de Nicolas que j’avais failli gober.Je serrais les lèvres, je me débattais mollement.
« Allez, vas-y putain, j’en suis sûr que tu veux... !– Philippe, non..., mon mari est en haut ! »
Il s’en moquait, il disait qu’il m’aimait, que j’étais belle, puis ce qui devait arrivait, arriva.J’ai entrouvert mes lèvres et son vit s’est frayé un passage.J’ai ouvert grand les yeux, j’étais à la limite de m’étouffer, pourtant son sexe n’était rentré qu’a moitié dans ma bouche.Il a pris mon visage avec chacune des ses mains et a commencé à aller en avant et en arrière.Je fermai les yeux, sentant son gland glisser sur ma langue, tapant le fond de ma bouche.Des "mmmmmm !" sortaient de ma bouche.Il gémissait fortement, il se faisait sucer par une femme mariée de dix ans de plus que lui, c’était son heure de gloire en tant que prédateur de femme.
Là-haut, la soirée devait continuer comme elle était prévu à cette effet, pour moi, c’était tout autre chose.Après l’avoir sucé, il s’est ensuite placé sur le WC, après avoir baissé son pantalon, il a baissé ma culotte au niveau de mes mollets, puis m’a fait m’asseoir sur son membre, toujours aussi dur.Je bougeais les fesses pour qu’il ne puisse pas me pénétrer. Il me disait :
« Allez, viens, donne-toi à moi, alleeeez... ! »
Malgré mes réticences, il est arrivé à me bloquer et, d’un coup sec, à me prendre tel qu’il le souhaitait. Au bout de quelques va-et-vient, l’affaire était classée.Je bondissais comme une folle, j’en avais autant envie que lui, me disant que, de toute façon, le mal était fait.La culotte toujours à mes chevilles, assise sur cet homme que je connaissais à peine, il me sautait comme une putain, c’était le cas de le dire.
Heureusement que dans cette folie, personne n’est entré dans les toilettes, notre vacarme ne serait pas passé inaperçu.Je tournai ma tête pour l’embrasser, nos langues se mélangeaient avec fougue. Il m’a annoncé qu’il allait jouir, il m’a propulsée contre la porte de la cabine, face aux WC.Les mains plaquées contre la porte, penchée en avant, les jambes écartées, la culotte tiraillée entre les deux chevilles éloignées, il me besognait avec toute sa fougue.Il gueulait comme un mâle en chaleur, son corps claquait contre mes fesses, à chaque rencontre.
Je ne peux pas lui reprocher cela, car moi, je jouissais autant que lui. Le plus honteux, c’est que j’ai atteint l’orgasme quand j’ai pensé à mon mari qui était là-haut, alors que je le trompais en ce moment même.Des « oui... ! » sortaient de ma bouche, c’était une folie.Il s’est retiré et a éjaculé sur mes fesses, frottant son sexe pour en étaler tout ce sperme durement venu Moi, je bougeais mon bassin de droite a gauche pour lui faciliter la tâche, mais aussi, pour faire ressentir à mon amant d’un soir, tout l’amour de son liquide chaud sur mon postérieur.
Après avoir repris mes esprits, je me suis vite rhabillée. Ni lui, ni moi, n’avons décroché un mot pendant le rhabillage.Je suis sortie la première de la cabine, pour me remaquiller et me recoiffer.Il est venu à mes cotés pour se resserrer sa cravate.
Après quelques hésitations, je lui ai demandé de ne rien dire à mon mari.Il m’a souri..., mais ce n’était plus le même sourire, aussi doux et séducteur, puis il m’a répondu :
« Pfff, pauvre conne, vous êtes toutes les mêmes, dès que vos maris ne sont plus là, vous vous faites sauter comme de vraies salopes, puis après, vous venez "chouiner" de ne rien dire à votre mari pour pas rester sans la moindre tune ! »
Je suis restée figée par tant de méchanceté et de perversité.Je lui ai demandé des explications, lui demandant ce que, pour lui, voulait dire nos ébats de tout à l’heure et surtout, tous ses jolis mots.Il m’a souri et il est parti, sans me regarder, en me disant :
« Allez, ciao ! »
Je ne peux pas vous décrire ma situation, à ce que je pensai à ce moment-là.Le grand silence de la pièce était le même que dans ma tête.La musique dans la salle se faisant entendre, une dame est entrée dans les toilettes en me disant bonsoir.Je lui ai répondu avec une voix timide.Je suis sortie de la pièce, mes jambes tremblaient, je ne savais plus si je devais rejoindre la table où était mon mari que je venais de tromper.
Philippe sera là, aussi, à mes cotés. Lui, qui m’a charmée, m’a séduite, m’a fait l’amour et surtout, m’a prise pour une conne, comme beaucoup sur sa liste de rencarts, je pense.
bientôt la suite
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