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La prise en main de Julien

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Chapitre 5-Vacances en Bretagne
Comme chaque année, nous passons 2 semaines de vacances en Bretagne, dans la maison familiale que nous occupons à tour de rôle avec les autres branches de la famille. Cette maison appartient depuis plusieurs générations à la famille de ma femme, et elle y a passé toutes ses vacances, depuis toute petite, avec ses frères et sœurs. Vous comprenez qu’il est difficile, dans ces conditions, de refuser à ma belle-sœur, Marie Laure, de venir partager la maison, surtout qu’elle est seule depuis son divorce. Me voici donc une nouvelle fois piégé, et cette fois pour deux semaines non-stop, par Marie Laure. L’ascendant qu’elle a pris sur moi me laisse craindre une période délicate, et je me doute que cela ne sera pas des vacances de tout repos, en tout cas pour moi. Marie Laure est arrivée avec sa voiture, en même temps que nous, et tandis que nous commençons à vider nos voitures respectives, elle s’adresse à ma femme :
— Si tu veux, je te propose de vider ta voiture ; et nous rangerons toutes les affaires avec Julien, cela te permettra d’aller faire les courses.— Bonne idée.
Si tôt dit, si tôt fait, nous vidons la voiture, et la voici partie pour au moins une heure : Marie Laure n’aura pas mis 10 minutes pour se retrouver seule avec moi. Elle s’approche alors de moi, en me fixant dans les yeux :
— Alors Julien, as-tu fait tes exercices aujourd’hui ?
Elle sait parfaitement que non, puisque nous sommes partis tôt pour rouler presque toute la journée
— Non.— Pourtant tu m’avais promis une fois par jour. Allez, va te mettre en tenue, et fais-le tout de suite.
Je monte mon sac dans ma chambre, et je me déshabille pour enfiler le string. Encore une fois, je suis obligé de vite serrer mon sexe dans le slip avant qu’il ne gonfle, car je sens déjà l’érection arriver, et je retourne vers elle.
— Bon, aujourd’hui tu vas faire tes exercices dehors, là, dans l’herbe, mais avant, va me chercher un verre d’eau avec des glaçons, je vais regarder tes muscles travailler au soleil en me rafraîchissant.
Quand je reviens avec le verre, au lieu de prendre le verre, elle attrape un tabouret et le place devant elle et me dit :
— Viens t’asseoir devant moi.
Je me place assis devant elle, les genoux écartés par les siens, avec son verre dans une main, et le bol de glaçons dans l’autre. Elle prend alors un glaçon dans chaque main.

— Regarde-moi bien dans les yeux.
Alors que je crispe mes pectoraux, tandis qu’elle frotte lentement. En silence, elle joue avec mon corps et voit mon trouble s’installer ; par moments, je ne peux m’empêcher de frissonner, de bomber le torse :
— Tu aimes ça, hein ?
Je ne dis rien, mais elle a raison ; j’aime ces sensations.
— Dis-le que tu aimes ça.— Oui, c’est vrai, j’aime ça.
Elle glisse alors 3 glaçons dans le string, un, derrière, qui descend vers mon anus, et deux, devant, au niveau des bourses, un, de chaque côté. Allez, vas-y pour tes exercices. Et pendant que je m’exécute devant elle, elle regarde mes muscles travailler, et je sens les glaçons fondre et l’eau froide couler. De temps à autre, elle intervient, me sollicitant par surprise avec ses escarpins, dans les bourses, les abdos ou les seins. Je termine en sueur. Elle me demande alors de prendre une position de présentation, à genoux, fesses sur les talons, genoux écartés et mains en appui, sur les chevilles. Elle ouvre alors l’eau du tuyau d’arrosage, froide évidemment, et entreprend de me rincer, insistant toujours sur les mêmes parties, seins, abdos et string. Puis elle dispose une pince à linge sur chacun de mes seins : tu vas rester ainsi au soleil en attendant de sécher, comme à l’habitude, après une forte érection, je n’ai pas pu jouir et mon sexe dégonfle progressivement
Et au bout de 10 min, allez, va te changer, ta femme va arriver. Il va falloir que je parle avec elle pour qu’elle gère tes éjaculations. Chapitre 6- visite :Les vacances se passent, et chaque jour Marie Laure choisit le moment de mes exercices. Une fois le matin, pendant que ma femme et elle prenaient leurs petits-déjeuners, d’autres fois pendant qu’elles prennent l’apéritif que j’ai dû leur servir, ou encore pendant qu’elles prennent le café, ou le thé. Quand elles sont là toutes les deux, c’est plus soft, mais quand Marie Laure est seule, il y a toujours plus d’attouchements, de sollicitations. Les bains de mer sont des moments particuliers. Ma femme, sans doute à la demande de Marie Laure, choisit ce moment pour me branler et me faire jouir. Je dois donc l’accompagner une fois par jour, et cela se termine chaque fois par un orgasme dans l’eau. En revanche, quand Marie Laure me demande de l’accompagner au bain, c’est un exercice de plus vêtu du string, et elle me pose les pinces aux seins, la durée du bain. Aujourd’hui, alors que je reviens des courses vers 11h, je découvre Marie Laure avec deux autres femmes.
Marie Laure me les présente, Brigitte et Blandine. Ce sont des amies qui viennent d’arriver et vont passer la journée avec nousLa plus jeune est très sexy, 30 ans environ, et plutôt allumeuse ; la seconde, plus âgée, avec un regard profond qui me trouble est un peu hautaine ; je me sens observé et détaillé de la tête aux pieds. En même temps, je me demande ce qu’elles savent de l’emprise que Marie Laure exerce sur moi... La plus jeune porte un petit haut qui présente les seins plus qu’il ne les cache, et un short qui met en valeur de belles jambes, elle est chaussée de talons aiguilles. La seconde très BCBG.
— Pendant que je prépare le déjeuner avec ta femme, vous avez le temps d’aller prendre un bain, Julien va vous montrer ; et tâche d’être gentil avec elles, tu es à leur service.
Sa remarque ne me dit rien de bon ; je vais passer mon maillot de bain, attrape trois draps de bain, et je reviens, en maillot de bain et tee-shirt.
— Tu comptes de baigner en tee-shirt Julien, me demande Brigitte ?— Allez, enlève ça, qu’on voit tes pectoraux, me chuchote Blandine à l’oreille.— N’oublie pas que tu es à notre service, alors, tu obéis, ajoute Brigitte en me fixant.
J’ai un peu l’impression de m’exhiber et de subir une inspection quand j’ôte mon tee-shirt, et nous voilà partis pour la plage. Après avoir déposé nos serviettes sur une zone de sable, elles se déshabillent. La plus jeune est une vraie bombe, son bikini met en valeur sa silhouette, son corps est musclé, je n’arrive pas à détacher mon regard,Eh bien Julien, je crois que je vais me baigner seins nus ; et elle enlève prestement le haut, libérant deux petits seins magnifiques, me troublant encore davantage. Pendant ce temps, la seconde, plus en chair, se retrouve dans un bikini-léopard également très sexy, mettant en valeur une poitrine arroganteEt nous entrons dans l’eau, toujours un peu difficilement, car elle n’est pas bien chaude. Une fois dans l’eau jusqu’au torse, Brigitte s’approche :
— Regarde-moi dans les yeux au lieu de mater mes seins, alors Julien, Marie Laure m’a dit que tu aimais les exercices physiques.— Que voulez-vous dire ?
Blandine est arrivée dans mon dos et saisit une de mes mains qu’elle remonte dans mon dos, elle me prend par les cheveux et tire ma tête en arrière
— Mais tu vois très bien, Julien.— Alors, on t’a préparé une petite épreuve, dit alors celle qui se tient devant moi, en se saisissant de mes tétons pour les pincer et les tordre, tandis que derrière, elle a saisi ma seconde main, m’obligeant à bomber le torse. Après un moment de ce traitement, j’ai une érection qui commence à bien se manifester.— Marie Laure nous a dit que tu aimais obéir, alors on va voir ce que tu es capable de faire ; maintenant, donne-moi ton maillot de bain.
Ne sachant pas trop quoi faire, alors qu’elles me libèrent les bras, je les regarde, passant de l’une à l’autre ; elles attendent en me fixant et après quelques hésitations, je finis par obéir. Manifestement, Marie Laure leur a parlé de moi.
— C’est pas trop tôt, on a failli attendre, on te le rendra après le bain.— Maintenant, tu décalottes complètement ton sexe,— Mais.— Pas de mais, dépêche-toi, on va pas y passer la nuit.
Au point où j’en suis, je ne peux plus reculer, et il faut dire que la situation m’excite.
— Et regarde-moi dans les yeux pendant que tu décalottes...— Très bien, mets tes mains dans le dos, on va t’attacher les coudes, et moi, j’ai un petit cadeau pour toi ; tu vois ce collier ?
Elle me montre une chaîne, avec une pince à chaque bout
— C’est pour tes seins.
Et c’est donc avec le sexe maintenant en complète érection, et décalotté, les coudes tirés en arrière, et les tétons pris dans les pinces de la chaîne que nous nageons pendant une dizaine de minutes. L’épreuve est assez physique pour moi, puisque mes mains ne me sont d’aucune aide ; alors, de temps en temps, je nage sur le dos. Alors que nous revenons progressivement, dans une zone à l’écart des baigneurs, nous reprenons pied et elles avancent jusqu’à avoir de l’eau à la ceinture. Pour rester discret, je reste à genoux dans l’eau.
— S’il vous plaît, vous pouvez me détacher ? Je voudrais remettre mon maillot.— Tu bandes Julien ?— Oui.— Alors comment vas-tu faire pour le remettre ? Tandis qu’elle me détache les coudes.— Pour avoir ton maillot, tu vas maintenant te branler.— Mais.....
Alors là, je trouve qu’elles sont gonflées ; l’une d’elles passe derrière moi, tirant ma tête en arrière en me prenant par les cheveux. Elle me domine de sa hauteur, et plante ses yeux dans les miens.
— Ecarte les genoux ; et aller, vas-y, applique-toi, on te regarde.
Je n’ai pas trop le choix, alors je commence à me branler ; la jouissance n’est pas loin, car cela fait maintenant près d’une demi-heure que je bande, les seins stimulés par les pinces.
— Interdiction de jouir.— Et interdiction d’arrêter de te branler.
Alors que j’approche de l’éjaculation sous leurs regards amusésSTOP
— Elles me laissent au bord de la jouissance, dans une frustration maximale.— Eh bien, cela a été plus facile que je pensais.— Oui, il ne s’est pas beaucoup rebellé.— Il obéit quand même pas mal, sûr qu’il y prend du plaisir.
Elle enlève les pinces à seins, et met la chaîne autour de mon cou, en accrochant les pinces l’une dans l’autre
— Si tu veux ton maillot, va voir la dame avec le chapeau de paille là-bas.— Si tu lui demandes de s’occuper de tes seins, elle devrait te donner ton maillot ; tu as bien entendu ? Demande-lui de s’occuper de tes tétons.— On t’attend sur la plage.
A quelques mètres de nous, je n’avais pas remarqué cette dame qui n’a rien manqué de la scène, elle a aussi de l’eau jusqu’à la ceintureJe m’approche, complètement nu, toujours à genoux pour ne pas dévoiler mon sexe en érection, toujours décalottéBonjour, Madame, je voudrais savoir si vous n’auriez pas mon maillot de bainElle me regarde, silence complet, je répète la question toujours sans réponseJe m’entends alors dire : Bonjour, Madame ; pourriez-vous vous occuper de mes seins ? A genoux devant cette femme inconnue. Je me sens humilié, mais pas le choix. Et que dois-je faire à tes seins ? Vous pouvez les solliciter et les triturer, selon votre bon vouloir
Et elle ne se fait pas prier, s’empare de mes tétons, et les malaxe en règle, ravivant mon érection. Regarde-moi. Encore une fois, je me soumets, jusqu’à ce qu’elle relâche son étreinte, les tétons en feu, et le sexe tendu. Je te donne ce maillot de bain, mais tu me promets d’abord de venir à 16h, à 24 avenue du général Leclerc. Je vous le promets, Madame. Elle me donne alors mon maillot, mais je dois attendre que l’érection baisse avant de l’enfiler et de rejoindre Brigitte et Blandine qui m’attendent sur la plage pour aller déjeuner.
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