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Le prisonnier à la ferme. Un français, une allemande et ses jumelles.

Chapitre 1

L'ennemi devient le sauveur

Erotique
LE PRISONNIER A LA FERME.
Un Français, une Allemande et ses jumelles.

Cette histoire se déroule à la fin de la Deuxième Guerre mondiale.Gabriel est dans un camp de prisonniers de guerre depuis la débâcle de 1940. C’est un paysan dans le civil, il a vingt-huit ans en ce printemps 1942. Il est marié, et sa femme était enceinte à son départ.Il a un fils qu’il ne connaît pas encore. Les Allemands manquent cruellement de bras et l’ont réquisitionné pour aller travailler dans une ferme de Basse-Saxe.Cela fait des mois qu’il trime dans cette ferme tenue d’une main ferme par Gertrude et ses deux filles, Eva et Gilda. Elles le traitent comme un esclave, l’humiliant sans arrêt. Il couche dans une grange sur un lit de paille. De même pour sa toilette qu’il doit prendre dans un grand baquet à la vue des trois femmes sans aucune intimité, car elles entrent et sortent dans cette pièce comme dans un moulin.
Pour Gertrude, c’est dur d’accueillir un inconnu, encore une chance qu’il se débrouille assez bien en allemand ! Son mari lui manque, est-il encore vivant ? Fritz est un homme rustre qui ne la ménageait pas, levé tôt, couché tard. Pour lui, tout tournait autour de sa ferme, la femme n’étant là que pour faire la bouffe, le ménage et les gosses. Il a rempli deux fois son devoir conjugal pour la Mère Patrie, et accorde peu d’importance au plaisir, encore moins pour celui de sa femme.Gertrude apprécie que le « Français » soit un homme de la terre. Plusieurs fois, elle a remarqué lors de sa toilette qu’il est bien foutu avec un corps tanné par la vie en plein air, bien musclé. Elle a aussi entraperçu plusieurs fois la virilité de cet homme. Rien à voir avec celle de Fritz, assez mal desservi par la nature de ce côté-là. Mais pour elle, plutôt mourir que de fricoter avec « l’ennemi ».
Du côté de ses filles, elles adorent narguer le ‘franzose » en se promenant en petite tenue. Elles poussent même le vice dès que le temps le permet de se baigner dans la rivière proche en tenue d’Eve quand il est dans les parages. Mais il est hors de question qu’il ose toucher le corps de pures Ariennes et de souiller la « race Supérieure ».
Elles viennent de recommencer, narguant l’homme, mais comme de jeunes insouciantes, elles ont pris des risques, car le débit de la rivière est assez important. Des orages récents ont gonflé la rivière où les remous sont de plus en plus forts. Soudain, une montée subite des eaux les prend au dépourvu. Elles sont entraînées par le courant et hurlent de frayeur.
Gabriel ne réagit pas tout de suite, croyant que ces deux conasses se foutent encore de sa gueule. Mais les cris continuent. Il se rapproche de la rive et s’aperçoit du drame qui se déroule sous ses yeux.
Sans même réfléchir, il court le long de la rive pour arriver au niveau des filles et plonge dans le courant. Il se bat de longues minutes avant de pouvoir saisir la première fille qui se débat dans ses bras. Il arrive enfin à se mettre derrière elle, passe un bras sous les seins nus et ramène Gilda vers la rive la plus proche. Dès qu’il voit qu’elle peut s’en sortir seule, il cherche des yeux sa sœur et va à son secours.
Il a plus de difficulté, car lui aussi fatigue. Il se bat avec les éléments en furie et arrive enfin à se saisir d’Eva qui semble évanouie. Des rochers affleurent et il fait bouclier avec son corps pour la protéger.
Il a de plus en plus de difficulté pour se rapprocher de la rive, mais dans un effort ultime sort des remous et se retrouve dans une eau plus calme. Il serre les dents et dès qu’il a pied, il prend Eva dans ses bras puis l’étend sur le sol.
Il est exténué, blessé, il saigne, mais ne pense pas un instant à lui. Il fait du bouche-à-bouche à Eva, compresse sa poitrine nue un long moment avant qu’enfin, elle recrache de l’eau et respire à nouveau sous les yeux horrifiés de sa sœur qui a accouru. Gilda respire enfin en voyant sa sœur revenir à la vie, elle n’est même plus consciente d’être aussi nue que sa sœur à moins de cinquante centimètres du « Français ». Il vient de leur sauver la vie !!!
Mais à peine sa sœur se redresse sur un coude que Gabriel s’écroue. Elle prend seulement conscience qu’il est sérieusement blessé, du sang coule de plusieurs blessures. Elle court vers la ferme après s’être rapidement revêtue pour alerter sa mère. Elle lui explique ce qui vient de se passer, lui avoue que si elles sont encore vivantes, elles ne le doivent qu’à Gabriel.
Gertrude et sa fille rejoignent Eva qui a repris un peu ses esprits et à elles trois ramènent « l’ennemi » qui est devenu le « sauveur ».Pendant de nombreux jours, elles le soignent, se relayant pour veiller à son chevet. Il délire, appelant sa femme, son enfant. Gertrude change ses pansements, lui fait sa toilette intime. Il a parfois des réactions dans son sommeil et cette verge d’une dimension qu’elle n’a jamais connue commence à l’obséder.
Gabriel a enfin repris ses esprits, mais est toujours très faible. Ils dialoguent enfin et s’aperçoivent que hormis leur nationalité, ils ne sont pas si différents. Gabriel parle de sa femme, Gertrude de son mari, de ses filles. Il apprend qu’elles vont bientôt partir, contraintes et forcées. Le Reich veut des enfants elle elles vont aller dans un « Lebensborn » pour se faire déflorer par de purs Ariens SS et faire de futurs soldats fanatisés.
Gabriel n’avait jamais pensé la toucher, encore moins l’enlacer, l’enlacer...Dans ses rêves, Gertrude est dans ses bras. Elle a la peau tiède et satinée et elle laisse lentement glisser sa main sur les épaules de Gabriel, le long de ses côtes...Tous ses sens sont exacerbés. Il respire le parfum de ses cheveux, ses lèvres découvrent le goût légèrement, très légèrement salé de la peau de la femme, et puis sans savoir comment, il reprend un peu ses esprits et sent le matelas sous lui, le drap sur lui... dans l’obscurité... et elle est toujours dans ses bras, entièrement nue.Il sort de sa torpeur, de son rêve, se réveillant en sursaut.
— Gertrude ?
Elle lui pose le bout des doigts sur la bouche.
— Chut, Gabriel. Ne dis rien...
Autant lui demander d’arrêter le flot de sa circulation.
— Mais que faites-vous ? bredouille-t-il.— Tu ne le devines pas ? murmure-t-elle. Je suis au lit avec toi.— Mais pourquoi ?— Parce que j’en ai envie, dit-elle, et elle se serre contre lui.
Elle tire sur le col de son vêtement de nuit et l’entrouvre.
— Ne bouge pas, Gabriel. Tu es encore faible et je ne veux pas t’épuiser davantage.
Gabriel sent une chaleur dans son bas-ventre et décide de ne pas protéger Gertrude contre elle-même.
— Je ne suis pas fatigué à ce point !— Non ! ordonne-t-elle. Je veux que tu te reposes. Ne bouge pas.

Elle a la bouche sur les lèvres de Gabriel, comme pour le forcer à se taire. Il se détend et une petite pensée lui passe par la tête : il obéit à ses ordres comme depuis tant de mois, il est vraiment fatigué et ne demande qu’à être plus passif qu’actif. Et, avec un peu de honte, l’idée lui vint que cela atténue un peu sa culpabilité. (Je ne peux t’en empêcher, s’entend-il protester). Quelle lâcheté ! Quelle intolérable dégradation !
Mais ces pensées-là s’enfuient aussi. La température s’est un peu élevée. Les draps ont disparu, le vêtement de nuit aussi. Gabriel sent sa tête attirée au creux du bras de Gertrude.Avec un détachement étonné, il comprend, à sa position, que cette douceur est celle du sein gauche de Gertrude.Elle ondule lentement et caresse le menton et le corps de Gabriel. Il se détend, heureux de ne rien faire, de lui laisser l’initiative.Il ne l’aide pas et quand il finit par réagir avec une excitation croissante, elle pose délicatement ses lèvres charnues et attirantes sur les siennes. Et comme il se laisse faire, elle l’embrasse passionnément.
Gertrude lui caresse la poitrine, lui pelote les fesses et il a l’air d’aimer. Elle stoppe son baiser quand il lui rend la pareille, découvrant ses seins nus, tendus par le désir. Il les masse doucement et l’embrasse dans le cou.
— Gabriel-. Tu as des pectoraux magnifiques et des abdominaux superbes. Et en plus, tu es monté comme cheval Franc-Comtois.
Elle caresse le tout d’une main délicate en regardant croître sa virilité.
— Et quelle verge tu as ! Je n’en ai jamais vu d’aussi belles ! Il faut dire que la seule autre que je connaisse est celle de mon mari.
Gertrude ne peut qu’observer la beauté de ce sexe. Des veines gonflées courent le long de la hampe. Complètement décalotté, son gland congestionné ressemble à une prune rouge foncé. Deux beaux fruits poilus pendent entre ses cuisses.
Elle ose enfin saisir ce long tuyau d’une main et commence à jouer avec son prépuce, calottant et décalottant le gland. Gabriel, toujours passif ne parle pas, continuant à lui sourire.Gertrude approche sa tête de la virilité exacerbée et se met immédiatement à l’œuvre, commençant par promener ses lèvres et sa langue sur le gland, la hampe et les testicules. Elle n’a jamais voulu faire ça à son mari. Elle écarte les lèvres, essayant de prendre le plus loin qu’elle peut à l’intérieur de sa bouche l’organe orgueilleux. Elle se retire une seconde et repart immédiatement à l’assaut faisant pénétrer l’engin jusqu’au fond de la gorge.
Elle le regarde avant de cracher sur le sexe et recommence sa fellation. Pour Gabriel, le plaisir est intense. Mais les prémices de sa jouissance annoncent le point de non-retour. Il pousse un gémissement de plaisir quand il sent sa verge durcir encore jusqu’au soulagement explosif, il ne peut faire autrement, il est en train de jouir...
Il éjacule à l’intérieur de la bouche de Gertrude qui, surprise, recrache le sperme qu’elle vient de recevoir. Il déverse le reste de son foutre sur le visage, le cou et la poitrine de cette femme devenue soumise, la couvrant de sa semence. Son manche est dressé vers le plafond. Gertrude admire cet organe fier, tellement beau, tellement vigoureux. Elle coule telle une fontaine à l’idée d’être pourfendue par une telle verge.
Il prend conscience que jusqu’à maintenant, il ne s’est pas du tout occupé d’elle. Elle ne le veut pas...
A suivre...
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