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La « Prison »

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Les heures passèrent, sans pour autant qu’elle soit capable de savoir combien, tant elle avait perdu la notion du temps. Seul le sperme qu’elle avait d’abord vu couler puis sécher sur le visage de la jolie brune était un témoin des heures qui passaient.
Des bruits de pas retentirent à nouveau. Le même homme qu’au début approchait. Il les libéra toutes les deux de leurs entraves, ainsi que du crochet qui les maintenait. Il passa la laisse dans l’anneau de chacun des deux colliers et il les emmena hors de la cave. Le trajet fut tout aussi pénible pour leurs genoux endoloris, mais il n’était pas question de ralentir. Il les mena dans une pièce qui ressemblait à un réfectoire. Au milieu, deux assiettes posées à même le sol et un bol d’eau à côté. Marion faisait les cent pas dans la pièce avec à la ceinture un martinet. Elle s’adressa à elles dès qu’elles entrèrent :« Vous devez avoir faim mesdemoiselles ! », et elle leur désigna les assiettes ; de la purée et un peu de viande coupée en morceaux. Pas de couverts… C’est en entendant son ventre gronder qu’elle se rendit compte qu’elle n’avait rien avalé depuis le matin, elle était affamée. Elle ne se fit pas prier et elle se rua vers l’assiette, comme sa partenaire d’infortune, à quatre pattes, lapant à même l’assiette. Marion passa derrière elles, et elle sentit un violent coup de martinet s’abattre sur ses fesses. Elle gémit sous le coup.« Silence et mange ! », hurla Marion.Elle entendit alors le cinglement sur les fesses de sa voisine qui avait apparemment retenu la leçon et qui retint son cri. Les coups tombèrent alternativement sur l’une et sur l’autre pendant toute la durée du repas. La force allait croissante et elle pouvait sentir ses fesses rougir et chauffer au fur et à mesure. Quand l’assiette fut enfin terminée, les coups cessèrent. Ou elle le crut.Elle entendit soudain la brune pousser un cri de douleur et abattre sa tête au sol, les larmes aux yeux. Elle eut à peine le temps de se demander ce qui lui était arrivé, qu’elle entendit le martinet siffler et s’abattre sur son entre-jambe, lui coupant le souffle. Mais elle retint son cri, par fierté et aussi parce que Monsieur le lui avait appris. Marion prit à nouveau la parole, d’un ton goguenard :« Voilà un repas qui se finit en beauté mesdemoiselles. Vous allez m’accompagner pour mon dîner, suivez-moi ! ».
Elles suivirent Marion, toujours à quatre pattes, vers une autre pièce, plus petite et plus cossue. Un plat trônait sur une petite table à manger. Marion s’assît presque aussitôt et attaqua son repas. Elle tendit en même temps ses deux pieds sous la table vers les deux femmes. « Il faut vous prier ? » rugit la Propriétaire des lieux. Elle comprit plus vite que la brune ce qui était attendu. Elle déchaussa doucement le pied, ôtant le bel escarpin noir, et elle commença par y déposer de doux baisers. Aux réactions de Marion, elle comprit qu’elle avait vu juste et elle se mit alors à parcourir le pied de toute sa langue comme Monsieur le lui avait appris. La brune finit par suivre l’exemple, déchaussant l’autre pied et se mettant elle aussi à l’ouvrage. Marion mangeait tout en se faisant lécher les pieds par les deux soumises. Parfois elle forçait les lèvres de l’une d’entre elle pour y introduire son orteil qu’elle faisait sucer dans un simulacre de fellation. Le pied s’aventura soudain entre ses cuisses pour remonter lentement le long de sa jambe. Elle finit par atteindre son sexe trempé par l’excitation, qu’elle caressa de la pointe et du coup-de-pied, avec lenteur. Puis elle s’arrêta, maintenant son pied contre sa vulve brûlante. Malgré elle, rendue folle d’excitation par ce qu’elle avait vécu et en manque criant de sexe, elle commença à onduler du bassin pour se frotter contre ce pied bienfaiteur, le plaisir irradiant dans tout son ventre. La brune léchait toujours avec application l’autre pied. Marion ironisa :« Regardez-moi cela ! Une véritable chienne en rut qui se frotte contre la jambe de sa maîtresse ! ».Loin de l’arrêter, ces mots l’excitèrent davantage et elle accrut ses ondulations pour aller chercher le plaisir. Marion poussa le vice jusqu’à présenter son orteil à l’entrée de sa chatte ruisselante. Et elle s’empala sur cet orteil sans mot dire. Elle sentait la jouissance approcher mais Marion le sentit aussi et elle cessa sa caresse. Elle présenta alors son pied à la jolie brune : « nettoie la mouille que cette traînée a mis dessus ! ». Et la jeune fille s’exécuta sans dire un mot, léchant chaque goutte déposée sur le pied tendu.
Elle se sentait frustrée et Marion en avait conscience. Elle prit alors la parole :« Sachez mesdemoiselles que la seule qui va jouir ce soir, c’est moi. Mais toute la question est de savoir laquelle d’entre vous aura le privilège de me donner ce plaisir… »Elle se pencha alors vers elles, les mis côte à côte et elle appuya sur leurs nuques pour que leur tête et leur poitrine touchent le sol. Une tape vigoureuse sur leurs fesses leur fit comprendre de cambrer davantage et elles s’exécutèrent. Elles étaient à présent à plat ventre, les fesses relevées et cambrées, la croupe offerte. Marion s’activait derrière elles, fouillant une armoire. Elle revint quelques instants plus tard et leur murmura à l’oreille : « la première qui se sent partir a perdu… ».Elles entendirent alors les vibrations se déclencher. Elles ne surent d’abord pas d’où elles venaient, mais elles furent très vite renseignées lorsqu’elles sentirent leur clitoris respectif happé par les diaboliques womanizer que Marion maniait, un dans chaque main. La sensation était fabuleuse, surtout après les privations de la journée, mais elles avaient compris que la première qui approcherait l’orgasme serait perdante, et après ce qu’elles avaient vécu, aucune ne voulait perdre. Marion savait y faire et l’instrument était redoutable. Elle luttait, serrait les dents, se mordait les lèvres, mais rien n’y faisait, l’orgasme approchait et elle ne voyait plus comment y résister. Elle se mit à gémir sans retenue… et les vibrations cessèrent…« Tu as gagné ma belle, dit Marion en flattant la croupe de la jolie brune. Tu vas avoir le droit de me déguster, Quant à toi, dit-elle en posant sa main sur ses fesses, tu as perdu… ». Le ton employé ne disait rien qui vaille.
Marion la releva et l’emmena au centre de la pièce. Elle lui fit lever les bras qu’elle attacha à une paire de menottes suspendues. Par un jeu de poulies, elle fit se tendre les chaînes, la forçant à se mettre sur la pointe des pieds, qui touchèrent alors à peine le sol. Elle alla ensuite chercher un long bâton dans un coin de la pièce. Elle le fixa dans un trou au sol, juste sous elle. Puis elle s’éloigna et revint, tenant dans sa main un plug aux dimensions démesurées : le haut était relativement fin, mais à la base le diamètre était l’un des plus gros qu’elle n’ait jamais vu. Elle le présenta à ses lèvres, qu’elle força sans attendre. « Humidifie-le, crois-moi, c’est pour ton bien » dit-elle avec un large sourire. Et après quelques va et vient dans sa bouche, elle fixa le plug sur le bâton, insérant son extrémité dans son anus. Elle n’avait toujours pas compris où elle voulait en venir, quand soudain Marion relâcha le système de poulies. La chaîne se détendit et elle n’était plus suspendue. Seule la force de ses jambes la maintenait sur la pointe des pieds et l’empêchait de s’empaler sur le plug monstrueux…La contemplant d’un air satisfait, Marion empoigna la chevelure de la brune et la dirigea vers un fauteuil confortable. Elle ôta sa jupe, elle ne portait pas de dessous. Elle s’installa sur le fauteuil, posant ses jambes sur les accoudoirs, dévoilant son sexe humide. « Je te libère dès que j’ai joui », lui lança-t-elle ; et elle empoigna à nouveau la chevelure de la brune docile qu’elle dirigea sans ménagement vers ses grandes lèvres luisantes. La jeune fille se mit alors à lécher consciencieusement le sexe de Marion, parcourant sa vulve avant de s’attaquer à son clitoris qu’elle fit rouler entre ses lèvres. On voyait qu’elle n’avait pas l’habitude, mais elle faisait de son mieux.
La tension sur ses jambes et ses pieds était intense. La sueur perlait le long de sa poitrine et elle faisait tout pour résister mais ses forces l’abandonnaient petit à petit. Mais elle ne voulait pas céder. Marion la regardait fixement, droit dans les yeux tandis que la brune s’activait entre ses jambes, mais elle ne semblait pas proche de jouir. On aurait dit même qu’elle contrôlait son plaisir. Lentement le plug s’enfonçait en elle, cm par cm, écartant chaque fois un peu plus les chairs de son anus. Monsieur l’avait bien sûr initié à ce plaisir, mais jamais avec un instrument d’une telle taille. Elle soufflait fort à chaque nouvelle insertion en luttant pour ne pas gémir, retenant parfois ses larmes. Marion montrait de plus en plus de signes de plaisir. Ses mains se crispaient dans la chevelure brune, guidant de la main ou de la parole, exigeant plus vite ou plus lentement, plaquant parfois la bouche de la jolie brune sur sa chatte trempée. Mais ses forces l’abandonnaient aussi… et elle céda d’un coup, ses jambes se dérobèrent sous elle et elle s’empala littéralement sur le gode, jusqu’à la base. Elle se sentit remplie comme jamais elle ne l’avait été, elle avait le souffle coupé, et elle était sur ce point d’équilibre entre extase et douleur, et son corps ne semblait pas vouloir se décider pour l’un ou l’autre. Celui de Marion en revanche avait pris sa décision. Quasiment au moment où elle lâchait, la maîtresse des lieux explosa dans la bouche de la belle brune en criant son plaisir, les mains plaquées sur sa tête, pour ne rien perdre de son plaisir. La jeune fille avait le visage couvert de cyprine, mais elle continuait d’embrasser doucement l’entre-jambe de Marion. Elle finit par se lever, rassasiée, et elle fit à nouveau jouer les poulies pour tirer sur ses bras. Et lentement, elle vint ôter le plug. Elle sentit autant le retrait qu’elle avait senti l’introduction. Elle serra les dents du mieux qu’elle put. Elle sonna ensuite et un homme entra. Il re-positionna les laisses et les emmena tandis que Marion s’installait au coin du feu, un livre à la main. « Vous veillerez à ce qu’elles ne fassent pas de bêtise » lâcha-t-elle alors qu’ils quittaient la pièce. Comme si elle pouvait encore avoir une telle envie…L’homme les mena à leurs cages désormais familières. Mais avant de les y faire entrer, il s’approcha de chacune d’elle et il passa quelque chose entre leurs jambes, qu’il remonta et fixa à leur taille. C’était une sorte de culotte en cuir, parfaitement ajustée. Le mot « bêtise » lui revint en tête et devint clair. Cette « culotte » leur permettait de faire leurs besoins si elle le souhaitait, mais elle bloquait tout accès à leur sexe ou à leur clitoris. Une ceinture de chasteté… elles allaient passer la nuit ainsi harnachées, sans espoir de se soulager de leur excitation immense…
Le lendemain, elles furent réveillées de bonne heure. Après un petit déjeuner dans les mêmes conditions que la veille, on les emmena dans la grande pièce centrale. Marion était là avec quatre hommes, les « gardiens ». Elle les fit mettre à genoux, dos à dos, leurs chevilles fixées au sol afin de leur empêcher tout mouvement. Elle prit alors sur la table un objet qui ressemblait à une chaîne. Aux bouts de cette chaîne se trouvaient des pinces. Elles savaient toutes les deux à quoi s’attendre et elle entendit sa partenaire inspirer profondément. Alors que Marion s’approchait, elle réalisa avec appréhension qu’il n’y avait pas deux mais trois pinces au bout de la chaîne… mais qu’y pouvait-elle ?Elle tendit fièrement sa poitrine, comme Monsieur le lui avait appris. Marion prit son premier téton entre ses doigts et le fit rouler avec agilité pour le rendre plus dur et plus tendu. Quand elle s’estima satisfaite, elle posa la pince d’un geste sûr et adroit. La douleur fut vive mais elle s’estompa progressivement. Le second téton subit rapidement le même sort. Restait la troisième pince…. Elle ferma les yeux alors que Marion descendait vers son bas-ventre. La douleur fut bien plus vive quand les mâchoires de la pince se refermèrent sur le capuchon de son clitoris, mais elle retint à nouveau son cri. A sa grande surprise, la chaîne ne fut pas passée sur son ventre mais derrière elle. Et elle sentit Marion faire quelque chose sans pouvoir savoir quoi exactement. Elle entendit ensuite la jolie brune subir la même chose et elle ne put retenir un cri quand la troisième pince fut posée. Elle sentit alors qu’on passait quelque chose dans l’anneau de son collier : la chaîne qui reliait les pinces de la fine brune. Le « pourquoi ? » lui échappait en revanche…
Marion prit alors la parole :« Mesdemoiselles, votre peine ici sera courte : vos dominants respectifs viennent vous chercher cet après-midi. Ils espèrent que cette journée et cette nuit ici vous auront servi de leçon. Avant de partir, il est de bon ton que vous remerciiez comme il se doit le personnel ! ».Et deux des hommes vinrent se positionner face à chacune des deux jeunes femmes, le sexe à l’air libre et tendu. Pour prendre ce sexe tendu en bouche, elle avança, et la jeune brune fit de même… avançant la tête, tirant sur le collier et par la même sur la chaîne. La morsure fut intense pour les deux, notamment sur leur bouton de plaisir qui n’en était désormais plus un.Elles s’arrêtèrent tous les deux, hésitantes…mais Marion les regardait avec sévérité, et elles avancèrent à nouveau, accueillant les membres tendus entre leurs lèvres tandis que la tension sur les pinces leur arrachait des petites larmes. Heureusement pour elle, les deux hommes jouirent assez vite, libérant leur foutre crémeux au fond de leurs bouches respectives. Les deux autres hommes vinrent se positionner devant elle et sans attendre empoignèrent leur chevelure pour les guider. Ces deux-là en voulaient plus, poussant sur l’arrière de leur crâne pour faire entrer l’intégralité de leur sexe au fond de leur gorge, accentuant d’autant plus la tension sur les pinces. Ils se fichèrent tous les deux au plus profond de leurs bouches et entamèrent alors un va être vient rapide, butant contre leur gorge, se souciant peu de leur confort. Mais malgré tout cela, elle sentait une excitation croissante la gagner. La douleur dans ses seins et sur son clitoris commençait à frôler avec le plaisir et bien plus encore. Elle sentait une boule de plaisir se former dans son bas-ventre sans même qu’on la caresse. Et elle entendait aux cris étouffés de la belle brune qu’elle n’était pas la seule à ressentir cela. Elle sentit la verge de l’homme se tendre sous sa langue. D’une poigne ferme, il s’enfonça davantage au fond de sa gorge et elle sentit son sperme se déverser en elle sans qu’elle n’ait d’autre possibilité que de l’avaler docilement. Ce fut cela, et une dernière tension sur la chaîne, qui la fit exploser. Elle jouit bruyamment, même si ses cris étaient étouffés par le sexe dressé entre ses lèvres. Elle jouit à n’en plus finir, sentant la cyprine couler abondamment et sans relâche entre ses cuisses.
Elle revint à elle quelques instants plus tard. Les pinces avaient été ôtées. Elle était couverte par un léger manteau. La jeune brune était à ses côtés, dans le même état second. Leur dominant venait les chercher, et c’est tout ce qui comptait pour elles à cet instant.
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