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Prise de judo

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
— Bien joué Delphine !— Merci les gars !
J’ai gagné, je suis championne régionale junior de judo ! Tout le monde est autour de moi pour fêter ma victoire et je suis aux anges, moi la petite reine du club. J’ai seulement 18 ans et un grand avenir sportif devant moi.
— Va te changer, on va aller fêter ça en boîte !
Comme d’habitude, je m’exécute aux ordres de mon entraîneur, Laurent, il est grand, plutôt pas mal, la trentaine sexy quoi ! Je me déshabille puis rentre dans ma douche. Mmmh tout est bon, la satisfaction de la victoire, et cette eau chaude qui coule sur mon corps de jeune fille nue, je la sens, vicieuse, couler sur ma jolie poitrine, sur mon ventre et mon petit minou tout lisse. C’est peut-être l’excitation de la victoire qui me rend toute fébrile car je sens ma chatte s’humidifier. Je sors, me sèche, revêt mes petits sous-vêtements de luxe : string, soutien-gorge, bas, je me sens belle et attirante dans cette tenue, ainsi, je reste quelque temps à observer mon corps dans les glaces du vestiaire. Des chuchotements et rires étouffés m’interpellent soudainement. Je tends l’oreille et essaie de comprendre ce qui se passe derrière la porte. Tout à coup, la porte s’ouvre violemment !
— Alors la championne, on s’admire ?— Bande de cons, refermez cette porte !
Je tente en vain de cacher ma nudité et le rouge envahit mes joues, mais ma réponse n’est pas convaincante et cela se sent dans ma voix : tous ces regards lubriques me flattent et m’excitent énormément. Les gars rentrent et s’approchent de moi.
— C’est le lot de la reine, on se doit de "te célébrer" comme il se doit...
C’est Laurent qui a dit ça, je ne l’avais pas vu, il a traversé la foule d’hommes qui se dressent devant moi et se retrouve maintenant en première ligne, déboutonnant son pantalon. Je suis abasourdie. Son sexe et maintenant à l’air libre, dressé comme un roc. Il s’approche avec deux autres. Instinctivement je m’agenouille. Cette situation, j’en rêve depuis plusieurs mois et, si je ne me suis évidemment jamais confiée à ce sujet, quelque chose en moi m’aura trahi. Je me retrouve maintenant nez à nez avec le membre tendu de Laurent. La situation m’excite de plus en plus.
— Allez petite reine, suce-moi.
Sans me faire prier, je me penche pour avaler la bite que l’on me présente. Je me sens humiliée mais terriblement chaude. Je suis à genoux en train de sucer mon entraîneur devant 12 mâles qui n’attendent que de me sauter : je suis leur.
Je prends le sexe de Laurent dans ma main et commence à le branler tout en suçant son gros gland rouge d’excitation. Je sens des mains partout sur mon corps, quelqu’un m’a enlevé mon soutien-gorge, et je sens de grandes mains pétrirent mes seins, me caresser les tétons qui sont maintenant tous durs. Puis des mains descendent sur mes fesses et commencent à explorer ma chatte. Je sens trois doigts qui me pénètrent sans mal.
— Allez Delphine, petite chienne, fais-moi gicler maintenant !
Ces insultes me donnent des frissons, j’aime ça. Je suce maintenant entièrement le sexe de Laurent qui me traite de tous les noms. Il se cabre tout à coup et un long jet de sperme vient s’étaler sur mon visage et ma poitrine.
Un homme m’a mis à quatre pattes et l’on m’a enlevé mon string. Je sens des doigts aller et venir dans ma chatte et mon anus, un mec qui devait se branler se vide tout à coup sur ma croupe tendue à tous ces hommes. Mes reins se cassent, je me cambre au maximum : on vient de me pénétrer. Je commence à gémir de plaisir. Je ne saisis plus rien de ce qui se passe autour de moi. Des hommes se masturbent devant moi, une nouvelle bite se fraie un chemin entre mes lèvres, je la suce donc sans me faire prier. Le sexe se vide dans ma bouche, je parviens à peine à avaler ce liquide trop abondant qui coule aux commissures de mes lèvres pour descendre en petits ruisseaux sur mes tétons tendus. Des vagues de foutre viennent me fouetter le visage et le dos encore et encore. Je ne suis plus qu’un corps-objet souillé de sperme, trésor de leur plaisir et de leur vice. Cette sensation me plaît. Je m’abandonne à eux.
Alors que les queues s’enchaînent dans ma gueule de petite chienne, on se retire de mon con.
Je sens un autre membre frotter mon petit trou. « Des trois orifices que dieu t’a donnés, dans le moins lisse, je décide de m’abandonner » chante Gainsbourg, cet homme se laisse tenter lui aussi. Je n’ai jamais été sodomisée. Je ressens une légère appréhension, mais très vite la chose m’excite : soumise sodomisée... Très vite, l’homme se décharge en moi et je sens, après qu’il se soit retiré, sa semence dégouliner de mon anus puis le long de mon petit minou. Une fois tout vidé, je m’étale sur le flanc vidé de toutes pensées, baignant dans une mare de sperme. Quelques-uns ont pris des photos et Laurent s’est penché pour me glisser à l’oreille, tout doucement :
— Lave-toi ma toute belle. Maintenant, on va en boîte.
La suite de la soirée s’est déroulée normalement. Certains auront bien essayé de tenter leur chance d’une façon plus courtoise, mais je n’avais pas encore retrouvé toute ma lucidité. Ce qui s’était passé dans les vestiaires m’avait bouleversée, je me sentais changée. En réalité, des barrières s’étaient brisées en moi, me laissant devant un grand vide à combler, la luxure. J’étais devenue une assoiffée de plaisir charnel. À partir de cet événement, je n’ai plus pensé qu’à cela. N’importe quelle situation devenait pour moi un vecteur d’excitation.
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