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Prise en main par mon voisin

Chapitre 11

SM / Fétichisme
En me réveillant ce samedi matin, je pensais passer un week-end calme avec Jennifer, du sexe comme toujours, mais je n’avais rien prévu de fou, nous sommes plus calme depuis une semaine, depuis notre soirée avec Sarah et Marie. A mon réveil, Jennifer n’est plus dans le lit, il est vrai que j’aime faire la grasse matinée. Je me lève et je vais au salon. Et là, je m’attendais à tout sauf à ça. Je découvre ma chérie, nue, à genoux, mains dans le dos, et me regardant arriver avec un petit sourire taquin. Je vois le plaisir dans son regard, le plaisir de me surprendre. Je regarde son corps que j’aime tant, son ventre plat, ses belles cuisses, ses longs cheveux bruns, et ses seins bien ronds, cette petite coquine a déjà les tétons qui pointent.
— Bonjour ma soumise, bien dormi ? Je vois que tu t’es réveillée avec certaines envies...— Bonjour maître, oui j’ai très bien dormi, et toi ? J’ai des envies très particulières depuis une semaine, je voulais attendre ce week-end pour le faire. — Bien dormi et une magnifique vue au réveil, tu es canon comme toujours. Je t’écoute, quelles sont tes envies ? — Voilà, je veux que tu m’utilises sans retenu, mais vraiment, je sais que tu m’aimes et que parfois tu te retiens dans les mots et surtout dans les gestes, que tu ne veux pas me sodomiser trop fort, bien me préparer, ne pas me gifler, que les coups de ceinture ne marquent pas trop mes fesses... Je ressens ton amour pour moi dans la domination et ça me plaît. Mais l’expérience du week-end dernier avec Sarah et Marie m’a plu, j’ai aimé être humiliée et brutalisée plus que d’habitude. Je sais que ça ne changera rien à notre amour, qu’après tout ça j’aurais des câlins. Baise-moi, fais-moi mal, souille-moi, utilise-moi autant que tu veux. Je connais le mot de sécurité si ça va trop loin, tant que je ne le dis pas, c’est que tu peux y aller. — Eh bien je ne m’attendais pas à ça, c’est vrai qu’inconsciemment, je me retiens parfois. Mais d’accord, à partir de maintenant, la seule limite sera ton mot de sécurité, on est d’accord ? — Oui maître.

Mon sexe a déjà commencé à gonfler dans mon boxer. Je vais m’assoir à table devant le petit-déjeuner.
— Puisque tu veux être une traînée, tu vas te caresser la chatte et doigter ton cul, dès que je finis de déjeuner, je te sodomise, tu as le temps de mon repas pour te préparer.— Oui maître.

Jennifer s’installe sur le canapé, jambes grandes ouvertes et se caresse ouvertement devant moi. Par jeux, j’essaie de manger le plus vite possible et avaler mon café, quitte à me bruler un peu. Je mets à peine 5 min à déjeuner. Je rejoins très vite Jennifer. J’ai bien l’intention de ne pas la ménager.
— Installe-toi en levrette, cambre-toi bien et écarte tes fesses avec tes mains, offre ton cul. — Je veux que tu forces même si j’ai mal, je suis prête.

Je retire mon boxer, ma queue est tendue, je crache sur son anus, pose mon gland et je pousse sans arrêter, jusqu’à entrer en entier. C’est très serré, j’ai beau avoir l’habitude de la sodomiser, d’habitude elle est mieux préparée et lubrifiée. Je me sens à l’étroit, le gland serré par son cul. Au moment de la pénétration, Jennifer ouvre la bouche en grand, mais aucun son ne sort. La douleur et le plaisir lui coupent le souffle. Ce n’est que lorsque je commence des va-et-vient profonds et brutaux, que ma soumise s’exprime.
— AAHH putain !! Tu me casses le cul ! OHHH je ne pensais pas que tu m’ouvrirais autant ! J’ai l’anus en feu, mais continue, je suis à toi, tape autant que tu... AHHH !


Je donne des coups de reins violents, je claque ses fesses, je me lâche comme jamais avec elle. J’ai mal au sexe par le manque de lubrification, mais je veux défoncer son cul comme elle veut. Je sors parfois mon sexe et entre d’un coup sec, je la pénètre lentement, mais que par des gros coups de reins. Jennifer ne fait plus que couiner, jurer, ses yeux et sa bouche s’ouvre en grand à chaque fois que mon sexe lui ouvre le cul. Je sens qu’à ce rythme, je ne vais pas tenir longtemps, j’ai l’impression que son anus se resserre de plus en plus sur ma bite dure comme du bois. Je sors mon sexe, attrape les cheveux de ma soumise et tire dessus.
— Mets-toi à genoux et ouvre la bouche, suce-moi salope, et applique-toi, je veux que tu ailles loin dans ta gorge.
Je ne lui laisse pas le temps de répondre, j’enfonce mon sexe dans sa bouche. Jennifer me suce du mieux possible, elle tète mon gland, me suce, elle prend les trois quarts de mon sexe en bouche, je déforme ses joues. Mais j’en veux plus, je pousse encore, Jennifer étouffe, bave, je ressors, je la gifle et je remets mon sexe. J’abuse de sa bouche, Jennifer ne peut pas parler, ses yeux pleurent, sa bouche bave plein ses seins. Mon pénis baise sa bouche sans relâche, le plaisir monte, je ne vais pas tarder à jouir. Je me retire et éjacule sur le visage de ma soumise, surprise, mais docile, ne se retire pas et reçoit 4 jets épais sur le front et la bouche.
— Voilà comment tu dois être traitée, tu as raison c’est mieux comme ça, la tu es une bonne soumise. — Merci maître. J’ai mal aux fesses et à la mâchoire, mais j’ai adoré. — Mais tu crois que j’ai fini ? Va te doucher tu sens la pute. Tu veux être prise sans retenue, alors je ne vais pas arrêter si facilement.

Je la prends par la main pour la relever et je l’emmène vers la douche. On commence à se laver, une pause un peu tendre, Jennifer nettoie son visage. Je profite d’un moment où elle me tourne le dos pour la fesser, sur sa peau mouillée cela claque fort.
— Ahh ! Oui maître punis-moi ! Je suis une garce, punis-moi.

Elle me provoque, je claque plus fort, je la tiens par les cheveux et je fesse, je me lâche, j’ai mal à la main, en une vingtaine de claques, ses fesses sont tout rouge. Mon érection étant revenue, je cambre Jennifer et je pénètre son vagin, d’un coup jusqu’aux couilles. Lui arrachant un nouveau cri, comme pour la sodomie précédente, je me lâche et la brutalise, les coups de reins sont profonds, brutaux, ayant déjà joui avant, je sais que vais tenir plus longtemps. Je la ramone le plus fort que je peux durant plusieurs minutes. Je continue de gifler ses fesses qui sont très très rouges. Ma soumise est secouée, elle ne fait que gémir et soudain l’orgasme m’expulse de sa chatte, un jet de cyprine vient m’arroser, Jennifer tremble, le regard vide. Je suis obligé de la maintenir, d’autant que la douche est glissante. Je remets mon sexe dans son vagin étroit et reprends la baise aussi fort.
— OHHH Maître s’il te plaît jouis, jouis dans ma chatte, finis-toi, tu me défonces, j’ai tellement joui, lâche-toi. — J’ai pas encore envie, tu veux être utilisée alors tu assumes. — S’il te plaît, j’ai les fesses en feu, je vais plus m’assoir, tu m’as défoncé la chatte. AHH ! Non ! Maître jouis s’il te plaît, je suis ta vide couille !

Je continue ce traitement de longues minutes, Jennifer passe son temps à gémir, supplier que je termine, elle jouit encore une fois. On finit allongé sur le sol de la douche. Je finis par jouir au fond d’elle dans un dernier coup de reins. Epuisé, on finit allongé dans la douche. Je câline ma soumise, je l’embrasse et l’on se relève pour se laver tendrement.
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