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Prise devant mon mec

Chapitre 2

Prise par surprise à l'entreprise

Hétéro
Il m’a guidé jusqu’aux toilettes, où je l’ai suivi docilement. Pourtant, sa destination corroborait mes pires craintes ! Il a pénétré dans une cabine, mais cette fois je ne l’ai pas accompagné. Que voulait-il que nous fassions, tous les deux dans une cabine ?
— Viens juste deux minutes Alexia. Il faut qu’on parle au calme, tu crois pas ?
  J’ai hoché la tête de gauche à droite, trouvant enfin la force de lui résister. Je n’étais pourtant pas encore tirée d’affaire, puisqu’il a sorti sa bite de nouveau, qui était plus longue et dure que jamais.
— Regarde dans quel état tu m’as mis ! s’est-il défendu.— Je suis désolée.
  Ma voix était si gênée et timide qu’elle était à peine audible.
— Je veux bien que tu sois désolée, mais tu peux pas me laisser comme ça !
  Il a alors de nouveau pris ma main dans la sienne, puis il l’a posée sur son sexe. Là encore, je me suis contentée de regarder de tous côtés, paniquée à l’idée que quelqu’un puisse nous voir.
— Va-y, branle-moi ! m’a-t-il ordonné en soupirant déjà de plaisir. Je ne peux pas retourner comme ça au boulot, il faut que je dégonfle.— Mais je ne peux pas…
  Je ne savais même pas comment finir ma phrase, prude que j’étais. Et puis qu’est-ce que je voulais dire au fond ? Que je ne pouvais pas le faire jouir ? Mais n’avais-je pas provoqué son érection en le laissant faire ? J’étais désolée du malentendu, je ne voulais absolument pas que naisse une relation de nature sexuelle entre nous.  Je voulais lui faire remarquer, lui dire que j’étais désolée mais que je ne voulais pas aller plus loin, mais il semblait trop emporté par son désir pour m’écouter. Si je voulais avoir une discussion posée avec lui, il faudrait peut-être effectivement qu’il « dégonfle » avant. Mais je ne pouvais quand même pas le masturber !
— Dépêche-toi, imagine si quelqu’un arrivait… a-t-il insisté.

  Ses paroles m’ont fait paniquer. Il avait raison : que se passerait-il si quelqu’un arrivait maintenant ? De quoi j’aurais l’air ? Il fallait que je mette les choses au point tout de suite, je devais stopper cette situation malsaine.
  J’ai donc lâché sa bite, que je tenais de toute façon un peu malgré moi puisque sa main tenait toujours la mienne. J’ai ouvert la bouche pour parler, mais je n’ai pas su trouver les mots pour dire quoi que ce soit.
— Qu’est-ce que tu fais ? m’a-t-il demandé, le regard lourd de reproches.— Je… Je ne sais pas si on peut…
  Je me suis détestée pour cette maigre insurrection. « Envoie-le chier ! », me suis-je ordonnée. Mais j’en étais incapable.
— Alexia, tu ne vas pas tout arrêter au milieu quand même ? Ce serait vraiment pas cool…
  Il a repris ma main et l’a posé de nouveau sur sa bite.
— Va-y bébé, branle-moi bien. Dépêche-toi avant qu’on nous trouve…
  La panique m’a gagnée de nouveau, mais je n’ai pas osé tout arrêter maintenant. Il avait peut-être raison après tout : je n’avais pas le droit de stopper les choses au milieu du gué. J’aurais dû le faire bien avant, voilà tout. Maintenant je devais le faire jouir rapidement, avec ma main, puis nous aurons une conversation qui mettrait fin à tout.  Ce ne serait pas tromper Hugo, n’est-ce pas ? Je ne voulais même pas vraiment ce qui arrivait !  Cette idée en tête, j’ai cédé à ses avances et je l’ai masturbé de mon plein gré. Ma main allait et venait le long de sa bite, il soupirait de plus en plus fort. Il a posé ses mains sur mes épaules, puis il a fait glisser les bretelles de ma robe. J’ai essayé de les retenir mais il m’a seulement dit :
— T’arrête pas bébé…
  Il a continué à faire descendre ma robe, si bien que je me suis retrouvée avec le soutien-gorge apparent. Il a tenté de le déboutonner, mais j’ai de nouveau essayé de résister. Je n’allais tout de même pas me retrouver à moitié nue devant lui, il fallait que je mette au moins un point d’arrêt !  Mais il a de nouveau repoussé ma main en lâchant seulement un « chuuut » paternaliste, puis il l’a défait. Il l’a ensuite fait tomber à mes pieds, sans oublier de siffler d’admiration devant ma poitrine.
— Putain t’as des supers beaux nichons ! m’a-t-il dit en les attrapant à pleines mains.
  J’ai encore essayé de le repousser, mais il ne semblait pas comprendre.
— Qu’est-ce que tu fais ? m’a-t-il réprimandé. Je peux bien te caresser un peu les seins, depuis le temps que tu les agites sous mon nez !
  Là encore, la culpabilité m’a fait céder. Il arrivait à me convaincre que j’étais coupable de son désir, et je me demandais s’il n’avait pas raison. Et puis au point où j’en étais, le mieux était sans doute que je le fasse jouir le plus vite possible, je pourrais plus facilement le raisonner ensuite.   Mais vis-à-vis d’Hugo, avais-je le droit de masturber un collègue qui me caressait la poitrine à pleines mains ? Bien sûr que non ! Sauf que, sidérée et dépassée par la situation, je me disais que j’aurais dû y mettre fin plus tôt et qu’il était désormais trop tard. Et aussi, même si je ne me l’avouais pas vraiment, Nabil m’attirait beaucoup...
  Il a commencé à haleter de plus en plus fort pendant que je me posais encore un milliard de questions. J’ai bien compris qu’il n’allait pas tarder à jouir, surtout qu’il n’était pas du genre à cacher son plaisir, malgré le lieu où nous nous trouvions. Il fallait que j’en finisse au plus vite avant que quelqu’un nous voie !
— Ah putain Alexia c’est trop bon… a-t-il lâché en continuant à me malaxer les seins sans tendresse. T’es vraiment une sacrée cochonne, toi !
  Ses remarques me déchiraient le cœur. Non je n’étais pas comme ça, je n’avais juste pas su dire non à temps ! Que dirait Hugo s’il me voyait maintenant ? Il me quitterait, probablement. Et tous les autres, mes amis, ma famille ? Ce n’était pas moi ça !  Nabil me pressait les seins à me faire mal maintenant. Tout à son plaisir, il n’avait plus aucune pensée pour moi, hormis bien sûr les sensations que je pouvais lui procurer.
— Mets-toi à genoux… comme une chienne…— Non Nabil, je ne vais pas…— Quelqu’un pourrait arriver et nous trouver, m’a-t-il interrompu. C’est même presque bizarre qu’il n’y ait encore eu personne. Mais si tu te mets à genoux devant moi je vais cracher direct, c’est sûr !
  C’est en retenant à grand peine des larmes d’humiliations que je lui ai obéi. Je me suis agenouillée devant lui en continuant à le masturber, mon visage à hauteur de son sexe. C’était horrible pour moi de me comporter ainsi, comme une actrice porno, alors que j’étais d’ordinaire une fille si sage ! Je me sentais tellement avilie, à être ainsi rabaissée devant lui dans les toilettes de l’entreprise…
— T’es quand même une sacrée salope ! m’a-t-il encore dit avec méchanceté. Tu te rends compte, au bout de deux jours, te retrouver à genoux dans les toilettes à branler un collègue ? Faut vraiment être la dernière des puuuuutes… !!
  Il avait lâché ce dernier mot en même temps qu’un impressionnant jet de sperme brûlant qui est venu me percuter le visage à pleine vitesse avant que je ne puisse réagir. Je me suis donc retrouvée avec un filet de semence blanchâtre et gluante qui me dégoulinait de l’arcade sourcilière à la commissure des lèvres. C’est tout juste si je n’en avais pas reçu dans l’œil !  D’autres jets sont venus rejoindre le premier, mais j’avais orienté son sexe plus bas par réflexe, ce qui fait qu’ils m’ont « seulement » recouverts les seins. Cette fois, je ne suis pas parvenue à retenir mes larmes. Nabil n’en a bien sûr rien eut à faire.
— Quand même Alexia t’exagère ! a-t-il eu le culot de me réprimander. Me sauter dessus comme ça, aller me branler dans les chiottes… T’es vraiment une nympho !
  Il s’est un peu éloigné de moi pour faire un tour rapide des cabines.
— Merde ! s’est-il exclamé en revenant, y’a plus de papiers nulle part.
  Il s’est positionné devant moi, son sexe encore dressé juste sous mon nez.
— Nettoie-moi maintenant, je vais pas retourner bosser comme ça !
  Qu’entendait-il par « nettoyer » ? Il ne voulait quand même pas que je…  Rien qu’à imaginer prendre ce sexe dégoulinant de sperme dans ma bouche, j’en avais des hauts le cœur. Je n’avais jamais fait de fellation, même à mon copain quand il sortait de la douche ! Alors à un inconnu qui venait d’éjaculer…
— Dépêche-toi, imagine si quelqu’un entrait maintenant…
  J’ai visualisé rapidement la scène, avec moi à genoux au milieu de la pièce, la poitrine nue et maculée de sperme, le visage également souillé… C’était plus que je ne pouvais en supporter, alors je me suis penchée en avant et j’ai sorti timidement ma langue pour effleurer une petite giclée de sperme. Le goût m’a écœuré, j’ai trouvé ça répugnant. L’odeur me chatouillait désagréablement les narines tandis que la texture était pire encore, elle me donnait l’impression que la substance encore chaude et visqueuse me resterait collée dans la gorge.
— Vas-y bébé, nettoie-moi bien, m’a "encouragé" Nabil.
  J’ai donc persévéré, même si j’étais dégoûtée. J’ai léché avec plus de conviction la giclée que j’avais à peine entamée, mais j’ai peiné à l’avaler quand elle s’est retrouvée dans ma bouche. Pourrais-je tout absorber, alors que cette première lapée me dégouttait déjà autant ?  Je tenais son membre du bout des doigts, dégoûtée par cette énorme masse de chair brûlante, veineuse, si dure qu’elle me semblait dangereuse… Je me suis approchée doucement, puis j’ai pris le gland de Nabil entre mes lèvres.  C’était pire que tout ce que j’avais pu imaginer, moi qui m’imaginais déjà le pire. L’odeur était âcre, aussi obsédante que déplaisante. Le sperme qui lui maculait encore le sexe était suffisamment abondant et gluant pour me dégoutter au plus haut point. Je n’avais pourtant pas besoin de ça !  Le fait même de sucer un homme, à genoux devant lui, me répugnait. C’est pour ça que je ne l’avais jamais accepté avec Hugo, qui est pourtant tellement gentil avec moi. Alors avec Nabil ! Mais lui avait pourtant réussi à obtenir ce qu’il voulait de moi en seulement deux petits jours…  Je lui ai donc bien « nettoyé » la verge, comme il me le demandait, en avalant tout puisque je ne savais pas quoi en faire d’autre. Pendant que je m’appliquais docilement, pour ne pas dire servilement, il me caressait doucement les cheveux, en un geste qui aurait presque pu paraître tendre, mais qui m’évoquait plus la récompense qu’on offrirait à un chien obéissant.
  Quand enfin ce fut fini, Nabil s’est rhabillé et est sorti en me conseillant de me dépêcher. Paniquée, je me suis rendu compte que j’étais encore maculée de sperme… Je me suis précipitée dans les toilettes pour voir si, malgré tout, il n’y avait pas quelque chose pour m’essuyer.  Je suis restée bêtement scotchée devant l’entrée de la première cabine : le rouleau de papier toilette était bien en place, et presque plein ! Le salaud…  Je me suis essuyée à la hâte et je suis retournée travailler, la peur au ventre. Heureusement, personne ne m’a fait de remarque ni n’a dit quoi que ce soit sur notre longue absence. Seul Nabil a lâché un commentaire quand je suis revenue m’asseoir à côté de lui :
— Vivement demain…
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