Cela fait plusieurs jours que j’ai vu mon maître pour la dernière fois lors de ce repas chez lui. Il est absent pour la semaine et nous devons nous revoir samedi soir chez moi. Mais nous nous écrivons tous les jours, que ce soit amical ou sexuel. Il peut, en un seul message, me faire couler ma chatte. Je me sens transformée, moi la jeune fille sage et peu portée sur le sexe, je me retrouve chaque jour avec mes sous-vêtements pleins de mouille et une envie folle de jouir. Mais c’est la seule règle qu’il a fixée pour l’instant, interdit de me masturber... Et c’est très dur car il joue à m’exciter. Mais au-delà du maître et amant, j’ai trouvé avec lui un ami, un confident, je suis à l’aise pour lui parler de tout. Je ne l’ai vu que deux fois, et même si on s’écrit beaucoup, on ne se connaît pas encore à fond et pourtant je ressens déjà une dépendance à lui, une sorte d’appartenance mais en douceur. Même s’il est parfois autoritaire ou très pervers dans certains de ses messages, le reste du temps il est galant, respectueux et bienveillant. On est jeudi, il est 20h, je suis en lingerie et peignoir léger sur mon canapé, je regarde la télé en attendant de me faire à manger. Soudain, un SMS de Romain... "Rdv 21h au restaurant au coin de la rue, habille-toi avec un chemisier blanc et pas de sous-vêtements"Ce SMS me surprend vu qu’il ne devait pas rentrer avant samedi matin, mais je suis très heureuse de le revoir plus tôt que prévu... Mais en le relisant, je comprends la tenue qu’il me demande de porter. Et là mon sang se glace... Si je mets un chemisier blanc sans soutien-gorge, tout le monde va voir mes gros seins au travers et mes tétons sensibles vont pointer en permanence... Non je ne peux pas faire ça. Je réponds, d’accord pour le rendez-vous, et je vais me doucher et me préparer... Son ordre vestimentaire me trotte dans la tête... Au moment de m’habiller, je choisis une jupe qui s’arrête aux genoux, sans culotte, un chemisier blanc, mais je mets un soutien-gorge blanc en dentelle fine, je trouve déjà qu’on le voit trop au travers du chemisier... Mon reflet dans le miroir me fait rougir, j’enfile mes talons aiguilles et je file vers le restaurant qui est à 200 mètres. Arrivée devant le restaurant, j’aperçois Romain assis à une table, j’entre et viens devant lui, il se lève, m’embrasse tendrement et passionnément, puis m’invite à m’asseoir. Je retire mon manteau et je m’assois face à mon maître. Mais directement son regard change et se durcit. — Je croyais t’avoir un ordre pour ta tenue...— Oui mais je ne peux pas, tout le monde aurait vu mes seins...— C’était le but ma soumise. Et en bas tu as mis une culotte ?— Non maître. — Prouve-le... Romain fait volontairement tomber sa serviette et se glisse sous la table pour la ramasser, je comprends tout de suite, j’écarte les jambes pour lui prouver que je suis nue sous ma jupe, heureusement la nappe cache la vue aux autres tables. Romain ressort de sous la table en reprenant sa serviette et me jette un regard rieur. Même si je me sens terriblement gênée, il me fait sourire... puis vient cette phrase... — Apres le repas on ira chez toi, et puisque tu as désobéi tu seras punie... — Je vous demande pardon maître, je n’ai pas eu la force d’obéir. — Tu apprendras, je vais te punir et te faire progresser.-... d’accord maître, désolé de te décevoir. Le repas se poursuit de façon normale, amicale et joyeuse. Même si mon maître joue parfois avec son pied sous la table pour me faire écarter les jambes. Puis nous rentrons chez moi en nous tenant par la taille, comme un couple, cet homme me rend heureuse...A peine entrés chez moi, Romain me plaque contre le mur et m’embrasse, il prend possession de ma bouche. Il retire mon manteau, mon chemisier, sort mes seins du soutien-gorge... En dix secondes je suis moitié nue et surtout ma chatte commence à couler de cyprine. Ses mains serrent mes seins, commencent à tirer sur mes tétons, giflent mes seins... Il sait si bien mélanger cette légère douleur à l’excitation... Il soulève ma jupe et enfonce direct, d’un coup sec deux de ses doigts dans mon vagin déjà trempé. Même si c’est brutal, je manque de jouir directement. Mais mon maître retire ses doigts et relâche son étreinte.
— Déshabille-toi, et mets-toi en appui sur la table pour me présenter ton cul de salope en chaleur. Je vais te fesser, tu comptes à haute voix, 20 coups, si tu te trompes en comptant on repart à zéro. C’est compris ? — Oui Maître. Je me mets en position, j’ai confiance en lui mais j’ai peur de la douleur et en même temps mon sexe ne cesse de mouiller... Je ne contrôle plus mon excitation, mon maître me fait mouiller rien que par sa présence et l’attente de ce qu’il va me faire. — AAHH La première claque vient de tomber sur ma fesse droite et Romain ne fait pas semblant. — Tu n’as pas compté, on recommence à zéro— AAHH, Une ! — DEUX !!— Putain ! Trois ! Les fessées s’enchaînent fortement, mon cul doit rougir comme jamais, c’est une vraie punition, j’ai mal, je deviens vulgaire, je crie mais je me concentre pour compter. Sincèrement j’ai mal, je ne connais pas la fessée en dehors d’une pauvre claque sur les fesses en levrette. Mais malgré ça je sais que je mouille toujours. Mon maître va jusqu’à vingt comme prévu. — C’est bien ma chienne, tu as encaissé ta punition, tes fesses sont très rouges mais ta chatte est encore pleine de mouille...— Merci maître de m’avoir punie. J’ai dit ça sans même réfléchir, ça me paraît logique, je suis inconsciemment une soumise accomplie. Avant que je me redresse, Romain a sorti son sexe déjà très dur et me l’enfonce d’une seule traite dans le vagin, heureusement que je suis pleine de mouille, car même là j’ai l’impression de me faire déchirer. — Oh putain elle est grosse ta queue maître, tu me défonces.— Oui et j’adore ça, ouvrir ta chatte étroite. Mon Maître me baise sans se retenir, pour la troisième fois son gros sexe me dilate le vagin et je ne m’y habitue pas, je ne m’en lasse pas, même si le début de la pénétration et douloureuse, très vite le plaisir monte en moi. Il me remplit la chatte, il frappe au fond, il me baise vraiment comme une poupée gonflable mais je prends un pied phénoménal. Je sens mon orgasme arriver très vite et Romain continue de me labourer le vagin avec son sexe très large. Chaque coup de reins qu’il me donne frappe mes fesses déjà douloureuses — Je vais jouir, OH ça vient maître, putain tu me défonces et je vais jouiii... L’orgasme me traverse le corps et me coupe le souffle et la voix. Il continue de me pilonner à fond, j’ai mal aux fesses, au vagin mais mon sexe coule littéralement... Au bout de longues minutes à me faire baiser sans retenue, et j’adore ça, mon maître éjacule en moi, son sperme brûlant me remplit le vagin... Et c’est tellement bon... Il se retire en laissant échapper le sperme et ma mouille sur le carrelage. — J’adore ta chatte ma soumise, j’espère ne pas t’avoir fait trop mal. — Tu as été parfait, mon maître... J’aime sa bienveillance alors qu’il vient de me labourer le vagin pendant un quart d’heure... Nous allons nous doucher tout en douceur et pour la première fois... Nous dormons ensemble. Je suis heureuse.
