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Prise par un vieux pervers à la Bibliothèque

Chapitre 1

Trash
C’était un jour de grande motivation pour Mélissa. Ce matin elle s’était levée avec la ferme intention de passer la journée entière à la bibliothèque pour réviser ses examens à venir.
C’était le début des temps plus cléments du mois de mai et elle s’était habillée légèrement, d’une jupe fluide mi-longue et d’une camisole étroite qui compressait chastement sa poitrine. De petites chaussures ouvertes aux pieds, elle avait pris le chemin du centre-ville et de la bibliothèque d’un pas décidé, pour y être dès l’ouverture.
Elle était maintenant assise à l’une des grandes tables mises à la disposition du public de la bibliothèque, au cœur d’un enchevêtrement d’étagères de bois recouvertes de nombreux ouvrages. Dans un silence total, elle relisait avec application son manuel depuis maintenant deux heures déjà.
Sa lecture fut troublée pour la première fois de la matinée par un homme qui semblait venir chercher un livre dans une des étagères encadrant sa table de travail. Il ne lui prêtait pas attention, absorbé par sa recherche, mais Mélissa, s’étant laissée distraire, le détailla discrètement. Il semblait avoir une cinquantaine d’années, il était assez grand, les cheveux poivre et sel. Il arborait une moustache et un manteau sombre qui s’ouvrait sur une légère bedaine.
Mélissa se rendit compte qu’elle se redressait malgré elle sur sa chaise, faisant légèrement ressortir sa poitrine. Elle repensait avec culpabilité aux fantasmes qui avaient peuplé, encore la veille au soir, ses épisodes masturbatoires : elle s’excitait à l’idée d’être prise par un homme mûr qui la traitait sans ménagement. Elle avait toujours été attirée sexuellement par les hommes d’un certain âge, parvenant difficilement à dissimuler son émoi par moments. Elle s’était d’ailleurs mise à pointer à travers sa camisole, repensant à son moment de plaisir de la veille, sans s’en rendre compte.
L’homme semblait avoir trouvé son bonheur dans les rayonnages et vint s’asseoir avec un épais ouvrage à la table face à Mélissa qui commençait à avoir quelque peu chaud, malgré sa tenue légère. Elle essaya de se remettre à sa lecture, tant bien que mal, tentant de maîtriser son émoi irraisonné. Elle ouvrit son manuel devant elle pour se cacher derrière.
Elle ne pouvait s’empêcher de s’imaginer cet homme la prenant sauvagement contre la même table où elle était présentement accoudée. Elle gesticulait sur sa chaise, mal à l’aise, et c’est ainsi qu’elle s’emmêla les pieds dans ceux de son voisin de table, qui sembla seulement se rendre compte de sa présence. Elle s’excusa avec précipitation, rougissant à vue d’œil.
L’homme lui sourit, la rassurant en quelques mots que l’accident n’avait rien de grave. Une lueur traversa néanmoins son regard lorsqu’il l’observa avec calme. Il se leva doucement et fit le tour de la table pour s’installer à ses côtés. Mélissa se pétrifia, puis reprit son souffle lorsque l’inconnu dit expliqua calmement qu’ainsi ils n’auraient plus de problèmes de place. Il arborait un léger sourire mais Mélissa, se forçant à garder les yeux sur son livre, ne le voyait pas.
Elle sursauta presque lorsque la main de l’homme vint effleurer sa cuisse. Electrisée par ce contact, parfaitement immobile, elle tenta de ne rien laisser paraître. L’homme semblait absorbé par sa lecture, ce devait être un accident. Elle tenta de reprendre le fil de son chapitre mais elle sentit un doigt se faufiler sous sa jupe, remonter le long de l’intérieur de sa cuisse. Pétrifiée, elle ne réagit pas, le bas-ventre comprimé, sentant l’humidité la gagner. C’est alors qu’il commença à lui parler, tout en se rapprochant inexorablement de son entrejambe enflammé, avec une voix posée et calme :
— Qu’étudiez-vous, Mademoiselle ?
Mélissa reprit son souffle, se rendant compte qu’elle avait arrêté de respirer. Elle répondit machinalement, d’une voix trahissant son émoi :
— La mythologie...— Quel sujet passionnant, j’aurais aimé l’étudier moi aussi.
Il arborait un sourire calme tandis que Mélissa semblait sur le point de se dissoudre à tout moment dans son excitation et sa gêne, inextricablement liées.
— Vous semblez être une âme passionnée, reprit-il d’un ton plus bas, se rapprochant de son oreille. Vous avez la chatte trempée, chuchota-t-il, vos seins sont si gonflés et pointés qu’ils menacent de faire exploser votre haut... Laissez-moi soulager la petite traînée en manque que vous êtes.
Le visage de Mélissa avait viré à l’écarlate, elle sentait maintenant les doigts de l’inconnu effectuer une légère pression à travers le coton de sa culotte imbibée de mouille. Ces mots avaient un effet explosif sur elle. Il reprit calmement, toujours à voix basse :
— Je vous ferais volontiers ce cadeau mais il me faut votre approbation pour cela, si évidente soit votre excitation...
Mélissa tenta de bredouiller quelque chose, complètement embrumée et au bord de l’explosion, elle finit par hocher la tête. Le sourire de l’homme s’agrandit légèrement et ses doigts tirèrent le tissu du sous-vêtement sur le côté, permettant l’accès à sa vulve déjà gonflée et dégoulinante de mouille.
La jeune femme avait l’impression de perdre complètement la tête. Elle réalisait à peine qu’elle se trouvait dans une bibliothèque et qu’ils risquaient d’être surpris à tout moment. Tout ce qui lui importait à ce moment précis était la sensation de l’imposante main de cet inconnu au contact de son intimité inondée, sentir les doigts intrépides et épais la fouiller de l’intérieur.
Elle ne put résister à la tentation de se cambrer sur la dure chaise en bois et d’ouvrir ses cuisses pour permettre un meilleur accès à son gouffre d’envie. N’importe qui passant dans le rayonnage où ils se trouvaient aurait probablement suspecté quelque chose à les voir et à entendre la respiration entrecoupée de la belle excitée. Par chance, cette zone de la bibliothèque était momentanément déserte, il était encore tôt.
L’homme avait gardé son calme et son apparence sereine tandis que Mélissa semblait abandonner son contrôle peu à peu. Il glissa à son oreille :
— Alors petite chienne c’était ça que tu voulais, mh ? fit il, la faisant gémir doucement. J’ai senti depuis le départ ta petite chatte en manque. Tu as faim, je vais bien te nourrir, tu vas prendre tout ce que je vais te donner...
Il engouffra la main entière dans la chatte dégoulinante de l’étudiante, maintenant en transe, qui n’attendait plus que ça. Elle se déhanchait sur sa chaise, perdant toute considération pour la discrétion. Elle haletait comme une vraie chienne, le regard vitreux.
L’inconnu retira alors soudainement sa main. Il essuya prestement sa main trempée sur la camisole de Mélissa et se leva. Décontenancée, elle leva un regard plein d’incompréhension vers lui qui articula :
— Les toilettes des hommes, dans cinq minutes, sans ta culotte. Deuxième cabine en partant du fond.
Et il disparut entre les rayonnages, laissant Mélissa plantée là, culotte baissée, en sueur et les cuisses maculées de mouille. Elle essaya de rassembler ses pensées sans y parvenir, et finit par retirer sa culotte et la glisser dans son sac, avec le reste de ses affaires. Elle ne pouvait résister ; rien qu’à effectuer ce geste, elle mouilla de plus belle, plus abondamment encore. Elle regarda sa montre : cela faisait 3 minutes. Elle prit la direction des toilettes, bien décidée à se faire démonter par cet indécent inconnu dans les toilettes de la bibliothèque.
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