CHAPITRE 1-Mon AnniversaireAnniversaireCette histoire a commencé le jour de mes 40 ans, le soir de mon anniversaire.Traditionnellement, avec mon épouse, l’autre organise une petite soirée pour celui qui fête son anniversaire, qui monte progressivement en érotisme, pour se terminer par une séance consacrée au plaisir de celui ou celle dont c’est la fête, et ce soir c’est mon tour.Avec les années, mon épouse connait de mieux en mieux mes fantasmes de soumission et d’exhibition, et chaque fois, un nouveau cran est franchi. Alors, depuis déjà quelques jours, j’attends avec à la fois impatience et anxiété ce qui va se passer.Comme d’habitude, les enfants sont absents, et je me suis préparé à la soirée, sans savoir vraiment comment elle va se dérouler, mais en imaginant déjà certaines choses. Ma femme sait que je ne déteste pas un peu de domination, et que j’aime attendre : la frustration me provoque de merveilleuses éjaculations.Donc, depuis 4 jours, je suis dans l’attente « sexuelle » de cette soirée.Un bon bain, rasé de près, j’ai mis un slip, un pantalon de toile et une chemise, et j’attends assis dans le salon, sans parvenir vraiment à me distraire avec un sudoku, tandis que ma femme œuvre en cuisine aux derniers préparatifs. Déjà dans le bain j’avais eu une érection, mais elle est un peu retombée depuis, le sexe serré dans mon slip.Et, surprise, la sonnette sonne, alors que nous n’attendons personne, en tout cas, je ne suis pas prévenu ; cela ne semble pas prévu car ma femme parait également très surprise. Je vais ouvrir :— Bonsoir Julien, et bon anniversaireC’est ma belle sœur Marie Laure.Je l’invite à entrer et prends son vêtement. Elle est superbe, dans une petite robe noire moulante, avec un décolleté un peu osé, et porte des talons aiguilles, j’adore. Ma femme vient lui faire la bise— Je suis venue partager la soirée avec vous, pour fêter les 40 ans de Julien, et voici mon cadeauElle me tend un petit paquet, en plongeant son regard dans le mien. Cela me rend mal à l’aise, elle le sait bien en s’en amuse. Depuis quelques années, c’est une attitude qu’elle a souvent envers moi, et qu’elle provoque régulièrement quand nous sommes en vacances, en me dévisageant jusqu’à ce que je baisse le regard. J’ouvre le paquet, sentant son regard posé sur moi, et je découvre un mini slip, d’un bleu brillant, métallique. Ma gène monte d’un cran quand elle me demande de l’essayer tout de suite, pour pouvoir l’échanger éventuellement.Pas le choix, je me lève et quitte la pièce. A la salle de bains je me déshabille, j’ai un début d’érection alors je me dépêche et enfile le string, il est plutôt étroit, il y a 2 sangles à l’intérieur. Une petite notice explique la présence des sangles : je dois les passer sous les bourses et serrer l’ensemble de mon sexe ; cela a pour effet de le faire ressortir encore plus vers l’avant. Bon, il va falloir aller m’exhiber dans cette tenue. Marie Laure a bien préparé son coup, ses yeux vont être braqués sur mon sexe, détaillé et scruté pour voir si le string me va.Je rentre le ventre et retourne au salon— Alors Julien, tu viens nous montrer comment ça va ? tu as bien serré la sangle ?Je dois m’exhiber ainsi, ce qui correspond exactement à mes fantasmes, comme si elle avait déjà deviné. Mon sexe est bien gonflé, jusqu’à la limite que laisse le string. Je serre les abdos, pour cacher un début de ventre. Elle me fait tourner sur moi-même, m’examine en détail, me demande de croiser les bras dans le dos pour mieux voir, bref, une exhibition en règle. — Je crois que cela te va bien, tu peux le garder, cela n’a pas l’air de te déplaireJe suis tellement mal à l’aise que je ne sais pas quoi répondre à part un merci hésitant— Pour me remercier et me faire plaisir, je voudrais que tu restes dans cette tenue toute la soirée, si ta femme est d’accord.Ainsi, elle prend la main sur la soirée, ne me laisse pas le choix, et ma femme troublée n’ose pas dire non. Je vais donc passer la soirée, devant ma femme, et surtout Marie Laure, dans cette tenue. Ce qui me géne encore plus, c’est que je veux essayer de garder le ventre rentré, pour cacher ce début de ventre. Marie Laure m’observe et me détaille en permanence, je sens ses yeux sur moi, et chaque fois que cela se présente, elle me dévisage, plante ses yeux dans les miens ; je me sens en position d’infériorité, presque nu devant elle et c’est toujours moi qui détourne le regard. Et le pire, c’est que cela m’excite, je sens mon sexe gonfler, j’espère que Marie Laure ne se rend compte de rien, mais le string ne permet pas de cacher grand-chose.— Ca va Julien, tu passes une bonne soirée ? Encore bon anniversaire.Et nous prenons l’apéritif, puis le repas. Ma femme a mis les petits plats dans les grands, la soirée se passe bien, le repas est délicieux, et il y en a pour trois, à tel point que je me demande si c’est elle qui a prévu la venue de Marie Laure ou pas, pour m’imposer cette exhibition délicieuse. Au milieu des discussions, Marie Laure entretien me tension « sexuelle » avec des commentaires sur ma prise de ventre, le manque d’exercices de musculation, des commentaires sur mes seins, et même mes tétons, propose à ma femme de m’épiler le torse.A la fin du repas, tandis que je débarrasse la table sous leurs regards, la discussion s’engage entre elles sur un nécessaire programme de musculation, pour redonner à mon torse un état acceptable. Travail des pectoraux et des abdos principalement. Marie Laure propose à ma femme de s’en occuper et de me coacher. Ma femme n’est pas contre, mais explique qu’il faut une surveillance, et un suivi assez rapproché, pour éviter que les bonnes résolutions du départ ne fassent long feu.A mon retour, dans le salon, Marie Laure prend la parole :— Julien, vient t’assoir ici, sur le pouf, devant nous ; très bien, écarte les jambes et pose les genoux au sol, de chaque coté du pouf, mets les mains dans le dos et écoute moi. Nous avons constaté que tu prends tu ventre, et que tu te laisses aller. Et comme tu ne fais rien pour y remédier, nous avons décidé de mettre en place un programme de musculation spécifique, et c’est moi qui suis chargée de la mise en place et du suivi.Une nouvelle fois, je n’ai rien à dire, et Marie Laure a trouvé mon point sensible, exhibé devant elle, elle me soumet petit à petit, elle s’amuse du trouble qu’elle fait monter en moi, le sexe gonflé dans le string.— Pour commencer, je vais tester tes capacités d’exercice pour préparer ton programme. Premier exercice, 10 pompes, pieds joints sur la pointe, la tête orientée vers moi, et à chaque pompe, le string, et les lèvres doivent toucher le sol.Et tandis que je commence l’exercice, elle approche son pied, de telle sorte que la pointe de sa chaussure se trouve à l’endroit où mes lèvres doivent toucher le sol. Ainsi, je fais l’exercice, alors que mon sexe touche le sol, chaque fois que mes lèvres touchent la pointe de son escarpin. Puis elle ne me laisse pas le temps de récupérer.— Second exercice, abdos : tu passes les jambes sous mon fauteuil, pour bloquer les genoux, tu croises les mains derrière la tête, et tu relèves le buste vers moi. A partir de la troisième remontée, elle me donne un coup de poing dans les abdos, ensuite ce sont les pectoraux qui encaissent, et pour les 2 dernières, elle me pince violemment les tétons.— Troisième exercice : tu te places en position de planche, sur les coudes et la pointe des pieds, jambes écartées. Quand je dis repos, du descend au sol, quand je dis en haut, tu te mets en tension à l’horizontale.J’obéis ainsi à ses ordres, 10 sec en tension, 10sec de repos, 30 en tension, 5 en repos, etc… elle joue avec ma résistance, avec des temps imprévus, elle se lève et tourne autour de moi. Pendant que je suis en tension, elle agace de la pointe de la chaussure un téton, ou bien donne un petit coup de pied dans mon sexe. Elle m’épuise petit à petit et vient à bout de ma résistance, je n’en peux plus, alors elle me demande de m’assoir sur le pouf ; je reprends la position demandée tout à l’heure, et je reprends doucement mon souffle.— Bon, j’en sais assez pour aujourd’hui ; demain je t’envoie par mail un programme journalier. J’insiste, à faire chaque jour, sans faute ; tu auras tous les détails. Julien tu me raccompagnes, je vous laisse finir la soirée tous les deux.Après avoir fait la bise à ma femme, en lui promettant de bien s’occuper de mon coaching, je l’accompagne, et, au moment de franchir la porte, elle saisit mes boules à travers le string et les serre— On va bien s’amuser tous les deux ; et je t’interdits de te branler ; si tu veux jouir, arrange toi avec ta femme.J’ai du mal à retrouver mes esprits Je vais retrouver ma femme au salon. Marie Laure m’a chauffé à blanc, je n’en peux plus, voilà bientôt 2 h que mon érection va et vient, je n’ai plus qu’une envie, de jouir. Ma femme me demande de me mettre nu et s’empare de mes tétons ; je démarre au quart de tour, mon sexe se dresse au maximum, et d’un coup, elle le décalotte complètement, ce qui le tend encore plus, si c’était possible. Puis, elle m’attache les mains dans le dos, Elle me place sous une cordelette qui pend du plafond, et qui se termine par 2 pinces qu’elle fixe sur mes tétons, puis tend la corde jusqu’à ce que je sois sur la pointe des pieds, et place une chaise entre mes jambes, et termine en disant : débrouilles-toi pour jouir.Elle va se servir une coupe de champagne et viens s’installer devant moi pour profiter du spectacle La seule solution est de solliciter mon sexe sur le dossier de la chaise, mais à chaque fois cela tire sur mes tétons. Puis elle saisit mes boules et les malaxe. J’ai trouvé une position, le sexe posé en haut du dossier, exactement à l’endroit du prépuce, et j’ondule pour faire monter l’orgasme tandis que ma femme me travaille les testicules, et les tétons étirés par les pinces. Je finis par éjaculer. Ma femme décroche mes tétons et je m’effondre au sol, épuisé.
