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prise de conscience

Chapitre 6

Inceste
J’ai croisé mon époux dans le couloir qui mené à la salle, il m’a demandé où j’étais pendant tout ce temps.Je lui ai menti en lui disant que j’avais mal digéré les huîtres et que je voulais rentrer. Il a boudé, mais nous sommes quand-même rentrés.
En arrivant a la maison, Jean-Marie est allé se coucher, l’alcool aidant. Je suis montée au deuxième, Nicolas ne dormait pas, sa chambre était encore éclairée. J’ai frappé à la porte, il m’a répondu de rentrer.
« Bonsoir mon chéri, il est 1 :00, tu n’as pas sommeil ?– Non, je finis un jeu vidéo... ! »
Je me suis approchée pour lui faire un bisou sur le front, il en a profité pour regarder dans mon décolleté. À ce moment, je me suis sentie femme, avide de caresses et de tendresse, comment se serait-il comporté avec moi si l’autre soir, j’avais fait feint de me réveiller et que je l’aie accompagné dans sa jouissance ! Assurément, avec amour et reconnaissance et non avec la muflerie qui caractérise les dragueurs invétérés !
La nuit fut dure, le lendemain matin, je suis allée courir pour faire le vide, mais rien n’y fit.Devant mon mari, je baissais les yeux lorsqu’il me regardait.Je me voyais encore assise sur lui en train de bouger, de prendre du plaisir avec ce sale type, mais je peux n’en vouloir qu’à moi même : j’avais été naïve, voilà tout...C’était bien fait pour moi, je suis mariée, je n’avais rien a faire avec cette homme, fut-il séduisant ou non.
Mon mari est parti l’après midi pour une réunion à Paris.L’après midi même, j’ai eu l’idée d’aller faire les magasins, j’avais envie de prendre l’air. Je suis montée à la chambre de Nicolas pour lui demander de venir avec moi, au lieu de rester devant ses jeux vidéo.Arrivée à la porte, des bruits m’ont interpellée, j’ai, doucement, baissé la poignée et ouvert la porte...
Nicolas se masturbait avec ma culotte portée hier soir, à la soirée.Malgré la surprise, je trouvais étrange qu’il regarde son portable avec l’autre main.Il disait : « quelle salope, quel salope... ! ». Je me demandais de qui il pouvait parler, sa main allait de plus en plus vite, ma culotte était vraiment malmenée.J’ai fermé la porte et je suis allée me réfugier dans la mienne.Plaquée contre la porte, j’imaginais, bien malgré moi, mon fils en train de s’adonner avec ma culotte, à quelque mètres de moi.J’ai remonté ma jupe et j’ai plongé ma main dans ma culotte. Je me suis caressée comme une folle pour jouir en silence avec la main devant la bouche.

J’ai entendu Nicolas dans le couloir prendre l’escalier.Il m’a appelée et je lui ai dit que je me changeais et je lui ai demandé s’il voulait venir avec moi, faire les magasins.Il a accepté. J’étais pourtant prête pour y aller, mais une sensation étrange, m’a forcée à réviser ma tenue du jour.
J’ai retiré ma jupe, ma chemise, ma lingerie. J’ai, ensuite, enfilé un collant ouvert de couleur chaire, une culotte rose transparente et le soutien-gorge du même modèle.J’ai enfilé des escarpins noirs, je me suis regardée dans la glace, prenant soin de rajuster mon collant et une robe bleu marine, arrivant à mi-cuisses.
Je suis descendue, Nicolas est resté bloqué sur ma tenue. Je tremblais, je m’étais, pourtant, jurée de ne plus rentrer dans son jeu, mais je ne sais pas..., le mal que j’ai eu, hier soir, à cause de Philippe, sans doute.Je savais que je plaisais à Nicolas, voilà tout !
Nous avons pris la voiture, la jupe remontée refit surface, Nicolas avait le bonheur de revoir ma culotte, mise en évidence par mon collant de couleur chair.
Nicolas bandait, je sais pas si vous pouvez vous rendre compte à quel point c’est difficile de conduire, avec quelqu’un qui vous regarde et vous désire à vos cotés.
Au magasin, j’ai hésité pour plusieurs tenues d’été... J’étais dans la cabine, alors que mon fils était à côté, attendant que je fasse les essayages.
J’étais juste en petite tenue lorsque je lui ai demandé de regarder si ma robe m’allait.Il a passé la tête entre les rideaux, il m’a trouvé très jolie et je lui ai dit d’attendre, que j’avais une autre robe que je voulais lui montrer.J’ai quittée la première, mais Nicolas est resté dans la cabine, me retrouvant en collant ouvert et toute ma lingerie devant lui.
Je n’osais pas lui faire face, il devait voir la raie de mes fesses à travers ma culotte. Devant son silence, je me suis décidée de me retourner. Ce n’est pas la réaction à laquelle je m’attendais, il regardait le sol d’un air triste !
« Nicolas... ? Ça ne va pas ? »
Il m’a répondu affirmativement et il est sorti, sans rien dire.
Dès ce moment-là, l’après-midi fut moins joyeux.Dans la voiture, pas un mot, Nicolas avait l’air d’être ailleurs.
Ce comportement a duré pendant 2 jours et à chaque fois que je lui demandais si ça allait, il me répondait à peine.Alors, mardi soir, avant que mon mari ne rentre, je me suis décidée de lui parler dans sa chambre.Il faisait ses devoirs.
« Chéri, on peut parler, tous les deux ?– Bien-sûr... ! »
Je me suis installée sur le lit, face à lui.Nicolas ne me regardait plus comme il avait l’habitude de le faire.
« Écoute, ça fait deux jours que tu fais la tête, qu’y a-t-il ?– Rien... , ce n’est rien, t’inquiète... !– Nicolas, je suis ta mère, on peut parler, tu sais !– Ce n’est rien, laisse-moi tranquille, s’il te plaît ! »
Je ne savais pas quoi lui dire et lorsque j’ai insisté, il s’est levé et criant de lui foutre la paix.Je suis sortie sans rien dire, la nuit même, j’aie pleuré dans mon lit.Mes deux filles loin de moi, un mari que me néglige et, maintenant, mon fils que j’ai toujours couvé, tout fais pour lui, me repousse.
Jean-Marie est encore rentré tard.Il est entré dans la chambre, je ne dormais pas. Sans le regarder, je me suis mise à lui parler alors que, d’habitude, je faisais semblant de dormir :
« Tu es encore rentré tard !– Mouais..., mais tu ne dors pas... ?– Non, non, je ne dors jamais quand tu rentres tard !– Pourquoi... ?– Pourquoi ? Parce que je m’inquiète toujours quand tu rentres de nuit, voilà tout ! »
Il fut choqué sur le coup et se mit à rire, croyant à une boutade.Ça a été plus fort que moi, je me suis retournée, face à lui et je l’ai fortement giflé.
« Mais tu es malade, qu’est-ce qu’il te prend ?– J’en est marre, tu entends, j’en ai marre que tu négliges ce que je pense pour toi, notre couple, ta famille, pour ta maudite boîte !– Ma boîte, mais c’est la meilleure, celle-là ! Et on fait comment pour vivre sans ma boîte, comme tu le dis ? Je te signale que madame ne travaille pas, il faut bien payer son train de vie !– Je te rappelle que c’est toi qui as voulu que j’arrête de bosser pour m’occuper de Claire !– Oh, ça va, je suis crevé, tu ne va pas me faire chier, maintenant, non ?– Tu sens l’alcool, tu préfères boire avec tes amis au lieu de rester avec ta famille, c’est bien ! »
Il a soufflé en se couchant et moi, je suis sortie de la chambre pour me calmer en buvant un verre d’eau.Je me suis assise sur le canapé, Nicolas est descendu :
« Maman ? Ça va... ?– Oui..., pourquoi... ?– Ben, ché pas, je vous ai entendus vous engueuler, papa et toi ! »
Là, mes nerfs ont lâché et j’ai éclaté en sanglots.Il me demandait ce que j’avais et s’est assis avec moi.Il m’a prise dans ses bras, jamais, il n’avait fait ça.
« C’est rien, mon cœur, ta mère est fatiguée !– Maman, arrête..., je ne suis plus un gamin ! »
Je me suis décidée à lui parler.
« Ton père n’est pas souvent là et je me sens souvent seule, voilà tout !– Mais je suis là, moi !– Je sais, mais toi, ce n’est pas pareil, tu es mon fils ! »
Nicolas a baissé les yeux.
« Qu’est-ce qu’il y a ?– Maman..., je dois t’avouer une chose :– .... ?– Maman..., je t’aime ! »
Je savais de quoi il voulait parler, mais n’étant pas prête à l’entendre, j’ai fait l’ignorante.
« Je sais, chéri, moi aussi !– Maman, je ne t’aime pas comme un fils, mais comme un homme !– Mais Nicolas, tu n’y songes pas, voyons ! »
Il m’a regardée, je cherchai une réponse dans son regard, il me fixait les yeux, puis il m’embrassa, d’un coup, sur la bouche.Son baiser n’avait rien à voir avec celui de Philippe, celui de Nicolas était plus doux, moins brusque.Je l’ai doucement repoussé, il ne m’a opposé aucune résistance pour ne pas m’offenser.
« Nicolas, chéri, on ne peut pas !– Je le sais, maman, mais je voulais avoir juste une unique fois, dans ma vie, un contact avec tes lèvres ! »
Je ne savais pas quoi dire devant une telle sensibilité.
« Maman, j’ai fait beaucoup de choses que jamais je n’oserais te dire... !.. Je suis séduit par toi, je sais très bien que mes pensées, envers toi, ne doivent pas exister... !.. Je dois t’aimer en tant que fils, mais c’est plus fort que moi. tu es une mère formidable, tu es si belle, papa a de la chance !– Nicolas, maintenant que l’on en parle, je dois te dire quelque chose, j’ai souvent retrouvé tes traces dans mes culottes... !.. Je t’ai vu, souvent, me regarder sous la jupe !– Tu le savais ? Je l’avais deviné..., mais pourquoi ne m’avoir jamais rien dit ?– Et que veux-tu que je te dise ? J’étais choquée, mais je ne savais pas quoi te dire, Nicolas ! »
J’étais donc en train de discuter avec Nicolas, nous avions enfin ouvert une parenthèse sur son attirance envers moi.
« Maman, je suis désolé, tu dois beaucoup m’en vouloir !– Chéri, surprise, oui je l’étais, de t’en vouloir non !– Ah ouais ?– Tu es un homme maintenant, d’aller vers la découverte de l’intimité d’une femme, ce sont des choses normales ! »
Je lui ai pris la main. Nicolas regardait mon corps. C’est quand j’ai suivi la cible de ses yeux que j’ai compris mon accoutrement. Ma robe de chambre en soie s’était ouverte et donc, ma chemise de nuit rose transparente se voyait au grand jour.Comme vous l’avez certainement deviné, ma poitrine se voyait au travers, ainsi que ma culotte blanche.Nicolas a compris que j’avais vu où il regardait, il est devenu rouge et a baissé d’un coup son regard.
« Pardon..., pardon, maman, je n’aurais pas dû ! »
Je n’ai rien dit, je le regardais, si timide, si innocent.
« Mon chéri, écoute moi !– Oui... !– Ce n’est pas de me regarder comme ça, qui est gênant, non..., c’est de la manière dont tu le fais... !– Comment ça ?– Tu ne peux pas regarder une femme avec un manque total de discrétion... !.. À chacun de tes regards, je m’aperçois que tu regardes, soit sous ma jupe, soit dans mon décolleté !– Et ça te gêne ?– À moi non, gros bêta, mais si tu fais ça à une fille que tu croises dans la rue, tu risques de prendre une belle gifle !– Oui..., ça c’est vrai ! »
J’ai souri, je le voyais bien embêté.
« Mais maman..., toi, c’est différent !– Pourquoi ça ?– Parce que toi, tu..., ben, je ne sais pas si tu va bien le prendre ?– Vas-y, dis-le-moi, je comprendrai !– Ben, autant tout te dire..., je fantasme beaucoup sur les femmes qui portent des bas et surtout, des porte-jarretelles, avec des bas, des talons et jupe... Sur mon PC, quand je regarde un film porno, je n’arrive à me masturber que devant une femme qui porte ça... !.. Et toi, ben, tu portes cela, d’où mon attirance envers toi, c’est comme ça que mes regards sur toi ont commencé, maman !– Je comprends, mais tu n’as jamais fantasmé sur d’autres personnes qui en portent ?– Oh que si, il y a ma prof, mais après l’avoir espionnée dans les toilettes, j’ai compris qu’elle ne portait que des collants !– E les collants, ça ne t’excite pas ? J’en porte aussi, tu sais ! »
Me voilà en train de lui demander si je l’exciterais si je portais des collants.La discussion avait pris une autre tournure sans le vouloir. Mon intimité commençait à me jouer des tours.Nicolas, les coude appuyés sur les cuisses, cherchant à s’expliquer, ne s’apercevait pas dans l’état qu’il me mettat.
« Un collant, oui, s’il y a une petite culotte dessous, mais moi, j’aime bien voir tes porte-jarretelles, j’aime bien voir la lisière de tes bas à la vue de tous quand tu t’assieds, d’ailleurs Franck aussi ! »
Franck est le mari de Claire, ma fille aînée. De l’entendre dire ça, m’a mis un coup dans mon orgasme qui montait à vitesse grand V. Il n’y avait plus de tabou dans notre discussion, ma respiration était plus courte.Nicolas savait des choses sur mon gendre, tel un majordome, il incarnait les yeux et les murs d’une maison, alors comme si ma vie en dépendait, je voulais en savoir plus sur ce sujet.
« Tu l’as vu me regarder ?– Ben..., en fait, oui..., beaucoup de fois, je crois qu’il a vu mes regards sur toi et qu’il a compris où je regardais... !.. Maman, pas beaucoup de femmes sont aussi élégantes que toi... !.. Pas beaucoup de femmes portent des porte-jarretelles, quotidiennement... !.. Une femme comme toi, c’est rare, ça se voyait davantage dans les années 70 ou 80 !– Oui ça, je sais, ton père me le reproche de temps en temps– Comment ça ?– Ben, il aimerait me voir avec des strings, des jeans qui me rentrent dans les fesses !– Oh non, maman, ne t’habille pas comme ça, tu es tellement belle en jupe-tailleur, avec ton porte-jarretelles et surtout, ta culotte transparente... !.. J’adore voir tes poils à travers ta culotte, je ne sais pas pourquoi, mais c’est tellement beau... !.. Tiens, pour te dire, il n’y a pas que moi qui pense comme ça, Franck se masturbe souvent dans tes culottes, quand il vient avec Claire à la maison ! »
Ses derniers mots m’ont achevée, jamais je n’aurais pu croire cela de la part de mon si gentil gendre.Je serrai les cuisses, de peur qu’il s’aperçoive de la tache sur ma culotte.De savoir que Franck fantasmait sur moi, tout mon corps en tremblait.
« Maman..., tu ne vas pas lui dire, hein ? – Non..., non, quand même..., mais je suis surprise, c’est tout !– Maman, j’aimerais te demander une chose ?– Oui, mon amour ?– Est-ce que je peux..., enfin..., je peux continuer à, enfin, tu vois, quoi... !– Nicolas, non vraiment pas, explique toi !– Bon..., je peux continuer à me masturber dans tes culottes, s’il te plaît ? »
Quelle question !D’habitude, un fils demande à sa mère de l’argent de poche, mais pas ce genre de choses.
« Nicolas, pourquoi vouloir faire ça avec mes culottes ?– Je ne sais pas, maman, c’est tellement doux et puis, ton odeur... !– Nicolas, cette odeur, c’est celle de mon intimité, voyons, c’est sale... !– Oh maman, je te promets que petit à petit, j’arrêterai de faire ça, mais pas pour l’instant, je t’en supplie !– Nicolas, mais..., ça ne se fait pas, tu es mon fils !– Et alors, Franck a bien le droit lui, non ? Pourquoi pas moi ? »
J’étais prise au piège, si je refusais à mon fils, je devais faire de même avec mon gendre et je n’avais certainement pas envie d’avoir une telle discussion avec lui, vis-à-vis de Claire.
« Bon d’accord, mais que mes culottes sales, tu as compris !– Merci maman et..., je pourrais continuer à regarder tes cuisses ?– Mais... !– S’il te plaît !– Bon, c’est d’accord, mais sois discret, compris ?– Merci maman, j’adore, en plus, quand tu écartes les cuisses pour me faciliter ma vue ou quand tu remontes ta jupe lorsque tu conduis, bon je vais me coucher ! »
Il m’a embrassée et il est monté.Mon fils savait..., mon fils savait que j’étais complice de ses regards !
J’étais gênée et pour lui, ça avait l’air si simple.
À ce moment-là, je ne savais plus si c’était moi qui étais trop stricte dans mes idées et le bon comportement.
Mon fils, mon gendre avec leurs membres dans mes culottes en train de se donner du plaisir.Ils bandent en ma présence, ils regardent mes cuisses et moi, rien que d’y penser, j’en ai la main dans ma culotte.
Au placard la moralité, mon entrejambe exige des caresses et maintenant, j’ai joui comme une folle en pensant à eux deux et je suis montée me coucher avec cette boule au ventre de me dire que ma situation, n’a rien de banal, bien au contraire.
Le lendemain, quand j’ai fait le ménage dans la chambre de Nicolas, je suis tombé sur son vieux portable. Celui-ci m’a fait tilt quand je l’ai vu.Il s’en était acheté un nouveau tactile, je peux pas vous en dire plus, je suis pas trop portable, tant que ça appelle (rires).
Je me suis rappelée que Nicolas se masturbait en regardant ce portable.J’ai décidé de regarder dedans, comme il ne s’en servait plus, j’ai pu regarder son passé par un code.Je me suis rendue sur vidéo, rien, mais sur ses photos, c’était une tout autre histoire.Il avait pris plusieurs fois mes cuisses en photos, je me suis reconnue.

bientôt la suite
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