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Le prisonnier à la ferme. Un français, une allemande et ses jumelles.

Chapitre 2

Une demande étonnante

Avec plusieurs femmes
LE PRISONNIER A LA FERME. 2
Un français, une allemande et ses jumelles.

Son manche est dressé vers le plafond. Gertrude admire cet organe fier, tellement beau, tellement vigoureux. Elle coule telle une fontaine à l’idée d’être pourfendue par une telle verge.Il prend conscience que jusqu’à maintenant, il ne s’est pas du tout occupé d’elle. Elle ne le veut pas...
Suite.Gertrude chevauche l’homme, pose les mains sur sa poitrine et les pieds sur les cuisses du français, sa chatte est juste au-dessus du gland qui lui effleure ses lèvres intimes, elle veut s’empaler dessus, un dernier remord la stoppe un instant, mais l’attirance est trop forte...Elle frotte sa vulve sur le manche, redresse la verge et se laisse descendre un tout petit peu. Le gland a un peu de difficulté à s’insinuer en elle, les mains de Gabriel lui caressent le dos avant de la prendre par la taille quand elle commence à s’empaler sur le pieu. Le gland s’enfonce un petit peu plus profondément. Pour une fois, c’est elle qui donne, qui dirige, elle n’en a pas l’habitude...
Elle se laisse descendre sur le pal qui gagne quelques centimètres à l’intérieur de son fourreau en feu, et commence alors un lent va-et-vient sans chercher une pénétration plus profonde. Des ondes de chaleur traversent le ventre de Gertrude qui découvre le plaisir de donner.
Elle continue un petit moment ses aller/retour pour aléser le passage, s’arrête quelques secondes, le gland à peine engagé dans sa vulve, puis se poignarde d’un seul coup sur l’engin le plus profondément qu’elle peut le supporter, puis stoppe tout mouvement.
Elle grogne de plaisir, regardant entre ses jambes, surprise d’avoir absorbé en elle un tel sexe, ça la rend folle d’excitation.Elle se déchaîne enfin, découvrant l’extase de se défouler sexuellement, ce qu’elle n’a jamais ressenti avec son mari. A chaque mouvement, le plaisir de forcer son corps à redescendre sur ce sexe monstrueux pour elle intensifie son plaisir, son ventre est en feu, sa respiration est courte et saccadée.
Elle résiste un long moment pour accroître son plaisir, puis brusquement, s’empale d’un seul coup sur le pénis, son vagin moule parfaitement le membre quand une décharge électrique parcourt son corps. Elle n’a jamais ressenti ça de sa vie...
Elle recommence encore et encore pour retrouver une telle sensation, ne voulant pas que ça s’arrête. Mais Gabriel, lui aussi, ne peut plus se retenir. Il garde suffisamment de présence d’esprit pour la repousser, ne voulant pas prendre le risque de la mettre enceinte et éjacule une nouvelle fois.
Tout à fait à part de la sensualité et de la réaction sexuelle inattendue de Gertrude, il éprouve ce luxe total d’une passivité d’enfant. Il est incapable de réagir encore une fois, tellement il est fatigué, et elle-même n’en peut plus, semble-t-il, car elle retombe, la tête au creux de l’épaule gauche de Gabriel, le bras en travers de son torse, caressant tendrement les courts poils frisés.Il croit l’entendre murmurer :
— Merci... Merci...
De quoi ? se demande-t-il. Il essaie de trouver les bons mots, les bonnes phrases...
— Vous aviez appris à recevoir ; grâce à moi (sans que je le veuille), vous avez appris à donner. Si cela vous a été bénéfique, il n’est que juste et bon que vous enseigniez à votre tour. Vous pourrez apprendre à votre mari à donner et à recevoir, et vous apprendrez à faire les deux par alternance, ensemble et avec lui.

Gertrude regarde Gabriel dans les yeux.
— Cherchez-vous à vous débarrasser de moi ?— Non Gertrude ! Mais comprenez-moi... Je ne veux que votre bonheur, plus que je n’ai jamais rien voulu pour moi. Je ne peux pas vous apporter le bonheur, mais vous éveiller au plaisir, mais si votre mari, quand il reviendra, peut vous le donner, j’en serai aussi heureux- presque aussi heureux- que si je vous faisais moi-même ce cadeau.

Mais la fatigue cumulée de ses blessures et de cette dépense folle d’énergie est trop forte. Il a à peine conscience d’elle, à présent, car cette fin incroyablement douce de cette journée est aussi génératrice de sommeil et il se sent glisser, comme si le bout de ses doigts se détachait du bord du précipice de la dure réalité afin qu’il tombe... tombe... dans les légers nuages du sommeil, dans les eaux onduleuses de l’océan des rêves.
Pendant les mois qui s’ensuivirent, ils multiplièrent ces instants si rares dans ces temps troublés.Mais un jour, la demande de Gertrude à son amant le surprend :
— Gabriel ! Je t’ai déjà parlé de ce que cette guerre m’a prise, mes deux frères et mon aîné... Elle voudrait aussi prendre l’innocence de mes filles et en faire des pondeuses de SS. Je ne peux l’accepter, mais ne peux m’y opposer. Je ne veux pas qu’elles se fassent violer par deux fanatiques qui vont les engrosser. J’ai longuement discuté avec elles, car tu sais que dans trois semaines, on viendra les chercher de gré ou de force pour les mener au « Lebensborn »...
Ce que vais te demander va peut-être te paraître horrible, ignoble, je veux que tu mettes enceintes mes filles !!!
— Mais- que me demandes-tu là ?— Depuis que tu leur as sauvé la vie, leur regard sur toi a beaucoup changé. Notre liaison n‘est pas un secret pour elles et elles l’ont acceptée. Je sais qu’elles t’ont longtemps chauffé, sachant que tu n’avais pas le droit de les toucher. Elles ont vécu toute leur jeunesse sous le joug de la guerre et tous les garçons de leur âge se battent dans un combat perdu d’avance. Je te connais, tu es doux, je sais que tu feras tout pour qu’elles gardent le meilleur souvenir de cette « première fois ».— J’essaierai de ne pas trahir votre confiance, la console Gabriel.

Et c’est comme ça que sous la surveillance de leur mère, Eva et Gilda veulent connaître leur première expérience avec un homme. Elles veulent se dévêtir, mais Gabriel s’y oppose. C’est lui-même qui retire l’un après l’autre leurs vêtements pour une nouvelle fois redécouvrir les corps superbes des jumelles qu’il n’a touchées que pour leur éviter de se noyer.
Il peut enfin admirer de près leur plastique irréprochable, deux seins bien fermes, un ventre plat qui se termine sur un fin duvet blond comme les blés. Il les fait étendre, écarte doucement leurs cuisses pour découvrir pour la première fois la fente virginale. Elles voudraient dans leur excitation qu’il fasse vite, mais lui veut tout le contraire. Il veut les rendre folles de désir...
Pendant un temps interminable, passant de l’une à l’autre ou bien les deux en même temps, ses mains explorent tous les creux et les bosses des jumelles, titillant un téton, glissant sur de lèvres pleines, frottant sur des vulves gonflées d’où s’écoule un liquide clair. Elles le supplient d’aller plus loin, mais il leur refuse ce plaisir. Elles sont comme folles, mais au bout d’une heure, il les repousse, les laissant affamées de sexe, de son sexe qu’il leur a refusé pour ce soir. Elles le supplient, mais il ne cède pas.
— C’est tout pour ce soir, faites de beaux rêves...

Les deux jumelles ont du mal à s’endormir, des rêves de faune les dépucelant, les hantent une bonne partie de la nuit.Elles attendent le lendemain avec impatience pour la deuxième leçon. C’est enfin l’heure...Il recommence le même manège, mais une fois qu’il les a dévêtues, il leur demande qu’elles fassent de même pour lui puis qu’elles le lavent. (Elles l’ont assez épié pendant tant de mois dans le grand baquet de zinc). Elles redécouvrent ce corps d’homme fortement charpenté aux muscles saillants, à la peau tannée par les travaux des champs. Elles osent à peine le savonner, mais s’enhardissent de minute en minute. Il reste de marbre, son sexe n’a pas un soupçon d’érection. Comme dans un miroir, les jumelles descendent chacune le long de son corps et une fois arrivées en bas remontent jusqu’à son entrejambe. Leur mère les encourage :
— Vous n’avez pas encore lavé sa verge, c’est plein de replis à cet endroit.
Les jumelles regardent leur mère puis ce tuyau flasque, Eva se lance la première et prend avec appréhension la bête qui sommeille, en décalotte doucement la tête et savonne avec délicatesse l’organe. Enhardie par ce qu’elle voit, sa sœur vient la seconder et s’occupe du sac attaché à la base de la verge où deux boules bien dures roulent sous ses doigts. Eva, voyant son manque de réaction, ose lui demander :
— On n’est pas assez belles et expertes pour vous faire bander ?
Gabriel réagit enfin et son pénis prend de la consistance, se gonfle de sang et s’allonge un peu. Les filles persévèrent, fières de ce premier succès. Le tuyau flasque devient une colonne qui se dresse de plus en plus dont la consistance et la grosseur approchent celle d’un manche de pioche. Chacune y va de son commentaire :
— Que c’est dur, et pourtant si doux !— Que c’est chaud ! Je ne croyais pas que ça allait devenir si gros.

Gabriel est enfin en pleine érection, sa verge se redresse avec fierté. Il se laisse encore masturber un bon moment par ses mains inexpertes. Il les dirige, les guide dans cet apprentissage avant de leur demander de le prendre en bouche. Elles sont horrifiées par sa demande- prendre le sexe d’un homme dans leur bouche-, mais Gertrude les rassure :
— Les filles, la première fois, on n’ose pas, mais vous verrez que c’est très plaisant, et les hommes adorent ça !

Gilda se lance et passe son majeur le long de la raie de l’homme. Elle a le nez et la bouche à la hauteur de son gland. Elle ne va pas jusqu’à l’anus, s’arrêtant juste avant. Le bassin de Gabriel s’avance. Elle ose enfin et effectue des va-et-vient sur son membre avec sa bouche, en enserrant la base pas encore occupée avec la main sous les grognements approbateurs de Gabriel.
— Tu es vraiment douée, surtout, ne t’arrête pas.
A suivre...
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